André Geerts

C'est encore une fois la couverture qui m'a attirée alors que je faisais du rangement dans la médiathèque pour laquelle je travaille. Après avoir feuilleté quelques pages, je me suis décidé à lire cette bande dessinée afin de pouvoir conseiller mon jeune public.



J'ai été enchantée de découvrir le personnage de Mademoiselle Louise. Cette dernière, avec un père millionnaire aurait tout pour être heureuse : vivant dans un somptueux domaine avec salle de jeux, , piscine, télévision dernier cri et j'en passe à sa disposition, Louise a de quoi faire des envieux. Et pourtant, elle, tout ce qu'elle aimerait, c'est ne passer que quelque temps avec son père. Ce dernier est bien entendu très attentionné envers sa fille qu'il adore et n'hésite pas à la couvrir de cadeaux mais avec son boulot, il est tout le temps aux quatre coins du monde. Aussi, Louise se retrouve-telle la plupart du temps seule avec sa nounou, la brave et adorable Millie qui fait tout ce qu'elle peut pour prouver à Louise que son père pense à elle...



Une bande dessinée avec des courtes historiettes assez sympathiques. De plus, le graphisme est extrêmement bien travaillé et cela est un grand plus. Un ouvrage qui je pense plaira plus à mon jeune public féminin que masculin mais quant à moi, il n'y a pas photo : j'adore et je vais voir si je ne possède pas dans mon fonds en médiathèque d'autres aventures de cette chère Mademoiselle Louise !

J’ai toujours vu cette bande dessinée dans les bacs de ma médiathèque, croyant les avoir lu il y a longtemps, mais sans en garder de souvenirs, je pensais qu’il s’agissait d’un autre enfant espiègle dans l’univers scolaire, du genre “Petit Spirou” ou “Cédric”, séries dont je ne suis pas du tout fan. Une critique de Bdelhausse sur un tome de cette série m’a tout de même titillé et donné envie d’y voir plus près.



Et Jojo, c’est effectivement autre chose. Le dessin est léger, un trait rond pour la bouille, une ligne floue, un trait pas très ferme, un peu nébuleux, des couleurs aquarellées aux tons rétros, on semble évoluer dans une nostalgie rêveuse. Dans ces jeux de l’enfance, un brin de tristesse semble émerger, et Jojo apprend à profiter des instants présents, des petits rien, c'est drôle et touchant, malin et généreux, bref, une belle découverte.

Je viens de recroiser cet album dans la bibliothèque , je l avais acheté à l époque ( 2011 ) , car mon épouse et moi venions d être pour la 2° fois grands parents , et malgré notre bonheur j éprouvais un certain vague a l âme, le sentiment de vieillir ? peut- être Sur les conseils d' un ami libraire , a qui j avais caché mon trouble , et en l absence d ' un Papy Blues , j ai donc acquis cette BD C est amusant , charmant et surtout d une profonde tendresse , les efforts de JOJO qui à peur que sa mamy ne meure de tristesse sont attendrissants Parfois quand un léger nuage se profile à l horizon ( quel poncif !! tant pis j assume ) , je le feuillette et je me dis que l amour des petits c est .....c est ......enfin c est ....vous voyez quoi !

Une aventure de Jojo , un petit bonhomme plein de malice qui évolue dans le monde idéalisé de l'enfance imaginé par son auteur , le talentueux André Geerts , décédé bien trop jeune .

Jojo ami fidèle de son inséparable Louis vit dans un monde imaginaire aux couleurs pastels , un univers plein de tendresse qui nous fait passer de bien agréables moments , une parenthèse de douceur pleine de sensibilité .

Jojo, depuis la mort de sa maman, vit chez sa mamy. Son papa plombier vient le voir de temps en temps. C'est, pour un moment, l'éclatement d'une bulle de joies, de résilience tendre et vivifiante. Car, souvent, Jojo, c'est Germinal, c'est Sans-Famille... il y a une tristesse inhérente à l'univers de Jojo.



Comble de malheur, sa mamy doit être opérée de la hanche et ensuite être placée en revalidation à la mer pour 4 semaines. Que faire de Jojo pendant ce temps? L'inscrire dans le pensionnat de son école, pardi ! Là où son papa a été aussi écolier et a aussi fréquenté le pensionnat.



Hélas, il n'y a plus de pensionnaire dans l'école de Jojo... Alors on va ailleurs, dans un établissement moderne qui fait pensionnat aussi, mais qui est impersonnel, sans âme, sans attrait. Belle critique du système scolaire de la part de Geerts...



