Ai Yazawa

Peut-être la saga de Yazawa que j'apprécie le moins, mais il faut dire que les autres sont encore plus réussies et sont postérieures à celle-ci (l'auteure n'a cessé de s'améliorer avec le temps !). Midori est très attachante, tout comme Mamirin. J'ai un peu plus de mal avec les personnages masculins (sauf Ken et Benta) qui sont assez stéréotypés (le genre de "mec froid et distant, en proie à de grands troubles intérieurs qui va malmener l'héroïne mais c'est pas grave parce qu'il l'aime", en bref, les personnages que Yazawa préfère, comme elle le dit elle-même dans les notes de Nana). Mais une fois qu'on accepte ce "motif" d'écriture, le manga reste quand même très agréable à lire, drôle et léger tout en ayant cette petite touche amère qui rend les récits de Yazawa vraiment complexes et intéressants.

Une des nombreuses sagas d'Ai Yazawa : celle qui a suivi "Je ne suis pas un ange" et qui précède "Paradise Kiss" (on retrouve d'ailleurs Mikako en guest dans Parakiss).

La série est beaucoup moins légère qu'il n'y paraît. Les personnages font face à la fin de l'adolescence et à des choix assez difficiles (partir à l'étranger au risque de s'éloigner de ses amis, trouver sa voie...). On passe quand même de très bons moments car, comme toujours chez Yazawa, les personnages sont très attachants et très "réalistes" dans leurs sentiments et leur façon d'agir. Et c'est toujours un plaisir de voir des apparitions de personnages d'autres séries !

J’avais adoré le premier tome de cette édition deluxe qui reprend une des premières séries de la célèbre Ai Yazawa, auteure de Nana. La suite est toujours aussi agréable à lire. On y retrouve tout ce qui fait l’univers de l’auteur : son goût pour le monde de la mode, les groupes et les sentiments personnels en leur sein. La fin de ce tome laisse un goût amer : on sent que l’auteure nous réserve quelque chose de tragique sans que cela soit encore bien défini… Et quand on connait son goût pour la tragédie et le drame… J’ai presque peur de lire la suite.
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http://leschroniquesdestia.e-monsite.com/pages/chroniques/nana-tome-1.html
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C'est tout mignon cette série.



C'est l'histoire de Mikako, une jeune fille prometteuse passionnée de couture.

On prend part aux images de sa vie quotidienne et de celle de son entourage qui gravite autour d'elle.

Les personnages sont tous attachants et le coup de crayon de la dessinatrice est juste superbe!



Je me suis sentie dans une bulle de douceur en feuilletant ces mangas, j'ai adoré.

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Les dessins de Ai Yazawa sont vraiment fins, elle a un sacré coup de crayon, surtout pour les vêtements.

Mais à part cette beauté du trait et ce thème de la mode, il est question de l'avenir professionnel, du doute, des choix à faire, du rêve, de l'acceptation de soi...
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Très bon tome, un de mes préférés.

Nana est jeune, curieuse, naïve, enjouée: parée pour l'aventure de la vie étudiante loin de son cocon familial.

Elle croise la route de Nana, l'autre, ténébreuse, chanteuse, mystérieuse mais pleine d'empathie envers le monde sous des airs nonchalants.



Elles vont grandir ensemble, affronter les épreuves et profiter des joies de la vie, en laissant au lecteur une petite place pour les accompagner et s'identifier à elles ou à leurs acolytes rieurs et écorchés.



Un régal!

On retrouve dans Gokinjo, la présence importante du stylisme (l’auteure ayant fait des études de stylisme avant de devenir mangaka). Et aussi une ambiance très rock qui se traduit dans les vêtements, les coiffures extravagantes et le dessin d’Ai Yazawa.

Mais en ce qui concerne l’histoire, j’ai été un peu déçue pour ce premier tome. Les personnages tournent en rond, l’héroïne est agaçante et le fond est plutôt simple pour le moment.
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Un très bon tome un peu plus centré sur Nobu enfin j'ai adoré.

Après 11 tomes à lire petit à petit (entre 1 et 2 tomes par an, histoire de savourer), j'ai été obligée de lire le résumé (chose que je ne fais jamais).







J'ai vraiment l'impression que ce tome-ci m'a permis d'oublier l'anime car à partir d'ici, il n'y a plus de parallèle possible. Je me retrouve dans l'inconnu et j'évite au maximum tout ce qui est spoiler et c'est relativement difficile quand on voit l'année où le tome a été publié.







Un de mes doutes a été vérifié dans ce tome, je l'ai trouvé à la fois un peu plus sombre, un peu plus sérieux mais les moments où les personnages étaient très sérieux, ils se sont vite retrouvés avec des moments hilarants (Yasu et Nana, la plus grande histoire d'amitié/amour).







J'ai aussi l'impression qu'on retrouve dans ce tome, le malaise que subit l'auteur par rapport aux troubles que subit Nana Osaki. Ce ne sera pas la première fois qu'on retrouve des éléments de vérité dans des livres ou des mangas.







Ce tome permet aussi l'évolution des deux groupes qui sont officiellement devenus "rivaux" (alors que la plupart sont des amis d'enfance/lycée).







