Aude de Tocqueville

J’adore les cartes, les atlas, et fort logiquement tous les ouvrages de la collection d’atlas des éditions Arthaud. Tous, sauf cet opuscule...

Car d’atlas, ce livre n’en a que le nom. Les cartes qui permettent de justifier l’emploi de ce terme sont couvertes d’un étalage de couleurs kaki ou mordorées. L’imprimeur devait avoir des fonds de couleurs militaires issues d’un surplus de commandes du Chasseur français…

Aude de Tocqueville écrit fort bien. Sa plume est agréable. Elle décrit bien, mais à quoi ce rapportent toutes ces magnifiques explications sur ces quelques derniers « espaces vides » de notre belle Terre (nota : l’auteure y ajoute même la Lune, il ne m’avait pas échappé qu’elle est peu peuplée en effet, même s’il m’arrive d’aller y faire un tour dans des moments de lassitude) ?

Le lecteur attend une belle photo, un joli dessin, voire une carte sans souillures de peinture. Il n’a rien de tout cela. Et quel dommage. Tchernobyl ou les Îles Lofoten sont des lieux qui nous parlent et pour lesquels des images nous viennent à l’esprit. Mais que penser de North Sentinel ou du point Nemo (pour lequel j’aurais osé suggérer la photo des restes d’un satellite après son entrée dans l’atmosphère – oui, je sais, je suis difficile) ?

Ce livre d'art se résume en courts chapitres illustrés par des cartes et des dessins sur les cités disparues à travers le monde, par ordre alphabétique de continents et par ordre chronologique aléatoire, du 26 avil1986 (Tchernobyl) au 24 août 79 (Pompéi) en passant par 1572 (Vilcabamba).

Eh oui, les villes, les civilisations apparaissent et disparaissent selon les aléas climatiques, géopolitiques ou autres, souvent par la folie ou la bêtise de l'humanité !

Des femmes et des hommes y sont venus. Ils y ont créé une communauté.

Dans certains lieux, ce sont des civilisations qui sont nées (Babylone, Angkor, Teotihuacan...).

Ailleurs, c'est la soif de l'argent facile qui a permis la fondation de villes champignons et ceci sur tous les continents.

Sans oublier ces endroits promis au rêve, ceux dédiés à l'emprisonnement à vie, et enfin des villes mortes nées.

Dans ce livre, est donc présenté une succession d'ensembles urbains qui se sont développés en quelques années ou en plusieurs siècles et qui sont tombés à un moment ou à un autre dans l'oubli, dans le néant.

Ces villes sont mortes parce qu'elles ont vécu une catastrophe à un moment donné : une invasion, un chaos économique insurmontable, une famine, un phénomène naturel soudain, etc...

Ici, Aude de Tocqueville nous a choisi des des cités bien singulières les unes des autres, avec toute une histoire bien marquante.

Aude de Tocqueville, historienne, nous parle d'une quarantaine de cités "perdues". Par "perdue", le terme se révèle en fait vaste et généraliste. Il y a tout autant de cités mortes et détruites que de villes désertées, devenues fantômes suite à une catastrophe naturelle ou humaine. L'avantage de ce livre, c'est qu'il va loin, fouillant dès l'Antiquité (Pompéï, Babylone, Carthage...) pour ensuite aller jusqu'à la période récente (vous ne vous étonnerez donc pas de voir mentionnées là les tristement célèbres Prypiat et Hiroshima). A chaque fois nous avons un texte résumant l'histoire de la ville à gauche là où la page de droite se charge par une illustration de placer sur une carte la cité et d'en donner un aperçu.



