Ai Yazawa

Une saga qui me laisse très dubitatif... Je l'ai peut-être lu un peu trop tard ? Bien qu'il n'y est pas d'âge pour un livre, je sais que j'aurais aimé Je ne suis pas un ange, adolescente. A ce jour, à présent que j'ai la vingtaine, je le trouve jolie mais sans plus.



La trame est on ne peu plus classique, les rebondissement totalement cliché enfin bref ce Shôjo à carrément manqué d'originalité et de suspens pour moi.



Cependant l'écriture est belle et émouvante, l'auteure sait jongler entre les moments d'émotions et les moments humoristiques, qui fait qu'on ne s'ennuie pas (même si les tomes français sont excessivement long).



Et les dessins, mon dieu ce que je l'ai est trouvé beau et raffiné! Rien à voir avec les mangas qui sortent à présent, il faut l'avouer.

Encore une fois, la longueur et le déjà vue de ce Shôjo me décourage à plusieurs reprise, j'ai du couper ma lecture en deux (faire comme si il y avait deux tomes finalement).

Mais, je suis contente d'avoir persévéré car la fin est vraiment appréciable. Joliment écrit, elle laisse enfin un peu de place au suspens au milieu de cette saga. J'ai été réellement touché par la détresse émanent des personnages (pas forcement que de Midori) et le dilemme de celle-ci.



Je vais me prendre un coup de vieux mais, je le dis quand même: Midori est à un age ou elle peut encore ce poser la question de: Celui qu'elle aime à cet instant et qui n'agit pas comme elle le souhaite est-il mieux que celui avec qui elle peut être elle même et qui souhaite lui donner le meilleure de lui? Désolé, je ne suis pas partisante du couple Akira/Midorie.

"Je ne suis pas un ange" fait partit de ces Shôjo les plus connus, alors je me suis tentée à sa lecture.

D'une part, je l'ai trouvée assez long (comme le manga français regroupe deux tomes japonais.



Ensuite, j'avoue que l'histoire est loin de me rendre accro... Midori est le genre de personnage principal féminin typique des Shôjo, dynamique et enthousiasme mais aussi, fragile émotionnellement parlant et fleure bleue. J'ai beaucoup de mal avec les manga ou ça pleure à tout vas, déjà qu'il n'y absolument rien à coté de l'intrigue: Ce manga n'est basé que sur la relation Midori/Sudo.

Enfin bref, j'ai l'espoir que les prochains tomes relève le niveau :). Par contre, ce qui m'étonne le plus, c'est que j'accroche totalement à ce style de dessins rétro! Je suis grave fan Ahah, c'est fou, ça me donne envie de regarder Dirty Dancing!



Pour parler de ce tome plus spécifiquement, c'est un enchaînement de malentendus, dans un monde de guimauve. C'est également un Shôjo très drôle et ce qui m'a surpris le plus, c'est l'auteure! Elle nous à parlé de la France (paris plus précisément, comme toujours!) et de la marque Agnés B, je suis pas sûr qu'elle existe encore cependant, mais j'ai bien ris :).
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Les deux premiers tomes de ce manga sont très intéressants, mais par la suite l'histoire s'enlise dans les tomes suivants, l'intrigue avance très lentement voire pas du tout et finalement on abandonne la série.

Il m'a l'air bon

Edition collector, un livre d'illustrations magnifiques du Manga de AI Yazawa "Nana".

Bien que magnifique, il faut être initié, voire fan, comme moi, pour pouvoir apprécier pleinement l'ouvrage.

Mais si vous connaissez un fan de Nana, c'est un joli cadeau à faire.

Le premier tome d'une série pleine d’émotion, de passion et de musique. J'ai lu tous les tomes il y a longtemps mais je me souviens encore de la relation si particulière entre les deux Nana, de leurs difficultés dans leur rapport aux autres, de la rivalité-amitié entre Blast et Trapnest et de cette grande tristesse à la lecture du tome 21 (première fois que je pleurais en lisant un livre). Une série que j'affectionne et dont j'aimerais lire la suite.

