Anna Stuart

Même si il est moins poignant que le tome 1, j'ai vraiment apprécié connaître la suite de leur histoire. Je ne connaissais pas particulièrement l'histoire du mur de Berlin ni la vie du peuple pendant cette période, j'ai donc aimé élargir mes connaissances sur le sujet.

J'ai hâte de lire d'autres livres cette auteur.

Que dire... Une histoire tellement poignante, elle est vraiment additifs, la plume de l'auteur est captivante. Cette partie de l'histoire est tellement horrible et triste, mais elle a besoin d'être connue pour ne pas que cela recommence. Ce livre m'a permis de développer mes connaissances sur cette période et donne envie d'en savoir plus même si celle-ci n'aurait jamais du exister...

Souvenez-vous … Ester a survécu à l’horreur. Victime des terribles camps de concentration, elle a donné la vie dans ce lieu terrible que l’humanité semble avoir déserté : Auschwitz. Alors que sa petite fille, sauvée par des cheveux blonds, lui a été arrachée après quatre jours pour être adoptée par une famille allemande, Ester garde espoir … Elle a secrètement tatoué son numéro de matricule dans le pli de l’aisselle du nouveau-né … Pourront-elles un jour se retrouver ?



Dans ce roman choral, nous retrouvons Ester et sa famille, plusieurs années après la guerre. Mais si les années ont passé, le désir de retrouver sa fille n’a pas quitté Ester. J’ai beaucoup aimé le personnage de cette femme, si forte et si résiliente. Son histoire est poignante, bouleversante.



Ce roman est un témoignage précis des années terribles connues par l’Allemagne après la guerre. Morcelé, partagé entre les gagnants, le pays est divisé, et la guerre froide se profilant amènera à la terrible construction du mur de Berlin, le mur de la honte, bâti en plein cœur de la ville, séparant des familles, des amours, des amis, piétinant les libertés. On sent les recherches faramineuses qui ont été effectuées par l’autrice, et la volonté d’un récit certes romancé, mais mettant à l’honneur une part de véracité historique. Les notes de l’autrice à la fin du roman nous permettent d’ailleurs de différencier la partie tirée de l’imagination d'Anna Stuart et la partie directement inspirée de faits historiques réels. C’est quelque chose que j’apprécie vraiment retrouver lorsque je lis une fiction historique.



J’ai appris énormément de choses sur cette période que je méconnaissais, notamment sur l’influence culturelle des États-Unis, et du communisme soviétique sur les deux parties de l’Allemagne et de la ville de Berlin. L’autrice a su vulgariser avec brio ce pan de l’histoire, tout en le mêlant à la destinée de femmes et d’hommes courageux et déterminés.

Quand l amour triomphe toujours.



Mais quel pourcentage de chance y avait il pour qu Ester, une jeune deportee juive ayant accouche d un enfant en plein coeur du camps de concentration d Auschwitz Birkeneau, retrouve son enfant dans les annees a venir.

Un enfant qui lui avait ete arrache pour etre envoye dans une bonne famille hitlerienne.



Vous voici, en 1960 a Berlin, en pleine guerre froide, Esther et Filip vivent a present a Berlin Est avec leurs trois enfants et esperent toujours au fond de leur coeur retrouver un jour leur petite fille adoree.

Et un jour.....



Mais la creation du mur du Berlin va tout changer.

Un mur qui vient se dresser entre l union de cette famille, un mur que l on erige afin d empêcher les citoyens de sortir, un mur qui fait echo aux ghettos existants durant la seconde guerre mondiale.

Un régime en a seulement remplace un autre et les droits fondamentaux des citoyens continuent a etre bafoue.



La plume de l autrice est toujours aussi immersive.

On espere, on crie, on pleure et l on veut se battre a cote de ces personnages.

On assiste avec regret, a l elevation du mur de Berlin et l on decouvre la vie des citoyens de chaque côté de ce mur.

