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Critiques de Audrey Calviac (50)
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Il était une fois un conte ensanglanté

Bonjour mes chers déliriens,



Aujourd’hui, je vous parle de « Il était une fois un conte ensanglanté » d'Audrey Calviac et c’est chez Evidence Editions.

L’auteure vous propose un conte fantastique et horrifique destiné plus particulièrement aux jeunes adultes qui en sont les personnages principaux.





Les voyages scolaires ont pu but de tisser des liens, de travailler la cohésion de groupe, de détendre avant les examens… et bien cette fois, ce ne sera rien de tout ça. Cette classe de S2 souffre déjà de quelques tensions et ce séjour ne va rien arranger. Lors de celui-ci, les élèves sont sans le savoir, foncer vers une destination qui va exacerber les rancœurs, les colères, les jalousies. Seuls quelques-uns arriveront à survire à tout ça…. Ou pas !



Je vous le disais en préambule, cette lecture est destinée à de jeunes adultes et la multitude de personnages fait qu’ils n’auront aucun mal à se reconnaitre dans l’un d’eux. Toutefois, cela ajoute une difficulté quant à la compréhension de l’histoire car il m’a été difficile de tous me les approprier. Cependant, cette multitude a pour but également de vous présenter l’intrigue sous divers points de vue narratifs, divers ressentis.

L’auteure va donc vous révéler doucement l'origine de ce conte à travers la façon dont chacun de ces adolescents vit cette épreuve sanglante (et oui vu le titre, il faut s’y attendre) et elle alternera également le passé et le présent pour vous présenter leurs visions des choses.

Cette histoire horrifique traite également des soucis qu’ont les ados à leur âge mais elle se base également sur d'autres valeurs que sont notamment l’amour, la perte de l’être aimé, la famille. J’ai trouvé que ces sentiments étaient vraiment prépondérants et qu’ils apportaient une touche profondément humaines à l’histoire.



Au final, vous avez un conte dans lequel la cohabitation va s'avérer difficile voire impossible et dont l'issue ne sera pas celle à laquelle vous avez droit d'ordinaire lorsque l'histoire commence par ces mots "Il était une fois ..."
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Il était une fois un conte ensanglanté

😊 A la découverte de 😊

Il était une fois un conte ensanglanté de Audrey Calviac

Évidence Éditions



Merci à la maison d’édition pour ce partenariat riche en découvertes.



Une classe de terminale va effectuer un voyage en Suisse dans un cadre enchanteur, histoire de se ressourcer avant le baccalauréat. À l’arrivée stupeur ! Leur charmant hôtel a tout du manoir hanté, cela aurait du leur mettre la puce à l’oreille!



Les adolescents vont prendre la parole l’un après l’autre pour nous conter cette aventure qui va tourner au cauchemar. Entre peines de cœurs et espoirs timides, ils vont petit à petit découvrir ce qui hante ces lieux. Certaines présences tenteront de les prévenir ou de leur venir en aide, mais gare aux autres!



Nous plongeons dans ce conte au milieu de ces adolescents qui se retrouvent confrontés à des êtres d’un autre temps, à une histoire qui a commencé il y a une longtemps et qui va peut-être enfin trouver un épilogue.



Dès le commencement, l’auteure nous plonge dans la tourmente avec de petites phrases, des regrets sur ce qu’ils auraient du faire pour ne pas se retrouver plongés dans cette folie. Sans les avoirs croisés, nous savons déjà que ceux qui « habitent » ce manoir seront sans pitié.

C’est très inhabituel de découvrir une histoire sur un ton plutôt jeune et enjoué, et en même temps une histoire d’horreur. Ce livre pose ses jalons pour vous faire frissonner sans user d’effusions de sang ou de scènes de torture. Tout est dans la suggestion, et c’est bien pire car on imagine tout!

Mais ce n’est qu’une mise en bouche et bientôt leurs problèmes de cœur seront bien le dernier de leur soucis. L’horreur va s’immiscer et s’imposer pour tous. Il va être difficile d’en réchapper.



Le roman est destiné à un public plutôt jeune qui s’identifiera facilement aux personnages du livre, à ces jeunes qui vont bientôt passer le bac, pas totalement des adultes mais définitivement plus des enfants.

Mais dans la suite de son histoire, l’auteure arrive à faire adhérer un public plus large qui appréciera ce roman horrifique qui ne tombe pas dans les litres de sang à gogo et l’horreur à profusion.

Une bonne surprise pour moi et une lecture très agréable.



Pour découvrir ce livre, c’est par ici https://evidence-boutique.com/imaginaire/il-etait-une-fois-un-conte-ensanglante

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Il était une fois un conte ensanglanté

Quand j'ai découvert la couverture et le résumé d'Il était une fois un conte ensanglanté, j'ai de suite été intriguée par le manoir et sa mystérieuse histoire qui remonte à plusieurs siècles.



Le roman raconte l'histoire d'un groupe de lycéens en voyage scolaire, qui se retrouve confrontés à un danger qu'ils ne soupçonnaient pas, dans un endroit auquel ils ne s'attendaient pas du tout (aah les fausses brochures paradisiaques ...). A ce propos, je trouve la classe vraiment très crédible, avec les différents "clans" qui ne s'entendent pas, les disputes, les avis, les personnalités.



Chapitre après chapitre nous découvrons des indices sur cette mystérieuse maison, et sur le secret qu'elle referme. Nous alternons entre les personnages, qui ont tous un rôle à jouer. J'ai d'ailleurs énormément apprécié Yuna et Jun qui sont sans nul doute mes personnages favoris ....