Il a également pu poser de nouvelles bases, j'ai cette impression qu'il y a maintenant une petite maturité qui s'impose tout doucement.
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D'abords attiré par le graphisme, l'histoire m'a rapidement accroché. Le côté intégrale est très pratique pour éviter d'attendre chaque publication.

Pas trop mon genre mais plutôt intéressant.

Cela faisait bien longtemps que je ne m'était pas plongée dans un bon vieux shojo, bien girly et léger, et c'est donc sur cette version intégrale de Paradise Kiss de Ai Yazawa (connue notamment pour la série Nana) que j'ai jeté mon dévolu.



Yukari est une jeune lycéenne, plutôt réservée et effacée qui a pour seul et unique obsession de réussir les concours d'entrée des grandes universités japonaises.

Le hasard (ou le destin) lui fera rencontrer Georges, Arashi,Miwako et Isabella : une bande d'étudiants décalés et loufoques de l'école de stylisme Yaz'art.

Dans leur cave-atelier, baptisé Paradise Kiss, ils préparent la robe du défilé/concours de l'école, et qui mieux que yukari, belle, brune et élancée pour la porter ?

C'est alors que Yukari se retrouve à mener de front (un peu malgré elle) sa vie de lycéenne bûcheuse, et celle de mannequin débutant avec la joyeuse bande de Para-kiss. C'est aussi le temps des bels amitiés, des premiers amours, et des rêves de liberté.





Un manga sympathique, léger et plein d'humour, aux personnages atypiques et attachants.

Bien que je n'ai plus 16 ans, j'ai retrouvé un peu de cette magie adolescente qui nous laisse si facilement nous glisser dans la peu de l'héroïne, qui débute tout simplement son apprentissage de la vie.

AH Ce livre j'en aie rit il y a beaucoup d'humour c'est ce qui fait le charme

du manga !

Un de mes mangas préférés qui ne joue par sur les clichés! J'espère que le tome 22 verra le jour

EXTRAIT "Propos préliminaire, disons d’abord que ce tome 1 contient deux grands chapitres, avec les deux intrigues bien distinctes. L’auteure ne pensait pas qu’une suite verrait le jour, elle a donc posé pour chacune une histoire "complète", qui puisse servir éventuellement de base à quelque chose d’autre, mais qui pourrait aussi se suffire à elle-même. A ce stade, les deux personnages principaux ne se connaissent pas. On peut présager que cela arrivera, vu l’importance donnée à la ville de Tokyo qui semble agir vraiment comme un phare pour ses deux jeunes femmes. Disons le tout de go, j’ai préféré l’histoire de Nana Ôsaki à celle de Nana Hachiko. La seconde est bien trop engoncée dans les fantasmes japonais autour du salary-man et de l’écolière, ça ne me parle pas."
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Gokinjo, une vie de quartier est une lecture vraiment fraiche et agréable. Pleine de bons sentiments sans jamais tomber dans la niaiserie, c'est le genre de série qui met du baume au coeur.
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Nana, c’est deux jeunes filles que tout oppose, leur histoire, leur situation, leur caractère, rien ne les rassemble à part leur prénom signe de chance.

Dans ce premier tome, scindé en deux, on apprends à connaître nos deux héroines.

La première, Nana Komatsu, est un cœur d’artichaut et enchaîne souvent les deceptions. C’est un vrai bout en train, malgré ces déceptions amoureuses, on rit de ses résolutions quelque peu naive, tout cela la rend plutôt attachante.

La seconde, Nana Ôsaki est chanteuse dans un groupe de rock, elle est d’ailleurs en couple avec le bassiste. C’est une fille assez « sombre » qui n’a pas eu une enfance facile et qui a vite été indépendante. Elle a un coté très terre à terre comparé à Nana Komatsu.

Graphiquement, ce n’est pas vraiment mon style. Même si j’aime le coté « réaliste » de la couverture, le dessin des personnages, surtout féminin n’est pas vraiment à mon goût. Je trouve que les hommes sont mieux travaillés.

C’est un premier tome plutôt engageant, malgré tout je ne sais pas si je continuerais cette série, étant donné que l’auteur est malade et met plus de temps à continuer la série.

Affaire à suivre…
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Nana , c'est un manga suivant en parallèle la vie de deux jeunes filles portant le même nom : Nana. Je dois vous avouez que j'en attendais beaucoup, mais vraiment beaucoup de ce manga, qui est censé être très bon. Et, comme Paradise Kiss (de la même mangaka), il manque un petit quelque chose, un petit rien, qui ferait que. Mais comme la saga n'est pas trop longue (21 tomes), je vais quand même la suivre.



On découvre deux jeunes filles, l'une délaissée par ses parents, l'autre abandonnée chez sa grand-mère, et qui ont une vie quasi-similaire. Toutes les deux ont la personne qu'elles aiment à Tokyo, et ont sent qu'au fil de l'histoire, elles seront amenées à se rencontrer, et pourquoi pas, débuter une liaison amoureuse ?



Le speech est simple, mais il fonctionne. Les graphismes sont beaux, mais sans plus. Je m'attendais à beaucoup mieux, à des dessins détaillés, mais le seul moment où j'ai vraiment apprécié, c'est au moment où l'on voit les tenues de la chanteuse Nana.



En tout cas, j'ai hâte de voir comment l'histoire va évoluer, et quels tournants elle va prendre !
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