C'est à la fois la force et la limite d'un livre dont on aurait aimé en premier lieu évidemment quelques photos des ruines et vestiges encore parmi nous. Il faut donc compléter notre curiosité en traînant sur le net donc parfois. L'autre défaut étant qu'on pourrait rajouter encore pas mal de lieux (vu le prix un peu cher de ce petit livre, disons-le net) manquants au delà de la décision un peu arbitraire d'en rester à 40 (et pourquoi pas "42" pour la blague, voyons ?). On a Douaumont par exemple, OK mais quid d'Ouradour-sur-Glane ? Pompéï, check mais c'est dommage de laisser passer sous silence Herculaneum, autre ville romaine incroyablement conservée intacte dans la lave, plus petite que Pompéï mais toute aussi belle et surprenante... Vous m'aurez compris, c'est un bon petit livre mais il y avait moyen de pousser plus loin. Pour une prochaine édition réactualisée dans le futur ?
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Même si le livre ce fait vieux, son contenu est presque entièrement d'actualité.

En dehors que quelques musées il y a surtout des monuments, édifices qui eux ne bougent que très rarement.

J'aime beaucoup les descriptions des châteaux, qui ne font pas cours d'histoire et sont assez courtes pour aller à l'essentiel.

Des œuvres d'arts, architecturales sont présentent, également avec quelque lignes explicatives, plutôt appréciables.



En bref, un livre enrichissant, et qui donne des idées de vacances.

A travers le monde des cités de renons ont fait la gloire de leurs époques, l’auteure nous replonge dans ces ères plus ou moins disparues et à travers le monde. Le livre est très bien écrit, on a pleins d’informations allant des coordonnées GPS à des petites informations locales, on a un récit pour chaque lieu avec des détails et de belles illustrations.

C’est un beau cadeau de noël qu’on m’a offert, par contre attention, il n’y a aucune photographie dedans, c’est à vous d’aller fouiner sur le net si vous voulez voir à quoi ressemblait ses villes détruites. Petit plus on a des références à la pop culture (Skyfall, Silent Hill) par moment et j’apprécie toujours.

Merci à Babelio et à l'éditeur de ce petit bijou, grâce à qui, et à Masse critique, j'ai pu mettre la main sur l'Atlas des terres sauvages d'Aude de Tocqueville.

La première chose qui me vient à l'esprit est que ma bonne résolution de lectrices pour 2020 est de diversifier mes lectures: en effet, je pense lire quelque chose comme 98% de romans, et cet ouvrage prouve bien que le bonheur entre les pages peut venir d'ailleurs!

Le livre en lui-même est un bel objet, j'ai aimé son fini et le petit détail de la tranche colorée, je ne sais pas si c'est un signe de la collection, ou juste celui-ci, mais je trouve que cela finit joliment le côté graphique de l'atlas, et j'apprécie les éditeurs qui ont une présentation aussi élégante.

Le contenu,ensuite, et bien il m'a passionnée. J'ai aimé les choix de lieux, fort différents, j'ai aimé les textes, j'ai aimé le choix de n'exprimer les lieux que par des cartes, au lieu du choix qui aurait été plus facile mais tellement moins originale de photos et d'aquarelles. C'est un livre qui fait rêver, un livre qui ouvre l'imagination, un livre élégant et racé, et un livre que je m'imagine bien offrir!

Ce beau livre sur les monuments parisiens est par certains côtés très réussi et par d’autres un peu frustrant.

Le choix des monuments mis à l’honneur dans ce livre ne suscite guère de contestation. Par contre, si certains bénéficient de plusieurs pages, d’autres sont expédiés en une photo suivie d’un court texte. Dans tous les cas, les auteurs s’attardent sur l’extérieur des bâtiments et en détaillent peu l’intérieur.

Ils ont choisi de les présenter par ordre chronologique de construction : des arènes de Lutèce (I er siécle) jusqu’à la reconstruction du collège des Bernardins en 2008. Une logique qui se tient, mais à laquelle manque un petit plan permettant de situer les ouvrages dans Paris, car certaines églises ou anciennes demeures sont parfois méconnues. De même, dans certains cas un plan intérieur sommaire aurait été un complément utile.