Point positif, l'alternance des points de vue et le récit au passé me paraissaient un peu bizarre au départ ont pourtant rendu la lecture très prenante. Le fait que l'histoire au passé soit entrecoupé de passage illustrant les pensées "actuelles" des personnages rendait l'intrigue encore plus inquiétante : on sait que quelque chose va arriver, mais sans comprendre ! Personnellement ça m'a rendu folle de ne pas savoir ... J'étais à fond dans l'histoire, je l'ai dévoré et n'arrivait pas à m'arrêter. Et ce, jusqu'à la fin, à laquelle je ne m'attendais absolument pas.



En bref, et vous l'aurez compris, c'est une magnifique découverte que j'ai adorée ! J'avais beaucoup de mal à laisser de côté la lecture, et y revenais dès que j'avais quelques minutes de libre.



N’hésitez pas à aller lire nos autres chroniques sur Une Petite Bibliothèque !
Lien : https://unepetitebibliothequ..
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Il était une fois un conte ensanglanté

Je remercie tout d'abord Evidence éditions de m'avoir permis de découvrir ce roman. J'avais très envie de lire un peu de fantastique et le résumé me tentait bien.



On suit une classe de terminal qui effectue un voyage scolaire avec leur professeur en suisse. Alors que la brochure leur promettait un cadre idyllique avec piscine, qu'elle n'est pas leur surprise de découvrir que leur hôtel est un vieux manoir lugubre et isolé ...

Alors que le cadre semble plaire à certains élèves tandis qu'il en terrifie d'autre, d'étranges événements se produisent ...



Dès l'arrivée dans ce manoir, on est directement dans l'ambiance grâce aux différentes descriptions de l'autrice qui permette de visualisé les lieux comme si on y était avec les personnages.

J'ai beaucoup aimé cette ambiance sombre et lugubre qui a fait frissonner la lectrice en moi qui aime les histoires de maisons hantées.



L'histoire démarre tout doucement et le suspense monte crescendo jusqu'à la fin. On se pose énormément de questions au fil des pages. J'ai tout simplement adoré cette histoire.

L'intrigue est super bien maîtrisé et originale. La narration est au passé entrecoupé de passage avec les pensées actuelles de certains personnages. Au début de ma lecture, cela m'a un petit peu perturbé, mais je m'y suis vite faite. Cette narration au passé et avec des passages au présent a rendu cette histoire encore plus captivante, intrigante et inquiétante.



Niveau personnages, on alterne entre beaucoup de point de vue. On découvre cette histoire au travers des yeux d'une quinzaine d'élèves. Je trouve qu'il y a beaucoup trop de point de vue. Par moments, je me suis un peu perdu entre les différents personnages. Personnellement, je ne me suis pas vraiment attaché aux personnages. Peut-être que j'aurais apprécié un peu plus certains si on était centré sur moins d'élèves.



Après les personnages sont très représentatif d'une classe de lycée. On retrouve tous les stéréotypes d'un groupe de lycéen. On a les élèves populaires, ceux qui sont plus effacés, ceux qui sont amis, ceux qui se détestent, leurs histoires de cœur ...



Avec ce roman, je découvre la plume d'Audrey Calviac qui est vraiment très agréable et visuelle. Les descriptions sont super bien écrites et nous propulsent dans l'histoire. On découvre les lieux en même temps que nos personnages et on a l'impression d'être à leur côté.



En bref, une intrigue originale et très bien menée avec une ambiance sombre et lugubre. Une très bonne lecture qui m'a fait passer un excellent moment.
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Il était une fois un conte ensanglanté

Le commentaire de Carole :



Que diriez-vous de partir pour un petit voyage scolaire en Suisse dont l’endroit qui est décrit sur la brochure nous promet un séjour paradisiaque. C’est alors que 23 étudiants et un seul professeur partent et je vous garantis qu’ils n’oublieront jamais leurs vacances. À l’arrivée, ils sont confrontés à un manoir qui est juché près d’un précipice ce qui n’est pas du tout attirant. Pour en ajouter, il y a une panne électrique dû au mauvais temps, rien d’inquiétant, du moins on le pense. C’est difficile de vouloir en dire plus sur l’histoire sans dévoiler les faits marquants, mais du suspense, il y en a tout au long du roman. J’ai aimé dès le départ la description des personnages, malgré qu’ils soient plusieurs, il est facile de les distinguer, mais il faut être attentif. J'ai beaucoup aimé la façon de décrire la relation entre amis, c'est très près de la réalité, il y a des petites amourettes, il y a ceux qu’on voudrait comme amis et ceux que l'on jalouse un peu. Le suspense commence dès leur arrivée quand, traversant un long couloir, un tableau d’une jeune dame paraît bizarre à certains étudiants, mais ce n’est que le début d’un séjour cauchemardesque. Amandine est la première étudiante à être confronté à l’irréel, elle qui est douce et sans aucune malice va changer d’attitude et surprendre ses amis. Tandis que Jun va avoir une voix qui va lui dicter le comportement à avoir, mais d’où vient cette voix et saura-t-il l’écouter à la lettre, sera-t-il assez docile lui qui aime confronter. Les personnages du fantastique ont quelques choses à régler avec ceux du réel, le combat n’est pas près d’être fini. C’est un roman qui m’attirait plus pour le côté horreur que fantastique et ce fut une petite déception, car la description des moments hantés ne m’a pas fait frissonner. Malgré tout, j’ai trouvé l’idée originale, c’est captivant, et même si à chaque chapitre, il est écrit ''game over'' on sait que le jeu n’est pas prêt d'être terminé.
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Il était une fois un conte ensanglanté

