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Citations de Amy Ewing (130)


La royauté a beau prendre sans répit, elle n’est jamais rassasiée. Les dirigeants volent des jeunes filles à leur famille pour porter leurs enfants, arrachent de jeunes hommes à leur mère pour monter une armée, jouer le rôle de compagnon auprès des héritières, ou les servir. Nous ne sommes pas des objets. Nous sommes des êtres humains.


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Je suis Raven Stirling, personne ne peut me posséder.
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Chapitre 19. P 240.
Je suis projetée en arrière contre un portant de robes.
Instinctivement, je me connecte à l'Air et dévie les gravats qui fusent dans ma direction. Lorsque mon dos percute le mur, les vêtements atténuent le choc. Il est toutefois suffisamment violent pour rompre ma connexion à l'Air. Des étincelles jaillissent devant mes yeux, brouillant ma vision; mes oreilles sifflent. {...}
Je redresse lentement le buste en me frottant l'oreille gauche et j’aperçois l'assistante en chef debout au milieu de ce qui reste du magasin, les yeux rivés à son bras. Un objet blanc et tranchant lui transperce la peau; le sang s'écoule le long de son avant bras. Alors je comprends: la chose blanche est son os à nu. Je ravale la bile qui me monte à la bouche.
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"Notre grenier à foin me manque atrocement. Comme j'aimerais m'asseoir sur notre couverture en laine et sentir les bras de mon amant autour de moi ..." - Amy Ewing
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Je demeure assise là pendant très longtemps, attentive aux étoiles, à l'étang, à l'herbe et à la brise. Je ne me suis jamais sentie aussi connectée au monde qui m'entoure. J'ai le sentiment d'être une infime partie d'un univers vaste et insaisissable. Cela me donne l'impression d'être insignifiante et unique à la fois.
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- Cesse de chercher à me protéger en permanence alors que tu te mets toi-même constamment en danger. (...) Tu me répètes sans cesse d'être patient, de ne pas prendre de risques. Et si ça ne me suffisait pas ? Et si je voulais prendre véritablement part à cette cause ? Par contre toi tu t'envoles pour le Joyau sur un coup de tête, et tu t'attends à ce que tout le monde comprenne et soutienne ta décision. Eh bien, non, Violet, pas moi. Je ne comprends pas.
- Hazel est en danger.
- Comme nous tous !
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L'espoir est une chose précieuse. Pourtant on ne commence à l'apprécier que quand toute lueur s'est envolée.
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Emile, je suis dans une cage. On m'a enlevée à ma famille à l'âge de douze ans. J'ai enduré des souffrances indicibles, j'ai saigné, j'ai rendu tripes et boyaux... tout ça pour que je puisse porter l'enfant de l'une de ces femmes riches complètement tarées. Maintenant je suis ici, je viens d'être estropiée avec un hameçon par un psychopathe, et une autre folle a menacé de me couper la langue hier soir. Ça fait déjà un certain temps que ma vie est un supplice"
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Vivre dans le Joyau, ça vous endurcit. C'est comme si on brandissait un miroir devant vous et qu'on vous montrait la partie la plus sombre de l'humanité.
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La Cité solitaire se divise en cinq cercles, séparés les uns des autres par un mur. A l’exception du Marais, tous portent un nom relatif à leur secteur d’activité. Le Marais est l’anneau extérieur, le plus pauvre. C’est une zone dortoir où vivent les ouvriers. Le quatrième cercle, la Ferme, est le lieu de production des récoltes. Puis vient la Fumée, où sont implantées les usines. Le deuxième cercle se dénomme le Commerce ; il regroupe les marchands. Enfin, il y a le noyau, qu’on appelle le Joyau. Le cœur de la Cité, où réside la royauté. Et où, à partir de demain, Raven et moi vivrons aussi.
