AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Alex Taylor (II) (203)


Le seul type que je laisserai me rhabiller, c'est le croque-mort.
Commenter  J’apprécie          293
Etre excentrique, c'est juste être né au mauvais moment .
Commenter  J’apprécie          281
Tu es jeune, ça se voit. Un type de ton âge, il croit que le monde va se briser s'il tape assez fort. Il croit qu'il peut tenir tête, mais c'est pas comme ça que ça marche. (…) Le monde peut pas se briser. Le mieux qu'on puisse faire, c'est s'écarter de son chemin et espérer passer inaperçu.
Commenter  J’apprécie          270
C'était un homme long et mince au teint mat et, sous le ciel blanc, on aurait dit une traînée d'encre émergeant des nuages.
Commenter  J’apprécie          270
Perché sur un hongre rouan, Black Tooth se rua dans la mêlée, décoré de plumes de vautour. Sur sa poitrine était peint en rouge le signe de son clan et il entra dans la bataille en hurlant un chant de mort, déchargeant son mousquet et ses pistolets, un cortège de fumée dans son sillage, son cheval soulevant une nuée glaciale qui se mêlait à l'étoffe noire de ses cheveux, de sorte que ses nattes pailletées paraissaient tissées de criquets de glace et, ainsi paré, il fondait sur ses ennemis tel un roi né des étoiles et de la calamité.
Commenter  J’apprécie          260
Y a que les enfants et les femmes qui sont assez cons pour suivre leur cœur.
Commenter  J’apprécie          262
Bon Dieu, (..), je vois pas comment un type comme toi arrive à s'en sortir tout seul. T'es comme une vieille chèvre, hein ? Tu t'en fous d'avoir le cul au soleil tant que t'as la tête à l'ombre. C'est pas vrai ?
Commenter  J’apprécie          240
Il réalisa avec émerveillement que le chagrin était une chose dont un homme pouvait faire des réserves, l'entasser comme de l'or au creux de son âme, même si c'était un trésor amer. Il y avait une forme d'égoïsme à se croire seul dans le secret des neiges cruelles de la souffrance.
Commenter  J’apprécie          232
Des spasmes de clair de lune traversaient la cime des arbres. La lune elle-même se reflétait dans la rivière, son double tremblant dans les eaux noires, et partout flottait une sérénité qui semblait permanente, un calme qui donnait forme à l'immensité de la nuit.
Commenter  J’apprécie          230
On peut pas disparaître dans une ville. (Il agita une main vers la nuit et toute son immensité.) Mais par ici, un type peut juste...s'évaporer.
Commenter  J’apprécie          230
Les femmes étaient des créatures qu'il fallait déchiffrer, cerner. Les hommes étaient plus simples. Eux tuaient et se faisaient tuer, alors que les femmes lambinaient, se laissaient moudre par le lent broyage des années jusqu'à devenir la poussière qu'on lance au vent.
Commenter  J’apprécie          220
Il se rallongea en regardant le ciel nocturne et sa pléiade d'étoiles qui lui donnaient l'aspect d'un tesson de faïence carbonisé, des éclats de lumière accumulée zigzaguant dans le vide, les queues de comètes maigrelettes soutenant la sombre coupole des cieux fissurés. Des étoiles s'éteignaient, là-haut. Des planètes étaient percutées, s'enfuyaient dans un lacis convexe et s'embrasaient en volutes troubles qui flamboyaient puis disparaissaient, mais lui était là, dans ce monde, à côté d'un feu dans la chaleur de la nuit.
Commenter  J’apprécie          220
On ne connaît jamais la force d’attraction de la vie jusqu’à être confronté à la mort.
Commenter  J’apprécie          210
Si l'on traversait assez d'épreuves, croyait-il, on pouvait aborder la peine comme la douleur, une simple corvée de plus parmi la multitude à laquelle l'homme devait se plier.
Commenter  J’apprécie          210
Avec l'âge, le temps règle la plupart de tes dettes.
Commenter  J’apprécie          200
Une fois qu'un homme commençait à collectionner les obligations, tout se déréglait, et il se retrouvait face aux murs d'une prison construite de ses propres mains.
Commenter  J’apprécie          200
La plupart des gens, ils passent une bonne partie de leur vie à essayer de récupérer ce qu'ils ont abandonné. Au début, ils croient que ça va les sauver de l'abandonner parce que ça leur fait peur de le posséder. Mais ensuite quand c'est parti et que c'est eux qui l'ont fait partir, ça les ronge jusqu'à ce qu'ils aillent le récupérer.
Commenter  J’apprécie          190
Mais je ne vous aime pas . Je pense qu'il faut que vous le sachiez . J'aime pas les choses que vous dites et j'aime pas votre façon de vous asseoir sur ma chaise . J'aime pas votre odeur et j'aime pas le fait que vous portiez un costume. Ça me rend nerveux et j'aime pas du tout être nerveux . (...)Je vais vous arrêter. (..)
Seul le grincement de la chaise lui répondit .
Il leva les yeux , l'homme avait disparu.
Commenter  J’apprécie          190
On ne connaît jamais la force d'attraction de la vie jusqu'à être confronté à la mort.
Commenter  J’apprécie          182
Il ne savait pas ce qu'il était, ni même ce qu'il espérait être, et il n'aurait su dire s'il fallait moins de courage pour être retenu dans un endroit, attaché à son sol farouche, à son peuple farouche, ou pour le fuir.
Commenter  J’apprécie          180



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Alex Taylor (II) (397)Voir plus

Quiz Voir plus

La fantasy pour les nuls

Tolkien, le seigneur des ....

anneaux
agneaux
mouches

9 questions
2503 lecteurs ont répondu
Thèmes : fantasy , sfff , heroic fantasyCréer un quiz sur cet auteur

{* *}