Andrew Kaplan

Préquel de la série TV, c'est un incontournable pour les aficionados.

L'auteur, journaliste de guerre, et avant celà, a servi pour l'armée américaine et israélienne, connaît le sujet sur le bout des doigts.

En son temps, série préférée de Barack Obama pour son réalisme, ce livre est tout autant réussi.

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On va découvrir l'origine de la maladie de Carrie, et aussi l'origine de la détention de Nicholas Brody.

Tout y est. Tension, suspense, complots, et bien évidemment, traque. Mais de qui ?

De Langley à Bagdad, en passant par Beyrouth, ce livre aurait pu être une saison complète.

Exaltant et rythmé, pas le temps de s'ennuyer, le panier de crabes est bien garni.

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📖 : " - Il s'est servi de moi, de nous tous.

- Tout le monde se sert tout le monde. Et on risque de se faire bouffer vivant. Souviens-toi du panier de crabes. "

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Se livre m'a rappelé les bons souvenirs de cette série sous haute tension. Un délicieux moment de géopolitique, qui est malheureusement au cœur de notre quotidien, et qui malgré ce que l'on peut croire, nous impact directement dans notre quotidien.

Très intéressant.

Roman lu après avoir vu la série Homeland. Il s'agit d'un préquel à celle-ci qui permet de mieux cerner l'héroïne.

L'intrigue, une course-poursuite au moyen orient, multiplie les traquenards, les feintes et les rebondissements. Mais elle n'est pas mémorable.

Si vous avez aimé la série, vous êtes un peu obligé de lire ce roman qui se passe juste avant la première saison de Homeland.

J'ai retrouvé tous les ingrédients, les personnages, et le style de la série. Le livre se lit rapidement malgré les nombreux personnages et les lieux visités.

Maintenant, j'ai envie de revoir la série

Bonne lecture !

Pour les Fans de la série , ce livre montre comment toute l'histoire du sergent Brody à commencée le livre m'a aidé à comprendre le pourquoi du comment de l'intrigue de la série ;)

Pour les accros, c’est du bonbon ! Pour les autres, une porte d’entrée dans cette brillante série télévisée.
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*Zébulo*



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Ce livre est addictif et encore plus, croyez-moi, quand vous regardez la série du même nom. C’est tout simplement le début des ennuis pour l’agent Mathison . Pour les fans de Homeland, la traque nous fait entrer dans la pré-trame de l'histoire de la série , la niaque de Carrie à vouloir attraper son objectif malgré ses troubles.



Addiction garantie autant pour le livre que pour la série, vous n’en sortirez pas sans dommages car , cela va très vite; j’ai dû le lire deux fois pour être certaine de ne rien avoir oublié; on a envie à la fin de connaître la suite et la suite, c’est la série …. Alors je vous invite à entrer dans le monde de Carrie. Suspense garanti, allez-y !



(Retrouvez toute la chronique sur notre site)
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2006. Carrie Mathison, agent de la CIA, est en poste à Beyrouth. Elle doit rencontrer un contact pour l'évaluer et voir s'il est fiable. Elle réchappe de peu à une tentative d'enlèvement et d'assassinat. Elle soupçonne une fuite dans la cellule de la CIA à Beyrouth. Son enquête pour trouver le ou la fautif/fautive ne plaît pas en haut lieu et elle est rappelée à Langley. Mais Carrie toujours aussi déterminée va continuer son enquête et mettre le doigt sur des incohérence et des falsifications.



On retrouve les personnages de la série Homeland quelques années avant le retour du soldat Nicolas Brody. On y apprend que Carrie a commencé à "chasser" Abu Nazir avant le début de la série.

Un livre d'espionnage captivant et sans temps mort où la personnalité de Carrie est cohérent avec celle de la série et elle est le personnage central de tout le livre. Saul, par contre, est quasi inexistant alors qu'il tient une place importante dans la série télé.

Andrew Kaplan est à l'origine du scénario de "Golden Eye" et ça se sent. Ici on est plus proche de James Bond que de la série Homeland dont le livre est d'ailleurs bien en deçà. Ça se laisse lire mais côté intrigue et suspense, on n'a pas grand chose à se mettre sous la dent. Carrie est attachante mais les obstacles qu'elle doit affronter sont beaucoup trop facilement surmonté. A chaque fois, il y a un heureux hasard, une bien trop belle opportunité de s'en tirer. Le travail lui est mâché en somme.



Du moins, celà a été mon ressenti et c'est mon point de vue.



La première partie du livre, le côté stratégique des agents secrets est plutôt captivante, mais ensuite on se retrouve plongés en pleine guerre en Irak et cet aspect m'a paru un peu ennuyeux, moi qui ai l'habitude de zapper ce genre d'info à la télé et qui ne comprend pas bien les différences entre les différentes mouvances (chiites, sunnites, maronites, etc...)



