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Critiques de Anne Goscinny (176)
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Iznogoud, tome 32 : Des bougies pour Iznogoud

À l'occasion des 60 ans d'Iznogoud, les éditions IMAV ont publié en 2022 cet album contenant 5 histoires du vizir. 

Le scénario est d'Andrieu avec la collaboration d'Anne Goscinny. Le dessin d'Elric est mis en couleurs par Bruno Tatti. 



Que dire que dire... Autant être bref! Deux gags sont corrects et les autres sont bons à jeter aux oubliettes du Vizir. Être Goscinny à la place de Goscinny est un piège dans lequel Andrieu aurait mieux fait de ne pas s'aventurer… 
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Le banc des soupirs

Quand une quatrième de couverture me vante une ronde de styles (parfois à la limite de la caricature ou sans réel épaisseur) et surtout, un coup de théâtre final qui n'en est pas un, je ne peux qu'être déçu à la lecture de ce roman. L'analyse nous permet de plonger dans l'intimité et la psychologie de certains personnages, de jouer avec les codes du roman à suspense et avec la projection de l'analyse. Mais pas de surprise à la fin, c'est dommage ...
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Le banc des soupirs

Une lecture qui m'a laissée sur ma faim car l'histoire est un peu trop décousue pour moi, trop de rêveries et de situations entremêlées qui m'ont déroutée sans me donner envie de lire ce texte en profondeur.
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Le banc des soupirs

Je n'ai pas trouvé ce livre exceptionnel. Quelques passages bien écrits mais une fin en queue de poisson qui laisse sur sa... Faim...
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Le banc des soupirs

Mon couple est mort. Je la tue. Point. Simplissime. D'emblée les dés sont jetés. Anne Goscinny n'est pas Colombo (tête chercheuse d'indices et de mobiles), elle nous livre, clefs en mains, IL, "psychanalyste que tout Paris s'arrache" suspect numéro un dans le meurtre de son épouse.

C'est tellement simple qu'on en est dérouté.Lisez le rapport, nous incite-t-elle. Et tour à tour, défilent chaque personnage impliqué de près ou de loin (le psy chez lui ou à son travail,sa femme morte qui prend la parole, un petit voisin angoissé par son rat Jean Paul à la péritonite fulgurante,une patiente intrusive,un groupe d'amis vu lors d'une dernière invitation, sa mère et son propre thérapeute qui donne la valeur à l'attente sur Le banc des soupirs.

Outre l'écriture alerte et sans fioritures, l'humour (la scène du rat élevé à la Dolto est hilarante) c'est la fine analyse des relations (le meilleur ami qui se fache de but en blanc sans tendre la main) qui est excellente.

Chaque mot pesé, calibré nous ouvre un monde. "Louis-Albert": Tiens le XVI°. "Yiddish":Tiens elle est Juive. "Chambre d'amis": Tiens: plus de sexualité. "Frère prêtre": Ah, des cathos.....

Et dans les coulisses de ce théatre, c'est la figure du père démythifié qui pointe son nez de soupirant désabusé.

Un grain de poussière introduit dans la machine bien huilée (une mèche "moins blonde,plus grise"),une désaccoutumance progressive,un transfert à double sens (très dur pour un thérapeute de garder sa carapace),un mot de trop (Jean Paul), une attitude excessive (un rat soigné comme un pacha),un prénom-fruit à la place d'un autre,un regard en moins et tout peut déraper....tout est en train de dérailler....tout est déjà foutu.

Le banc des soupirs, à l'instar du pont éponyme, moins simplissime qu'au prime abord démontre que sans amour on meurt même si l'on essaye d'en puiser dans les paradis illusionnaires de thérapeutes à cent euros la séance qui ne sont pas des dieux mais des simples hommes qui attendent un jour ou l'autre sur un banc que leur tour vienne.

Anne Goscinny, fille du célèbre dessinateur humoriste, critique littéraire, journaliste et auteur de plusieurs romans chez Grasset a obtenu le prix de la Wizo pour Le père éternel.
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Le banc des soupirs

J'ai été déçue par la lecture de ce livre. En effet, la 4ème de couverture semblait plus prometteuse que cela! Il s'agit de la narration d'un fait divers du point de vue des différents protagonistes : Le mode de narration est novateur et intéressant, l'analyse psychologique des personnages est bien menée, mais la fin n'est pas à la hauteur espérée!
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Le banc des soupirs

Un roman qui n'est pas palpitant et qui vaut surtout par sa construction originale et quelques phrases bien tournées.
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Le bruit des clefs

La collection "Les affranchis" demande aux auteurs d'écrire la lettre qu'ils n'ont jamais écrite. Très intéressée par le genre épistolaire, j'ai choisi de découvrir cette collection avec ce "Bruit des clés" d'Anne Goscinny.