Au départ j’ai été attiré par la couverture de ce roman et surtout par son titre. Parfois j’ai des coups de cœur grâce juste au visuel et puis pour l’histoire. On peut dire que celle ci porte bien son nom. Dès le départ, je me doute que les gamins n’allaient pas s’en sortir indemne, ma connaissance de l’horreur m’a assez expérimenté ( non mais en réalité c’est le talent de l’autrice qui a bien installé l’histoire avec ses détails). Il y a des moments lents ( languir le mal rien de tel) et puis ça s’accélère. Cette classe de terminale s’apprête à vivre des moments uniques et magiques mais c’était sans compter sur ce séjour cauchemardesque. Ils ne sont pas épargnés et par moment j’avais envie de pleurer car voilà je n’avais pas trop envie de les voir y laisser des plumes( je rigole, je n’attendais que ça )

Un séjour idyllique dans la belle Suisse qui se transforme en séjour traumatisant. Prenez place, vous n’allez pas le regretter.
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Il était une fois un conte ensanglanté

Une classe de terminale part en voyage en Suisse. En arrivant, ils s'aperçoivent que leur hôtel n'est ni comme ils l'avaient imaginé ni comme sur la brochure. Il ressemble plutôt à un vieux manoir hanté. Et les apparences ne sont pas toujours trompeuses. Très vite, des évènements étranges se passeront.



Pour commencer, je remercie Evidence Editions pour leur confiance et ce service presse.



Bien que ce soit un fantastique young adult, je m'attendais à quelque chose de glaçant, de pesant et un peu tout de même horrifique. Malheureusement, je n'ai retrouvé rien de tout cela.



L'écriture ne m'a pas convaincue, je l'ai trouvée très simple voire enfantine. C'est ce qui m'a premièrement bloquée. Je me suis malgré tout forcée à continuer ma lecture en espérant me plonger dans un récit angoissant. Mais ça n'a pas été le cas. Bien que l'histoire est du potentiel, je n'ai ressenti aucune angoisse, et l'ambiance n'est jamais devenue pesante et glaçante.



Je n'ai pas non plus réussi à avoir une accroche quelconque avec les personnages qui au contraire m'ont tous agacée. Ils représentent chacun un stéréotype de ce que l'on retrouve dans une classe.



C'est une déception pour moi car j'attendais énormément de ce roman et au final j'ai dû batailler avec moi-même pour le lire jusqu'au bout.



J'ai été désagréablement surprise par ce récit qui m'a paru fade. L'histoire en elle-même a du potentiel mais comme je l'ai dit auparavant plusieurs éléments m'ont gênée pendant ma lecture. Pour un récit de ce genre (que j'affectionne), cela a vraiment été une mauvaise surprise.



Lien: https://lamedesmots.weebly.com/fantastique/il-etait-une-fois-un-conte-ensanglante-audrey-calviac
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Il était une fois un conte ensanglanté

Petite, j’adorais les histoires de monstres ou de fantômes. J’aimais me faire peur avec Chair de Poule ou Spooksville, alors quand j’ai vu le résumé de ce roman « Il était une fois un conte ensanglanté », j’ai sauté sur l’occasion pour retrouver ces sensations que j’aimais tant.



On suit une classe de terminale en voyage scolaire dans les montagnes suisses. Ils vont se retrouver face à un manoir lugubre, très différent de ce que promettait la brochure publicitaire. Très vite, des évènements étranges vont se produire. Une famille vit toujours dans ces lieux, cela fait des siècles qu’ils essayent de mettre fin à ce conte ensanglanté finissant dans les larmes et dans le sang.



J’ai beaucoup aimé l’histoire mais malheureusement j’en ressors mitigée. Le début m’a vraiment happé, mais, le nombre important de narrateurs a fini par me perdre. Les élèves de cette classe sont, tour à tour, narrateurs, ainsi que les êtres errants dans le manoir, ce qui fait un total de 16 narrateurs (si je ne me trompe pas). Pour moi, ce fut beaucoup trop, il fallait rester concentré pour se souvenir de qui est qui, qui est ami avec qui, qui sort avec qui etc. Au final, j’ai passé mon temps à revenir sur les pages d’avant pour me remémorer l’identité des différents personnages et on y perd en fluidité.



J’ai tout de même réussi à m’attacher à certains d’entre eux, notamment Jun, Yuna et le jeune Nyuka. Certains personnages sont vraiment intéressants et je pense que j’aurais bien mieux apprécier ma lecture si elle se concentrait sur seulement quelques élèves.



L’écriture m’a tout de même beaucoup plu, les chapitres sont courts, l’histoire est originale et l’ambiance immersive, ça m’a parfois fait penser à la série The Haunting. On a envie de connaître le dénouement de ce conte, mais, vous l’aurez compris, le manque de fluidité au niveau des personnages m’a empêché de l’apprécier pleinement.

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Il était une fois un conte ensanglanté

Au cœur des montagnes suisses est écrit un conte ensanglanté... Etes-vous prêt(e)s à le découvrir ?

Attention : quelques passages sont durs et cruels ++ !



Dans cette histoire, nous suivons vingt-trois élèves de terminale et un professeur lors d'un voyage scolaire en Suisse.

Sur la brochure, l'hôtel où ils vont séjourner semble paradisiaque, avec la piscine intérieure entre autres. Cependant, quand ils arrivent à destination, c'est une toute autre histoire. L'hôtel rêvé s'apparente plutôt à un vieux manoir en ruine, isolé, au milieu des montagnes. Où sont-ils donc arrivés ?



L'écriture est très fluide, entraînante et visuelle. En effet, le décor est tellement bien détaillé qu'on parvient à se l'imaginer. Par exemple, est mentionné ici un couloir aux portraits, on peut facilement le visualiser.



Le temps de narration est au passé, ce qui est judicieux par rapport à la tournure du récit. Les points de vue sont multiples avec principalement les élèves mais on a aussi des interlocuteurs "mystères". Qui sont-ils ? Ces différentes focalisations vont nous permettre de rassembler les pièces manquantes, comme si on avait un puzzle à résoudre. Ce puzzle c'est un peu l'énigme du conte ensanglanté (comme évoqué dans le titre).

