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Critiques de Boris Fishman (13)
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Une vie d'emprunt

Je n'avais jamais entendu parler de Boris Fishman avant d'aller à Festival America et d'assister à un débat sur l'Histoire dans la fiction. Cet écrivain à l'humour corrosif et au discours intéressant m'a intriguée et j'ai eu envie de découvrir son roman, qui est de plus son premier. Ce fut une aubaine quand Babelio l'a mis en lot dans sa Masse critique de rentrée.

Boris Fishman est américain mais il est né en Biélorussie en 1979 et il est à présent journaliste. Le roman était prometteur : la vie plutôt compliquée d'un Américain d'origine russe, juif de surcroit et l'idée fumante (et immorale) qui lui vient à l'esprit pour que son grand-père touche une indemnisation était alléchante. L'idée de Fishman est audacieuse (elle n'est pas révélée par la quatrième de couverture mais il l'a révélé lors du débat à Festival America donc je la connaissais avant même d'avoir lu le livre) Seulement voilà...



On comprend bien, dès les premières pages que la famille de Slava est du genre pénible et accaparante (même morte la grand-mère en impose encore et le grand-père, malgré ses quatre-vingts ans, ne perd pas le Nord). On nous raconte comment les petites magouilles entre immigrés, juifs, sur le sol américain leur ont permis de se simplifier la vie. Le tableau est d'un humour corrosif et sans concessions. Puis la vie d'assistant de rédaction de Slava prend le relais et son idylle avec sa collègue, Arianna elle aussi juive et américaine, précédée par des considérations sur les fringues de deux Américains qui fréquentent un bouge appelé Le Kaboul, les fringues des collègues de Slava au Century, des considérations sur les articles qu'il a écrits...



... Le livre m'est tombé des mains au bout d'environ 150 pages. Trop de digressions, trop de détails encombre la narration : on en perd le fil. Peut-être est-ce parce que je voulais à tout prix être dans le vif sur sujet (que je connaissais). Mais sans le connaître, on se demande où l'écrivain veut en venir. Le coeur de l'intrigue tarde trop à venir. J'ai eu du mal aussi, avec son style assez alambiqué. Pas que les longues phrases me rebutent a priori, mais là, parfois, on ne sait plus trop de quoi il cause. A moins que j'ai manqué d'attention, ce qui est aussi possible !



Bref, je suis d'autant plus déçue que j'ai apprécié les interventions de l'auteur lors du débat à Festival America où il avait un discours tout à fait intéressant, doublé d'un humour que l'on retrouve dans ce livre : malgré tout, j'ai réussi à sourire par moments lors de la lecture. Même si ce roman est finalement une déception.

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Une vie d'emprunt

Attirée par les thèmes juifs en littérature, c’est naturellement que mon intérêt s’est porté sur ce livre. Je remercie d’ailleurs les éditions Buchet-Chastel de m’avoir offert l’opportunité de le lire.



J’aurais largement préféré pouvoir en dire du bien, et ô combien je l’avais aimé. Hélas, j’ai calé bien avant le terme de l’ouvrage.



J’ai assez peu goûté à ce dégage la famille de Slava ; possessive, pénible. Bref, des personnages avec lesquels il s’avère difficile de passer un moment.



J’ai longuement attendu que le livre démarre. Et quand il m’a semblé que ce fût le cas, tout cela m’est subitement apparu d’une grande confusion comme si l’auteur prenait un virage à 180 ° sans vraiment prévenir le lecteur. Cela part dans tous les sens, et, il est impossible de cerner le but de l’auteur.



Enfin, l’humour, n’est une denrée que j’affectionne particulièrement en littérature. Ici tout particulièrement, son style, et son ton ne m’ont pas vraiment engagée à persévérer dans ma lecture.



Une déception donc qui reflète soit un ouvrage médiocre, soit un auteur de qualité auquel je suis restée imperméable.


Lien : http://leblogdemimipinson.bl..
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Rodéo

Difficile de s'attacher à cette famille , qui a décidé d'adopter ( d'acheter?) un petit garçon qui après quelques années, reste un mystère.

Je ne garderai pas un souvenir extraordinaire de ce roman assez long, dans lequel Maya, la mère adoptive de Max, occupe toute la place!
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Une vie d'emprunt

Une belle lecture sur le thème de l immigration russe aux Etats unis.

Slava, jeune écrivain en recherche d inspiration et de reconnaissance, se retrouve piégé,par son grand père....

Entre culpabilité et amour pour sa patrie , Slava est bien démuni..

J ai beaucoup aimé.
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Une vie d'emprunt

Né en Biélorussie, Boris Fishman à une envie folle de raconter son pays, la condition juive et l'exode. Alléchant, son roman repose sur la quête identitaire, le passage d'une société soviétique à celle américaine et la place qu"elle occupe dans sa vie. Bien que le thème me semblait intéressant, j'ai été déstabilisé par le style et la relation communautaire du personnage principal. En gros je n'ai pas été séduite et voilà pourquoi...