Mais surtout, nous decouvrons la force, le courage et la foi en l avenir et l amour, d une famille qui fut dechiree depuis sa deportation du ghetto de Varsovie,

une famille qui aura relever bien des epreuves mais qui au fond de son coeur, restera une famille a jamais unie.



Suite du roman de la sage femme d auschwitz.

Ce n'est pas mon premier livre sur la deuxième guerre mondial, plus précisément sur les camps de concentration. Mais ici, j'ai été happée par l'histoire du début à la fin, des personnes super attachant.

Je trouve que pour une fois l'horreur des camps est clairement raconter ( pour ce genre de livre évidemment) je pense qu'il faut avoir sont coeur bien accroché à certains passage même si malheureusement tout ça a exister.



Il n'y aura jamais assez d'ouvrage sur cette partie de l'histoire, ne jamais oublier.

J'ai beaucoup lu d'ouvrages sur la seconde guerre mondiale, c'est un sujet une époque qui me passionnent.

Tout comme ce livre m'a passionnée ! L'autrice s'inspire de la vie de Stanislawa Leszczynska (ne me demandez pas de le prononcer), une femme exceptionnelle. Elle était sage-femme à Lodz, en Pologne, pendant ce conflit mondial. Pour avoir aidé les juifs enfermés dans le ghetto, elle a été envoyée à Auschwitz. Elle y a mis au monde environ 3000 bébés...!



Les personnages du roman se parent de la passion de cette femme, Esther et Ana donnent à la profession de sage-femme encore plus de puissance, en l'exerçant dans les conditions atroces et inhumaines d'un camp de concentration. Nous suivons leurs doutes, leurs espoirs, leurs difficultés à s'accrocher et maintenir leur désir de survivre (et même plus vivre) alors que tout est fait pour les déshumaniser.

L'écriture est délicate, malgré les horreurs décrites. Un petit mouchoir ne sera pas superflu pour cette lecture !

Incroyablement poignant, inspiré d'une histoire vraie, je n'ai pu lâcher le livre. J'ai lu pas mal de livres sur les camps, j'ai été là-bas, mais je ne m'attendais pas à cette débauche d'horreur quant au traitement des nouveaux nés et de leurs mères et que ce livre décrit malheureusement si bien.

Écriture fluide et justement dosée sur l’aspect descriptif. On est embarqué dès le départ dans les histoires des personnages et c’est comme si on faisait un bond dans le temps. Même si on connaît tous ce triste sujet, j’ai appris énormément de nouvelles et terribles choses sur ce qui se passait pendant la guerre, dont certaines qui m’ont particulièrement bouleversé! J’ai apprécié les notes de l’auteure à la fin sur ses recherches afin d’être au plus près de la vérité sur certaines anecdotes

Attention ce livre est une fiction bien qu'inspirée d'une histoire vraie!



Tout le long du livre, nous allons suivre 2 personnages: Ana, sage-femme polonaire et catholique ainsi que Ester, un des bébés qu'elle a mis au monde et qui est polonaire mais juive.



Ana est maintenant adulte et jeune infirmière. Elle ne tarde pas à rencontrer Filip, amour de sa vie. Quand la guerre arrive aux portes de la Pologne, les 2 amoureux se marient.



Malheureusement, la guerre avance vite et bientot, ils se retrouvent enfermés dans un ghettos, tandis qu'Ana et sa famille entrent dans le résistance et tente de les aider.



Malheureusement, quelques années plus tard, Ana arrêtée pour suspicion d'aide à la résistance et Ester se retrouve dans le même train roulant vers Auschwitz.



Grace à leur profession, elles survivent, mettant alors au monde les enfants du camp.



Si le personnage d'Ester est purement fictionnel, Ana elle, est inspirée d'une vraie sage- femme ayant survécu à ce camp de la mort en y mettant au monde environ 3000 enfants dont très peu survivront.



Une histoire bien construite, qui apporte encore un autre regard sur cette histoire. Si je suis assez bien renseignée sur les camps, j'y ai tout de même découvert des élèments dont je n'avais pas connaissance.