Retour dans l'école de Jojo qui rouvre le pensionnat uniquement chez Jojo... Commence alors un mois de pensionnat et le délicat apprentissage de la vie ensemble entre Jojo et le directeur, austère personnage avec un coeur d'or... C'est indescriptible... Ce sont des bulles de tendresse qui poppent à chaque page, à chaque case.



Jojo et sa bouille d'ange faisant des blagues au directeur... mais il est tout seul, donc on sait qui est le coupable... Puis le séjour à la mer entre le père et le fils, qui se termine par une interpellation policière et le soutien des copains de Jojo...



C'est aussi cela l'univers de Jojo... de la tendresse, de l'amitié, de la résilience face aux coups durs de la vie, un regard tourné vers la vie, vers l'avant. On a sans doute toutes et tous un peu de Jojo en nous. Sans doute pas assez, mais quand même.



Un grand merci au regretté Geerts pour ces BD qui font chaud au coeur et au ventre, et mouillent un peu les yeux.

Il y a des BD pour lesquelles on a de la tendresse. Jojo est de celle-là.

Jojo (Semaine), sa grand-mère, son père plus enfant que lui, Gros -Louis son copain... Voilà un série de personnages bien sympathiques.

Jojo orphelin vit avec Léontine sa mamy car son père plombier est très occupé. Dans cette histoire il se retrouvera pensionnaire dans sa petite école du village - qui n'avait pas eu de pensionnaire depuis 20 ans - le temps que mamy se remette d'une opération. Ce sera un drôle de tête-à-tête avec Monsieur le directeur, qui pour l'occasion s'humanise un peu. Et puis de folles escapades avec ce père peu sérieux mais tellement proche de son fils.

Tendresse, sentiments, un dessin tout en rondeur et une histoire un peu loufoque font de cette bande dessinée un joli moment de lecture. En prime Jojo y tient son journal, avec dessins et fautes d'orthographes. Journal qui mettra la larme à l’œil à l'austère directeur quand il le trouvera;

Les aventures de Jojo se terminent avec la 18e aventure: Mamy blues.

Jojo doublement orphelin en 2010. De quoi avoir le blues...

André Geerts nous manque.

On poursuit la relecture de ces tomes de mon enfance.



Cette fois Gros Louis se retrouve à l'hôpital après avoir pris un gros coup sur la tête.



Ce qui est montré ici, c'est aussi la difficulté d'être parent solo. Avec le papa de Gros-Louis qui aura presque oublier d'aller visiter son fils à l'hôpital.



L'inquiétude se lit dans certaines planches de la BD mais au final tout s'arrange toujours.



Elise__♥

J'ai adoré cette bd extraordinaire qui montre que tous les cadeaux du monde ne peuvent remplacer la présence d'un papa!
Lien : http://www.edilivre.com/la-v..

Quelques uns des plus talentueux dessinateurs de l'époque rendent hommage à Renaud, lui-même passionné par le 9ème art. Uderzo signe la couverture avec une parodie du festin de la fin de chaque album d'Astérix, clin d'œil avec Renaud dans le rôle du barde écarté à cause de sa voix de crécelle. Les auteurs reprennent certaines chansons de Renaud ou illustrent certains de ses propos.



Il est très intéressant de voie le monde du chanteur et ses personnages prendre forme. Chaque dessinateur amène sa touche et son univers ce qui fait un ouvrage pas toujours homogène mais permet une découverte sympathique.



Album collector pour le chanteur au foulard rouge et aux santiags.

Jojo, jojo, jojo ! C'est toute mon enfance.



Je suis obligé de me procurer les tomes et les redécouvrir car cela me rappel plein de souvenirs.



Feuilleter mes BD dans ma chambre de jeune fille, dans mon lit ou dans un gros pouff devant la bibliothèque déjà débordante (je m'en rend compte maintenant).



Jojo est toujours aussi grognon dans ce tome.

Mamy, reste mamy, elle aime Jojo de tout son cœur alors elle lui prépare des bons petits goûter.

Gros Louis, fidèle ami de Jojo, reste le ventre plein.

Le père de Gros Louis, prépare des bons petits plats, toujours le nez dans ses fourneaux ou en train de faire la sieste.



Elise__♥

Mademoiselle Louise est la petite fille la plus gâtée du monde. Une seule chose lui manque: que son milliardaire de père soit plus souvent à la maison.