Slava, assistant rédacteur dans une prestigieuse revue nommé Century est un homme tiraillé par son identité. Juif russe immigré de Minsk, il entretient un rapport ambiguë auprès sa famille demeurant à Brooklyn. Vivant son rêve américain il s'établit à Manhattan et essaie tant bien que mal de creuser son trou, remettant ses rêves d'écrivain au placard jusqu'au jour où sa grand-mère meurt et le ramène parmi les siens. Durant ce séjour impromptu son grand-père lui demande de lui venir en aide sous une forme quelque peu étonnante, écrire une histoire à l'état allemand afin d'obtenir une indemnisation pour les souffrances endurés pendant l'Holocauste. Si le formulaire a bien été envoyé par l'état, malheureusement il le fut pour sa femme quelques jours avant son décès. Requête immorale Slava cède, écoute et écrit et en profite pour faire le point sur sa propre vie, ses aspérités, tout en découvrant les magouilles et les petits arrangements de son grand-père.



Si l'histoire est audacieuse, le style l'est tout autant voir trop. L'auteur peine à terminer ses phrases trop longues où les digressions sont reines, quitte à perdre le lecteur en chemin. Non dénué d'humour, j'ai toutefois eu du mal à m'attacher aux personnages, aux caractères et adhérer au concept communautaire typique américain. J'ai souvent remarqué que cette forme littéraire utilise la communauté pour parler de la société et dénoncer. Cependant il est dommage de se cantonner à la fréquentation d'une seule catégorie de personnes, comme Slava et sa collègue Arianna par exemple, même si je comprends leur proximité historique. Il s'y retrouve dans ses racines, son périple, mais faut-il pour autant se confiner à une seule catégorie?



Honnêtement, cette famille drôle et loufoque à de quoi séduire mais Boris Fishman avec de trop nombreux détails et une intrigue longue à venir rend le roman ennuyeux. J'ai complétement perdu le fil dès le début et ne sais pas où il a voulu en venir et pour tout dire j'ai dû malheureusement interrompre ma lecture, chose assez rare. Dommage car j'aime apprendre les pans de l'Histoire et les périples qui en découlent. Des financiers aux amandes et un thé noir des Frères mariage devraient apaiser ma déception!
Lien : http://bookncook.over-blog.c..
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Une vie d'emprunt

Assez déçue.

J'étais très désireuse de lire ce roman, dont le sujet m'intéressait (au point de le demander en réservation à la bibliothèque centrale de prêt, alors que je dois me limiter de façon drastique, vu tout ce qui me tente ici et ailleurs ! )

Et je me suis ennuyée, me demandant même à un moment si j'irais jusqu'au bout. J'ai fini par accrocher dans les avant-dernières pages !

Le thème est intéressant, vie de cette communauté d'immigrés dans un New York contemporain, ceux qui restent entre eux, ceux qui tentent d'en sortir. L'idée de faire écrire ces lettres, nous permettant de replonger dans le passé, des passés différents, imaginés mais à partir de faits bien réels est originale.

Mais j'ai eu parfois du mal à comprendre où on en était, ou même ce que certaines phrases voulaient vraiment dire. La vie de ce jeune homme ne m'a pas intéressée. J'ai cru que ce ne serait qu'un passage, mais finalement non.

Bref, même si j'ai découvert un pan de New York inconnu de moi, et aimé plonger dans cette communauté, je ne suis pas entrée dans le livre.

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Une vie d'emprunt

Avec ce premier roman, Boris Fishman nous plonge dans l’univers des émigrés juifs russes de New York. Arrivés après la guerre, ils sont parfois considérés avec mépris par les vrais américains, pourtant eux-mêmes issus de l’émigration. Boris Fishman a quitté Minsk pour les Etats Unis en 1988, il est journaliste comme son personnage principal, Slava. C’est donc un univers qu’il connait parfaitement qu’il dépeint à merveille, comme de l’intérieur, les habitudes, la façon de vivre, les racines soviétiques, sont aussi les siennes.

Slava rêve de devenir journaliste, mais en fait il travaille à la rubrique humoristique du journal Century. Pour s’intégrer et se prouver qu’il peut vivre comme un parfait newyorkais, il prend ses distances avec sa famille et son quartier. Un travail sérieux, une petite amie intégrée à la société à laquelle il veut absolument appartenir, il fait tout pour rentrer dans le droit chemin.