C'est boulversant mais à lire!

Encore un livre sur les camp, oui.

Mais celui ci explore un aspect méconnu de ces atrocités : la maternité en camps de concentration, pour ne pas dire d’extermination.

C’est une lecture difficile, horrifiante, écoeurante, révoltante mais nécessaire pour ne pas oublier.

Très belle lecture pleine d'émotions, je ne croyais pas que sa me prendrais au tripe comme cela! on s'attache aux personnages, on "vit" avec eux et malgres les horreurs qui ont été commise l'amour a triomphé!

Je recommande fortement sa se lit tout seul 🙂

Une belle rencontre entre un homme et une femme.

Une belle histoire qui se met en place.

Puis, vient le premier jour de la guerre.

Vient ensuite la peur, la séparation, l'angoisse, le courage, la souffrance, la détermination, l'espoir... des mots durs pour une histoire dure.

A lire sachant que cela s'est réellement passé.

Je n'avais qu'une envie, que cette guerre se termine et j'avoue que du coup je l'ai vite terminé pour cette raison.

J'avais envie de passer à autre chose tant c'était éprouvant.

Des passages difficiles, mais à lire, pour ne pas oublier.

On ne le sait pas toujours mais il n'y a pas eu que des juifs, des tziganes ou des personnes souffrant de handicaps qui ont été exterminés dans les camps de la mort. Il y a eu aussi des prisonniers politiques ou même de simples personnes qui avaient voulu aider d'autres gens.



La Ana de cette histoire (qui fait référence à une personne réelle Stanisława Leszczyńska) fait partie de cette dernière catégorie: chrétienne, polonaise, elle s'est retrouvée à Auschwitz pour avoir voulu aider des familles juives qui se trouvaient dans le ghetto de Lodz. Sa fonction l'a aidé à survivre si l'on peut dire dans cet enfer.



J'ai beaucoup lu sur l'holocauste mais je ne pensais pas qu'il y avait eu autant de naissances à Auschwitz et dans quelles conditions. Je savais que certains enfants étaient gardés pour les expérimentations du Dr Mengele par exemple, mais je ne savais pas que certains avaient été aussi envoyés dans les Lebensborn. Et c'est là que l'on se dit que les nazis pouvaient vraiment être fous pour vouloir faire une race aryenne avec les enfants des femmes qu'ils gazaient ensuite sur le seul point que ces enfants étaient blonds aux yeux bleus.



Et que penser de ces enfants qui élevés dans la propagande nazi apprendront après la guerre que leurs parents étaient juifs.



Bien sûr, cette histoire n'est pas des plus drôles mais ces livres sont là pour nous rappeler toute l'horreur que peut engendrer la guerre et il serait bon de s'en souvenir quand on voit aujourd'hui les gens se battre et se diviser pour un oui ou pour un non.

Cette histoire inspirée de faits réels est vraiment incroyable. Je reste sans voix à la fin de cette sublime lecture.

Ce roman est dur, prenant mais envoie un message d'espoir, de liberté et de résistance. ❤

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Souvent dans nos livres d'histoire, on parle des combattants, des résistants, et des personnes envoyés à Auschwitz mais on parle rarement de ce que les femmes ont fait là-bas, des héroïnes, des combattantes elles aussi. Ce roman est de toute beauté ! 🥺

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J'ai du prendre du temps pour lire ce livre, certains passages étant assez durs, j'avais besoin de souffler sur les lignes choquantes que je découvrais. L'auteure a réalisé beaucoup de recherches et ça se sent à travers les pages du roman. C'est une totale immersion dans la misère, la peur et la combativité de ces femmes obligées à tout faire pour survivre.
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Roman poingnant montrant le courage de ces femmes prêtes à tout pour retrouver un semblant d'humanité.

Dans ce roman ce qui se dégage malgré l'horreur c'est l'amour, l'entraide et la bienveillance !