La qualité des photos est assez variable. Certaines auraient méritées d’être de vraies doubles pages, un cas trop rare dans ce livre, d’autres déçoivent et se limitent à un aspect « carte postale ». Les textes quoique concis permettent de resituer la construction et les choix faits à l’époque. Quelques anecdotes viennent les agrémenter. On apprend ainsi à propos de l’Institut de France, bâti en 1668, qu’Émile Zola fut recalé vingt-quatre fois à l’académie française et Victor Hugo quatre fois...

En cette période de sollicitations multiples je n'ai encore rien trouvé de mieux qu'un bon livre pour me changer les idées. Et cet Atlas est tombé à point ! Tout en finesse et précision Aude de Tocqueville fait l'inventaire des Terres sauvages de notre planète. Et je l'ai dévoré ! On pourrait penser que ce sont toutes des sortes de paradis terrestres. détrompez-vous ! Jean-Paul Kauffmann qui préface très bien cet Atlas sait de quoi il parle ! La première chose qui m'est revenue l'esprit en reprenant cet ouvrage après ces quelques jours de fin d'année est aussi le point Nemo dans le Pacifique Sud. Un désastre dont je ne me doutais pas. Mais comme il le dit aussi, il existe encore des paradis et de l'espoir sur cette terre ! et peut-être pas tellement loin de chez vous ? en plein Paris. Je suis passée dans le secteur il y a bien longtemps,. Je ne m'en souviens guère. Il s'agit "du jardin Saint-Vincent devenu friche"... elle "ne fait pas seulement rêver" ..."Elle fait aussi espérer" dit-il... Je vous invite à vous y rendre. J'ai aussi aimé reprendre un Atlas plus complet pour situer tous ces endroits, c'est quelque chose que j'aime beaucoup.

Je remercie les organisateurs de Masse critique et les éditions Arthaud pour cet envoi, c'est un cadeau que j'aurai le plus grand plaisir à partager

Ouvrage frère de "l'Atlas des îles abandonnées", on prolonge les voyages sans sortir de son fauteuil, les plus beaux. On s'imagine parcourir les contrées et trouver ces cités que l'être humain a délaissé.

Mon voyage personnel a été d'imaginer ces villes à leurs apogées. Et essayer de comprendre comment elles ont pu être abandonnées, délaissées...

à lire pour voyager sans bouger.

•DÉPAYSEMENT•

🦊 le livre, si bel objet, nous en parlions pour ma dernière chronique. Cet album explore les terres sauvages, celles où tout individu avide d'aventures, aimerait s'y projeter. Par chapitre, voguant de continent en continent, chaque terre est digne d'intérêt. Chaque territoire va vous amener au-delà de l'inconnu, à des températures parfois extrêmes, des climats inhumains, des terrains dangereux, des parties du globe encore peu connues. le point fort de cet ouvrage est qu'il y même toujours une part de littérature dans chaque portrait où un écrivain ou explorateur y est intégré. Après la lecture de chaque chapitre, je n'avais qu'une seule envie. Celle de prendre un billet d'avion et d'aller voir de mes propres yeux ces contrées lointaines. Nulle photo réelle dans cet ouvrage, oui je me suis jeté sur google images pour tenter d'y voir au moins un aperçu. On navigue entre le mont Athos en Grèce où les femmes y sont interdites depuis le XIème siècle, et la Cordillère de Darwin, au Chili où le grand Charles lui a offert son nom. Des territoires escarpés, parfois inaccessibles, on savoure chaque voyage sur deux pages avec une illustration géographique de chaque territoire. On fait connaissance avec des peuples qui vivent parfois dans ces espaces aux conditions extrêmes. Les Hunzas au Pakistan dans la vallée des immortels, d'où est tirée le dernier album de Blake et Mortimer, les Afars dans le désert de Danakil en Ethiopie qui affrontent une chaleur indécente pour récolter l'or blanc qu'est le sel•••

