Andrew Grey

Il s'agit d'une gentille petite romance, avec à peine quelques petites hésitations de part et d'autre…

Le livre est assez court : l'intrigue n'est pas très développée et les personnages ne sont pas approfondis en dehors du patron exigeant (mais pas si dur que cela en fait) et de l'employé très efficace et très dévoué.

Le style (ou la traduction) est élémentaire, avec quelques maladresses de langage.

Tout cela me laisse avec l'impression que le roman est un peu "rudimentaire" et cela ne me donne pas envie de découvrir d'autres textes de l'auteur…

J'avoue avoir une passion coupable pour les écrits d'Andrew Grey: pour moi ses livres sont de véritables feel-good que je lis quand j'ai besoin de me remonter le moral; que voulez-vous? j'aime les happy ends, même s'il ne s'agit que de fiction !

Il traite des thèmes très variés dans ses romances : mythologie dans Satyr, Native American dans la série Une juste cause, les Amish dans Farm, le handicap dans la série Senses, et j'en passe. Dans celui-ci, les protagonistes sont des alcooliques repentis. A cela s'ajoute la menace d'un désastre écologique qu'un établissement minier fait peser sur une petite communauté d'Alaska. J'ai lu ce livre sans grand enthousiasme au final, ayant l'impression qu'aucun thème n'avait été complètement traité. Néanmoins, j'ai eu mon happy end... mais je n'ai toujours pas compris le titre.

Devon Starr est un artiste peintre de notoriété mondiale, il vend bien, il maîtrise toujours la technique, mais il a réalisé qu'il ne met plus une partie de son âme dans ses œuvres. Lorsqu'il apprend l'AVC de son père il doit quitter N.Y pour l'Alaska de son enfance où il n'est plus retourné depuis dix ans. Ce retour à la source de son addiction à l'alcool sera-t-il une occasion de confronter les problèmes qui l'avaient fait fuir ? …





De retour dans la petite ville où tout le monde se connait et s'entraide pour faire face à la nature magnifique, mais rude et exigeante, Devon retrouve ses amis d'enfance qui ont changé et muri chacun à sa manière depuis l'adolescence - Il peut enfin confirmer que Craig, son crush d'adolescent, n'était pas fait pour lui, mais que Enrique qu'il n'aurait jamais espéré s'intéresser à lui est toujours aussi magnifique. Maintenant celui-ci tient le Comptoir, l'unique commerce de la petite ville, à la fois café, restaurant, hôtel et lieu de réunion. Les deux hommes se rapprochent et Enrique partage son amour de la nature avec Devon en lui faisant ressentir la beauté de l'Alaska, ce qui lui permet de retrouver son inspiration, avant qu'il ne se lance frénétiquement dans son art. Le rapprochement des deux hommes se fait en douceur, encouragé par leurs proches dans une atmosphère générale bienveillante. Mais la nature est fragile et les projets miniers d'une société peu regardante sur les obligations écologiques pourrait détruire le site idyllique de la communauté qui va tout tenter pour préserver son cadre de vie …





La romance, l'écologie et l'art s'allient pour permettre à l'auteur de développer son récit qui met en valeur la découverte de soi et la capacité à discerner ce qui est important dans la vie, une romance gay qui devrait être appréciée par de nombreux amateurs …

Malgré mon manque d'enthousiasme sur le tome précédent, celui-ci étant dans la continuité et surtout, tout aussi court, je l'ai enchaîné en me demandant si l'intrigue pourrait rajouter un plus à la romance.



Pour ma part, c'est non. Cette idée de collecte de fonds pour sauver la caserne est certes amusante et j'avais en tête en permanence des images de pompiers façons chippendales, ce qui est somme toute plutôt distrayante. La couverture du roman fait d'ailleurs penser à ça, sauf que j'ai l'impression qu'un graphiste à un peu abusé de photoshop (sérieux, la différence des biceps entre les deux....).



Je n'ai trouvé aucune alchimie entre les deux personnages. Dirk passe sans arrêt du mec infect et directif au gars soumis et docile, son comportement est clairement fatigant. Lee est un poil plus cohérent mais pas forcément plus attachant, dommage.



Une duologie qui a le mérite d'être super rapide à lire et de désencombrer ma PAL...