La question du deuil est évidemment centrale dans cette lettre, car Anne écrit à René, son père trop tôt disparu. Si accepter le départ de son père est difficile, cela devient impossible quand il est encore si présent dans les médias et dans la mémoire des gens. D'autant que parallèlement, Anne doit faire face au cancer de sa mère. Que d'épreuves pour cette petite fille !

Pourtant, il n'y a pas d'auto-apitoiement dans cette lettre. Juste un constat : grandir sans papa, c'est grandir comme on peut, souvent de guingois, en le cherchant constamment dans les hommes rencontrés.

Elle évoque aussi l'origine juive de sa famille paternelle et la question du survivant qui l'a perturbée enfant.



Partager son papa vivant avec Astérix, Obélix, le petit Nicolas ou Iznogoud ne semble pas avoir pesé à Anne Goscinny. Mais partager son papa mort avec des millions de lecteurs est une autre affaire. En écrivant cette lettre, elle donne l'impression de se réapproprier son histoire. Et c'est très touchant.
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Le bruit des clefs

C'est une petite collection des éditions NIL qui propose à des auteurs d'écrire LA lettre qu'ils n'ont jamais écrite.

Anne Goscinny écrit à son papa mort à 51 ans alors qu'elle en avait 6.

Au début elle parle du haut des six ans de la petite fille qu'elle était et qui demandait à sa mère :"mort jusqu'à quand ?"

Elle raconte sa vie avec ce papa qui l'adorait, celui qui disait oui à tout, qui lui a manqué tout sa vie. Celui qui ne l'a pas accompagnée pendant l'adolescence et qui ne lui a pas dit qu'elle devenait une belle femme. Alors les choses n'ont pas été simples avec les hommes.

Elle raconte aussi les origines juives de son père.

Elle reste avec sa mère qui lui parle beaucoup de son père et qui essayait de survivre au cancer qu'elle avait avant la mort de son mari.

Et puis ce jour où elle va menacer ce médecin négligent qui n'a pas écouté son père qui lui disait le jour de sa mort qu'il avait mal.

L' oeuvre, les personnages de Goscinny lui ont survécu , mais elle ne veut pas tout mélanger.

Voilà cette lettre est belle et émouvante, j'en lirai d'autres.
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Le bruit des clefs

Très très beau récit, court et poignant sur la mort du père et le manque, le vide laissé face la brutale disparition. Anne est la fille du célèbre dessinateur René Goscinny. Elle a 7 ans quand son père meurt brutalement, et elle se souvient précisément du bruit des clés quand sa mère est rentrée, seule, ce soir là. Elle devra grandir sans ce père que tout le monde connait ou croit connaître, être une adolescente et devenir femme sans ce regard masculin... Un grand manque évidemment...Bouleversant!
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Le bruit des clefs

Ce petit livre 88 pages ; peu cher 7,50€ est, en plus d’être un opus d’une sympathique collection, très émouvant. C’est une lettre d’une femme, née en plein mai 68, à son père,.décédé d’un arrêt cardiaque le 5 novembre 1977. Elle avait 9 ans, lui 51.

Ce père n’est pas n’importe qui. Scénariste, dialoguiste, humoriste le ou l’un des plus connus, des plus reconnus des scénaristes de la Bande dessinée à travers le Monde (plusieurs millions d’albums vendus à travers le monde) : René Goscinny.

Pour ceux qui peuvent se souvenir : le choc de l’annonce de sa mort. Ce titre à la une de tous les médias « Astérix est orphelin », son papa nous a quittés. Ou encore ce très bel hommage du dessinateur Tabary montrant Iznogoud sortant du bureau de Goscinny « Pourtant, j’aurais bien aimé être calife à la place du calife » Et tous les témoignages à travers le Monde.

Et Anne, dans tout ça ? Elle a 9 ans. Elle est trop jeune pour réaliser. Elle va le faire en retournant en classe.

Ce grand bonhomme nous manque ; mais sûrement moins qu’à ses proches. Mais en le perdant on perdait énormément.

