Cali Keys

Aimer quelqu’un, c’est aussi être capable de lâcher prise et de ne pas vouloir tout contrôler en permanence.

Lisa je ne sais pas ce que je ferais sans toi.

Oh tu finirais par manger les croquettes de Blanchette et tu deviendrais une de ces petites vieilles qui radote leur jeunesse qui a filé trop vite. Tu parlerais au mur et à tes toiles. Et a peut-être que tu finirais par peindre ton propre chien en bleu et que tu deviendrais célèbre par cette œuvre sur pattes la première peinture vivante que tu pourrais promener à Central Park.

Je ne te promets pas d'être toujours là pour toi parce que parfois la vie choisit à notre place, mais je te promets de tout faire pour te rendre heureuse aussi longtemps que je vivrai sur cette terre. Je ne te promets pas d'être parfait parce que je ne le suis pas, mais de travailler sur mes défauts pour qu'ils ne prennent jamais le pas sur mes qualités. Je ne te promets pas que le chemin sera facile, mais d'essayer de toutes mes forces.

Ce qui se passe à Hawaï reste à Hawaï, c’est bien connu.

Il suffit d'un messaqe pour nous replonqer dans nos abîmes les plus profonds et les plus douloureux.

La grande roue, c'est comme la vie. Quand on est tout en haut, il faut en profiter, peu importe le temps que cela dure. On redescendra encore puis on remontera encore.

Je sais que notre aventure à Saint-Malo n'est qu'une parenthèse. Une parenthèse où des âmes cassées se recollent et se réparent pour avancer.

Quand quelqu'un devient votre repère, votre tout, votre confident, ami, amant, compagnon... On se demande si on parviendra à fonctionner encore seul après son départ.

Votre impertinence n'a d'égal que votre incompétence.

Toi, je ne sais pas, mais moi, je n'ai pas envie de crever.

les menaces c'est la marque de fabrique des faibles. En ce qui me concerne, je te donne simplement une information.

J'avais oublié à quel point un bébé qui dort possède un don merveilleux et magique: il vous apaise;Mais Eva m'offre un cadeau encore plus précieux, elle apaise mon âme, mon esprit, mon corps.
Elle dilue mon tourment. Elle terrasse mes démons et me donne de l'espoir.

- Qu'est-ce qui t'effraie à ce point ?
- L'amour.
- Pourquoi ?
- Une fois qu'on le perd, on n'a plus rien. On n'est plus rien... Aimer, c'est accepter de se rendre vulnérable, de ne plus rien maîtriser.

Mélissa est rentrée dans un drôle d'état pendant la nuit. Si je le sais c'est que je l'ai croisée en allant aux toilettes et qu'elle avait l'air préoccupée dans sa conversation avec les rideaux du salon.

L’impatience est l’un de mes pires défauts. Si j’omets le fait que je suis également gourmande, trop enthousiaste, trop familière, trop dépensière, psychologiquement handicapée dans mes relations avec les hommes, et tueuse en puissance. Avec des chaussettes.

Ceux qui quittent la vie ne meurent pas vraiment tant qu’il y a des gens pour se souvenir d’eux.

J’espère que je garderais cette âme d’enfant quand j’aurais leur âge, la vieillesse ne me fait plus peur depuis que j’ai fait la connaissance de mes voisins.

Le petit vieux et la petite fille regardent la mer, le regard tourné dans la même direction, on dirait qu'ils y voient les mêmes choses, les mêmes rêves, les mêmes horizons. Une vie les sépare et pourtant, ils ont l'air aussi proches que des âmes soeurs.

- Pourquoi ne pas lui confier ce que cous avez sur le cœur et lui expliquer, tout simplement ?
- Alors c’est ça, être adulte ?
- Je crois bien que oui.

J'ai ajouté de la décoration et des tableaux sur ses murs, j'ai ajouté de la vie à ses sols tout gris, j'ai saupoudré notre existence de rire, de rêves et de pâtisserie, mais ses vieux démons étaient toujours là, tapis dans l'ombre.