Andrew Grey est un des mes auteurs "doudoux" : un de ceux que je lis lorsque je passe un mauvais moment car ses personnages sont toujours positifs malgré les épreuves qu'ils traversent et ses livres finissent bien.

Celui-ci est court, et si Martin est confronté à un handicap de taille, une rétinite évoluant vers une cécité certaine, celui-ci prend une place très secondaire. L'histoire d'amour est bâclée : l'attirance est immédiate, une soirée bien arrosée et l'affaire est pliée.

Andrew Grey écrit ses livres très vite pour pouvoir en vivre, son lectorat étant de facto réduit parce qu'il s'agit de romans MM, et je trouve dommage que cela se sente dans celui-ci.

Dirk Krause, pompier émérite de la petite ville de Carlisle, se retrouve à l'hôpital après une intervention ou il a sauvé un bébé et risqué ses poumons. Aucun de ses collègues ne vient le voir, normal, il est certes très pro mais aussi hautain, méprisant, désagréable, bref, un homme charmant. Le seul à venir tous les jours est Lee Stockton, récemment arrivé dans la brigade, sans doute a-t'il perdu à la courte paille...



Lee ne se laisse pas impressionner par l'attitude de Dirk, vient tous les jours à l’hôpital et l'aide lors de son retour au domicile. Mais ce n'est pas du tout parce qu'il est très attiré par cet homme sexy et viril, vivant pleinement son homosexualité, que ce soit au boulot ou dans le privé, contrairement à Dirk qu'il soupçonne d'être enfoncé dans son placard.



Malgré un rapprochement assez rapide et des relations intimes plutôt intenses, Dirk n'assume pas du tout, lui qui a du mal à tenir tête à son père qui l'a élevé seul et qui le tanne pour qu'il abandonne sa carrière de pompier pour un emploi de bureau, plus respectable. Et quand il vient lui faire part de son dégoût quand il apprend que la caserne emploie un pompier gay, Dirk est incapable de prendre la défense de son amant et Lee le quitte, résigné.



Mais un sauvetage périlleux va redistribuer les cartes et remettre les priorités en perspective.



Un roman sympathique mais où tout est beaucoup trop rapide et manque de profondeur et de développement, de travail sur les personnages et l'entourage. Pour avoir lu d'autres romans de cet auteur plutôt prolifique, ce n'est certainement pas le meilleur.

Une belle histoire d’amour, avec 2 personnages principaux forts sympathiques et attachants. Darryl, 30 ans, est propriétaire est chef de son restaurant. Il embauche Billy, 21 ans, et tombe immédiatement sous son charme. Mais Billy ne vit pas vraiment si ce n’est pour s’occuper de ses 2 frères de 5 ans. Darryl leur vient en aide. Tout parait idyllique mais un évènement va venir compliquer le tout et c’est là que leurs sentiments seront mis à l’épreuve. C’est simplement écrit, rien de bien exceptionnel dans l’histoire mais le tout est agréable. Les 2 enfants, ainsi que les autres employés du restaurant sont tout aussi sympas et pimente le récit. Je classerais ça dans les lectures ‘’doudou’’ pour passer un bon moment de détente.

Je découvrais la plume de l’auteur et si je dois dire que j’ai passé un bon moment de lecture, il m’a tout de même manqué quelque chose. Tout d’abord, comme je le dis souvent, je préfère les slow burn et ici, l’auteur nous présente à peine les personnages et les interactions entre eux que déjà, ils ont la langue dans la bouche de l’autre. Un peu trop rapide pour moi, surtout qu’il y avait de quoi faire un roman plus abouti et plus approfondi alors que finalement tout est resté en surface, même les sentiments. Surtout les sentiments ! En fait, j’ai eu beaucoup de difficultés à croire en la montée de la passion (en même temps, ce n’est pas un récit très passionné !) et c’est peut-être là le plus gros problème ! Chacun des deux personnages évoque le fait qu’il a plus ou moins craqué pour l’autre mais j’ai eu des difficultés à ressentir l’alchimie nécessaire et inévitable dans ce type de situation.