🦊 On apprend historiquement et géographiquement avec ce livre qui va enchanter tous les amoureux de terres inconnues. La qualité d'écriture et la façon de raconter chaque terre, fait évidemment la différence, on en ressort grandi. Je conseille de ne pas lire l'ouvrage d'une traite mais plutôt de piocher quelques territoires chaque jour. Malgré les deux ou trois pages pour chacun des 36 sanctuaires, la multitude d'informations reste dense et je défie quiconque de ne pas vouloir aller encore plus loin dans la connaissance des ces voyages célestes•••

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Illustrations de @karladoefrog

Préface de Jean-Paul Kauffmann



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Dès l'introduction, le ton est donné : Aude de Tocqueville, l'autrice exprime une émotion et une poésie qui m'ont fait comprendre que ce ne serait pas juste un ouvrage listant les cités englouties.

Bien que classées par continent, les présentation d'une ou deux pages sont à la fois précises et pleines d'émotions.

Les illustrations de Karin Doering-Froger exprime cette douceur de l'autrice.

Un très bel atlas qui exprime la fragilité des sociétés humaines autant que la difficulté de garder le souvenir des catastrophes antérieures à cause de la bureaucratie, des guerres et autres.

Merci à Babelio et aux éditions Arthaud pour m’avoir envoyé ce bel atlas très original.

Je ne savais pas trop à quoi m’attendre en le commençant. « Terres sauvages », certes, mais encore ? En fait, cet ouvrage décrit en 3 pages environ des zones de la planète (et un peu plus loin parfois ;) ) qui n’ont (presque) pas été affectées par l’homme. L’auteur décrit Tchernobyl, le point Nemo, les Îles Lofoten… et nous donne à chaque fois un aperçu historique du lieu, des populations qui l’habitent (car oui, « sauvage » ne veut pas dire « désert » !) et de la faune et de la flore, ainsi que des effets des humains sur ce lieu, quand il y en a.

Pour chaque lieu, une carte montre les villes avoisinantes, et une mini mappemonde en face du titre resitue le site (même si elle est un peu petite, et donc difficile à lire).

Par contre, j’aurais aimé avoir une photo, ou un dessin (plus dans le style du livre) du lieu en lui-même. Pourquoi n’avoir pas proposé à un artiste de s’associer au livre pour illustrer l’ouvrage ? Beaucoup de lecteurs, dont moi, aiment avoir un aperçu visuel de quelque chose … ça aide à mémoriser ! Du coup, pour chaque site, je cherchais sur internet des photos du site en question, ce qui m’a permis d’avoir un coup de foudre pour la vallée de la Hunza au Pakistan, qui sans ça se serait perdue au milieu des autres sites.

Comme le souligne le prologue, ce livre permet aussi de prendre conscience des dommages de l’homme sur sa planète. On connaissait déjà tout cela bien sûr, mais par exemple, je n’avais aucune connaissance du Point Nemo… Entre 260 et 300 objets spatiaux (dont Mir) y sont immergés ! Ou encore les tentatives de christianiser les habitants des îles Bonvouloir et les suites de ces essais malheureux. Je ne sais pas si c’est précisément le but de l’auteur, mais c’est réussi. J’espère que ce livre parviendra à persuader des lecteurs moins avertis !

Et enfin, j’ai beaucoup aimé le format, les matériaux de la couverture… Bel objet.

Bref, je suis très heureuse d’avoir connu ce livre (le dernier que j’aurai lu en 2019 en plus :) ) et le recommande.

Beau Livre d'Aude de Tocqueville sur les cités perdues. Après une très belle introduction tout en délicatesse des mots et poésie elle nous transporte dans un tour du monde des cités perdues de Leptis Magna en Lybie à Balestrino en Italie en passant par Sanzi à Taiwan....

