AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Bec McMaster (41)


Je pourrais mourir un millier de fois pour te savoir à l'abri. Même à l'abri de moi.
Commenter  J’apprécie          00
— Je ne suis pas furieuse. C’est encore pire que ça. (Honoria leva la main droite et son anneau en acier étincela à son index.) Je suis tentée de le neutraliser avec la ciguë et ensuite, de le castrer.
Lena pâlit.
— Je ne pense pas que ce serait très judicieux, dit-elle. Et notre seul couteau, c’est celui dont on se sert pour la cuisine. Tu ne vas certainement pas te servir de ça.
— J’envisageais de me servir d’une cuillère, répliqua Honoria.
Commenter  J’apprécie          00
"Elle semblait toujours fâchée malgré tout. Mais elle jeta un regard avide à la tourte. Si seulement elle pouvait me regarder comme ça, songea-t-il en se frottant la mâchoire.
Commenter  J’apprécie          10
Ce n’était pas la première fois qu’une femme reculait devant lui, mais venant d’elle, ça lui fendait le cœur. Il n’avait jamais levé la main une seule fois, jamais haussé le ton… Avec l’enfance qu’il avait eue, dans les rues, où il avait appris la brutalité, où il avait appris à se servir de sa taille pour cultiver une réputation parmi les gangs les plus dangereux… Ça lui avait permis de se protéger, bien sûr, quand sa mère en était incapable. Mais ça lui avait également beaucoup coûté.
Commenter  J’apprécie          30
Tandis qu’elle s’agenouillait à côté de Lena et qu’elle examinait ses blessures, elle ne put s’empêcher de revoir le visage du vampire dans son esprit, qui essayait en silence de former des mots qu’il ne pouvait pas articuler. Ils allaient sans aucun doute hanter ses nuits. " Pitié. Aide-moi. "
Commenter  J’apprécie          50
Elle m'a appris que l'homme le plus costaud ou le plus habile dans le maniement du couteau n'est pas toujours le plus fort ou le plus courageux. Ce sont ceux qui survivent au pire et continuent de se battre.
Commenter  J’apprécie          10
- Il y a plusieurs types de courage, Perry. Parfois, le simple fait de survivre est ce qu'il y a de plus courageux, murmura-t-il en lui caressant le dos. Se reconstruire après un tel traumatisme... Ce n'est pas parce que tu as peur que tu es lâche. En fait, si tu n'avais pas peur alors que tu connais par expérience l'horreur de la situation, tu serais idiote. (Sa voix baissa d'une octave.) Et tu es revenue malgré ce qu'il t'a fait. Avec l'éventualité de devoir de nouveau l'affronter. En réalité, tu forces mon admiration.
Commenter  J’apprécie          00
Il resta immobile, sans pour autant cesser de l’observer.
Une fois qu’elle eut refait entièrement le lit, elle cala des serviettes autour de lui et posa la cuvette d’eau sur la commode à côté du lit. Il parut se calmer pendant sa toilette et ses paupières devinrent lourdes. Rosalind commença à baisser le drap.
Lynch souleva les hanches d’un geste suggestif, le souffle court.
— Non, pas avant que tu ne me sois revenu, murmura-t-elle.
Il plissa dangereusement les yeux.
— Je ne suis jamais parti.