Alors, oui ! La plume est plaisante, le sujet de l’histoire intéressant et les personnages attachants mais comme l’auteur est trop resté en surface, je crains de ne pas garder un souvenir impérissable de ce récit. Cependant, je dois avouer que le fait que le roman soit court a aussi son avantage car, dans ce cas précis, je ne me suis pas ennuyée un seul instant. En effet, le récit se déroule avec simplicité et fluidité et c’est un bon roman à lire entre deux lectures plus hards… et soyons clair, cette histoire a souffert de la comparaison avec deux autres romances très puissantes que je venais de lire.

En premier lieu, c’est la couverture qui m’a attirée chez ce livre. Comment résister au charisme d’un bel Amérindien ? Mais c’est aussi le résumé qui m’a interpellée. Et à peine avais-je reçu le livre, que je le commençais dans la foulée tellement j’étais pressée de le lire ! Et c’est un coup de cœur !



Jerry, informaticien croule sous le travail. Il recrute alors John, un amérindien vers lequel il se sent irrésistiblement attiré. Et c’est réciproque. Mais John à un combat à mener. Sa sœur est morte dans un accident de voiture, et ses neveux ont été placés en famille d’accueil. John se démène pour pouvoir les recueillir et les avoir à sa garde. Avec l’aide de Jerry, ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour que leur famille soit réunie…



Comme je le dis plus haut, ce livre est un coup de cœur ! Et ce, à tous les niveaux, que ce soit pour le scénario, les personnages ou l’écriture. J’ai vraiment adoré ! C’est une histoire poignante et très belle qui dénonce la discrimination dont sont victime les amérindiens et le courageux combat d’un homme qui se bat pour rétablir ses droits.



L’écriture est simple, fluide et légère. Et si l’histoire est un peu longue à démarrer, on n’en est pas moins pour autant plongé dedans dès les premières pages. On se prend d’affection pour Jerry, un jeune homme solitaire qui vit pour son travail. Jusqu’à ce qu’il rencontre John. C’est le coup de foudre immédiat ! J’ai aimé la façon dont Jerry tente de se raisonner, de se faire à l’idée que travailler avec John et avoir une relation en parallèle avec lui serait une mauvaise idée… Jusqu’à ce que finalement, il se laisse submerger par ses émotions.



John de son côté est également un personnage que j’ai adoré. J’ai aimé son caractère et le combat qu’il mène pour récupérer la garde de ses neveux. J’ai été vraiment touchée par son histoire.



Sans compter que les scènes d’amour entre les deux hommes sont juste magnifiques. Tout en douceur et en tendresse. Aucune vulgarité d’aucune sorte. Juste de l’amour en ces deux hommes unis dans un même combat.



Vous l’aurez compris, ce livre est un coup de cœur et il me tarde de pouvoir découvrir le second volume de cette série.
Lien : http://leslecturesdefantasya..

Je ressors de cette lecture avec une note de déception…



Au vu de la magnifique couverture, qui était pleine de promesses, l’amoureuse de CowBoy que je suis attendait donc ce roman avec une grande impatience… Mais malheureusement pour moi, la magie n’a pas opéré !

Alors oui, l’univers “cow boy” est présent de part le ranch, le bétail et le Bull riding, malgré cela, le récit est vraiment très lisse ce qui fait que je n’ai pas vibré avec les personnages principaux.

Les seuls que j’ai vraiment apprécié, ce sont Elliot le père de Russell (j’ai aimé son franc parlé, son comportement vis à vis de son fils puis vis à vis de Rafe) et Mack l’oncle de Rafe.

Je l’avoue, si j’ai lu ce livre jusqu’à la fin, c’est surtout pour connaître l’histoire de Mack, cet oncle décédé qui lègue son ranch à son neveu. Au vu de ce que l’on découvre au fil des recherches/ des pages, j’ai vraiment eu envie de découvrir son histoire personnelle. Franchement, un livre consacré à son histoire pourrait être magnifique ;)

De plus, tout au long de ma lecture, j’ai été gêné par le côté “Gentil et Méchant” beaucoup trop exacerbé à mon goût… Il y a, de ce fait, un gros manque de réalisme.

C’est la même chose avec la relation entre Rafe et Russell, elle manque d’émotions, de réalisme, de charisme, alors oui c’est mignon, mais c’est tout… Je n’ai pas véritablement été touchée par leur histoire.



