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Critiques de Alain Grousset (302)
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Celui qui dessinait les dieux

Ce livre jeunesse est géniale. L'action est spectaculaire, le sujet est trop bien. Un livre qui va toujours vite, et qui se lit rapidement. La fin est bien trouvé et inattendu. Le suspense est tenue jusqu'à la fin. Je conseille ce livre aux jeunes lecture, et même aux adultes.
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Celui qui dessinait les dieux

Quand la préhistorique rencontre l’art des tous premiers Hommes, une rencontre avec Ibhô ne peut s’avérer que formidable !



Je remercie les éditions Scrineo pour cette lecture. Celui qui dessinait les Dieux est un roman que j’avais aperçu il y a déjà quelque temps sur Facebook. Faisant parti du club des lecteurs Scrineo, nous devions sélectionner la couverture qui allait le mieux représenter ce livre. Je suis heureux de savoir que c’est celle-ci qui a été sélectionnée !
Lien : https://www.acaniel.fr/celui..
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Celui qui dessinait les dieux

On retrouve dans ce livre tout ce qui a fait le succès d'Alain Grousset et c'est tant mieux car on ne se lasse pas de ses héros en quête de vérité dans des mondes brimant trop souvent les jeunes. Ici c'est Ibhô, apprenti peintre préhistorique qui voyage en compagnie de Maraa, douée pour poser des pierres en équilibre, ce que de nos jours on appelle le stone balancing. Mais leur parcours est parsemé d'embûches. On regarde bizarrement les artistes depuis l'aube des temps ! Mis à part un "marre de tout ça" qui m'a fait sourire, n'allant guère avec les peaux de bêtes, tout est cohérent et se lit aisément. A mettre entre toutes les mains de jeunes lecteurs - et moins jeunes - pour découvrir l'art des peintures rupestres.
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Celui qui dessinait les dieux

"Ibhô s'inquiétait pour Taar..".



La main de Taar n'était plus aussi sûre avec le temps, le jeune Ibhô reportait à ses créations quelques retouches à son insu.



Taar avait adopté Ibhô quelques années plus tôt. Il l'avait parfait son talent naissant pour le dessin, il l'avait initié à la peinture rupestre. Ils étaient lui aussi "celui-qui-dessinait-les-dieux".



La chasse se révélait toujours bonne après les prières du chaman devant les représentations murales du duo.



Ils étaient des personnages aussi important que le chaman lui-même.







L'auteur Alain Grousset nous fait revenir sur le pouvoir de l'icône dans la conscience collective. Par l'image, l'homme pouvait intercéder auprès des dieux et s'attirer ses faveurs.



Ces peintures encore conservées dans les grottes avaient ce pouvoir mystique, de toucher les dieux du bout du doigt trempé dans les couleurs, par la grâce du don.



Retour à la Préhistoire donc avec ce titre "Celui qui dessinait les dieux", sous cet angle artistique intéressant.







Alain Grousset glissera de la rivalité et de la quête de pouvoir dans son intrigue. À la mort de Taar, il y aura peut-être une place à prendre malgré l'apprentissage d'Ibhô.



Le fruit des chasses deviendra malencontreusement moins abondant, de quoi mettre en péril la position plus que précaire du nouveau et très jeune "celui-qui-dessinait-les-dieux".



Le jeune dessinateur sentira sur ses épaules le poids de la responsabilité, la pression d'un clan entier lorsque les temps sont incertains.







Les lecteurs apprécient ces jeunes héros qui doutent, se révèlent aux autres et à eux-mêmes.



Alain Grousset poussera d'ailleurs l'expérience dans une fuite urgente qui se transformera en une quête formatrice, une rencontre avec le monde.



Échappant aux courroux du clan pour des raisons précises à découvrir, Ibhô ira loin en marchant, affrontant la faune sauvage, contemplant la Nature dans le chef d'oeuvre du ciel qui flamboie.



On ne s'y attendrait pas si l'on avait oublié les quelques mots de la 4ème de couverture, un road trip nous attend et un petit chien viendra rejoindre Ibhô et lui tenir compagnie.



Livré à lui-même, Ibhô sera à la recherche de la légendaire Grande Grotte des peintures, qui lui donnera un nouveau but depuis la perte de Taar.



Et après?



Une belle aventure au temps de la Préhistoire, plutôt originale dans son traitement " Ronin" ( de Samouraï sans maître).
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Celui qui dessinait les dieux

Je me souviens des premiers essais de couverture que l’équipe chez Scrineo nous avait montré, elles m’avaient fortement intriguée et j’avais eu envie de découvrir cette histoire. C’est une lecture jeunesse qui se lit assez rapidement et qui m’a fait passer un bon moment.