Son côté sombre l’attirait. Rosalind glissa le gant sous le drap et sa main s’empara de son érection. Lynch se figea, le dos raide.
— Tu sais ce que je veux, dit-elle en l’empoignant vigoureusement.
Une vague de chaleur se répandit dans son bas-ventre.
— Et tu sais ce que je veux.
— Tu veux me revendiquer, dit-elle, incapable de détourner les yeux.
Elle tourna le poignet et lui arracha un nouveau halètement. Ses tétons durcirent et Rosalind déglutit.
— Peut-être que c’est moi qui vais te revendiquer ? suggéra-t-elle avec malice.
Elle reposa le gant et entreprit de le sécher avec une serviette sans se presser, en accordant une attention particulière à son sexe dressé. Elle qui avait pensé que l’expression dans ses yeux ne pouvait s’assombrir davantage, il semblait désormais en proie à un désir intense. Il tira sur ses chaînes qui émirent un cliquetis.
— Libère-moi.
— Libère-le, rétorqua-t-elle, avant de soulever ses jupes et de le chevaucher.
Il planta ses yeux impitoyables dans les siens.
— Je suis lui.
— Tu n’es que les ténèbres qu’il a en lui, corrigea-t-elle en se penchant pour déposer un baiser sur son torse.
La peur et le pouvoir mêlés lui causèrent une terrible sensation de vertige.
— Qui est-il, selon toi ? murmura le démon en lui.
Rosalind posa sa langue autour de son téton. Lynch tressaillit.
— C’est un homme bon, murmura-t-elle. Loyal, honnête et courageux.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
Commenter  J’apprécie          00
Il était stupide de s’en réjouir, mais le danger et la mise à l’épreuve de ses nerfs agissaient sur elle comme une drogue dont elle avait été longtemps privée. Elle n’arrivait pas à croire en sa malchance. L’Engoulevent lui-même, en chair et en os. Un homme de l’ombre, un mythe. Rosalind n’avait pu apercevoir distinctement son visage dans l’obscurité, mais l’intensité de son expression ne lui avait pas échappé, et elle avait senti la caresse de son regard sur sa peau. Son adversaire le plus redoutable, un homme dont l’objectif était de capturer et de neutraliser les humanistes. Son apparition l’avait secouée et Rosalind n’était pourtant pas une femme que l’on surprenait facilement.
Commenter  J’apprécie          20
-Il est attiré par moi… ou plutôt par Mercury. Je peux m’en servir. Lynch est peut-être un sang bleu, mais c’est un homme avant tout.
-Seigneur, est-ce que tu t’entends ? Elle ignora Jack.
-C’est parfait. Presque trop parfait. Si je deviens sa secrétaire, j’aurai tout le loisir d’examiner ses papiers à ma guise. S’il est au courant de quelque chose concernant Jeremy et les mécaniques, alors je le découvrirai. Sinon, je disparaîtrai et il ne me reverra plus jamais.
-Encore faut-il qu’il te donne le poste, intervint Ingrid.
-Il le lui donnera. (Jack lui jeta un regard perçant.) Rosa obtient toujours ce qu’elle veut, n’est-ce pas ? Rosalind posa les mains sur le dossier de la chaise et l’observa sévèrement. Il n’en avait pas conscience, mais elle avait perçu une note de capitulation dans sa voix.
-Alors ça veut dire que je retrouverai Jeremy. –
S’il est là-bas. S’il est toujours en vie. Rosalind masqua son trouble. Elle se sentait mieux maintenant qu’elle avait un plan.
-C’est vrai. Mais si c’est le cas, je dois le découvrir. Ce sera le seul moyen pour moi d’avancer. Ingrid fronça les sourcils.
-Tu vas devoir te déguiser.
-C’est l’un de mes talents.
-Même ta taille et ton odeur, murmura Ingrid.
-Trouvez quelqu’un qui a à peu près ma silhouette. « Mercury » pourra faire une apparition pendant que je suis avec Lynch. Ainsi, il ne pourra jamais me soupçonner. L’expression de Jack se durcit.
-Alors c’est d’accord. Mais on fait ça à notre manière, et tu disparais aussitôt que tu sais qu’il n’est pas retenu prisonnier là-bas.
-Marché conclu, dit-elle doucement en sachant qu’elle avait gagné.
Commenter  J’apprécie          00
Elle s’accroupit pour vérifier que personne n’avait été témoin de la scène. Dans le cas contraire, elle serait contrainte d’achever Lynch. Laisse tomber le couteau. Contente-toi de partir et de le laisser seul ici. Sans défense. Une seconde d’hésitation. Ce serait si simple… mais quelque chose l’arrêtait, comme une sorte de culpabilité qui lui était jusqu’alors inconnue. C’était la seconde fois en quelques mois qu’elle laissait la vie sauve à quelqu’un qu’elle aurait dû exécuter. Rosalind jura tout bas et se pencha pour attraper les poignets de Lynch. Elle le tira derrière une chaudière pour le mettre à l’abri des regards.
-J’veux que vous sachiez qu’j’vous ai vaincu, murmura-t-elle en s’agenouillant à ses côtés. Les yeux de l’homme étincelèrent dans les ombres, et la lueur rougeâtre des chaudières se refléta dans leurs profondeurs. Une promesse de vengeance. Elle hocha lentement la tête. Ceci – ce qu’elle avait entamé, ici, ce soir – ne s’arrêterait pas jusqu’à ce que l’un des deux prenne définitivement le dessus.
-Je viendrai… m’occuper de toi… Il parvenait à peine à parler, mais ces mots la firent frissonner. Un serment. Une promesse de mort. Elle tourna les talons et s’éloigna. Le monde était rempli de couleurs vives et l’énergie faisait vibrer son corps tout entier. Elle se sentait vivante, éveillée.
-Alors je vous attends.
Commenter  J’apprécie          00
Tous les individus infectés de manière accidentelle étaient considérés comme des renégats et devaient s’enrôler chez les Engoulevents, ou prendre un poste chez les gardes Coldrush qui servaient la Tour d’Ivoire. Ou alors il leur restait une dernière option : la mort. Lynch avait été le tout premier Engoulevent, mais avec le temps, la guilde entière en était venue à représenter son nom. Les Engoulevents étaient légendaires en ville, évoqués comme une menace pour intimider les criminels au même titre que les révolutionnaires. Pas une seule fois ils n’avaient échoué à attraper leur proie. Jusqu’à aujourd’hui…