Le livre est très intéressant, on apprend des morceaux d'histoire disparus, la violence de la vie et des hommes, les conséquences du temps qui passe.

C'est un véritable plaisir de suivre l'auteur dans son périple

Dans Paris 1945-1975, il est question de Paris bien sûr, mais pas sous l'angle touristique auquel on est souvent habitué. Ici, il est question de société, d'architecture et d'histoire. Vous vous délecterez bien sûr des belles images qui l'illustre, mais pour ma part, ce qui m'a le plus interessé c'est vraiment le texte, riche et varié. J'ai appris beaucoup de choses que j'ignorais sur ma ville.



Saviez-vous par exemple que jusqu'en 1940, l'Avenue des Champs-Elysées était pavée de bois ? Les pavés en pierre que nous connaissons aujourd'hui ne sont apparus que bien plus tard. Connaissez-vous le terme de "hussards", qui définit, dans les années 50, la communauté littéraire qui se constitue en réaction contre l'esprit politique de Saint-Germain-des-Prés incarné par le couple Sartre-Beauvoir ? Ou encore qu'en 1958, à l'ouverture d'un des premiers grands supermarchés "à l'américaine", 90% des clients refusaient l'idée du caddie (alors quatre à cinq fois plus petit qu'aujourd'hui) par peur du ridicule ou des collisions ? Et que certains réclamaient même un sens de circulation obligatoire ?! Dans la même veine, je ne savais pas qu'on appelait les pervenches des "aubergines" (à cause de la couleur de leur uniforme) jusqu'en 1978 !



Un seul bémol à ces compliments, la mise en page et l'organisation du livre. Personnellement, j'aurais carrément préféré un plan chronologique plutôt qu'un plan thématique, peut-être un peu plus scolaire mais qui a le mérite de la clarté... Idem pour le maquettage, qui fait "jongler" le lecteur entre paragraphes de textes et photos.



Cependant, si vous souhaitez vous évader et en apprendre un peu plus sur Paris, je vous recommande cette lecture, divertissante et instructive !



http://manoulivres.canalblog.com/archives/2014/05/25/29898085.html
Lien : http://manoulivres.canalblog..

Un magnifique voyage à travers l'histoire de l'art, accompagné d'un texte très riche et très intéressant, qui nous informe sur la manière dont est perçu et traité l'adultère, de l'Antiquité à la mise en place d'un nouvel ordre amoureux dans la société d'aujourd'hui !
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Peut être que le choix du mot ATLAS dans le titre n'est pas le plus adéquat, si l'on convoque la représentation traditionnelle d'un atlas ni son acception académique dans nos sociétés occidentales. Toutefois, cet ouvrage nous embarque pour le voyage, et, non moins important, il nous fait réfléchir sur la définition du mot SAUVAGE. C'est très utile en ces temps troublés, est ce que sauvage signifie difficile d'accès et non entaché de pollution humaine ? Ou bien sauvage signifierait non défriché et brut ? Il y a selon moi compatibilité.

Au delà de cela, ce livre est empli de beauté racontée, qui donne envie d'aller consulter d'autres atlas existants,

Le parti pris de l'illustration est à mon avis favorable à l'imaginaire, et ces voyages imaginaires nous façonnent selon la formule de Nicolas Bouvier.

Personnellement l'Atlas des terres sauvages d'Aude de Tocqueville m'a fait davantage rêver et imaginer que le dictionnaire des lieux imaginaires d'Alberto Manguel.

Acheté chez un bouquiniste ce guide nous rendit de signalés services lors de nos séjours à Azay-le-Rideau et Blois . Après une introduction générale sur le passé et le présent de la région ,il en étudie les différentes parties : L’Orléanais,Autour de Blois et de Vendôme,le Berry,La Touraine,Le Maine,L’Anjou. Chaque partie comporte une carte,une introduction, et des itinéraires le tout abondamment illustré.L’ouvrage est complété par une « encyclopédie touristique » et un index.