Ayana Mathis

J'ai que moyennement aimé ce roman. En effet j'ai pas aimé la construction qui pour moi n'en ai pas une. On prend différents moments clé de la famille d'Hattie. D'ailleurs on l'a voit très peu dans ce roman. Je retiens surtout que leurs vies sont difficiles.

Un roman d'une jeune autrice inconnue qui a débarqué sur les tables françaises avec tous les superlatifs, boostés par les commantaires élogieux d'Oprah Winfrey.

L'histoire d'une mère, très jeune, qui a des jumeaux pour arriver au score honorable de 11 enfants qui vont la transformer en une véritable teigne.

Une narration très fragmentée qui suit, à chaque chapitre, le parcours d'un de ses enfants qui brosse le portrait de leur mère.

On découvre ainsi l'histoire d'une famille durant tout le 20ème siècle.

Peu de tendresse envers ses enfants, accaparée qu'elle est par la nécessité de les nourir.

Une prose quelque peu sophistiquée à mon goût compensée par beaucoup de compassion envers cette Hattie.

Intéressant, mais de là à tresser tous ces lauriers ?

Les douze tribus d’Hattie, ce sont les onze enfants et la petite fille d’Hattie, femme noire installée à Philadelphie en 1925. À travers les portraits de chacun de ceux-ci, on découvre l'évolution de la condition des Noirs aux Etats-Unis tout au long du XXe siècle mais aussi les liens parfois tortueux qui unissent frères, sœurs et parents.

Les douze tribus d’Hattie est paru aux États-Unis en 2012 et est annoncé comme le premier roman d’Ayana Mathis. À aujourd’hui, pourtant cela reste son seul roman. Par contre le succès autour de ce roman est totalement mérité.



J’allais vous dire que ce roman est construit autour de douze nouvelles qui auraient presque pu se lire indépendamment, mais en lisant la biographie d’Ayana Mathis, je me rend compte que c’était à la base bien le cas.



J’ai vraiment bien aimé ce roman et ces tranches de vie. Chaque chapitre nous emmène à suivre un enfant ou un petit enfant de Hattie. J’ai trouvé que tous ces chapitres ne se valaient pas, certains m’ont vraiment captivé tandis que d’autres ne m’ont procuré que peu d’émotions.



Ce qui fait de ce livre un grand roman, c’est pour moi en fil rouge, en toile de fond, la mère, Hattie, une femme forte mais abîmée par la vie. Une femme qui avait beaucoup de rêves et d’espoirs. Une femme de caractère, une mère tantôt protectrice, tantôt sévère, mais une mère qui a mis de côté sa vie de femme de nombreuses années. Hattie est le personnage de ce roman et c’est la grande réussite de ce roman.



Les douze tribus d’Hattie, c’est également l’histoire des États-Unis sur une bonne partie du XXème siècle. C’est un roman qui traite de la ségrégation raciale et donc de la place des noirs dans la société. Ceci est également un gros point fort de ce roman.
Lien : https://readlookhear.wordpre..

excellent panorama d'une famille noire américaine où chacun des membres de la fratrie n'arrive à échapper à l'emprise d'une trop forte personnalité maternelle. , Des enfants comme des fruits gâtés et gâchés et sans qu'ils aient eu la possibilité de faire éclore leur saveur propre.C'est vraiment un coup de coeur de lectrice et une découverte

Belle plongée dans l'histoire de cette famille. L'auteur a réussi à nous intéresser à chaque membre de cette tribue sans que cela soit frustrant pour le lecteur. Bravo.

Jeune fille noire en 1925, Hattie fuit, avec sa mère et ses sœurs, le sud des Etats Unis et son racisme pour un état plus au nord, un peu plus tolérant. Chaque chapitre de cette histoire nous transporte dans un temps et parfois un lieu différents, à travers le regard d’Hattie ou d’un de ses douze enfants, dans la réalité du moment et les souvenirs passés nous découvrons les épreuves de cette mère de famille mariée à 17 ans.