Bref, une petite déception pour moi. Je crois que le livre n'a pas eu une grande popularité mais en tout cas s'il y a un tome 2 je ne pense pas le lire. Je préfère revoir la série.
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Un très bon complément à la série, qui se passe en 2006, soit avant que la première saison ne démarre et que Carrie ne soit nommée chef(fe) de station de la CIA à Badgad.



Le style, vif et précis, ainsi que la cohérence de la trame (mis à part la compatibilité de la pathologie de Carrie avec son travail, mais c'est un autre débat) ne devrait pas décevoir les aficionados de Homeland. Pour tous les autres - et notamment les amateurs de thrillers géopolitiques - cela peut être une belle découverte.

Homeland est une série qui ne se présente plus, à moins que vous soyez passé à côté ou que vous n’êtes pas amatrices/amateurs du genre. Pour celles et ceux qui ont apprécié la série (comme moi), je vous conseille de lire ce petit bijou de 400 pages qui présente les origines du complot développé dans les premières saisons.



« La Traque » est un roman d’espionnage à l’américaine sans grande originalité mais d’une efficacité redoutable, à l’image des meilleures saisons de la série. Le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer grâce à des scènes d’actions à couper le souffle tellement on pourrait s’y croire, et un suspense omniprésent tandis qu’il suit les (més)aventures et exploits de Carrie Matthison lors de ses missions et même en dehors car ce petit bout de femme atypique (et antipathique) ne s’arrête jamais !

De Langley à Bagdad, et en passant par Beyrouth, Andrew Kaplan nous offre, à travers l’histoire de Carrie au sein de la CIA, une analyse intéressante de la géopolitique au Moyen-Orient pendant que le lecteur savoure de rencontrer bien nombre de personnages clés de la série avec un plaisir immense, ainsi que les anecdotes croustillantes qui vont avec ( #fanservice ).



Bien sûr, mon amour pour la série rend mon jugement plus que subjectif et, je n’irai pas jusqu’à crier sur tous les toits qu’il s’agit du meilleur thriller d’espionnage qui soit j’ai passé un très bon moment à lire ce page-turner exhaltant.



Connaissez-vous Homeland ? Aviez-vous aimé la série ?

Des romans d’espionnage à me conseiller ?

Je suis ravie de retrouver Carie et ses acolytes, ravie aussi de me replonger dans l'ambiance de la série. Et pourtant je suis bloquée au dernier quart du livre sans avoir l'envie de le lire... C'est pourtant bien écrit. Ce n'est peut-être juste pas le bon moment.

Pour une fois, le livre me paraît plus plat que la série, il manque un petit "je ne sais quoi" afin de me tenir en haleine.

A Beyrouth, Carrie, agent de la CIA, a rendez-vous dans un cinéma avec un certain Al Doumi, un informateur. Non seulement celui-ci ne vient pas mais encore, Carrie se retrouve pourchassée par quatre tueurs qui n'hésitent pas à tirer sur elle et à aller la débusquer dans une planque pourtant réputée sûre. Que s'est-il passé ? Comment un pareil enchaînement a-t-il été possible ? Elle s'était pourtant lancée sur les conseils de son propre chef de poste qui l'avait assuré lui-même de la validité de ses renseignements. Tout commence donc très mal pour la pauvre Carrie. Et ce n'est que le début d'une longue traque qui ne manquera ni de suspens ni de rebondissements.

« La Traque » est un roman d'espionnage de facture totalement classique, à l'américaine, c'est à dire efficace et obéissant à des recettes rodées et parfaitement au point. C'est à dire écrit dans le style direct et sans fioritures des scénarii de cinéma ou de séries télé. Au bout du compte rien de bien original. Si ce n'est que le lecteur passe un bon moment de divertissement à lire ce « page-turner » comme il s'en publie chaque année des dizaines. Pour les amateurs du genre pas trop difficiles. Les fans de John Le Carré et autre Grisham pourront s'abstenir...
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/

Bipolaire et super women. Être dans la tête de Carrie n'est pas très reposant.

Très bon livre.

Avec La Traque, l'auteur Andrew Kaplan signe un roman qui se déroule avant le premier épisode de la série Homeland et qui nous aide à comprendre davantage le personnage de Carrie Mathison. Si ce phénomène de la fiction dans la fiction n'est pas nouveau, il est toujours aussi fascinant.
Lien : http://rss.lapresse.ca/c/336..