Maintenant c’est à vous de vous faire votre propre opinion

Nous sommes ici sur un petit livre, il fait un peu plus de 120 pages et se lit très rapidement. De mémoire je l’ai lu en à peine une heure et c’était parfait comme lecture détente. J’aime ce genre de livre parce qu’ils sont sans prise de tête et surtout c’est qu’on entre rapidement dans l’univers des personnages.



Ici on n’a pas le temps d’aller voir les papillons voler ou je ne sais quoi. Dès les premières pages, le décor est planté entre Martin, le patron qui est exigeant comme pas possible pour son assistant et Brock qui cherche désespérément du travail. Martin est un personnage que j’ai bien aimé par sa force de caractère, il sait ce qu’il veut et ne recule devant rien pour l’avoir. J’ai bien apprécié la façon dont il est décrit et surtout ce qu’on met de lui en avant.



Martin atteint d’une maladie oculaire qui lui a fait perdre progressivement la vue et c’est tellement rare de voir un personnage différent des autres. Je trouve dommage que de nombreux romans se contentent de décrire des hommes parfaits ou des femmes parfaites, mais de ne pas plus diversifier les profils, on n’a pas tout le physique de Miss Univers ou de Mister Monde. Chaque personne à ses particularités, à ses maladies, à ses différences et j’aime retrouver cela dans les romans, de voir des personnages comme on peut en croiser tout le temps dans la rue.



Andrew Grey n’accentue pas cette caractéristique comme étant quelque chose d’extraordinaire, non, c’est juste Martin qui est comme ça et Martin a appris à vivre avec cette maladie. J’ai trouvé que c’est un personnage intéressant à suivre parce qu’il a cette façon de voir (sans mauvais jeu de mots) les choses qui est intéressante. J’ai apprécié son caractère, sa façon de s'engager dans ses problèmes et dans la relation qu’il va peu à peu nouer avec Brock.



D’ailleurs en parlant de lui, c’est un personnage qui soulève une problématique sur le travail, sur la difficulté d’en trouver un pour nos compétences parce que le marché est bouché pour différentes raisons. C’est rapidement évoqué, mais je trouve ça bien d’avoir mis cette réalité dans cette romance. Tout n’est pas que rose. C’est un personnage que j’ai bien apprécié aussi, mais j’avoue que j’ai eu une préférence pour Martin, je l’ai trouvé légèrement mieux construit (même si les deux le sont) j'ai juste eu plus d’affinité avec Martin.



La relation entre les deux personnages ne m’a pas transportée plus que cela et c’est l’une des raisons de pourquoi j’ai juste apprécié le livre et pas plus. J'ai aimé les personnages, leur histoire naissante, mais je n’ai pas été transporté plus que cela. Il m’a manqué quelque chose et peut-être que la longueur du livre y a joué. J’aurai bien voulu un peu plus de pages pour vraiment apprendre à connaître les deux personnages. Autant j’aime bien les romans courts, autant par moment j'aimerais qu’ils soient un peu plus longs. J’ai eu ce sentiment de manque à la fin.



Cependant, j’ai tout de même apprécié ma lecture, l’histoire et pas seulement la romance. l’investissement que Martin cherche à faire est intéressant et j’ai bien aimé cette partie. Juste, ce n’est pas mon livre préféré pour ce mois de février. J’ai passé un bon moment et il y a juste ça a retenir, c’était simple, doux et sans drame.parfait pour se détendre entre deux cours ou en rentrant du travail.

Le résumé m'avais attiré. Un Amish ? C'est un monde que je connais bien peu.

Mais finalement il y a pas vraiment de moment où on se rend compte qu'il a grandi dans une communauté différente.

En fait j'ai trouvé que tout le livre était fait de petite scène de vie pas très intéressante entrecoupé de moment de sexe.

Pendant tout le livre j'attendais qu'il se passe un truc mais les seul choses qui fait évoluer leur relation c'est couché ensemble. Alors au bout d'un moment j'en ai eu marre et j'ai abandonné le livre à 65%.

Peut-être est-ce la manière dont c'est écrit qui m'a ennuyé.

Brighton et Brianne, sa soeur, ont été élevés par leur tante et leur oncle à la mort de leurs parents. Brighton, l'ainé, s'est débrouillé pour que sa jeune soeur puisse suivre les études dont elle rêvait, quitte à s'oublier, prenant tout à sa charge dès qu'il a été en âge de travailler et allant à l'encontre des souhaits de leurs tuteurs. Quand leur grand-père décède, il est très surpris de se voir l'unique héritier de la ferme de l’aïeul, le reste de la famille se partageant le numéraire.



