Congratulations to the authors making a debut with Harlequin this fall. You'll love these new autumn romance reads, and there is something here for everyone.
In this video:
Dragged to the Wedding by Andrew Grey
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One Night with a Cowboy by Tanya Michaels
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Down to the Wire by Patricia Sargeant
https://www.harlequin.com/shop/books/9780369742889_down-to-the-wire.html
Their Surprise Second Chance by Lindi Peterson
https://www.harlequin.com/shop/books/9780369740229_their-surprise-second-chance.html
Deadly Yellowstone Secrets by Kari Trumbo
https://www.harlequin.com/shop/books/9781335597731_deadly-yellowstone-secrets.html
The Amish Christmas Promise by Amy Lillard
https://www.harlequin.com/shop/books/9780369740304_the-amish-christmas-promise.html
The Cowgirl's Last Rodeo by Tabitha Bouldin
https://www.harlequin.com/shop/books/9780369740342_the-cowgirls-last-rodeo.html
An Heir for the Vengeful Billionaire by Rosie Maxwell
https://www.harlequin.com/shop/books/9781335592934_an-heir-for-the-vengeful-billionaire.html
A Duke for the Wallflower's Revenge by Casey Dubose
https://www.harlequin.com/shop/books/9780369748386_a-duke-for-the-wallflowers-revenge.html
The Christmas That Changed Everything by Faye Acheampong
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A Wedding Date for Christmas by Kate Keedwell
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« Il pourrait observer cet homme pour le reste de sa vie. Cette idée le ravissait et l’effrayait à la fois. »
J’ai de la place pour tes affaires dans ma commode et mon armoire. Tu as déjà emménagé dans mon cœur.
Il ouvrit la porte et trouva Enrique debout dans un doux pantalon fluide et des chaussettes. Il ne portait pas de haut, et Devon prit quelques secondes pour le fixer. Merde, Enrique était beau à se damner, à lui couper le souffle.
Devon fit un seul pas en avant, enroula les bras autour de sa taille et l’embrassa plus fort qu’il n’avait jamais embrassé quelqu’un dans sa vie, laissant ses mains vagabonder sur le dos d’Enrique, prenant autant qu’il pouvait de cet homme en goût, odeur et sensations.
Il n’y avait aucun moyen qu’il en ait assez un jour. Quand Enrique appuya sa langue contre les lèvres de Devon, celui-ci les écarta, lui donnant accès alors qu’Enrique prenait en coupe sa nuque, approfondissant encore plus le baiser.
— Merde, je vais… souffla Devon, incapable de dire plus.
Il poussa Enrique contre la porte ouverte de la chambre. Putain, s’ils attendaient plus longtemps, Devon allait jouir dans son pantalon tout de suite en étant simplement dans les bras d’Enrique. Il n’avait aucune idée de la raison pour laquelle cette attirance et ce besoin étaient aussi forts.
— Nous devons descendre au Comptoir, geignit Enrique.
… et un morceau de l’âme de Devon s’envolait vers le plus offrant.
D’accord, c’était peut-être vrai autrefois qu’il mettait une part de lui-même dans chacune de ses œuvres, mais ces dernières années… Devon n’avait même pas réalisé ce qui se passait avant qu’il ne soit trop tard – son esprit semblait bien s’être recroquevillé sur lui-même. Dans les œuvres qui étaient accrochées sur ces murs actuellement, l’art était bon, mais elles ne contenaient pas une partie de lui, pas comme dans ses anciennes œuvres. Peut-être qu’il était le seul à le voir, mais il le savait.
— Lee Stockton. Je viens d’être embauché dans la troisième équipe et les gars m’ont demandé de t’amener les fleurs, dit le gamin d’un ton aimable.
Dirk l’observa danser d’un pied sur l’autre en essayant de trouver quoi dire.
— Les autres sont très occupés.
— J’imagine.
Dirk s’agita sur le lit en observant ce môme immense.
— Tu as tiré la courte paille ou quoi ?
Dirk n’avait pas le temps ou l’utilité pour une plante pitoyable dans un morceau de plastique bon marché que les gars avaient sûrement demandé au gamin d’acheter en chemin.
— Parce que tu es le premier foutu mec de la caserne à me rendre visite. Donc tu as fait ton boulot, et tu peux partir maintenant.
Dirk se détourna et attendit d’entendre le gamin de sortir de la pièce.