Bravo à l'autrice d'avoir su retranscrire cette sombre histoire avec autant de véracité.

Il ne faut pas oublier. Jamais.

Un énième livre en ma possession sur la Shoah et l'horreur perpétrée par le IIIe Reich ...

Et a chaque lecture sur ce thème, j'arrive encore et toujours a être abasourdie par les faits commis ...

Cette fois-ci, ce roman traite en première partie de la création des ghettos juifs en Pologne , plus précisément a Lodz et c'était également une partie de la SGM que j'ignorais assez..vient ensuite le traitement des naissances a Auschwitz différent des enfants Juifs des enfants prisonniers ou blonds.... chacun y avait une finalité différente mais pas moins horrible.

J'ai aimé Ana et Ester ainsi que Naomi. On ne peut que détester la kapo Klara et c'est avec horreur que j'ai découvert ce qu'elle faisait. Plusieurs fois mon coeur s'est serré et les larmes me sont venues.

J'ai apprécié la fidélité de l'auteure et ses explications a la fin du roman pour justifier ses choix par rapport à la réalité , qui il faut le soulever est tout a fais respectée. Heureusement que des personnes telles que Stanislawa ont existé , quel courage et quel capacité de résiliation cette femme a fait preuve .

C'est un très bon roman

Comment exprimer ce que cette lecture m’a procurée? Comment mettre des mots sur ce que j’ai lu, et qui m’a glacé le sang, remuer les tripes et révoltée ?



Encore aujourd’hui, je réalise que des gens ont vraiment fait des choses immondes dans leurs vies, ont fait vivre un enfer à d’autres humains.



J’ai lu des livres sur la seconde guerre mondiale, je crois même avoir lu presque tout les corps de métier, mais celui-là je crois que c’est le pire.



Même si j’ai dévorée cette lecture en peu de jours, je ne suis jamais restée insensible à ce que ses femmes ont vécues, à cette souffrance qu’on leur a infligées, à ces gestes cruels qu’on eu les nazis .



Le courage, la force de caractère, leur volonté de vivre, leur soutien, leur générosité, et leur altruisme ont fait d’Ana et d’ Ester des femmes admirables, qui ont permis d’entrevoir de l’espoir, là où il n’y avais plus.



Des femmes qui ont marqués l’Histoire, des femmes qui au delà des apparences, des convenances sont devenues amies avec pour seule arme : rester en vie coûte que coûte.



Je ne suis pas ressortie indemne de cette lecture,j’y ai laissé un bout de mon coeur, de mon âme, des larmes mais jamais je ne les oublierais.



Alors oui, c’est bouleversant, déchirant, touchant mais il faut lire ce récit pour ne jamais oublier .

Une histoire tirée de faits réels qui se révèle être un énorme COUP de COEUR pour la qualité du récit, pour le scénario passionnant et bouleversant, pour ces personnages remarquables, pour l’intrigue qui m’a passionnée de bout en bout, pour cette mémoire qui ne peut s’éteindre, pour cette tranche historique qui me perturbe autant qu’elle m’attire.



Cette histoire m’a littéralement transportée dans la terreur. Le résumé nous plonge directement dans les camps d’Auschwitz-Birkenau mais il existe dans ce roman un temps de joie et de bonheur si éphémère, suivi d’un passage dans le ghetto de Lodz puis un terrible passage dans les camps de concentration.



Deux héroïnes s’emparent de la narration : Ester, juive, jeune, infirmière et Ana, la cinquantaine, sage-femme, catholique. Le destin va les lier comme une fille et sa mère, par la force, par amour, par espoir. J’ai suivi leur vie avec avidité, les sentiments et les émotions extrêmes se combattant.



Anna STUART a un véritable talent de conteuse dosant savamment les faits historiques et l’espoir. Certaines scènes sont terribles. J’ai suivi le fil d’Ariane avec l’espérance que la vie serait plus forte, que la haine serait anéantie par la bonté et l’amour. J’ai aimé la force du récit, la conviction que le Bien combat le Mal, que tout n’est jamais perdu totalement.