À cela s'ajoutent des éléments en italique qui correspondent aux pensées et aux regrets de chaque personnage après coup. Mais après quoi ?



On ne s'emmêle pas entre tous les personnages tant Audrey Calviac maîtrise son intrigue. Néanmoins, j'aurais aimé avoir un petit récapitulatif des personnages à la fin.



Mention spéciale à Jun, mon personnage favori de l'histoire.



On voyage avec les personnages au château de Berthoud ou encore au lac de Thoune.



Au niveau des élèves, je trouve que l'auteure a fait un travail remarquable puisque c'est très représentatif d'une classe. Il y a ceux qui sont amis et ceux qui sont ennemis. Il y a ceux aux caractères forts, ceux qu'on remarque et il y ceux qui sont plus effacés. Il y a ceux qui sont unis grâce à une passion commune (exemple : les passionnés de mangas).

L'auteure met en avant les questions que l'on se pose à cet âge là, notamment sur la frontière entre amour et amitié. Plutôt avouer ses sentiments au risque de perdre l'amitié de l'autre ou bien les garder pour soi ? Il y a alors ceux qui aiment en secret et ceux qui sont en couple...



On embarque directement dans cette histoire. On sent qu'il se passe des choses terribles et irrémédiables.

Délire ? Mauvais rêve ? Réalité ? Légende ? Malédiction ? Ce voyage va vite virer au cauchemar...

Des événements abracadabrants se succèdent. On croit d'abord à un mauvais tour, une farce d'un élève ; mais c'est bien plus recherché et on va le comprendre petit à petit...

Reste-t-il seulement une once d'espoir pour sortir de ce cauchemar ?



L'esprit imaginatif de l'auteure est tel que j'en reste bluffée. Une imagination débordante donc, et j'ai envie de dire une imagination contagieuse tant elle nourrit la nôtre.

Le mystère perdure tout au long du roman et l'auteure ne nous laisse pas une seconde de répit. L'ambiance est sombre et lugubre. C'est surprenant et époustouflant. Et si, en plus, l'amour s'en mêle, quelles seront les répercussions ?



J'ai adoré cette (més)aventure aussi terrifiante que captivante.

J'ai découvert une auteure talentueuse et je vais lire d'autres de ses romans, c'est une certitude.



Si vous aimez la littérature de l'imaginaire, en particulier le fantastique, et plus précisément l'esprit maléfique, château hantée, ou les films d'épouvante, je pense fortement que ce roman pourrait vous plaire.
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Il était une fois un conte ensanglanté

Je remercie Jennifer ainsi que la maison d'éditions Evidence pour ce super "conte" dans le cadre de notre partenariat.



Une couverture qui met dans l'ambiance avec ce manoir sombre et ce ciel rouge sombre appelant à plus de sang. hum pardon, je m'égare. Un résumé qui parle de conte, rien de tel pour m'appâter et me dire que je vais passer un bon moment et c'est réussi !



Une classe de terminale part avec un de leur professeur en colonie de vacances en Suisse, oups pardon, ils partent 10 jours en Suisse dans un lieu magique. La brochure est terriblement tentante, avec un joli home sweet home et de joli drapeau suisse, une description des lieux alentours et un endroit pour dormir magnifique. De superbes photos pour les faire venir jusqu'à ce gite. tout le monde c'est déjà fait avoir une fois avec la brochure terrible ET la réalité qui est bien différente. D'accord, la Suisse est superbe, la montagne, les décors tout est parfait si ce n'est que le manoir est terrifiant, digne des films d'horreurs d'Amityville.



Continue

Game over



23 lycéens d'une même classe arrivent devant un bâtiment qui va les garder durant des heures entières. Si certains tombent amoureux des lieux imaginant déjà des récits terrifiants à souhait, d'autres tremblent déjà de peur de se faire happer par l'entrée. Si seulement ils avaient su à l'avance ce qui allait se passer, ils ne seraient pas restés. Le professeur M. Laurent est tellement enjoué qu'il ne prête pas attention au mal-être de ces élèves et les envoi dans leurs chambres. Les filles d'un côté, les garçons de l'autre. Les lieux sont décrits parfaitement de telles manière qu'on s'y croit. Les différents étages, les escaliers où des tableaux forts sympathiques les observent. Il ne manque plus qu'une histoire terrifiante pour les endormir. Oh, mais pas besoin, ILS sont l'Histoire, ILS font partie intégrante de ce conte ensanglanté, car il n'a pas encore connu de fin. Le fantastique arrive lentement, comme un tueur dans l'ombre qui attend ses proies, alors qu'il s'agit de bien plus que cela. Les murs sont empreints de souffrance et vont tenter de se soulager d'une manière ou d'une autre.



Le récit est découpé en deux parties,« PARTIE I, Au crépuscule de nos vies » et « PARTIE II, Un conte écrit aux griffes ensanglantées ». Une intrigue dont le stress augmente au fur et à mesure des pages. De nombreux chapitres se suivent ajoutant la vision des personnages. Bien entendu, l'auteur ne les met pas tous en avant, mais un certain nombre. Nous suivons Yuna, Alexandre, Jun, Mathis, Inès, Manon, Noémie, Sébastien, Amandine, Joslin, Ayline, Lou, Nolan, Anaëlle, Berthold, Lounie dans un périple qui va bien au-delà des murs. Au final, je me rends compte que beaucoup de lycéens sont présents en première ligne et qu'il m'a été très facile d'être à leurs côtés. Une classe complète, c'est un mélange de filles et de garçons, de groupes d'amis, d'ennemis, d'amoureux transis qui se taisent et d'autres qui se déclarent. C'est un huit-clos où les émotions sont exacerbées en un temps record. Des chapitres courts, très courts apportant un mouvement rapide à l'histoire tout en restant basés sur pleins de petits détails.