Mais comment s'occuper d'une ferme alors qu'il a du mal à marcher, même avec une canne, n'arrivant pas à récupérer son autonomie après un accident de voiture, quelques mois plus tôt. Surtout que sa tante est prête à tous les coups bas pour lui arracher cet héritage, dont la vente pourrait lui permettre de mener grand train. Mais Brighton, soutenu par sa soeur, veut garder ce bien dans la famille et le faire prospérer, en souvenir de ce grand-père qu'il aimait. Arthur, l'exécuteur testamentaire et ami de son grand-père, lui parle alors de son cousin, Tanner, qui cherche du boulot après avoir quitté son job d'employé de ranch.



Brighton embauche donc cet ouvrier qui bien sûr est grand, musclé de partout, sexy comme l'enfer, habile de ses mains, bref...



Tanner a quitté son ancien emploi dans le Montana dans l'urgence. Un peu perdu, il a été soulagé quand son cousin lui propose la chambre au dessus du garage et une possibilité d'emploi chez Brighton. Et ce jeune homme est touchant, voulant désespérément sauver cette ferme et surtout il l'écoute, lui, habitué à se taire à cause de son bégaiement, il ne pense pas qu'il est idiot... mais bon, il refuse de faire la même erreur que dans le Montana.



Entre les coups bas de la tante, les menaces du cousin, un vieil ami du grand-père, le soutien sans faille de Brianne et d'Arthur et de sa famille, les deux hommes vont se rapprocher plutôt rapidement. Mais quand le Montana vient frapper à la porte, les insécurités de Brighton risquent de tout faire capoter...



Tanner m'a plus touchée que Brighton, qui m'a agacée par son auto-apitoiement : il est trop bien pour moi, il ne regardera pas un vieux boiteux, il a des muscles partout et pas moi, pourquoi voudrait-il m'embrasser, pourquoi me choisirait-il par rapport à son ex qui est lui aussi musclé partout, toussa toussa... Finalement, une romance classique, sans surprises, plutôt bien écrite, comme Andrew Grey sait les faire. Vite lue et vite oubliée...

Un couple de fermiers gays doit héberger un musicien aveugle pour deux semaines de manière impromptue, un résident dont le visage est mutilé, ce qui le traumatise est chargé de l'accueillir. Assez vite les deux jeunes hommes vont se trouver attirés l'un par l'autre. Ils devront trouver leur voie à travers leurs handicaps, leur milieu social et leurs intérêts différents.

Un roman bien écrit et qui se lit facilement, une romance qui évite la niaiserie trop souvent excessive dans le "m-m" et qui sait manier les scènes érotiques sans vulgarité.

Pause de tendresse



Tout simplement, ce livre nous donne un moment de répit.

Après une journée de boulot, avant un moment stressant, ou pendant une pause bien méritée, ce récit vous donnera tout ce qu’il faut pour décompresser.



Ce que j’ai le plus aimé, c’est le personnage de Brendon. Je l’ai trouvé trop mignon ! Il ne connait pas les relations humaines. Que ce soit romantique, familiale ou amicale, il ne sait tout simplement pas comprendre et parler avec les gens. Et j’ai trouvé sa manière de penser magnifique. Et c’est en ça qu’il est mignon. Il ne comprends pas certes, mais essaie néanmoins de toute ses forces.

Son personnage est donc pour moi celui qui tient le livre. Qui le rend intéressant. Par conséquent, je n’ai pas accroché au livre jusqu’au bout. Car à un moment donné, je trouve que l’on perd cette facette du personnage de Brendon. Je pense que c’est normal qu’il change, évolue au contact de Josh. C’est logique. Mais j’aurais quand même voulu voir plus longtemps, et peut-être plus approfondi le caractère si spécial de Brendon. Car sans ça l’histoire parait un peu trop « légère », sans réelle consistance. Et c’est dommage avec un personnage si intéressant qu’est Brendon…

Et finalement, à cause de ça, l’histoire est juste bien, alors qu’elle aurait pu être tellement plus.