Avec beaucoup de pudeur et de courage Anne Goscinny nous parle de son parcours depuis ce 5 novembre 77. Sans complaisance. Sans sympathie pour elle-même. Elle nous livre son vécu, ses anecdotes qui …. nous font parfois sourire. « Mon Grand-Père est mort mas c’est pas grave, il est rigolo quand même ».

Franchement ça vaudrait presque toutes les biographies du Monde.

On ne sort pas aussi indemne que cela de ce petit fascicule. Et c’est moi a qui on demandait cette lettre…… j’allais dire posthume alors qu’elle est d’aujourd’hui pour un père qui est toujours vivant …. dans notre mémoire.



Ah c'est sûr !! C'est pas du Christine Angot !!!!!
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Le bruit des clefs

Anne Goscinny rend hommage à son célèbre père dans cette lettre touchante. Elle décrit le manque et l'absence , la colère et le déni. Le besoin de remplacer ce père parti trop tôt. Elle entretient son souvenir, imagine qui elle aurai été s'il avait vécu, ce père célèbre qui n'appartient pourtant qu'à elle.
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Le bruit des clefs

Anne Goscinny nous raconte son histoire : celle de cette enfant de 9 ans qui apprend la mort de son père, le dessinateur René Goscinny.

Très jeune, elle ne réalise alors pas sur le moment ce que cette perte tragique signifie.

Puis, le bruit des clés jetées dans l'entrée devient régulier et assourdissant. Il n'y aura jamais plus qu'un seul bruit de clés : celles de sa mère.



La jeune Anne va alors trouver en d'autres hommes des semblants de pères de substitution, la douleur étant trop intense pour accepter la réalité.

Cette réalité qui lui rappelle chaque jour son père, de par les lettres des fans de son père, de par les hommages qui lui sont rendus, de par son œuvre littéraire, etc.



Ce témoignage est bouleversant.

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Le bruit des clefs

Lu Kobo. Petit livre assez émouvant, un peu décousu. Léger.
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Le bruit des clefs

J'ai eu la chance de rencontrer Anne Goscinny à La Nuit Blanche du Livre de La Garenne Colombes (92) il y a quelques jours. Alors ce tout petit volume m'est très  précieux. Par sa dédicace qui est si vraie et qui me touche profondément et par celle qui l'a écrite bien sûr. La fille d'une de mes idoles, celui qui est parti trop vite faire rire les anges, René Goscinny. Je ne l'ai jamais rencontré, alors que ses oeuvres ne me quittent pas, d'Astérix au petit Nicolas en passant par Iznogoud, depuis que ma grand-mère m'a offert il y a loooooongtemps mon premier Astérix, celui où couper 3 parts de gâteau.... me fait toujours rire aujourd'hui. Je les ai tous lus évidemment. Les tintinophiles me pardonneront, je suis un goscinnomane invétéré. 

Quel bel hommage d'une fille à son père, quelle belle lettre d'amour, quel adieu bouleversant ! On est sur le fil entre sourires attendris et émotion, on a le coeur serré devant tant de sincérité, on est là chez lui, chez eux, ce jour-là. Anne Goscinny nous raconte ce moment dont toute la France a parlé et qui fut pour elle, à 9ans, un terrible choc. La mort de Goscinny lors d'un test d'effort cardiaque chez celui qui aurait dû le soigner et qui l'a tué, son cardiologue. Dernier gag dont on se serait bien passé. 

Le déni, le manque, les tentatives de compensation, Anne Goscinny est d'une grande franchise, sa plume est précise et littéraire mais accessible à tous.  On est dans le ressenti, c'est d'autant plus touchant. Ce bruit des clefs quand les parents rentrent et qu'on entendra plus, ce parfum qui s'efface,  cette voix que nous avons encore tous dans l'oreille (et qui tord le coeur des années après ), ce regard pétillant d'un père aimant qui manquera toujours à Anne (et à nous aussi 😉)... ce rire qui cachait chez le scénariste (je préfère auteur, mais elle nous rappelle qu'il ne fut "que" scénariste de BD), qui cachait, disais-je, une souffrance et une histoire familiale que beaucoup vont découvrir ici.

Un petit volume plein de rires et de larmes retenues. Un récit intime qui me rend le grand René encore plus attachant. Il fait toujours et encore partie de nos vies...

Merci Anne pour ce morceau de sa vie. Vous employez un autre mot, je sais, mais c'est à dessein (dessin ? 😉) que je l'utilise. Merci...
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Le bruit des clefs

"Je voudrais décrocher la lune

Je voudrais même sauver la Terre

Mais avant tout

Je voudrais parler à mon père

Parler à mon père" Céline Dion.