Commenter  J’apprécie          00
La lueur des chandelles vacillait dans l’obscurité, illuminant le plafond de sa chambre. Lynch étira les bras et posa ses mains sous sa tête, les yeux braqués vers les ombres qui dansaient au-dessus de lui. Il avait désespérément besoin de dormir, mais il n’y parvenait pas. Il était obsédé par le goût des lèvres de sa révolutionnaire et par la façon dont elle s’était tortillée contre lui, ses jambes enroulées autour de ses hanches. Son sexe gonfla et le pan de sa chemise de nuit tourmentait sa peau sensible. Merde. Il grimaça et retira les mains de sous sa tête. Il ne trouverait jamais le sommeil s’il ne s’en occupait pas. C’était déjà assez difficile comme ça pendant la journée. Sa rencontre avec Mercury l’avait plongé dans une écume de frustration et de désir, et maintenant, voilà que Mme Marberry flirtait avec lui. S’il ne se contrôlait pas, il risquait d’exploser, déchiré par l’envie et le besoin, alors qu’il devait garder toute sa raison.
Commenter  J’apprécie          00
-C’est un risque, admit Garrett. C’est pour ça qu’on l’a attaché. Il ne pourra pas vous toucher, Rosa. (Il hésita.) Mais je crains que vous n’entriez seule. S’il me voit… il réagit mal à notre présence, et j’ai peur que s’il me voit à vos côtés… il se sente menacé.
-Il a peur de vous ? Il marqua une nouvelle pause.
-Pas vraiment.
-Garrett, je vous en prie. (Elle alla jusqu’à poser sa main sur son bras.) Dites-moi ce que vous me cachez.
-Les ténèbres en lui – ses démons, appelez ça comme vous voulez – sont concentrées sur vous, Rosa. Un frisson d’une émotion indéfinie parcourut sa peau.
-Ça arrive parfois avec un sang bleu, ajouta-t-il doucement, quand il désire une femme au-delà de tout le reste. C’est une force impérieuse et possessive. Le besoin de vous protéger, de vous avoir à ses côtés, de… (Il rougit.) Le besoin de vous revendiquer. Je pense que c’est la seule chose qui vous ait sauvé la vie dans les Souterrains. Sa soif de sang était excitée, et par conséquent la facette sombre de son caractère, la partie de lui qui considère que vous lui appartenez. (Une lueur lugubre passa sur ses beaux yeux bleus.) Nous avons tous cette capacité en nous, Rosa. C’était un désastre. S’il disait la vérité, alors elle ne pourrait jamais échapper à Lynch. Il exigerait d’elle plus que ce qu’elle avait à donner.
-Et que se passera-t-il si je ne vais pas le voir ?
-Si nous ne trouvons aucun moyen de le ramener, alors nous… Je serai obligé de l’achever. Une peine immense emplit son regard et elle songea soudain que Garrett valait bien mieux que ce qu’elle avait cru. Un tel acte le détruirait, et jamais il ne s’en remettrait. Mais il ferait ce qu’il avait à faire, car il devait posséder un sens du devoir auquel Lynch ne devait pas être étranger.
-Je vais essayer.
Commenter  J’apprécie          00
Lynch avait envie d’elle. Et pas seulement dans son lit. Il commençait à s’adoucir avec elle, à laisser libre cours à ses émotions. Elle aurait dû se sentir triomphante, mais elle était pétrifiée. Elle le dévisagea, impuissante, le souffle court. Aurait-elle elle-même oublié l’une des règles essentielles dans l’art de la manipulation ? Ne jamais tomber amoureuse de son adversaire. Elle se tenait au bord d’un précipice et risquait de basculer ; elle ne pouvait rester de marbre face aux assauts de Lynch. Si, c’est possible. Et je vais m’y employer. Ses lèvres ne formaient plus qu’une mince ligne dure.
-Je vous dois encore un bouton, il me semble, souffla Lynch en la tirant de sa léthargie. Elle le regarda d’un air captivé retirer le second bouton de son pantalon. Concentre-toi. Elle était ici pour une raison bien précise. -À moi, dit-elle en prenant une inspiration suffisamment profonde pour soulever sa poitrine. Lynch braqua ses yeux gris dessus.
-En effet. Rosalind humidifia ses lèvres.
-Vous disiez être à la poursuite des humanistes. En avez-vous attrapé un seul, monsieur ? Il releva les yeux et les planta directement dans les siens. Elle se demanda si elle n’avait pas été trop loin, trop vite. Ce n’était pas le genre d’homme à se perdre totalement dans la contemplation d’une poitrine. Il pouvait peut-être s’oublier un instant, mais il n’était pas idiot.
Commenter  J’apprécie          00
-J’ai changé d’avis, reprit Lynch. Je ne veux plus de boutons. Je veux des agrafes.
-Des agrafes ? Son corset. Rosalind immobilisa ses mains.
-Des agrafes, confirma-t-il d’une voix ferme.
-Vous jouez gros, monsieur. Elle avait le souffle court. Elle n’arrivait pas à croire qu’il lui demande ça. À quoi diable avait-elle pensé en venant lui rendre visite ? Et pourquoi avait-il fallu qu’elle se lance là-dedans ? Si vous commencez ce jeu-là… J’irai jusqu’au bout. Elle fut parcourue d’un frisson. Elle ne s’était jamais sentie aussi excitée de toute sa vie. Qu’est-ce que tu fabriques ? C’est un sang bleu ! Mais sa conception de l’ennemi et de ce qui le caractérisait avait été ébranlée par ses révélations. Avec ses rares sourires et ses appétits contrôlés grâce à une volonté de fer, elle ne pouvait ranger cet homme dans la même catégorie que les autres. Lynch n’avait rien de comparable avec l’Échelon.
Commenter  J’apprécie          00
Si vous avez l’intention de venir, il vous faut une tenue de circonstance. Ce sera déjà assez difficile comme ça de convaincre les portiers de nous laisser entrer.
-Prenez Perry avec vous, ajouta Garrett d’un air affable. Il faudra peut-être lui expliquer ce qu’est une robe. Perry lui jeta un regard meurtrier.
-J’espère que tu vas t’étouffer dans ton eau de Cologne, gronda-t-elle en se dirigeant vers la porte d’un pas lourd, saisissant le bras de Rosalind au passage.
Commenter  J’apprécie          00
- Vous me dévisagez.
- Peux pas m'en empêcher, répondit-il. T'es faite pour être dévisagée.