Du départ nous savons que certains vont y rester, le fait de parer au passé avant d'entrer dans le vif du sujet, nous savons que nous allons en perdre et donc qu'il ne faut pas s'attacher à eux. Peine perdue, il est difficile de ne as pleurer en même temps qu'eux lorsque l'un de ces lycéens passe de vie à trépas. Oh, ce n'est pas en une fois, non ni même à la vue de tous. C'est bien plus subtil que cela pour éviter que la disparition de l'un ou l'autre d'entre eux ne soit trop perçue. Au contraire, le mal imprégnant les murs est plus malin que cela. Il est capable de prendre son temps, de poser les pions de son immense échiquier en place avec panache afin d'obtenir ce qu'il désire : sa vengeance ! Dans les temps anciens, mais pas si anciens que cela, IL ne voulait pas devenir ainsi. Ce choix ne lui était pas propre et IL compte montrer sa toute puissance afin d'assouvir sa haine. Foncièrement mauvais, IL ne lâchera pas l'affaire ainsi. Pas même lorsqu'ELLE fera tout pour en sauver un maximum.



Continue

Game over



Dix jours en pleine montagne, entourée d'une forêt profonde et prête à tout dévorer sur son passage. Ils auraient dû se parler plus tôt, croire en eux, croire en sa parole au lieu de les prendre pour des fous. Ils sont devenus des pions dans un jeu de massacre et la seule lueur d'espoir ne provient peut-être pas de la lumière. Le plus dur n'est pas de convaincre les autres, mais plutôt de rester tel que l'on est. 17 ans, c'est l'âge des doutes, des permissions refusées, les premiers amours, les amitiés déchirées et puis il y a la nouveauté. Partir tous ensemble permet à la fois de se rapprocher et de casser le groupe qui était pourtant si solide. Il suffit d'un rien pour tout faire exploser et le MAL présent dans ces lieux se repaît de tout ce qui est ombre dans chacun d'entre eux. La moindre parcelle de doute est le déclencheur, la jalousie est un moyen comme un autre d'obtenir un disciple de plus. Chaque faille est exploitée de telle manière que nul ne peut s'y soustraire. Nul ? Hum, pas réellement, l'un d'entre eux est plus fort, pour des raisons qui lui sont propres et je n'en dirais pas plus à ce sujet.



Ils ne s'attendaient pas à ça, à un séjour si traumatisant. Les rescapés ne seront plus jamais les mêmes et c'est bien compréhensible. Avoir survécu à un voyage de ce type n'est pas sain du tout et la fin nous le prouve lorsque l'auteur nous emporte un an après les faits. Mais avant d'en arriver là, les journées sont décryptées les unes après les autres, se mêlant au passé qui a fait de ces lieux des murs de désespoir. Dans une telle habitation, des pièces secrètes sont à découvrir, surtout lors d'une partie de chasse au trésor. Cave, grenier, réceptionniste digne d'un hôtel Transylvanya, couloirs sombres, clients ou habitants impossible à comprendre et ce médecin qui a des techniques de soins particuliers. Il faut se souvenir que nous sommes en pleine montagne, cela signifie probablement que tout est différent. Chaque heure qui passe laisse monter les frissons sur les bras. Des frissons d'appréhension et de peur qui ne s'arrange pas avec les pages qui défilent. Car ces dernières filent à une vitesse folle. Difficile de lâcher le livre, sauf pour dormir et même entre le moment où je l'ai commencé à sa fin, mon sommeil a été perturbé tellement j'étais encore avec eux.



Continue

Game over



C'est exactement ce que j'ai ressenti, le fait d'avoir laissé une partie de mon âme avec eux en plein milieu de la nuit, avec les lycéens. Probablement parce que je suis moi-même animatrice durant les vacances scolaires avec des ados et que là pour le coup j'ai déjà connu ces types de séjours dans la joie bien sur. Sûrement parce qu'en fait j'ai été happé par l'écriture, le contexte et les émotions qui en ressortent énormément. L'action démarre lentement, avec un jeu stratégique des personnages du passé, des moyens impressionnants pour que nul ne se doute de ce qui se passe. Et puis il y a les voix, le contexte qui change, les regards qui se modifient, les caractères changent. Là, il se passe quelque chose, mais c'est trop tard, beaucoup trop tard pour certains d'entre eux. Il ne leur reste plus qu'à se défendre pour tenter de rester en vie. Mais comment faire lorsqu'en fasse de vous il y a ce dont personne n'aurait pu penser ? Ces moments intimes qui reviennent en force, ces doutes, cette jalousie intrusive qui va faire dérailler tel un grain de sable dans une roue parfaite.



Du départ le manoir prend la forme d'un monstre : sombre, ténébreux. Il n'y a nul part pour qu'ils puissent être sauvés. Ce qui au démarrage n'était qu'un simple voyage entre lycéens pour ressouder un minimum la classe, cela devient un sentier rempli d'obstacles où le sang devient un élément capital. C'est éprouvant de les suivre au plus loin de la noirceur de l'être aimé ou non. Ce noir agrémenté de rouge visualisé par les mots sur les murs qui nous entourent. L'impact des mots est tel que même en écrivant cette chronique je suis encore sous l'influence de chacun d'entre eux. La méchanceté n'a plus de raison d'être lorsqu'ils se retrouvent tous dans le même bateau. La peur les fait parler, la différence fait peur et pour des raisons décrites dans le récit. D'une manière générale, j'ai laissé des termes sur les personnages, mais je ne me suis attardé sur aucun. Il y aurait tant de choses à dire sur eux que j'adorerais en parler durant de longues minutes. Je dois admettre que s'il y avait un dérivé avec Jun, je ne dirais pas non (Avant ou après la fin de l'histoire bien entendu). L'originalité vient du MAL, de leur description, de leur vision des choses, de la façon dont ils vivent et le pourquoi ils sont là, sans oublier leurs forces et leurs faiblesses.



