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3.76/5 (sur 230 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Londres
Biographie :

Caroline Lawrence est une écrivaine américaine, connue pour sa série Les Mystères romains.

Elle est née à Londres, mais ses parents, américains, retournèrent aux États-Unis peu après, et elle grandit en Californie (à Bakersfield). Son père était professeur d'anglais et de théâtre et sa mère artiste.

A 12 ans, sa famille déménagea à Stanford University (Californie) pour que son père étudie la linguistique. Caroline hérite de son père l'amour des mots et de sa mère l'amour de l'art. Elle étudia donc les lettres classiques à Berkeley. Elle obtint une bourse d'études pour Cambridge (Angleterre), où elle étudia au Newnham College les arts classiques et l'archéologie.

Après Cambridge, elle resta en Angleterre et étudia l'hébreu et les "Jewish Studies" à l'University College London. Elle enseigna le latin, le français et l'art dans une école primaire à Londres.

En 2000, elle écrivit "Du sang sur la Via Appia", le premier tome d'une série d'aventures pour enfants, situées dans la Rome Antique. Les Mystères romains combinent son intérêt pour l'art antique, les langues mortes et les voyages.

La série a remporté de nombreuses récompenses et a été traduite dans plusieurs langues.
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Bibliographie de Caroline Lawrence   (24)Voir plus

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Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
Les pieds sont la partie la plus honnête du corps parce qu'on n'a pas toujours conscience de ce qu'ils font.
Si la personne se tient face à vous mais que l'un de ses pieds ou les deux en sont pas dirigés vers vous, c'est qu'elle n'a pas réellement envie d'être avec à vous.
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Je regardais la porte. J'avais peur, j'avais faim, j'étais crevé. Mes parents adoptifs s'étaient fait tuer et scalper à cause de moi. Je ne possédais rien à part un couteau en silex, un Bouton de détective et des habits qui me faisaient repérer comme un criquet sur un bol de riz. Sans compter les trois desperados qui voulaient me faire la peau.
J'en étais à me demander si les choses pouvaient encore empirer.
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Ostia, la ville où vit Flavia, est la zone portuaire de Rome. Elle est parfois, tôt le matin, noyée dans la brume.
C’était le cas, ce matin-là, celui de l’anniversaire de Flavia. Trois jours avaient passé depuis qu’elle avait retrouvé la bague de son père. En guise de cadeau d’anniversaire, Marcus Flavius avait proposé à sa fille de l’emmener chez un orfèvre. Peut-être pourrait-elle vendre le petit trésor qu’elle avait trouvé dans le nid de la pie.
Le soleil venait de se lever quand Flavia et son père quittèrent la maison. Ils descendirent la rue des Boulangers, tout embrumée, en direction du fleuve.
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Ma mère indienne m'a appris à ne jamais m'appesantir sur le passé, ni penser au futur. Elle répétait toujours "Il n'existe pas d'autre Jour qu'Aujourd'hui". (Sauf qu'elle le disait en lakota).
Quand j'ai raconté ça à ma mère adoptive, elle m'a répondu : " Je ne pense pas que ta mère indienne t'ait appris cela. Je crois que c'est dans ta nature. J'irais même jusqu'à dire que c'était dans sa nature à elle aussi".
Puis Ma Evangeline a ajouté : "Ca reste malgré tout une bonne vision du monde. La vie fait moins souffrir si on la vit au présent".
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Elle m'a servi une tasse de café puis m'a indiqué un canapé où m'asseoir.
- Ton enquête avance bien, dis-moi ?
- Je viens de parler à la Grosse Gussie et à ses Filles qui m'ont dit que Sally possédait beaucoup de bijoux. Par contre, l'Avis de Vente aux Enchères n'en cite pas un seul. Est-ce que vous pensez que Sally a pu surprendre un cambrioleur chez elle le soir du meurtre et qu'il l'aurait étranglée pour la faire taire ? C'était peut-être ça, son mobile.
- Non, Sally avait vendu tous ses bijoux il y a de ça un mois afin de pouvoir s'acheter son joli petit boghei et ses deux chevaux. Elle n'avait pas grand chose dans sa crèche qui aurait pu attirer un voleur.
- Mais si le vol n'est pas le mobile, qu'est-ce qui a pu pousser un homme à la tuer ?
- Elle s'est choisi un métier dangereux... a estimé Zoe Brown. Les hommes sont vite saouls, jaloux ou en colère. En plus, Sally avait une particularité qui la mettait en danger : c'était une vraie langue de vipère, plus piquante qu'un bonbon acidulé. Je l'avais pourtant prévenue...
- C'est quoi, un bonbon acidulé ? ai-je voulu savoir.
- Un bonbon aigre-doux - à la fois sucré et acide.