Une lueur de consternation passa sur ses traits. Elle fit tourner la fourchette entre ses mains.

- En matière de compliments, c'est un peu trop direct. Mais nous évoquerons cela plus tard, après les questions de base.
Commenter  J’apprécie          20
"On ne peut pas combattre la douleur. Il faut l'accepter pour pouvoir la vaincre." (P.423)
Commenter  J’apprécie          160
Pourtant…Un besoin soudain la gagna. Le besoin de se confier à quelqu’un, même à Adele. Elle retenait tant de choses en elle depuis des mois qu’elle se sentait sur le point d’exploser.
-Je l’ai embrassé, éructa-t-elle. Je ne sais pas pourquoi. Ce n’était qu’un jeu auquel je jouais avec lui. Un flirt. Ca ne voulait rien dire de plus pour moi. N’est-ce pas ? Lena fronça les sourcils. Elle ne pouvait réellement répondre à cette question.
-C’était horrible. Il ne m’a même pas rendu mon baiser. Et quand j’ai arrêté….(ses joues la brûlaient) il ‘ma dit qu’il tolérait mes petits jeux puérils uniquement dans l’intérêt de Blade, mais qu’il préférerait que je ne me jette pas sur lui comme ça. Notamment parce qu’on vivait sous le même toit. Ce souvenir lui noua l’estomac. Il s’était mis dans une telle colère qu’il en avait tremblé. Puis il avait tourné les talons et s’était éloigné sans rien ajouter. Elle parvint tant bien que mal à hausser les épaules avec légèreté à l’intention d’Adele.
-Le lendemain, il déménageait du repaire. Et j’ai décidé qu’il était temps pour moi de revenir dans le grand monde. Il n’y avait rien pour moi à Whitechapel.
-Il ne t’a pas rendu ton baiser ?
-Même pas un peu.
Adele fronça les sourcils.
-Comme c’est étrange. Moi, j’aurais soupçonné tout l’inverse, ma chère. Il n'arrivait pas à détacher les yeux de toi. Et quand Cavendish a essayé de t'attaquer, j'ai bien cru q'il allait le tuer.
-C'est envers Blade qu'il est dévoué. S'il laissait le moindre mal m'arriver, c'est à lui qu'il devrait rendre des comptes. Et à Honoria.
-Hmm (Adele se blottit un peu plus dans le manteau). Je te parie cent livres que tu te trompes.
-Et comment tu veux le prouver ? Demanda-t-elle d'un ton aigre. Je n'ai pas l'intention de lui poser la question. Adele ferma les paupières, un petit sourire aux lèvres.
-La prochaine fois, je suis sûre que c'est lui qui t'embrassera.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Bec McMaster (146)Voir plus

Quiz Voir plus

Déjà un siècle pour ces romans !

Qui a écrit La Prisonnière ?

Agatha Christie
Marcel Proust
Raymond Radiguet
P.G. Wodehouse

8 questions
20 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature anglaise , romans policiers et polars , écrivain , littérature française , classiqueCréer un quiz sur cet auteur

{* *}