Lorsque son maître Taar décède, c’est au jeune Ibhô que revient la tâche de dessiner les dieux-animaux afin de garantir de bonnes chasses pour la survie du clan. Déjà jalousé par certaines personnes, lorsque la chasse se fait de moins en moins fructueuse, Ibhô est forcé de fuir s’il veut survivre. Mais il ne se retrouvera pas seul dans sa quête pour rejoindre la Grande Grotte, il sera accompagné de Sag son fidèle chien et de la jeune Maraa forcée également à fuir son clan.



J’ai trouvé que l’intrigue présentait quelques facilités, bien que je me rende compte qu’en si peu de pages il soit difficile de tout développer ou de mettre encore plus de bâtons dans les roues à nos héros qui font déjà face à de nombreuses péripéties, mais ça ne m’a pas gâché la lecture pour autant. J’ai passé un moment plutôt sympathique avec cette histoire. On en apprend un peu plus sur les différentes techniques utilisées pour peindre ou sculpter à cette époque. Ca se voit que l’auteur est un passionné et c’est ça qui est très chouette.



Bref, Celui qui dessinait les dieux d’Alain Grousset est une lecture jeunesse dans laquelle on rencontre deux héros courageux. Même si quelques résolutions m’ont semblées parfois un peu trop faciles ou trop rapides, ça ne m’a pas empêché d’apprécier cette histoire qui parle d’art et de passion à une époque où la survie est plus difficile. Un récit ne manquera pas de plaire aux plus jeunes !
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Celui qui dessinait les dieux

Nous sommes à l'ère de la préhistoire. Ibhô est l'apprenti de Taar pour dessiner dans la grotte de la tribu les dieux-animaux pour que ces derniers soient favorables lors de la chasse. Cette place est envié par le fils du chaman qui n'a que de l'animosité et de la rancoeur contre Ibhô.

Alors que Taar rend son dernier souffle, c'est Ibhô qui reprend le flambeau et dessiné de magnifiques dieux-animaux. Mais cela ne suffit et les chasseurs reviennent bredouille de plusieurs chasse. Ibhô décide d'accompagner les chasseurs mais le fils du chaman essaie de le tué, Ibhô le blessé ce qui le pousse à fuir son clan pour ne pas être tuer.

Ibhô décide de se lancer sur les traces de la Grande Grotte dont Taar lui a tant parlé. Le chemin sera semé d'embûches mais Ibhô est résistant et relève chaque défi qui se présente.



Un bon roman jeunesse sur un jeune héros aventureux de la préhistoire. Ce fût un plaisir de lire cette histoire.
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Celui qui dessinait les dieux

Un roman qui séduit d'abord par son style ; le vocabulaire n'est pas simplifié au-delà du nécessaire. L'auteur simplifie seulement certains mots pour que le lecteur se mette plus ou moins sans s'en rendre compte dans la psychologie des hommes de Cro-Magnon.

Tout l'intérêt de ce roman est de poser la question : de quoi a-t-on vraiment besoin pour survivre ? Pouvait-on être heureux comme on peut l'être aujourd'hui et comment ? D'où vient l'art ? D'une construction sociale et ou d'un besoin primaire, essentiel à l'homme ?

Ce petit roman démontre à sa façon, simple mais sans naIveté ni niaiserie, que ce qui rend nos vies belles et riches, ce ne sont ni les richesses, ni la technologie, mais ce besoin de beauté, de création gratuite, de vie sociale et d'amour. Ici l'art n'est pas une invention de la religion mais un fait humain qui peut être utilisé pour la religion, le maintien du lien social, comme thérapie, passe-temps, moyen de communication, ou plus essentiellement, pour les artistes, c'est une pulsion qui fait partie d'eux, comme un prolongement d'eux-mêmes qui n'a pas d'autre but que lui-même. La beauté de ce petit roman est de démontrer qu'il n'est pas besoin de technologie pour être un humain sophistiqué et complexe.
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Celui qui dessinait les dieux

Coup de cœur pour ce livre. Je suis rentrée dans le livre immédiatement, j’ai vécu ce livre je vivais les événements avec les personnages et j’ai apprécié le rythme soutenu tout le long du roman. Je me suis beaucoup attachée aux personnages. Waouhh !
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Celui qui dessinait les dieux

Un livre excellent qui vous apprendra plus d'une chose...
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Celui qui dessinait les dieux

Spoilers. Un peu déçue par ce roman que j'ai trouvé trop simpliste, tant dans son intrigue que par les personnages et les dialogues. Malgré un récit typé aventure-action, je l'ai trouvé paradoxalement assez ennuyeux, car il y a peu de dialogues et l'écriture manque de peps. D'ailleurs, on dirait presque que l'auteur a essayé après coup de rajouter du dynamisme car à la fin de chaque chapitre, il y a une dernière phrase (souvent exclamative) qui essaye de relancer la machine, mais ça semble assez artificiel et ne rattrape pas la monotonie de l'écriture.

