Citations de Audrey Pulvar (34)
- Plus je m'attache à contrôler méticuleusement le moindre de ses mouvements, plus je pars à la conquête de l'univers en me libérant de ce qui m'enferme. -
Terre où je m'endors, espace où je m'éveille, qui viendra quand vous serez plus là ?
- La folie, la beauté, la théâtralité, la poésie et l'âme du fil, voila ce qui m'y fait monter. -
- Plus je m'attache à contrôler méticuleusement le moindre de mes mouvements, plus je pars à la conquête de l'univers en me libérant de ce qui m'enferme. -
- Vivre jusqu'à cinquante ans... ? Je n'aurais jamais cru cela possible, pour vous. Et pourtant, ... Or, devinez quoi : vous êtes devenu exactement celui que vous vouliez, ce pour quoi vous avez toujours lutté, vous êtes ce que vous avez toujours dit être : un homme libre ! Libre d'être celui qu'il veut être. -
- Je crois que les auteurs et en particuliers les auteurs de fiction littéraire, ne se rendent pas service à eux-mêmes en commentant leurs propres œuvres. -
- Sans syntaxe, pas d'émotions durable. L'immortalité est une fonction du grammairien. -
- J'ai compris à l'expression des yeux de Camus, à l'exubérance qui éclaira , qu'il touchait à une terre et à des êtres aux soleils jumeaux qui prolongeaient avec plus de verdure, de coloris et d'humidité la terre d'Algérie à laquelle il était si attaché. -
- Voilà un mec qui se prétend musicien ...on joue un demi-ton en dessous et ça l'contrarie !... moi qui n'ais pas jouer, qui suis pas musicien, qui n'ais pas ce qu'est une note et qui ne veux surtout pas le savoir parce que je m'en fous, j'ai changé de tonalité... vas-y ! -
- À leurs cris je me dresse en piétinant d'orgueil.
Que fais-je là ?
Je prends racine, je m'enfeuille et j'entends rire Pan au cœur de ma feuillée...
Je suis un arbre à poèmes : un poémier. -
- Confie toi à voix basse aux eaux sauvages que nous aimons -
- Il faut se hisser sur la plus haute pointe d'un refus inexplicable, déraisonnable, et tenter en grande patience d'inventer un inimaginable lever de soleil. Le rebelle, trop dépendant de ce qu'il combat, ne peut pas faire cela. Le guerrier seul. -
- On ne peut pas devenir fou dans une époque forcenée, bien qu'on puisse être brulé vif par un feu dont on est l'égal. -
Il est un temps pour l'émerveille, et ce fut celui de la découverte de l'écrit.
Ma prière est peut-être de l'ordre de la contemplation... Je n'en sais rien, je ne cherche pas à la catégoriser.
- On ne peut pas devenir fou dans une époque forcenée, bien qu'on puisse être brulé vif par un feu dont on est l'égal.
-Tout au long des longues années j'ai cherché la paix, j'ai trouvé l'extase et l'angoisse, et la folie, et l'isolement. J'ai trouvé la douleur qui ronge la cœur solitaire, mais j'ai trouvé la paix. Pourtant, vieux et près de ma fin, et j'ai trouvé en vous à la fois l'extase et la paix. Vous m'avez donner le repos. Apres tant d'années solitaires je connais enfin la vie et l'amour. Maintenant, s'il me faut dormir, je dormirai comblé. -
Je l'ai cherché - l'amour -, parce qu' il nous délivre de la solitude, de cette affreuse solitude qui amène notre conscience à se pencher en frissonnant sur l'abime insondable et glacé du non-être. -
- j'avais cru que la plupart des gens aimaient presque par dessus tout, je découvris qu'ils aimaient encore plus la destruction -
- Toujours mon esprit critique, aux moments ou je souhaitais le plus qu'il se tut, a insinué en moi des doutes, m'a séparé des enthousiasmes faciles des autres et m'a transporté dans un désert morne -