Continue

Game over



La violence est bien présente (si personne ne l'avais compris avant... je doute...) Les scènes sont réalistes malgré les silhouettes des personnages. On ressent le sadisme de certains et l'envie de tuer sans douleur des autres. C'est très bien décrit, comme tout le texte d'ailleurs et si facile de visualiser chaque détail, chaque gouttelettes de sang qui jaillit d'une plaie sans oublier la manière dont le MAL est décrit. Ce mélange de passé présent est terriblement facile à suivre et à comprendre le pourquoi. J'avais imaginer une chose, mais c'est encore mieux et le final (avant l'année écoulée) apporte de nombreuses précisions qui sont encore pire que ce que j'avais imaginé. C'était tout simplement génial de plonger dans ce conte qui a enfin vu sa fin arriver. Elle est telle qu'elle est, avec le bon et le mauvais. Il n'y a véritablement pas de gagnants, pas de perdants, juste des personnages qui en ont bavé, qui ont vécu avant de passer à autre chose. C'est difficile de ne pas en dire plus, car je tais volontairement des points importants mais qui doivent se découvrir au fil des pages.



En conclusion, j'ai adoré tout, du début à la fin, l'histoire, le mystère, le passé, le présent, les personnages, les lieux, et je sais que ces chapitres vont me hanter encore quelque temps. Je ne regarderais plus mes séjours de vacances avec mes "gamins" du même œil, c'est plus que certain ! Vous savez ce qu'il vous reste à faire...



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Game over



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Il était une fois un conte ensanglanté

Un immense merci aux éditions Evidences pour l’envoi de ce roman.



Une histoire qui m’a fait frissonné de peur et de délice.



Je vous avoue que je ne savais pas à quoi m’attendre en commençant cette histoire. Si le titre et le synopsis avaient éveillé ma curiosité, j’avais aucune idée d’où l’auteur aller me mener. Et pourtant j’ai adoré cette lecture que je qualifierais d’étrange, effrayante et addictive.



Des terminales partent en voyage scolaire en Suisse, sur le papier, l’hôtel dans lequel ils vont séjourner est idyllique. Et pourtant lorsqu’ils arrivent enfin à destination, il trouve un manoir en piteuse état, sans électricité ni réseaux. Les amateur de film d’horreur seront ravis les autres un peu moins.



Si au début je me suis un peu mélangé les pinceaux avec le nombre de personnages, je me suis vite plongée dans cette histoire horrifique aux soupçons gothique.



J’ai beaucoup apprécié que les personnages (certes nombreux) sont un peu des anti-Héros. Il ne sont pas romancés, n’ont pas de personnalités hors du commun, en fait ils sont normaux, presque banals (se n’est pas péjoratif bien au contraire) ils ont des qualités comme des défauts et c’est ce que j’ai adoré dans chacun d’eux.



J’avoue avoir eut une petite préférence pour Jun et son côté impulsif. Mais il y a aussi Yüna et Sébastien que j’ai beaucoup apprécié.



Les différents point de vue apportent beaucoup de relief au récit, j’ai aimé savoir ce que cette bande de lycéens, pas vraiment amis, ressentent. Et si j’ai l’habitude de lire des thrillers, et des roman horrifique, la peur est pour moi une amie que j’accueille avec plaisir lors de mes lectures. Et ici elle s’est invitée de façon timide, me faisant frissonner par moment.



L’histoire est prenante, et la plume de l’auteur m’a entraîné dans cet hôtel en Suisse, j’ai vraiment eu l’impression d’accompagner les personnages tout au long de l’histoire. J’ai vraiment apprécié la fin de cette histoire qui m’a conquise.



J’ai aussi beaucoup aimé le style d’écriture aiguisé de Audrey Calviac, c’est fluide et bien rythmé.



Une histoire à découvrir, qui vous fera, je l’espère, frissonner.
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Il était une fois un conte ensanglanté

Je vais commencé en disant que j'ai aimé cette lecture, parce que la suite pourrait laisser croire que c'est un loupé.⁣



Donc : j'ai aimé cette lecture. Mais je vais aussi vous dire que j'ai eu un mal fou à comprendre ce qu'il se passait. Les explications claires n'arrivant qu'à la fin, j'ai été larguée tout du long ou presque : à partir du moment où le massacre commence, c'était limpide 😂. Mais avant ça, je me suis complètement mélangé dans les personnages... Qui est qui ? Qui est quoi ? Pourquoi ? ⁣



J'ai compris qui était Lounie à la toute fin, lorsqu'elle explique d'où elle vient en faite. Jusque là, j'étais persuadée qu'Agnès et elle ne faisait qu'une. Ajoutant à ces deux là Ami... Vraiment j'étais larguée.⁣



Pour autant je n'ai pas eu de mal à me glisser dans la classe de ces lycéens. Le voyage était supposé les rapprocher... Ça n'a pas été le cas au contraire : il a été la porte ouverte à tous les reproches, toutes les contrariétés. Et bizarrement, je me suis attachée au seul qui souhaite que personne ne s'attache à lui : Jun. ⁣

Et je suis très triste de n'avoir aucune nouvelle de lui, de ce qu'il est devenu. ⁣



Finalement, c'est une histoire d'amour et de mauvais choix.⁣



Beaucoup, de mauvais choix...⁣
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Il était une fois un conte ensanglanté

"𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑚𝑎 𝑙𝑢𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑠 𝑡𝑒́𝑛𝑒̀𝑏𝑟𝑒𝑠."