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𝑼𝒏 : 𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒍'𝒐𝒃𝒋𝒆𝒕 𝒕𝒆𝒍 𝒒𝒖'𝒊𝒍 𝒆𝒔𝒕. 𝑫𝒆𝒖𝒙 : 𝒔𝒆 𝒍𝒆 𝒓𝒆𝒑𝒓𝒆́𝒔𝒆𝒏𝒕𝒆𝒓 𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕. 𝑻𝒓𝒐𝒊𝒔 : 𝒍𝒆 𝒑𝒍𝒊𝒆𝒓 𝒂̀ 𝒔𝒂 𝒗𝒐𝒍𝒐𝒏𝒕𝒆́.
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Une fois qu'une fissure apparaît sur une façade, une centaine d'autres se révèlent. Alors, les murs qui furent érigés avec une extrême prudence se mettent à s'écrouler un à un.
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« Notre force ne réside pas seulement dans notre magie, mais aussi dans nos esprits et dans nos cœurs. Vos yeux sont ouverts, c’est pourquoi vous voyez des choses que vous n’auriez jamais imaginées possibles. »
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C’est effrayant, triste, inquiétant et tant d’autres choses encore, mais… je préfère savoir la vérité et être effrayée que de rester dans l’ignorance et vivre une vie fondée sur un mensonge.
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L'espoir est une chose précieuse. Pourtant on ne commence à l'apprécier que quand toute lueur s'est envolée.
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« Mon souffle se suspend. Une autre fleur est entrelacée à la mienne. Une fleur de lys. Mais au lieu d’être blanche, elle est noire comme le jais. »
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Un sourire lui fendit le visage. Un sourire. Qui lui était destiné à lui! Léo se sentit toute chose.
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— Qu’est-ce que tu fabriquais là-bas ? Pourquoi est-ce que tu es allé la voir ?
— Parce que je voulais des réponses. J’ai tenté de te parler, non ? Mais tu avais plus important à faire. Genre prendre une cuite avec une navigatrice pélagienne.
Agnès pouffa.
— J’avais effectivement des choses pressantes à régler, précisa-t-elle.
— C’est ce que je constate. (Leo se gratta la nuque.)
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— Qu’est-ce que tu as vu ? demanda Agnès.
— Grand-mère McLellan, charmante comme à son habitude, ironisa Leo. Robert et sa mère, avec qui je faisais des anges dans la neige. J’ai vu son amie lui donner le collier et j’ai aperçu ses trois mères. C’est bizarre, hein ? Trois mères ?!
— Je les ai vues moi aussi. Ainsi que sa cité de verre.
— Comment conçoivent-elles les bébés ? Je n’ai pas vu d’hommes !
— Je sais. C’est merveilleux, non ? (Elle se rallongea.) Une cité sans hommes !
— Merci…
— Parthénogenèse ! s’exclama Agnès en redressant soudain le buste.
— Euh… à tes souhaits !
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La Grande Tristesse s’était produite sur la dernière planète à laquelle la Cité avait été attachée. C’était la pire tragédie qui soit jamais arrivée dans l’histoire céruléenne – deux cents de leurs membres furent massacrées par les humains vivant sur cette planète, contraignant la Cité à partir avant l’heure.
Il était hors de question que ça se reproduise. Sera aimait sa Cité de tout son cœur. Seulement, par moments… elle s’ennuyait un peu. Elle s’était habituée à la planète en contrebas ; les contours de ses deux pays,

Kaolin et Pelago, s’étaient imprimés dans son esprit. Elle aurait pu les dessiner dans son sommeil. Kaolin était une terre imposante en forme d’étoile asymétrique ; Pelago se composait d’une myriade d’îles. En outre, elle avait déjà glané toutes les informations possibles concernant ces territoires auprès de sa mère céladon, qui ne pouvait guère lui transmettre que ce que sa propre mère céladon lui avait enseigné avant elle, et ainsi de suite. Sera se demandait souvent dans quelle mesure les histoires s’étaient déformées au fil des générations. Pour l’heure, elle avait le sentiment qu’elle n’avait plus rien à apprendre. Tant qu’elles resteraient attachées à cette planète, le cordon demeurerait le seul mystère.
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