Mais le décès de sa grand-mère va le ramener vers sa famille, vers Brooklyn et les rues de son enfance, vers les conflits de famille, les disputes, les grandes tribus venues de Russie, vers les arrangements raisonnables. Et surtout le confronter aux entourloupes de son grand père. Car le destin a voulu que juste à la mort de sa femme arrive enfin LE formulaire. Formulaire de demande d’indemnisation par l’état allemand pour les périodes douloureuses des années d’holocauste et d’immigration vers l’union soviétique puis les Etat Unis. Le grand père va alors demander à Slava d’utiliser ses talents d’écrivain pour aider sa famille et les relations de son grand-père. Au risque de sortir du droit chemin qu’il s’est fixé. Mais la famille, la morale, la reconnaissance envers ses parents, tous ces sentiments sont-ils plus forts que la loyauté envers ce pays qui l’a accepté, ou envers sa petite amie ?

Les thèmes importants comme la filiation, la fidélité et la morale, l’émigration, le devoir de mémoire, sont évoqués mais ne sont pas trop prégnants, ces sujets sérieux traités avec légèreté et humour ne viennent donc pas obscurcir l’histoire. Les personnages sont attachants, même si on a parfois un peu de mal à s’y retrouver, surtout dans la première partie du roman. Au final c’est un roman bien écrit, souvent drôle, décalé, émouvant.

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Rodéo

Rodéo est un roman qui m'intriguait énormément notamment du fait de la présence d'un road trip vers le Montana, voici mon avis.



Ce second roman de Boris Fishman traite de la question de l'adoption, de la quête de ses propres racines, de son identité. C'est une thématique récurrente dans la littérature américaine et il faut donc réussir à sortir du lot pour apporter sa pierre à l'édifice. Tout était fait pour que l'émotion soit présente au travers du jeune Max, de sa personnalité et de sa relation avec Maya, sa mère adoptive.



Je dois avouer que j'ai trouvé l'histoire intéressante surtout dans la deuxième moitié mais que l'émotion n'était pas forcément au rendez-vous. Je n'ai pas réussi à ressentir de l'empathie envers les protagonistes principaux et j'ai été d'ailleurs un peu déçue de voir que Maya était le centre de l'intrigue au détriment de son fils. En effet si les thématiques de l'exil, du sentiment de l'éloignement de sa terre natale sont bien traitées, je n'ai pas trouvé ce personnage vraisemblable par moment.



Ainsi l'histoire dérive entre un réalisme exacerbé et des réactions surprenantes des "héros". Je pensais réellement que Max serait au cœur de tout et pourtant Maya prend vraiment beaucoup trop d'ampleur notamment du fait de sa relation mitigée avec Alex, de ses pensées et introspections personnelles. On comprend d'ailleurs pourquoi elle va chercher à échapper à la monotonie de son quotidien à l'Est au travers d'un voyage vers l'Ouest.



En définitive, une lecture sympathique du fait des sujets abordés mais qui n'a pas su m'émouvoir.



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Une vie d'emprunt

Tout d'abord, je tiens à remercier les édictions Buchet/Chastel et l'oprération Masse Critique du site Babelio. Ils m'ont permis de découvrir une très belle histoire sur le deuil, celui d'un petit-fils pour sa grand-mère.



Le récit s'ouvre sur le décès de la grand-mère de Slava. Son grand-père demande au jeune homme d'écrire une lettre à la Commission d'indemnisation du gouvernement allemand à son nom mais relatant la vie de sa grand-mère. Slava se prête au jeu et se rend compte qu'il ne connait pas bien le passé de sa grand-mère.



Slava est un jeune homme qui a voulu se détacher de ses racines russes et juives ; il a quitté le quartier de Brooklyn où vit sa famille et s'est installé dans le quartier de Manhattan. Il travaille dans un journal new-yorkais à succès, The Century, où il rédige des petites chroniques humoristiques. Il ne voit plus souvent ses parents et grands-parents et ne va quasiment plus à Brooklyn. Immigré russe aux Etats- Unis, c'est toute une partie de son identité culturelle qu'il a voulu effacer pour devenir un véritable américain.



D'ailleurs, on découvre tout un pan de son histoire grâce au récit de sa grand-mère. Il aime sa famille mais celle-ci est très possessive et lui rappelle sans cesse ses origines. Lui, se sent américain et il veut vivre comme tel. Sa famille lui reproche son américanisation mais il va retourner à ses racines grâce à sa grand-mère et trouver le bonheur et l'accomplissement dans l'écriture des lettres d'autres immigrés russes du quartier.



J'ai adoré cette histoire car le personnage de Slava est très attachant ; il est tiraillé par ses origines et sa double identité culturelle, russe et américain. Il aime beaucoup sa famille mais est exaspéré par leurs comportements, surtout celui de son grand-père. Quelques fois intervient sa mère, mais jamais son père. C'est surtout une histoire sur ses origines. Est-ce que celles-ci définissent un être ? Et pourquoi tous les russes ou immigrés forment une communauté fermée à Brooklyn ? Slava est un des seuls à être parti. Cette décision qu'il a prise, il en vient à en douter.



