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Citations de Victor del Arbol (557)


Ce qui est près de se dire sans jamais se formuler se perd à tout jamais.
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[Les ] rides (…) sont les veines où coule le temps.
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Le temps est un alibi sans failles. Quant à la vérité, elle n'appartient qu'à ses protagonistes.
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Il y a des choses qu'on ne peut expliquer. Si on les explique, elles deviennent de la littérature.
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Il y a une part de pureté et de dépouillement, une chaleur familière de reconnaissance – une sorte de baiser sur la joue -, quand on prononce un prénom.
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Nous essayons d'échapper à notre destin sans nous rendre compte que nous allons droit vers lui.
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- Quand j'ai commencé la photographie, j'étais beaucoup plus jeune que toi. Je croyais pouvoir faire tout ce qui me passait par la tête. Je ne sais pas, transformer ce que je voyais en un prisme différent. Cacher la laideur ou la mettre en relief, exagérer la beauté, ou l'estomper... n'importe quoi. Mais un jour j'ai cessé d'inventer, et j'ai sondé l'étranger qui était de l'autre côté de l'objectif. Je voulais étudier les gens. Je me demandais si quelqu'un peut être réellement libéré de tout, totalement.
- Et qu'as-tu trouvé ?
(…)
- J'ai découvert que personne n'est totalement libre. Les gens ont cessé de m'intéresser quand je me suis rendu compte que nous ne sommes que des mirages.
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La guerre revient toujours, jamais les hommes.
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C’est la poésie qui permet de rester serein, et elle nous donne l’espoir qu’un jour se réveillera l’enfant qui un jour habitait notre corps.
(Babel noir, p. 416)
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La guerre vieillit les gens. Le chagrin aussi.
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Voilà ce que deviennent les souvenirs d'un vieux : des inventions et des ruines.
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Il était pacifique, quand il était petit il voulait être boulanger comme son père, pétrir le pain, la pâte. Il n'avait jamais imaginé que ses mains fortes modéleraient un jour une matière aussi peu malléable que l'âme humaine.
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On ne pense jamais à la vie qu'on aura quand on a tout devant soi. Et quand on y pense, en général on se trompe.
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Les gens devaient accepter la défaite de la réalité, car en dépit de leurs efforts ils ne parvenaient pas toujours à être ce qu'ils avaient rêvé d'être ; alors, leurs seul soutien était de rêver, de désirer et de feindre qu'autre chose pouvait exister.
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Partir, comme s’il y avait des patries où aller en dehors des souvenirs.
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Tout est une métaphore de quelque chose, si nous laissons de la place à l’irréel, si nous nous éloignons suffisamment pour que les mots soient d’abord des images et ensuite du silence.
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Les riches, en général, ne sont pas très attirants. Voilà pourquoi ils s'achètent de grosses voitures et de grosses maisons. Pour qu'on regarde ce qu'ils possèdent, pas ce qu'ils sont.
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Le temps transforme tout en ruines si on a la patience d’attendre.
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Il y a des silences qui soignent, d'autres qui blessent et d'autres sur lesquels il vaut mieux passer sur la pointe des pieds.
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La mémoire, c’est une chose prodigieuse. Elle invente à sa guise le récit d’une vie, utilise ce qui lui convient et rejette ce qui la gêne, comme si rien n’avait jamais existé…
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