Le chapitre Ella a particulièrement retenu mon attention. Ella est le tout dernier né d’Hattys qui a alors 46 ans et une famille nombreuse à nourrir. Nous suivons alors le questionnement et les doutes de cette mère à qui on propose de « donner » cette enfant à sa sœur, stérile…

Belle griffe que celle de Ayana Mathis.



Chaque personnage nous porte et nous enrichit, à chacun sa façon.



J ai beaucoup pensé à La couleur des sentiments en lisant ce livre, il pourrait être sa suite?

Roman découvert lors du Marathon des mots 2016. Un extrait superbement lu par Blandine Bellavoir m'a fait acheter le livre en sortant de la séance de lecture dans la petite chapelle des Carmélites à Toulouse. Une séance de dédicace m'a même permis d'approcher Ayana Mathis...



Je viens de finir la lecture du roman... Les enfants d'Hattie, leur histoire, leur combat, leur désillusion, leur force, leur désespérance... tout à l'image de leur mère et de sa vie déchue...

De sa belle écriture, Ayana Mathis nous présente ses personnages et leur complexité, leur fragilité à travers la difficulté de vivre des gens de couleur, mais pas seulement... à travers aussi la difficulté d'aimer et d'être aimé et à ce lien si fort et si troublant de l'amour maternel... c'est une belle ode à l'amour maternel.

Une saga familiale qui nous plonge dans la condition des Noirs au XXe siècle aux Etats-Unis . A travers La vie de Hattie, de ses enfants et petits-enfants, défile l'histoire américaine . Facile à lire .

Depuis sa sortie et les quelques billets que j'ai lus alors, j'avais très envie de lire ce roman. Les romans qui tournent autour des Afro-Américains m'attirent toujours irrésistiblement, je suppose que j'attends toujours la nouvelle Toni Morrison et en écrivant ça, je me rends compte que je mets la barre bien trop haut. Et donc forcément, je suis déçue. Il faudrait juste que les média arrêtent de comparer l'incomparable. Je peux comprendre pourquoi on aime ce roman même s'il ne m'a pas enthousiasmée mais on ne peut pas le comparer à la prose poétique de Toni Morrison. Lisez Un don ou Beloved et vous verrez qu'on est à mille lieues de ça. Ce roman est divisé en chapitres qui se centrent tour à tour (et ce terme est important car pour moi, c'est l'un des deux grands défauts du roman) sur un enfant d'Hattie, formant ainsi sur la durée un portrait de cette femme qui ne fut pas une mère débordante d'affection. Mais le tout est comme un patchwork et si j'adore les patchworks en couture, je ne les aime pas en littérature. L'ensemble manque pour moi de profondeur et au niveau stylistique, je ne l'ai pas trouvé épatant non plus, à quelques exceptions près.
Lien : http://vallit.canalblog.com/..

Et dire que c'est un premier roman ! Superbe.

la vie de Hattie, femme noire américaine pauvre de 1925 à 1980, à travers les destinées multiples de ses 11 enfants et 1 petite fille. vie conditionnée par la perte de ses deux premiers bébés jumeaux. Réflexe animal de survie, comme une couveuse elle protège ses enfants mais sans aucune tendresse. comment ce manque construit (dé-construit) ses enfants. Le tout sur fond de ségrégation raciale mais aussi de ségrégation noirs riches / noirs pauvres.

On ne le lâche pas. A LIRE !!!

je suis parvenue au bout d'une livre mais péniblement. C'est un ouvrage triste et sans lueur d'espoir

Lien : http://www.laliseuse11.com

Lien : http://www.gallmeister.fr/li..

Original dans sa construction : chaque chapitre raconte une anecdote de la vie d'un des enfants d'Hattie. On avance ainsi petit à petit dans la vie de la mère et de ses enfants.

conseillé par collègues

S'il n'échappe pas à quelques artifices, le roman est bouleversant, écrit rageusement, douloureusement. Comme une espèce d'opéra désespéré.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..