Je me suis mise aux mangas ! Comme me l'a dit Mahée, on peut voir l'influence de mon amoureux sur moi, entre ça et les jeux vidéos ;-)







J'en ai essayé plusieurs entre ceux qu'il avait (Shaman king) et ceux que j'ai essayé (Fruits basket), mais celui avec lequel j'ai le plus accroché est Nana, de Ai Yazawa.







Nana, c'est le prénom partagée par les deux héroïnes, mais c'est la seule chose qu'elles aient en commun... La première est très influençable et a un vrai coeur d'artichaut. La seconde est chanteuse dans un groupe de rock et est assez secrète.







Dans le premier tome, le manga est séparé en deux parties où dans chacune est relatée l'histoire de chaque Nana (elles ne se connaissent pas encore). Dans le second tome, c'est leur arrivée à Tokyo, leur rencontre dans le train qui les y emmène. Puis un peu par hasard, elles se retrouvent en co-location.







J'ai fini le tome 6 ce matin et le tome 7 m'attend :-) Je savoure parce qu'après il faut que je sorte pour connaître la suite !...

Avant de connaître l’auteur, je n’avais jamais été attirée par le manga Gokinjo simplement à cause de sa couverture que je trouvais très laide… Mais après avoir lu d’autres séries de Ai Yazawa, j’ai décidé de tout de même lui donner une chance, le style dans le manga étant le même que d’habitude et pas du tout le même que celui de la couverture.



On suit donc principalement Mikako qui habite dans le même immeuble que son ami d’enfance Tsutomu qu’elle ne voit que comme un ami, se demandant ce que cela signifie d’être amoureuse. Ceci dit, elle est très jalouse des fréquentations de Tsutomu et se demande si ce n’est qu’un ami d’enfance.



jiro_nishino_17625Si ce type de mangas est principalement centré autour de la romance, j’avais apprécié les autres séries pour les personnages même et les situation qui ne se limitent pas à permettre l’histoire d’amour. Je retrouve moins cela ici même si j’apprécie certains personnages secondaires comme Jiro.



Je pense que ce premier tome mets principalement en place les personnages et j’espère donc que ça évoluera par la suite.
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Je suis tombée par hasard sur cette série dans une boutique d'occasion et je ne regrette en rien mon achat. Il est vrai que les looks et les couleurs peuvent paraître un peu passés mais cela n'enlève en rien la qualité des dessins ni à la manière qu'a Ai Yazawa de nous raconter de merveilleuses histoires de vie. Je me suis vite attachée à tous les personnages, ils ont chacun leurs petits caractères et mimiques. J'aime particulièrement le fait qu'ils soient tous dans une école d'art et donc un peu unique dans leurs styles, ça change des lycéens et autres personnages lambdas. Je le conseille à tout les nostalgiques de Nana, fan des tranches de vies et de mode bien sûr !

Alors que son ami d’enfance, Yamaguchi Tsutomu, commence à fréquenter la jolie Mariko, Mikako Kôda se retrouve complètement perdue dans les sentiments qu’elle éprouve.



Si le dessin des vêtement n’est pas encore au niveau qu’Ai Yazawa atteindra plus tard, on reconnaît tout de même très bien son style dans les visages des personnages et dans le thème de l’environnement choisi pour l’histoire.



C’est du shojo et c’est très convenu mais, outre le petit couple principal, j’ai eu un gros coup de cœur pour le duo entre Mariko et Yûsuke, que l’auteur a su rendre attachants.

Alors qu’il aurait été facile qu’ils ne soient là que pour servir d’obstacle à la relation entre les héros, elle a réussi à les développer et à leur donner des sentiments pour faire en sorte qu’on les comprenne et les apprécie pour eux mêmes.



Et puis dans la catégorie personnage secondaire, il y a Toku, le gérant de bat qui est totalement adorable.



Comme j’ai déjà lu Paradise Kiss, je connais la fin de cette histoire, mais ça ne m’empêchera pas de continuer à lire la suite.
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J'ai lu ce manga du 29/05/2016 au 30/05/2016.

Le début d'une série qui m'a l'air très prometteuse car déjà un shojo (il n'y a que ça qui me plaît en mangas ou presque).