Alors je vous conseille donc ce livre si vous voulez vous détendre, passer un bon moment, et certainement découvrir le plus mignon des professeurs de chimie !

Bienvenue dans le monde des soldats du feu. « Baptême de feu » est le premier opus de la série Par le feu d’Andrew Grey. Et je peux vous dire que c’est très, très HOT !



Dirk Krause est passionné par son métier et va même jusqu’à mettre sa vie en danger. Mais s’il est un héros en tant que pompier au niveau relationnel c’est une autre histoire. Car il n’a aucun ami. Et le jour où il prend le risque de trop et se retrouve à l’hôpital aucun de ses coéquipiers ne vient le rendre visite sauf le petit nouveau Lee Stockton. Ce jeune homme va le bouleverser par sa franchise mais le plus surprenant c’est qu’il va découvrir ce qu’il cache au fond de lui.



Voici deux héros très intéressants et diamétralement opposés. Dirk est un solitaire et une forte tête qui n’a aucun ami. Il a des relations très complexes avec un père très autoritaire et pleins de préjugés. Mais surtout il cache un lourd secret. Et il a peur d’être exclu de son entourage si l’on le découvrait. Mais sa rencontre avec Lee, va leur faire comprendre qu’il peut aussi prendre des risques et s’ouvrir à certaines personnes. Son côté vulnérable le rend très attachant. Lee est un jeune homme franc, honnête, très prévenant et assume son homosexualité. Il peut être très dur à certains moments. Mais on lui pardonne assez facilement. Entre eux c’est explosif et très intense. Leur relation va évoluer à un bon rythme. Et grâce à Lee, Dirk va s’accepter petit à petit et changer de comportement avec son entourage.



Grande découverte dans l’écriture d’Andrew Grey qui est très fluide et très captivante. Les scènes érotiques sont très sensuelles sans aucune vulgarité. Ce qui est très agréable. Avec des personnages attachants et torturés qui se découvrent doucement, on se laisse facilement happer par l’histoire que je trouve trop courte à mon goût avec une fin assez frustrante. Il me tarde de lire la suite très prochainement.


Lien : http://wp.me/p5AuT9-A1

Une nouvelle sortie du roman d'Andrew Grey, une romance contemporaine M/M chez les cowboys. Les histoires de cet auteur sont très sages et légères.



Rafe reçoit la visite d'un avocat, celui de son oncle Mack décédé trois mois plus tôt. Mack lui a tout légué, le ranch, ses animaux et un coffre à la banque. Rafe qui voulait prendre sa retraite de cowboy de rodéo, voit une opportunité pour son futur.

Arrivé au ranch, Rafe rencontre les voisins un à un et le retour de ses parents. Le premier est son ancien ami Russel, sexy, le suivant Grant Mendeltom, homme froid et agressif, puis ses parents, qui veulent son héritage. Une nouvelle page de sa vie commence...



Rafe Carrera, 33 ans est un cavalier de taureau homosexuel. Il a été mis à la porte de chez lui suite à la découverte de son orientation sexuelle, ses parents étant très croyants et étroits d'esprit. C'est un homme fort et battant, dur et sévère à l'extérieur mais tendre à l'intérieur.

Russell Banion, travaille avec son père dans le ranch familiale et a une entreprise internationale lui rapportant des millions. Ses parents ont toujours été là pour lui. C'est un homme simple, avenant et toujours à l'écoute des besoins de tous.



La narration est à la troisième personne. Le point de vue varie entre Rafe et Russell



L'intrigue est menée avec légèreté. Rafe se construit une vie dans son ranch, tout en découvrant l'histoire de l'oncle Mack. Il va devoir se battre pour ses biens car ses parents égoïstes veulent une partie de l'héritage, et son voisin récupérer les terres du ranch. Son attirance pour Russell est un bonheur qu'il souhaite développer.



La plume est fluide et très plaisante à lire. L'auteur apporte une histoire simple, sans prise de tête, soit sans rebondissements et suspense époustouflants. Malgré tout la romance est charmante, et les personnages très attachants. Quelques répétitions sur les dialogues, où les protagonistes se répètent dans leurs propos. Dans l'ensemble, la lecture est prenante et agréable.