"Je n'ai jamais lu un Astérix du vivant de mon père", avouait Anne dans une interview pour "Lire". "De ton univers, tu es le seul mort. Moi j'aurais aimé être l'un de tes personnages : une enfance qui ne finit pas. Une bulle dans une case. C'est tout."





Anne avait 9 ans, quand son père disparait, sa maman Gilberte avait un cancer... Quelques années plus tard, elle lui a écrit, mais le temps ne compte pas quand on pense à nos parents, n'est-ce-pas?





"Aujourd'hui seulement, et grâce à cette lettre dont je veux penser qu'elle te parviendra, je rassemble des fragments. Tu es un puzzle qui ne sera jamais complet. J'examine les pièces et j'attends qu'elles me parlent de toi."





"Maman est rentrée seule à la maison ce jour-là. Vous étiez partis tous les deux. Un seul trousseau de clefs jeté sur le meuble de l’entrée. Tu étais mort. Mort. Voilà."...





"Quand meurt un humoriste, de quoi sont faites les larmes de ceux qui restent ?Cette lettre est la première et la dernière qui t'est destinée. Je t'ai mis en mots sans tricher. Sans inventer. Les souvenirs qui sont revenus sont maigres et peu nombreux mais ils constituent mon trésor le plus précieux. Maintenant, ils peuvent s'estomper, je les ai couchés, là.

Je continuerai à t'inventer. Tu auras encore d'autres visages et d'autres voix. Parce que vois-tu, de cet amour- là, on ne se défait pas."
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Le bruit des clefs

Les éditions Nil dans leur collection "Les affranchis" demandent à des auteurs d'écrire "la lettre qu'ils n'ont jamais écrite". Annie Ernaux, Yves Simon et beaucoup d'autres se sont déjà pliés à l'exercice. Paraît ces jours-ci, la lettre d'Anne Goscinny à son père, René, le créateur, faut-il le rappeler, du petit Nicolas, d'Astérix ou de Lucky Lucke.

"Le bruit des clefs" est un long courrier , foisonnant, d'une fille encore désemparée par la disparition de son père trente-cinq ans auparavant. Elle a tant de choses à dire que les mots se butent, s'entrechoquent, dans un déferlement d'anecdotes, de souvenirs plus ou moins heureux, tendres ou émouvants.

C'est un peu foutraque mais derrière chaque phrase, une émotion difficilement contenue suinte au fil des pages, donnant au lecteur un sentiment de vide intense. A cause de l'héritage laissé par René Goscinny et des nombreux hommages auxquels elle se doit de participer, ce père qui a quitté l'auteur quand elle avait neuf ans, hante littéralement sa vie. Il est toujours présent, faisant perdurer ce manque d'une enfance escamotée et volée doublement, sa mère ayant été atteinte d'un cancer dans les années qui ont suivi. Entourée des héros immortels créés par son père, Anne Goscinny vit, survit peut être, grâce au génie de son père qui la porte, année après année, comme un ange bienveillant.

Quand elle écrit : "De ton univers, tu es le seul mort. Moi j'aurais aimé être l'un de tes personnages : une enfance qui ne finit pas. Une bulle dans une case. C'est tout.", on ressent fortement le chagrin qui l'accompagne. Nous, lecteurs, notre enfance (et notre âge adulte aussi) a été bercée, enchantée par l'humour de son père. Elle, n'a eu que quelques petites années d'un amour formidable et partagé qui s'est brusquement arrêté en 1977.

la fin sur le blog
Lien : http://sansconnivence.blogsp..
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Le bruit des clefs

Un joli livre sur la filiation où Anne Goscinny raconte la mort de son père, son manque de lui.
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Le bruit des clefs

Cette lettre écrite 35 ans plus tard se lit d'un trait. Tout en nuance, elle est empreinte d'émotion et de tendresse. C'est à la fois un hommage au papa et au créateur d'Astérix et du Petit Nicolas.
Lien : http://rss.lapresse.ca/c/336..
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Le bruit des clefs

Dans ce court texte sous forme d'une lettre à son père ( mort brusquement quand elle avait neuf ans), Anne Goscinny nous livre son désarroi de n'avoir pas vraiment pu dialoguer avec ce personnage public qu'était René Goscinny. Pudique et touchant , il s'en dégage un fort sentiment de désarroi, de manque . Merci à la collection Les Affranchis pour ce joli exercice de style.
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