J'ai posé les pieds dans ce manoir. Mes yeux se sont posés sur cet amas de pierres aux allures effrayantes et les poils de mes bras se sont hérissés.



Auprès de Yuna et de ses camarades de classe, j'investi moi aussi cet hôtel, prenant possession d'une chambre. Auprès de chacun d'entre eux, je me laissais aller à une soirée piscine ou encore à une chasse aux fantômes. Je regardai les différents portraits du couloir avec des yeux avide de connaître l'histoire concernant ces personnages.



Au fil des pages qui se tournent, on se laisse happée par cette histoire. La plume de l'autrice nous tient entre ses griffes dans son histoire ensanglantée. Les frissons m'ont parcouru lors de cette histoire, j'y repensai la nuit en allant me coucher, lorsque j'entendais certains bruits.



La plume de l'autrice nous emmène dans un univers où la peur doit régner en maître, un univers où les frissons doivent parcourir notre peau. Une plume qui m'a captivé du début à la fin de cette histoire, une fin à laquelle je ne m'attendais pas.



Je regarde ce manoir, les flocons de neige recouvrant mes cheveux. Les dernières pages de cette histoire se tourne. Et quelle histoire !



Et vous, êtes-vous prêt à fouler la neige Suissesse ?
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Il était une fois un conte ensanglanté

Je ne vais ni critiquer ni noter ce livre étant donné que j'en suis l'auteur.

Néanmoins, j'en profite pour apporter quelques petites précisions.



Cette histoire a émergé il y a bien longtemps.

Cela date de la seconde alors que je me noyais dans le monde scolaire d'un lycée ne me correspondant pas.

Je me suis donc plongée dans cette histoire nuit et jour. J'écrivais en journée et pour m'endormir, je m'imaginais la suite de l'histoire.

A cette époque, je lisais énormément de manga. Je pense donc qu'il y a une forte influence de cet univers dans "Un conte ensanglanté".



Je ne l'ai achevée qu'en 2017 - 15 ans plus tard - suite à des publications jeunesses qui m'ont mis du baume au cœur.



Ce n'est qu'en 2020, lors du premier confinement, que je me mets en tête de le publier. Je ne voulais pas le voir dormir éternellement dans mes tiroirs.

L'avoir en version papier dans ma bibliothèque était un rêve de lycéenne et il s'est enfin réalisé. Qui l'aurait cru à l'époque ?

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Il était une fois un conte ensanglanté

Quand j'ai reçu le catalogue des parutions, j'ai été très intriguée par ce roman et par son résumé surtout et je n'ai pas pu m'empêcher de commencer ce SP dès sa réception.



Je vais être honnête avec vous dès le départ, j'ai eu la trouille ! Pour moi il était clairement impossible de lire ce livre quand il faisait nuit. L'autrice a vraiment une imagination des plus débordantes et à réussi à instaurer un climat de terreur avec des créatures des plus terrifiantes et des plus sanglantes.



Ce qui est d'autant plus vrai là-dedans, c'est que j'ai trouvé ce roman hyper addictif, plein de suspense et de rebondissements. Nos héros ont tous presque des allures d'antihéros et sont prêts à tous les coups les plus honteux. Ils se retrouvent seuls mais oublient qu'ils doivent se montrer solidaires...



Audrey Calviac a réussi à me rendre complètement folle mais surtout elle a su me tenir en haleine grâce aux changements de points de vue à chaque nouveau chapitre.



En conclusion, un roman qui ne vous laissera pas insensible et qui risque de vous filer des frissons dans le dos et de vous faire faire des insomnies !



Je remercie les éditions Évidence pour l'envoi de ce SP.
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Le royaume des farfadets

Une petite histoire pour les enfants (adapté pour les dyslexiques) très sympathique dans laquelle nous faisons la connaissance de Maël, un jeune garçon très attachant et au cœur d’or. Un jour, Maël atterrit dans un royaume de créatures fantastiques : le royaume des farfadets. Sa reine lui donne une mission : retrouver son sceptre dérobé par un sorcier. Notre jeune héros nous emmène alors dans une folle aventure, une sorte de quête, accompagné de ses nouveaux compagnons, les farfadets.

La plume de l’auteure est agréable, sans problème de compréhension pour le public visé et totalement entraînante : j’ai eu très envie de suivre l’aventure de notre jeune héros. Le livre aborde des thèmes comme la pauvreté, le travail, mais également le courage, l’entraide et la volonté et, ce, grâce à Maël,

Tout s’enchaîne assez rapidement, sans longueur. Simple et efficace.

Le récit est agrémenté de jolies illustrations qui ajoutent un réel plus à l’histoire.

En bref, je recommande vivement cette jolie lecture toute mignonne.
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Il était une fois un conte ensanglanté

Quand j’ai vu la couverture et le titre de ce roman, j’ai tout de suite été attirée. Je tiens à souligner le fait que ce soit la couverture ou le titre, ils collent parfaitement à l’histoire.

Vu que j’avais pu découvrir précédemment l’auteure avec sa nouvelle « Petite princesse deviendra grande » dans le recueil "La Saint-Valentin ? Pas pour moi !", je me languissais de découvrir cette histoire.

Quand je l’ai commencé, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre.

Dès le début, cette histoire est prenante. Les chapitres sont entraînants et ça nous pousse à continuer à chaque fin. On n’a pas envie d’arrêter, car on souhaite savoir ce qu’il va se passer et comment tout ça va finir.

Ici, nous faisons connaissance avec les vingt-trois élèves de la classe de « terminale S2 ».

La terminale S2 est « une classe à l’ambiance pourrie ». Du coup, tous espèrent que ce voyage pourra arranger les choses. Ça, ce n’est pas certain !