Carrie Mathison est agent de la CIA, en poste à Beyrouth, en 2006. Un rendez-vous avec un contact tourne mal, Carrie devient une cible mais arrive à échapper à ses poursuivants. C'est incompréhensible pour elle et malgré tout, sa hiérarchie de la soutient pas et la rend même responsable de ce fiasco. Elle n'est pas en odeur de sainteté mais elle ne se laisse pas abattre. Tel un pitbull, elle va se battre sur tous les fronts pour prouver que la CIA à Beyrouth est infiltrée et compromise, que des accointances dans divers milieux terroristes mettent en péril la sécurité nationale. Sur le sol des Etats-Unis et à l'étranger.

Une traque sans répit s'ouvre pour elle, jusqu'à l'obsession...



Andrew Kaplan est célèbre pour ses romans d'espionnage... surtout à l'étranger. Malheureusement pour les francophones, seul La trahison du Scorpion a été traduit et publié en France, préalablement à ce roman. Ancien militaire, journaliste et correspondant de guerre, il paraîtrait même que la fameuse CIA a tenté de le recruter à plusieurs reprises.

Homeland, la traque est un préquel à la série tv américaine du même nom. Et donc, les fans de celle-ci ne pourront qu'adorer ce roman qui marque les origines du complot développé dans les premières saisons, et la présentation de l'Agent Carrie Mathison.

Et cette lecture offre réellement le même suspens et la même addiction que la série.

Cette plongée au cœur du terrorisme et de l'espionnage, avec ses sœurs du contre-terrorisme et du contre-espionnage, offre un régal livresque du genre. Le tout est trépidant, haletant, angoissant.

Le personnage de Carrie est atypique: une femme dans un monde d'hommes, certes, mais surtout c'est un électron libre, audacieuse et irrévérencieuse. Son job, c'est sa vie, et elle n'a que faire des êtres humains, de la hiérarchie et des dangers: elle est obsessionnelle, intuitive, intelligente, avec un cerveau bouillonnant. Elle réfléchit, fonce... et pas toujours dans cet ordre. Elle sait jouer de sa féminité mais agit comme un homme, libre de toute limite. Et il n'y a guère que son mentor, Saul Berenson, qui arrive à la tempérer, à juguler ses colères destructrices et à la couvrir au besoin auprès de sa hiérarchie.

Carrie serait presque antipathique à cause de son manque global d'empathie si elle n'était pas aussi intelligente et efficace.

Un personnage intéressant. De l'action. Du danger. Du suspens. Beaucoup d'action.

Mais pas que.

Ce roman est aussi une très fine analyse de la géo-politique au Moyen-Orient. Pour tous ceux qui se perdent entre le Hezbollah et Al-Qaïda, entre sunnites, chiites et j'en passe, ce roman est une excellente leçon de rattrapage pour éclaircir le pourquoi du comment des nombreuses et diverses tensions entre pays et communautés arabo-musulmans.

Et ce, sans lourdeur ni ennui.

Le monde est un panier de crabes mais ce que l'auteur décrit aussi ici très bien, ce sont les rapports tordus entretenus au sein même des différentes agences de sécurité, entre hommes de terrain ou bureaucrates, entremêlés d'espionnage, de complots, de tensions, d'hypocrisie, de calculs, de glorioles individuelles. Rien ni personne n'est épargné, on navigue dans le gris. Et pendant ce temps des hommes perdent la vie.

Bref, des Etats-Unis en Irak, en passant par le Liban, cette lecture est un dangereux voyage mais tellement plaisant quand on est confortablement installé dans son fauteuil!
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..

Déjà ma deuxième lecture de cet excellent roman. Lu a sa sortie en français et fan de la série, j'ai trouvé que ce roman était un petit bijou du genre. Tout d'abord parce qu'on comprend mieux ce qu'est quelqu'un qui est borderline comme Carrie. Sans traitement ces gens ressentent tout de façon exacerbés, un peu comme un autiste mais sur un angle différent. C'est a dire qu'il peuvent vous aimer l'instant d'avant puis vous détester après. Mais à la C.I.A quelqu'un de déficient n'est pas admis et Carrie le sait fort bien. Il ne lui reste alors comme choix que dissimulé sa maladie. Mais c'est aussi grâce à cette même maladie que ça lui permet de mieux ressentir tout ce qui l'entoure et d'être aussi efficace dans son travail de sauvé des vies. Ce livre dirigé de main de maître par cet excellent auteur est une bonne mis en jambe à la série. Il est même un degré au-dessus de la série car des choses nous apparaissent avec plus de clairvoyance. Les scènes d'actions sont décrite comme si on y était. A aucun moment on ne s’ennuie dans ce livre mené tambour battant où l'ennemi peut-être partout. Il faudra vraiment que je me procure d'autres romans de Andrew Kaplan car ce gars sait vraiment raconté une histoire et traité un sujet efficacement.

Fan de la série, j'ai adoré ce livre. Je recommande