— T’es vraiment le plus gros trou du cul de la Terre, dit ce dernier, la voix plus grave, et quand Dirk se retourna pour le regarder, ses yeux le foudroyèrent. Je ne les ai pas crus quand ils m’ont dit quel connard tu pouvais être. Mais putain, ils ne rigolaient pas. Deux minutes, et tu te comportes déjà comme un con. Tu bats tous les records. Pas étonnant qu’aucun des autres n’ait voulu venir ici.
Chapitre 1 :
«… L’homme s’arrêta et descendit de son cheval. Il sembla glisser vers Rafe en se déplaçant.
— Puis-je vous aider ? demanda Rafe.
— La rumeur dit qu’ils ont trouvé un parent de Mack perdu de vue depuis longtemps.
Le ton fit grincer les dents de Rafe.
— Et vous êtes ?
Ce type était peut-être assez renversant pour arrêter la circulation, mais ses manières laissaient à désirer. Pourtant, il était difficile de détacher son regard de lui. De plus, il y avait quelque chose de familier chez lui, mais il n’arrivait pas à mettre le doigt dessus.
Les yeux de l’homme s’écarquillèrent pendant une seconde, comme s’il s’attendait à ce que Rafe sache qui il était.
Son hésitation indiqua à Rafe que quelque chose lui échappait.
— Russell Banion, répondit-il.
Russell ? Bien sûr. Rafe lui tendit la main.
— C’est bon de te revoir. Ça fait tellement longtemps.
Il serra la main de Russell, se souvenant qu’ils faisaient du poney ensemble, enfants, quand il venait rendre visite à l’oncle Mack. …»
— Est-ce que tu pensais vraiment ce que tu m’as dit ce matin à l’hôtel ?
John arrêta de m’embrasser, et je me demandai si j’étais allé trop loin. Les mots de John tournaient dans mon esprit depuis que nous avions quitté l’hôtel, mais maintenant je me demandai si cela n’avait pas été un lapsus.
— Qu’est-ce que j’ai dit ? demanda John, chacun de ses mots mesurés ajoutant à mon inquiétude.
Je savais que j’aurais dû me taire.
— Tu as dit que nous faisions l’amour.
Voilà, je l’avais dit.
Je m’attendais à moitié à ce que John parte en courant et en hurlant de la maison, ou du moins trouve des excuses comme quoi cela s’était passé dans le feu de l’action et que cela ne comptait pas. Ce connard de Carlos m’avait fait le coup une fois auparavant. Et je ne voulais pas revivre cela maintenant.
— Nous faisions l’amour, me dit John tout en se rapprochant plus près de moi. Nous faisons toujours l’amour quand nous sommes ensemble.
« Il avait fait confiance à Brock pour le guider et le garder en sécurité sans même y penser. »
Kelly couina presque de plaisir tandis qu’elle sautait de son siège, et Darryl sourit tout en continuant de manger, son esprit retournant volontairement à Billy. Doux Jésus, il devait arrêter ça. Oui, le gamin le fascinait. Il était énergique et absolument adorable, mais il était vraiment trop jeune. De plus, Darryl avait une règle d’or : il ne sortait jamais avec quelqu’un avec qui il travaillait. Il était le patron, et cela pouvait amener bien trop de problèmes qu’il n’avait pas envie de connaître. Mais putain, ce gamin possédait tout pour lui plaire.
Chapitre 1 :
«… Martin s’arrêta en passant devant le bureau d’Edna tout en se rendant dans le sien.
— Que faites-vous ici de si bonne heure ?
Il était environ six heures et demie, son heure d’arrivée habituelle, et la majorité du temps, il était seul. Il profitait de cette heure de tranquillité pour consulter ses mails et ses messages, ainsi que pour planifier sa journée.
— Kelly a démissionné hier soir, l’informa Edna, l’exaspération transparaissant dans sa voix. C’est la troisième assistante en quatre mois. Ces jeunes n’ont pas ce qu’il faut pour tenir le coup.
Elle marqua une pause dans sa saisie.
— J’ai pensé qu’il valait mieux venir plus tôt pour m’assurer que tout était à jour avant de retourner au service des ressources humaines.
La chaise grinça quand Edna se pencha en arrière. Martin connaissait ce grincement, il l’entendait dès que son assistante bougeait sur cette chaise. Ils s’en plaignaient, mais ce bruit était l’une des constantes de sa vie, une indication sonore familière dans le monde essentiellement obscur qui l’entourait.
— Pouvez-vous me trouver une autre assistante ? demanda-t-il en réprimant un soupir. Peut-être une qui ne passe pas ses journées à fredonner des chansons stupides ou à tapoter avec un foutu stylo chaque fois qu’elle est nerveuse, ce qui semblait être tout le temps.
Il serra le poing qui ne tenait pas sa mallette. …»