L'aspect artistique est finalement peu développé alors que le titre laissait penser à une trame plus poussée sur ce sujet. C'est surtout une traque qui fait le principal du livre, avec quelques rebondissements peu marquants et assez artificiels. La rencontre de Ibhô avec la jeune fille débouche elle aussi sur une relation simpliste. De plus, une petite déception car à leur première rencontre, la fille se jette sur lui et prend facilement le dessus, elle semble être une guerrière chevronnée, et dès qu'elle continue sa route avec Ibhô, elle perd en caractère et en force. Désagréable.

La découverte de la Grande Grotte à la fin du livre n'émeut pas beaucoup.

Bref, des personnages qui manquent de profondeur, pas assez de dialogues, une histoire trop convenue.
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Celui qui dessinait les dieux

J’ai vraiment beaucoup aimé ce petit roman jeunesse certes tout simple, mais qui je trouve est extrêmement bien rythmé et très intéressant, ce qui ne gâche rien. J’ai particulièrement apprécié la passion qui se dégageait de cette histoire et qui m’a littéralement transportée, fait vibrer, mais qui m’a aussi, je dois l’avouer, pas mal touchée.

Cette passion sera ici plus particulièrement tournée vers le dessin et la sculpture, mais je suis persuadée que quiconque lira ce roman et aura déjà été passionné par quoi que ce soit dans sa vie, adhérera et comprendra sans aucun problème l’ardeur, l’énergie, le feu intérieur et la passion qui animent les deux personnages principaux.

Cette histoire est en quelque sorte une ode à l’art et à la passion qui peut animer tout un chacun, mais aussi une belle leçon de vie qui nous démontre que peu importe les embûches, les problèmes ou les ralentissements que l’on peut trouver sur son chemin, quand quelque chose nous anime vraiment et que l’étincelle de la passion ou de l’envie est là, ça vaut vraiment le coup de s’y accrocher et de la vivre à fond les ballons.

Bref, j'ai adoré cette lecture et je remercie très fort les éditions Scrineo pour cette découverte.
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Dans le sac de maman

Il y en a des choses dans un sac de maman. Pratique quand on a besoin de manger, s'amuser, se protéger, etc.



Un peu à la Mary Poppins, cette maman va répondre à toutes les attentes de son enfant grâce à un sac sans fond qui peut contenir tout et n'importe qui. Oui, n'importe qui.

C'est un album jeunesse loufoque, amusant, aux illustrations très estivales et colorées. Un chouette moment de lecture.
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Dans le sac de maman

Joli prétexte pour sortir de la froidure après la tempête de neige des derniers jours, Dans le sac de maman nous amène à la plage en compagnie d’un garçon et de sa maman, dont le sac est rempli de surprises. On le vide en entier sur le sable pour trouver l’objet qu’on cherche : parmi brosse à cheveux, téléphone, casquette, stylo, portefeuille, carnet, ustensiles, mouchoirs, etc., l’exercice semble être amusant pour le tout-petit lecteur qui énumère avec vigueur ce qu’il voit. Les pages sont cartonnées afin d’éviter tout enthousiasme destructeur et les couleurs sont vibrantes comme l’été. Une évasion qui a plu à mon petit-fils de deux ans, de même qu’à sa mamie toujours enthousiaste des réactions suscitées par la lecture.
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Dans le ventre de papa

"Dans le ventre de Papa" emmène surtout le lecteur dans l’imaginaire de l’enfant et lui démontre les joies du parti pris, voire de la mauvaise foi. Juste, drôle et inattendu.
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..
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Dans le ventre de papa

Dans le flot d'albums publiés depuis des années sur la thématique "papa et son enfant", voici que paraît chez Pastel un album au titre accrocheur : "Dans le ventre de Papa".

Sur la couverture, un papa, en short de bain, main sur sa bedaine, flotte sur une mer d'huile, heureux. Le point de départ de cette histoire peut sembler plein de fraîcheur enfantine. Sur la plage, en observant son père se déshabiller, une petite fille en voyant son gros ventre se dit : "Mon papa va avoir un bébé!"

Et il aura un garçon ! Les papas font les garçons et les mamans les filles. Illico presto, la petite fille devient ultra protectrice avec son père, l'obligeant à s'asseoir dans le métro à la place de dames plus âgées, évitant que son ballon ne rebondisse sur son ventre, jusqu'à ce que sa maman lui révèle la vérité.

Cela peut paraître charmant, mais j'ai été gêné par l'image dévalorisante du sexe féminin que véhicule cet album.