De plus, les 2 histoires de Nana montrent que la vie n'est pas rose du tout loin de là surtout en amour ! En effet, Nana (connais plus leur nom) la fifille a eu un énorme chagrin d'amour causé par un vieux (alors qu'elle était lycéenne) mais elle va retrouver l'amour avec quelqu'un de son âge qui doit partir ailleurs (c'est devenu une relation à distance). Tandis que la Nana rockeuse a eu une vie difficile puis elle rencontre son grand amour mais lui aussi doit partir, ainsi c'est la fin de leur relation. Je trouve que ce shojo montre la réalité des choses que l'on ne retrouve pas dans la plupart des shojos.

En tout cas, hâte de lire la suite même si je sens qu'il va y avoir de jolis moments de dépression. A lire.



Ma note : 9/10

Après un prologue qui met correctement l'histoire en place, on rentre enfin dans le vif du sujet avec la rencontre des deux Nana. Malgré leurs très grandes différences, on sent déjà l'amitié naître entre elle deux, et c'est un aspect du manga qui me plaît beaucoup.

La vie à Tokyo poursuit son court, entre travail, romance et musique. Les Blast sont désormais formés et la situation évolue pour les deux Nana. J'aime bien la façon dont l'auteur arrive à nous faire sentir vraiment concerné par ses personnages. On s'intéresse à eux, à ce qui leur arrive et on s'attache inévitablement.

L'évolution du manga me plaît bien. Je préfère une Hachi célibataire, l'histoire se concentre sur Nana et la musique, je trouve ça plus sympa !

Au terme de ce quatrième tome, on a hâte de savoir ce qu'il va se passer à l'issu du concert de Trapnest.

Une tome chargé en changements. Une relation qui se brise, une autre qui débute, la signature du contrat professionnel de Blast qui approche.

On pressent beaucoup de choses à venir dans la suite de l'histoire.

J'ai beaucoup aimé ce tome, centré sur la soirée d'anniversaire de Reira et Shin. On sent les personnages prendre en maturité, de nouvelles relations se font, la donne change pour d'autres et la scène avec Nana ivre dans sa chambre m'a vraiment fait rire.

Le fossé se creuse entre nos deux héroïnes. C'est assez frustrant pour le lecteur de les voir prendre des voies si différentes.

Les décisions à prendre semblent de plus en plus difficiles et décisives.

J'ai hâte d'attaquer la suite.

Un pur moment de bonheur, je remercie Ai Yazawa de nous faire partager son monde, ses histoires, ses dessins (si beaux ) en bref son talent !

Le plus dur dans cette histoire c'est que l'auteur n'a de cesse de malmener nos personnages, cependant les rebondissements n'en sont que plus surprenants et nous savons tous qu'il n'y a rien de pire qu'un roman prévisible. Hormis ce petit défaut qui n'en est pas un, Paradise kiss n'est que plaisir et rêve.

En l'espace d'un instant on s'échappe dans l'univers exigeant de la mode, mais aussi dans une société japonaise loufoque et parfois rude où un groupe d'adolescent essaie tant bien que mal de se réaliser et surtout, avant tout, de réaliser leur rêves. Tout y est, humour, amour,introspection, doute.

Ai Yazawa dépeint parfaitement la difficulté du passage de l'adolescence à l'âge adulte, l'instant où il faut choisir qui on va devenir.

J'ai beau lire et relire cette intégrale en attendant chaque fois entre les lectures le laps de temps imparti pour que l'histoire s'estompe un peu de ma mémoire, je ne me lasse pas de ce livre.

J'éprouve une tendresse toute spéciale pour Miwako et une net préférence pour Hiro, mais tout les personnages sont hauts en couleurs ( et c'est peu de l'écrire) et très attachants. Je recommande bien sur chaudement cette série à n'importe quelle jeune fille en fleur ( je ne parles pas ici d'âge mais d'état d'esprit ) qui a envie de rêver un peu.

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Les dessins de Ai Yazawa sont vraiment fins, elle a un sacré coup de crayon, surtout pour les vêtements.

Mais à part cette beauté du trait et ce thème de la mode, il est question de l'avenir professionnel, du doute, des choix à faire, du rêve, de l'acceptation de soi...
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