Ce récit est étrangement horrible et rempli de bonté. Les deux femmes sont admirables, pleines de ressources. Elles forcent le respect.



Le roman est rythmé, endiablé, ne laissant aucun temps de répit. Je l’ai dévoré en deux jours et une nuit. Il est passionnant. L’épilogue ne nous ment pas. Les notes de l’auteure m’emplissent d’admiration pour le travail de recherches. C’est une très belle réussite.



J’aimerais que les œuvres de l’auteure soient traduites en français : j’ai très envie d’entrer dans une de ses autres histoires… Je vous conseille vraiment ce roman.
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✨ 𝕄𝕠𝕟 𝕒𝕧𝕚𝕤 : Encore un roman historique qui m’a profondément touché. En même temps comment ne pas l’être face à cet enfer, à force de lire cette thématique je pourrais penser avoir tout « vu » .. Mais non, j’en apprend toujours d’avantage sur cette période noire de l’histoire.

Je ne connaissais pas le block dédié aux naissances, je l’ai découvert à travers Ana et Ester. Une horreur de plus .. L’homme n’a vraiment aucunes limites dans le mal, c’est effrayant.



✨ On alterne les chapitres entre Ana, sage-femme et Ester, infirmière qui vont se battre pour toutes ces mères et pour tous ces bébés. On les suit pendant l’occupation, le ghetto, la déportation puis l’après-guerre. Deux femmes dont l’histoire les a unies à jamais. Et puis il y a Naomi aussi qui m’a beaucoup marquée.



✨ Cependant une chose m’a un peu manqué dans la construction du roman, (qui est sans doute fait exprès pour se concentrer sur le sujet principal) dans tout ce que j’ai pu lire, les conditions de vie dans les camps sont drôlement détaillées, dans celui-ci ça reste assez floue ou du moins très succinct, à mon sens.

Mais ça ne m’a pas empêché d’être bouleversée par ces écrits et d’apprendre des faits qui m’étaient inconnus jusqu’à présent.



✨ Si vous aimez les romans historiques, je vous conseille de le lire !
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Anna Stuart a écrit ce roman pour rendre hommage à Stanislawa Leszczynska, elle est honorée en Pologne pour ce qu’elle a accompli. C’est un merveilleux exemple de bonté, de professionnalisme, d’abnégation et de courage.



Ce livre est découpé en 3 parties : avant la guerre, à Auschwitz, et à la libération des camps.



Lodz en Pologne en 1939

Le monde semble danser une ronde de joie autour d’Ester et de Filip jusqu’à ce que tout s’écroule.

Ester est juive, elle sera incarcérée dans le ghetto de Lodz.

Ana, la sage-femme qui l’a mise au monde, va tenter de les aider, Ester, et un maximum de personnes.



Quel pouvoir possède les armes, les chars en comparaison de l’arrivée d’un nouveau-né synonyme de renouveau et non pas de mort ?

C’est ce que Anna Stuart va te démontrer.



Mon cœur hurle de douleur comme celui d’Ana quand elle voit ce que l’on fait subir à ses voisins, amis juifs.

C’est ce qui lui vaudra d’être arrêtée et envoyée à Auschwitz, Ester, par un coup du sort sera dans le même train.



Ana se donne une mission : se battre pour préserver la vie de tous les bébés qui naissent à Auschwitz, coûte que coûte.

Garder la vie, même si ce n’est que pour quelques minutes parfois.

Offrir à une mère le pouvoir de regarder son enfant vivant un instant.

Chaque naissance est une minuscule victoire, quelques instants de joie au milieu de ce lieu de mort.



Une très forte entraide, solidarité, sonorité existe entre ces femmes.



Tu liras aussi l’amour qui a le pouvoir de transcender le sang et de créer des liens mille fois plus forts qu’une idéologie malsaine.

Il y a des scènes qui m’ont terriblement meurtrie. C’est dur à lire.



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