Les émotions sont adorables. Rafe est une homme qui a subi le rejet, il a toujours peur d'en être encore victime. Il a survécu pendant ses années de route, il ne sait pas encore qui il est vraiment. Russell a subi une trahison de l'homme qu'il pensait aimer pour la vie. Depuis, il est méfiant et veut garder le contrôle sur tous les aspects de sa vie. Il doit prendre conscience qu'il doit lâcher prise et laisser entrer de nouveau quelqu'un dans sa vie. L'un va trop vite en amour, l'autre ne le connait pas. Chacun doit se libérer de son passé. Les relations intimes sont légères et sages.



Cowboys, héritage, préjugés, famille, passés difficiles à oublier, nouvelle vie. Une romance sympathique et charmante, très légère niveau intrigue mais restant plaisante à la lecture. Les émotions et les personnages apportent un plus. Cela reste néanmoins une romance feel-food calme, où nos personnages veulent et atteignent le sentiment de bonheur.



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Découverte de la plume d'Andrew Grey dans cette courte romance entre un boss et son assistant.



En quatre mois, trois assistantes, Martin les fait toutes fuir par son côté pointilleux. Brock a besoin d'argent et d'un emploi, il accepte malgré son diplôme MBA de devenir l'assistant du fondateur de Graham Consolited Financial.

Il découvre que M. Graham est malvoyant, mais il est surtout très sexy en costume, parfait. Martin est enivré par l'odeur de son nouvel assistant, il est même trop parfait...



Martin Graham est le patron de sa propre entreprise. Il perd la vue à cause d'une maladie oculaire dégénératrice. Il est exigeant et pointilleux avec son environnement.

Brock Littleton est nouvellement diplômé. Il a vécu seule avec sa mère, depuis le décès de son père. C'est un homme attentionné, prévenant et passionné par ce qu'il entreprend.



La narration est à la troisième personne. Le point de vue varie entre Martin et Brock.



L'intrigue est très simple et légère. Martin et Brock tombent sous le charme, mais ils ont un travail très important à mener à bien : une fusion avec une grande entreprise du Milwaukee.



La plume est fluide et très facile à lire. L’inconvénient des histoires courtes, c'est le côté direct de l'histoire. En quelques pages, ils sont sous le charme, et passe à l'action, sauf qu'ici il n'y a pas d'action. L'auteur s'arrête avant le côté sensuel, aucune scène érotique. C'est mignon, sans prise de tête pour passer un moment léger et plaisant.



Les émotions sont charmantes. Martin a peur de se faire tromper, que les gens profitent de lui. Brock a peur que Martin ne voit en lui qu'un assistant, une personne qui l'aide à évoluer dans sa vie quotidienne.



Histoire très courte, boss-assistant, déficience visuelle, grumpy sunshine, confiance et remise en question, une romance éclaire toute mignonne. La plume est fluide, c'est très léger. Une fiction romantique gay adorable pour passer un moment plaisant et reposant avec le sourire.



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Martin est un patron exigeant, il a créé son entreprise à force de travail et d’une très bonne intuition. Il est atteint d’une maladie oculaire permanente et dégénérative, il a appris à utiliser ses autres sens pour mener à bien ses rêves. Une affaire importante doit être conclue est problème, il n’a plus d’assistant, faut dire que ce n’est pas facile de travailler pour lui.



Brock vient de finir ses études et il ne trouve pour le moment aucun travail malgré ses compétences, il a besoin d’argent pour subvenir à ses besoins donc il accepte un poste que personne d’autre ne veut, devenir l’assistant de M.Graham.



Une relation privilégiée va s’installer entre eux et on va suivre l’évolution de ça au fil des pages. Tout se passe vite, mais ça ne m'a personnellement pas dérangé au contraire.



Un roman certes court, ce n'est pas mon format préféré d’habitude, mais là ça m’a largement suffis pour apprécier ce MM boss/employé à caser entre deux lectures pour passer un bon moment.

Un roman très court.

Le rythme n'est pas le bon à mon goût. Le début est très agressif et bien trop cru. Alors que la suite reprend un rythme normal. C'est bien sûr trop court pour qu'il y ait un réel développement.

Mais ce début très agressif ne me donne pas envie de m'intéresser à la suite.

Le personnage de Dirk qui est censé être odieux devient bien trop vite un agneau...

Pas vraiment apprécié