Tout d'abord, la petite fille est blonde bien entendu, pour avoir une idée aussi stupide de nos jours, il faut être ou fille (et blonde) ou sous informé (même à 3 ans). Ensuite, en observant les activités de la maman 2011, je suis ravi de voir qu'elle est vraiment à contre courant : à la veillée, elle tricote des chaussettes pendant que son mari dort devant la télé ! Trouvez une femme en âge de procréer capable de tricoter des chaussettes doit être aussi rare que de découvrir un trèfle à quatre feuilles dans son jardin. Bien sûr, aimante, elle accompagne son mari jouer au football (bon Ok, c'est pour jouer avec sa fille, modernité oblige). Mais quand, dans le jeu, il s'agit de refaire le lacet défait de l'enfant, ce macho de père préfère rester dans les buts, bobonne traverse prestement le terrain pour accomplir cette tâche somme toute ingrate.

Et à la fin, quand on retrouve toute la famille sur la plage, qui reste à s'occuper de bébé pendant que papa, avec maintenant un corps de rêve, prêt pour toutes les aventures, enfile palmes et tuba pour une petite baignade? Maman bien sûr, figure maternante éternelle et dévouée. Tout est de nouveau dans l'ordre, chacun bien à sa place, la femme coincée sous le parasol, l'homme faisant le beau dans l'eau tel un Georges Clooney de banlieue.

La fin sur le blog
Lien : http://sansconnivence.blogsp..
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Dans le ventre de papa

oici un album qui m'a fait tilt dès que je l'ai vu sur l'étalage au salon du livre jeunesse où dédicaçait Carl Norac. Mon conjoint a une petite bedaine comme le personnage (enfin moins quand même !) et on s'amuse souvent à dire qu'il y a un bébé dedans. C'est exactement ce qui se passe dans cette histoire ! La petite fille croit que son père va avoir un bébé alors elle ne dit rien mais elle fait tout pour aider son père : elle porte les sacs, elle sort les poubelles, elle engueule une dame qui ne lui laisse pas sa place dans le métro... à force de focaliser sur son père, elle ne remarque même plus sa maman ! Et la chute est super sympa !



J'ai beaucoup aimé ce livre, et mon Mini aussi ! On a bien rit, surtout qu'il sait très bien qu'il ne peut pas y avoir de bébé dans le ventre du papa ! Une belle découverte !
Lien : http://blogonoisettes.canalb..
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Divergences 001

J’ai commencé la lecture de ce recueil complètement emballée. Je n’avais pas songé une seule seconde que l’uchronie puisse remonter aussi loin dans le temps qu’à l’époque de Noé. J’ai trouvé l’idée géniale, tout autant que son exploitation. La nouvelle suivante, qui aborde l’époque préhistorique, m’a également plu ; de même que celle située dans un âge d’or revu du royaume d’Egypte.

Ensuite j’ai décroché.

Lire la suite : http://www.bizzetmiel.com/2013/03/alain-grousset-co-divergence.html
Lien : http://www.bizzetmiel.com/20..
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Divergences 001

Un recueil d'uchronies d'une qualité très variable. On alterne entre l'excellence et le passablement médiocre. Un goût de trop peu finit par prendre le dessus...
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Divergences 001

Une anthologie destinée aux adolescents...

Je ne le savais pas alors je suis déçu...

Certains écrivent qu'on ne s'en rend pas compte mais je ne suis de cet avis.

Les histoires sont souvent linéaires et plates. Le classement chronologique n'aide certainement pas...

Mon jugement ne porte que sur les 6 premiers textes et peut donc être partiel.

Mention spéciale, malgré tout, pour le texte de Pierre Pelot: "Après le déluge".

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Divergences 001

Il convient en effet avant tout de ne pas s'arrêter à la mention "roman jeunesse" portée sur la couverture. Tout d'abord, il s'agit bien d'une anthologie de nouvelles. Ensuite, et même si le public premier est peut-être les adolescents, ces histoires n'en sont pas moins très plaisantes à lire, même si on est peu attiré par la littérature jeunesse.

La fine fleur de la SF francophone (du moins une partie) est donc ici présente pour élaborer des variations sur l'histoire.

Des temps bibliques (avec l'épisode du déluge) jusqu'à la conquête spatiale (seule nouvelle anglophone et non inédite), en passant par l'Empire napoléonien (et quel Empire !) et la Grande Guerre (qui est loin de se terminer en 1918), les visions sont toutes très bien campées (en si peu de pages), voire excellentes, ma préférence allant à l'hommage rendu par Xavier Mauméjean (il est vrai que j'ai une affection particulièrement pour cet auteur) à Rod Serling et sa Twilight Zone (notamment).

L'ensemble est agréablement présenté par Alain Grousset, et Eric B. Henriet, spécialiste français du genre, nous gratifie d'une postface très intéressante qui nous rappelle ce qu'est l'uchronie et quels sont les différents visages qu'elle peut adopter. Une bibliographie non exhaustive vient conclure le tout.

Une très bonne anthologie donc, qui nous fait attendre avec impatience le volume 002.
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