C’est comme ça qu’ils vont se retrouver pendant dix jours avec leur professeur M. Laurent dans « un manoir perdu dans les montagnes Suisses ».

En montant dans le car ce jour-là, ils ne s’attendaient pas à ce qui allait se produire en arrivant sur le lieu de leur séjour.

Alors qu’ils avaient tous la vie devant eux, celle-ci va basculer « dans les ténèbres ». Après ce voyage, c’est sûr, plus rien ne sera jamais comme avant.

Extrait : Le conte ensanglanté avait commencé dès le moment où nos pieds avaient foulé le sol de cet hôtel.

Ce roman est partagé en deux parties. À chaque chapitre, nous avons un point de vue différent, mais des fois, nous retrouvons un personnage vu précédemment.

Vu que les personnages sont nombreux, j’ai trouvé que c’était assez compliqué de s’y retrouver. Surtout qu’en plus on doit trier les informations avec des éléments du passé. Par moments, j’avais du mal à me situer et à me rappeler qui était qui. C’était assez complexe.

Malgré tout, j’ai quand même apprécié découvrir certains personnages comme : Yuna, Ayline, Anaëlle, Alexandre, Sébastien, Mathis et Jun.

Avec cette histoire, l’auteure nous fait clairement sortir des sentiers battus et nous emmène dans un monde auquel on ne s’attend pas. C’est : sombre, dur, éprouvant, mais aussi sanglant. Il fallait avoir le cœur bien accroché.

Même si j’ai eu du mal avec certains points, j’ai aimé retrouver la plume de l’auteure. Les scènes de violence étaient très bien décrites et très réalistes. Je pouvais parfaitement les visualiser. C’était comme si j’y étais. Un grand bravo ! Franchement, c’était bluffant.

Quand je suis arrivée à la fin de ma lecture, j’étais encore sous le coup des mots et des actions. J’avais du mal à réaliser les événements. Difficile de redescendre et retrouver le calme.

C’est sûr, cette histoire va me marquer !

Je vous la conseille !
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Il était une fois un conte ensanglanté

L'auteure a su me captiver et me tenir en haleine, pendant la majorité de l'histoire. Ça plume fluide et agréable ma conte une histoire plutôt lugubre. Je suis plutôt contente d'avoir lu cette histoire et d'avoir pu découvrir une nouvelle plume.



On suit de jeune lycéen qui pour leurs dernières années par voyager en Suisse avec leur professeur. C'est une histoire bien sombre qui se trame dans cet hôtel.





Le seul bémol a été le nombre de personnages présent dans l'histoire, je me suis quelque peu emmêlé les pinceaux au début, mais ça permet aussi de suivre à travers chaque point de vue ce qu'il s'est passé et honnêtement c'est plutôt fou !.

Pour les personnages, j'ai vraiment apprécié Jun et Yuna même si cette dernière était parfois agaçante, elle n'en a pas moins été courageuse et adorable. Les autres ramène forcément quelque chose puisque qu'il font partie intégrante de l'histoire.



A ne pas mettre dans toutes les mains.



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Le royaume des farfadets

"𝐴𝑢 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑖𝑚𝑎𝑢𝑥 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑜𝑡𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑟𝑜𝑙𝑒, 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑟𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑝𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑔𝑖𝑒, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑟𝑎𝑟𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑐𝑐𝑎𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒."



Je me suis plongée dans cette histoire avec envie. Une petite histoire pour les enfants très sympathique à lire. Une histoire qui fait sourire, une histoire qui nous emmène à la rencontre de Maël, des farfadets et autres créatures extraordinaires.



Maël est un jeune garçon attachant, plein de vie, qui nous donne envie d'aller nous amuser avec lui dans la rivière après une journée éreintante. Lorsqu'il part en aventure, il m'est impossible de ne pas le suivre. On a envie de savoir ce que le destin lui réserve.



Une petite histoire de seulement 59 pages qui se lit très vite. La plume de l'autrice est simple, sans soucis de compréhension particulier pour les enfants, elle est fluide et elle est entraînante. Une histoire du soir parfaite pour endormir les enfants, mais une histoire aussi parfaite pour débuter la lecture. Tout ce passe assez vite, mais je pense que pour les enfants, c'est bien, car ça ne traîne pas en longueur.



J'ai vraiment aimé suivre Maël dans sa quête. Une histoire qui m'a bien plu et puis, il y a de jolies illustrations, les enfants vont adorer !



Et vous, connaissez-vous le royaume des farfadets ? Vos enfants ont-ils déjà foulé le sol de ce royaume ?
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La Saint-Valentin ? Pas pour moi !

Le commentaire de Carole :

Vous l’aurez deviné, les nouvelles sont sur le thème de la Saint-Valentin, écrit par 4 auteurs qui ont su me captiver par leurs histoires toutes différentes et intéressantes. Le titre suggère très bien que les personnages n’aiment pas cette fête qui est soit trop commercial, soit qu’elle rappelle de mauvais souvenirs. Nous allons rencontrer la petite princesse qui suite à une déception amoureuse se révolte, suivra la femme médecin qui va être devant un cas assez spécial d’allergie, petit texte qui m’a bien fait sourire. Le suivant qu’on nomme pour le pire et le meilleur, se passe lors d’un mariage et spécifiquement le lancer du bouquet va provoquer un événement drôle. Finalement, nous nous retrouvons dans une boutique de linge pour homme ou la vendeuse est exaspérée de voir les amoureux défiler, mais on lui réserve une belle surprise. J’ai vraiment aimé le thème et la façon dont les auteurs en peu de mots on bien décrit que la Saint-Valentin, quand tu es célibataire, est la fête la plus démoralisante qu’il existe, mais quand nous sommes en amour cette fête est la plus merveilleuse. Merci de m’avoir fait passer un bon moment qui a passé trop vite.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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