Là, elle s'est levée pour aller prendre un sachet en papier sur la malle-qui-servait-de-table & me le passer. A l'intérieur, il y avait des bonbons jaune pâle, gros comme des billes et très durs.
- Goûte, m'a proposé Zoe Brown.
J'ai pris une bille jaune et l'ai fourrée sous ma langue. Elle était sucrée, mais en même temps tellement acide que ça me crispait la mâchoire.
- Sally était pareille, a repris Zoe Brown. Elle avait une langue acide dont elle n'hésitait jamais à se servir. Certains hommes n'appréciaient pas franchement qu'elle leur dise ce qu'elle pensait d'eux.
J'ai noté cette information dans mon Carnet de Détective.
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- Et vous, vous avez déjà tué, ai-je demandé à Stonewall.
- Dis-moi, P.K. est intervenu Jace, tu interroges toujours les gens de cette façon ?
- Je ne comprends pas.
- Tu ne peux pas balancer une question comme ça à la figure des gens. C'est comme un acte de guerre. Soit la personne jette les armes et s'enfuit, soit elle se fige, soit elle riposte. (Il a tiré une bouffée de son cigare avant d'ajouter :) C'est peut-être pour ça que Hamm t'a frappé.
Ne sachant pas quoi dire, je n'ai rien dit.
- Mieux vaut tenter l'approche indirecte, a-t-il poursuivi. Une manoeuvre de contournement, comme on dit dans l'armée. Si tu veux savoir où telle personne se trouvait vendredi soir, demande-lui s'il lui arrive de se rendre au Melodeon, ou d'assister à des combats de chien, le soir.
- Il y a des combats de chien, à Virginia ? me suis-je étonné.
- On s'en moque. Tu comprends ce que j'essaie de te dire ?
- Oui, ai-je répondu en hochant la tête. Ne pas attaquer directement.
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Je me demandais : "C'est quoi cette ville où ceux qui ne veulent pas vous tuer cherchent à vous embrasser ?"
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Quelques minutes plus tard, ma propriétaire a encore toqué à ma porte et m'a apporté de nouveaux paquets, dont un grand qui était plat et rond.
- Un garçon de chez Philips & Ashim vient de les livrer, a-t-elle annoncé. Mais pourquoi diable as-tu acheté des habits de deuil pour dame, avec cerceaux et corset ?
- C'est mon déguisement de Veuve Aveugle, lui ai-je révélé en défaisant le plus petit paquet.
Lui montrant les lunettes bleu foncé, j'ai précisé :
- J'ai l'intention de me faire passer pour une veuve mexicaine du nom de Consuela Laruse. L'origine mexicaine expliquera ma peau foncée. Et le fait d'être veuve expliquera que je ne sois pas accompagné. En plus, étant aveugle, je pourrai m'asseoir et observer tranquillement tout le monde sans qu'on me soupçonne d'espionnage.
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Ma mère adoptive, Ma Evangeline, disait toujours que quand Dieu vous octroie un Don, il vous plante en même temps une Epine dans les côtes pour vous apprendre l'humilité.
Mon Don, à moi, c'est d'être super fortiche pour certains trucs.
Par exemple, je sais lire & écrire, et je suis un crack en calcul mental. Je parle l'américain & le lakota, et aussi deux, trois mots de chinois & d'espagnol. Je sais tirer au pistolet & monter à cheval avec ou sans selle. Je sais pister, abattre & dépecer n'importe quelle bête, et même la faire cuire sur un feu que j'allume sans allumettes. Je sais quelles herbes font passer la migraine.
J'arrive à entendre les cris d'un bébé caille dans un buisson d'armoise ou une souris qui court dans un placard.
Je sais dire ce qu'un cheval a mangé rien qu'en reniflant son crottin.
Après, mon Problème, c'est que je ne sais jamais dire si une personne est sincère ou pas quand elle sourit. Je ne reconnais que trois émotions : le bonheur, la peur et la colère. Et encore, des fois je me trompe.
Des fois, même, je n'arrive pas à reconnaître une personne que j'ai déjà vue. Pour peu qu'elle ait changé de coiffure, ou que l'homme se soit laissé pousser la barbe, ça me perd.
C'est ça, mon Epine : les gens m'embrouillent.
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J'aime beaucoup ce livre car il y a énormement de suspens et j'aime aussi que ce soit une histoire d'argent et d'enquête. L'histoire part d'une amitié avec plusieurs crimes de chiens. J'aime car ils ont suspecté un monsieur au debut qui n'avait rien a voir avec l'un de ces crimes. Ils l'ont suspecté pendant assez longtemps. Une esclave qui ne savait pas du tout parler leur langue va l'apprendre tout en les aidant dans les enquêtes. Un enfant que Flavia aurait presque trouvée. Il avait la langue coupée,il ne pouvait pas parler,il était seul sans amis,sans famille,sans logement.
Ils apprirent tous à ce connaître. Celui-ci les aida aussi dans les enquêtes. Mais j'aime moins parce certains personnages sont très détaillés et d'autres moins. Il y a aussi beaucoup de personnages moins importants que d'autres comme le père de Flavia car il est présent
à des moments importants et on ne le voit plus pendant un bon moment.


Stacy
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