A travers les deux récits, s'entrecroisent la vie de la grand-mère et sa vie à lui. Elle a vécu l'enfer de la Seconde Guerre Mondiale. Il écrit sa vie comme un hommage à une grand-mère qu'il a aimé et qu'il regrette. Dans le récit de sa grand-mère, j'en ai appris davantage sur la Russie - surtout la Biélorussie, à Minsk - et sur ce qu'il s'y est passé pendant la Seconde Guerre Mondiale. J'ai même eu un aperçu de l'URSS de la Guerre Froide sur ses habitants et sur leur manière de vivre durant cette période. On est très loin des discours des manuels scolaires d'Histoire ; Boris Fishman a voulu faire dans le vrai et ça marche. Il a agrémenté le tout d'une bonne dose d'humour et de dérision.



En bref, j'ai bien aimé ce roman qui m'a fait voyager dans la Russie du XXème siècle et dans le New York actuel. J'ai plongé au cœur de cette communauté russe de Brooklyn et ai découvert leur esprit communautariste et la vie des jeunes issus de ces populations d'immigrés russes.
Lien : http://inthestartingblocks.b..
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Une vie d'emprunt

Slava n'échappera pas a son histoire, même si son intégration new yorkaise semble aboutie. Les événements familliaux l'aideront à trouver l'essentiel
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Une vie d'emprunt

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Le festin sauvage : De la Minsk soviétique au..

C’est une famille juive assez typique, qui a émigré de l’Ukraine soviétique quand l’auteur avait 9 ans. Avec ce que cela implique d’amour envahissant et de détestation, d’humour, de lucidité.



Eux restent là-bas de cœur. Lui ne sait jamais trop s’il est de là-bas ou d’ici.



Ils traînent leur mal-être dans cette ville de New-York où ils espéraient trouver la félicité. Et ils mangent. Ils mangent, et cuisinent - et partagent leurs recettes avec la lectrice.



Parce que la grand-mère a longtemps failli mourir de faim sous Staline, parce que la nourriture c’est le lien, cela remplit l’âme quand l’esprit se sent vide, cela guérit le corps, c’est une joie du partage, c’est l’ultime trésor sauvé de leur pays d’origine.



Passez à table et vous ne serez pas déçu·e, vous en ressortirez papilles, cœur et cerveau exaltés !
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Une vie d'emprunt

Slava Guelman est arrivé de Minsk (Biélorussie) dans son enfance, et n'a aucune séquelle de son passé ni de son bagage familial. il est ce qu'on appelle "parfaitement intégré". Il rêve de gloire, de publier un article pour le journal "Century" dans lequel il travaille. Or, hormis être le souffre douleur de son boss et stagner parmi les assistants, il ne se passe rien.



Mais un jour, sa grand-mère décède, et il doit alors renouer avec sa famille, avec laquelle il avait coupé les ponts depuis de nombreuses années. Ainsi l'histoire de ces derniers, de l'holocauste et des pogroms va remonter à la surface et s'imposer à lui. Afin de venir en aide à son grand-père (Génia Guelman), il va devoir se documenter sur cette terrible période et se rapprocher ainsi de sa grand-mère (Sofia),



Il va alors partager sa vie entre Manhattan où il vit, son travail à Century et sa petite amie Arienna, mais aussi à Broolyn, le quartier russe où vit sa famille et Vera, son amie d'enfance, vecteur de renouement entre leur 2 familles. Son grand-père va l'aider à faire exploser ses talents d'écrivain (à de mauvaises fins) pour venir en aide aux siens.



Mon avis:



Mon auteur préféré étant Albert Cohen, j'ai plongé avec grand bonheur dans ce roman qui m'a fait retrouver Solal au travers de Slava (l'un secrétaire général à l'ONU Genève, l'autre assistant dans un journal new-Yorkais) et la famille juive, traumatisée par leur histoire: les Valeureux (de Céphalonie, Grèce) vs la fmaille de Slava (Brooklyn, émigrés d'Ukraine et Ouzbékistan).



Quant à la partie à Manhattan, dans son journal, j'avais l'impression de retrouver l'univers de Charles Bukowski et j'ai adoré ça.



La combinaison de ces 2 univers est tellement réussie, c'est un bonheur! L'histoire, elle, m'a émue. Je ne pense pas qu'il faille forcément avoir cette sensibilité, mais en ce qui me concerne, c'était gagné d'avance. J'ai adoré votre univers Mr Boris Fishman et j'ai hâte de découvrir vos autres oeuvres. Merci pour "Une vie d'emprunt' et je vous souhaite tout le succès que vous méritez pour ce roman!
Lien : https://lesnourritureslitter..
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