Par les papas de Jojo, voici un nouveau personnage très attachant Mademoiselle Louise. Petite fille orpheline de sa mère qui ne souhaite qu'une chose l'amour de son père. Ce dernier était un homme très occupé compense en amour matériel. Heureusement, Millie la bonne fait une parfaite mère de substitution!

En plus de tout ce beau monde, nous avons Dédé la veine, voleur raté qui cherche constamment mais en vain à kidnapper Louise pour accéder à la fortune et Richard, le petit voisin pauvre, l'amoureux de Louise et de tous ces jouets!

Tout est très mignon, un peu de douceur dans ce monde de brutes.

Par les papas de Jojo, voici un nouveau personnage très attachant Mademoiselle Louise. Petite fille orpheline de sa mère qui ne souhaite qu'une chose l'amour de son père. Ce dernier était un homme très occupé compense en amour matériel. Heureusement, Millie la bonne fait une parfaite mère de substitution!

En plus de tout ce beau monde, nous avons Dédé la veine, voleur raté qui cherche constamment mais en vain à kidnapper Louise pour accéder à la fortune et Richard, le petit voisin pauvre, l'amoureux de Louise et de tous ces jouets!

Tout est très mignon, un peu de douceur dans ce monde de brutes.

Être nouveau à l'école c'est compliqué et ne pas être accepter l'est encore plus.



Alors Violaine doit redoubler d'effort pour se faire accepter.. quitte à y laisser quelques plumes !



Elise__♥

Les Jojo, c'est un peu une histoire d'amour d'enfance..

J'avais quelques tomes par ci, par là.. Et je tenais vraiment à avoir les premiers.



Je redécouvre donc les aventures de Jojo. Avec un début en douceur.. Jojo est souvent grognon mais tellement attendrissant avec sa petite casquette sur la tête..



On comprend tout au long de cette BD que Jojo n'a pas de maman.. et je ne me souviens pas si ce sujet est abordé plus tard dans les tomes. Personnellement j'aimerai en apprendre plus..



Ce premier tome est ponctué de plusieurs mini histoires. Avec Gros Louis, son père et la mamy de Jojo. Il y a des bobos, des disputes, et des belles amitiés..



Tout pour replonger en enfance, tout ce que j'aime.



Elise__♥

j'adore.

Mademoiselle Louise ,une gamine la plus gâtée du monde.Une seule chose lui manque:son milliardaire de père.

Cet album est composé de courtes histoires (d'1/2 à 7 planches, pour l'histoire dénommée "Prince"). Dès ce premier tome, l'auteur met en scène le petit monde de Jojo. L'apparition des personnages est encore aléatoire : Gros-Louis n'est le meilleur ami de Jojo que par intermittence, avant de prendre toute la place au dépens de la petite fille rousse sans nom (il faut dire qu'il prend de la place, le Gros-Louis), si la Mamie (et ses piles de crêpes par la même occasion) restera dans la bd, le Papy n'apparaîtra plus par la suite, quant au prof de judo et sa petite amoureuse, on ne les reverra (malheureusement) que trop rarement.

Le graphisme au départ hésite encore pour les couleurs, l'auteur essayant au départ les couleurs directes avant de se réorienter vers un classique dessin au trait rehaussé par la couleur. Mais les rondeurs des personnages sont déjà là, les enfants hauts comme trois pommes (et plus petits qu'une pile de crêpes, j'insiste).

Mais c'est surtout la tendresse, la douceur, l'empathie et l'humour qui sont à l'honneur dans cette excellente bd destinée à la jeunesse (amateurs de cynisme, retournez lire Houellebecq et laissez nous tranquilles). Tout est mignon tout plein, même si parfois, au détour d'une case, André Geerts décrit une réalité plus crue, plus réaliste (voir "La voie de la sagesse" ou "Les fleurs").

D'emblée, la série Jojo se révèle comme une des meilleures séries jeunesse, ce qui se confirmera par la suite, mais ne connaîtra pas le succès qu'elle aurait mérité.

J'avais lu cet album enfant, et c'est avec un grand plaisir que je l'ai relu plusieurs années après ! On suit Jojo dans les quatre saisons de l'année, et leurs plaisirs et inconvénients respectifs.

Enfant, j'adorais les Bd de Jojo et c'est avec un grand plaisir que je me suis replongée dans l'univers de Jojo. J'ai découvert cet album que je n'avais pas lu enfant, il est super ! Et quels dessins, ils me parlent beaucoup !