Caterina Zandonella

Le père de Menglu est un célèbre calligraphe qui désespère devant la maladresse de sa fille : jamais elle ne pourra reprendre son atelier. Mais lorsque une vieille dame lui vend un pinceau magique, tout un univers fantastique s'ouvre à elle...

Un magnifique conte chinois sur le pouvoir des mots qui permettent, lorsqu'on les maitrise, de s'évader et de donner vie à un monde rempli de créatures oniriques.

L'histoire est pleine de poésie et de magie et les illustrations à l'aquarelle et à l'encre de chine sont tout simplement superbes.

Un vrai coup de cœur pour cet album !

Menglu a du mal à se concentrer au grand désespoir de son père, calligraphe. Mais un jour, une vieille dame lui vend un pinceau magique.... Elle va découvrir le pouvoir des mots et tout un univers va s'offrir à elle...

Un album vraiment magnifique avec des illustrations sublimes !!!

A découvrir absolument

Résumé : Le vieux calligraphe aimerait bien que sa fille reprenne son pinceau à sa mort, mais celle-ci n’est pas assez attentive pour cet art. Jusqu’au jour où une ville dame lui offre un pinceau magique. Alors les mots se dessinent et en prenant vie, ouvrent la page d’un nouveau monde.



Le mot de la fin : Un coup de cœur pour cet hymne au mot et à l’écrit. Cet album contient beaucoup de poésie et de douceur. En plus il m’a fait découvrir la maison d’édition Marmaille.
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Un gros coup de coeur pour ce magnifique album...
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Coup de coeur pour ce superbe album !
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La jeune Menglu est supposée reprendre un jour l'atelier de calligraphie de son père, or elle est particulièrement maladroite et présente peu de dispositions pour cet art. Par chance, une vieille marchande ambulante vient à passer et lui propose un pinceau en bois sombre aux vertus magiques...

Cat Zaza alias Caterina Zandonella, nous propose une jolie parabole sur le pouvoir des mots, susceptibles de faire surgir un univers enchanteur et fantaisiste, un peu comme Wang-Fô savait créer des tableaux prenant vie dans la nouvelle de Marguerite Yourcenar, Comment Wang-Fô fut sauvé. Il suffit en effet à Menglu de tracer le mot Dragon pour que cette créature surgisse tout à coup dans la maison et l'entraîne dans le monde de l'imaginaire littéraire. Comme tous les contes, cet album trouvera un écho particulier dans l'expérience des jeunes lecteurs, conscients de leurs difficultés et incapables – selon eux ! - de les surmonter. Tout obstacle peut être franchi avec un peu d'aide et de persévérance ! J'ai beaucoup aimé la magie du texte et surtout, des aquarelles, qui, alliant sobriété et minutie, nous transportent dans une Chine tour à tour réaliste et rêvée... Merveilleux et réel s'entremêlent finement sur les doubles pages : couleurs pour la réalité, nuances de gris pour le monde magique qui émerge de la feuille blanche. Le livre en lui-même est un petit bijou : une reliure « bodonienne », avec les trois parties coupées à vif et le dos en tissu, sans parler d'une jolie petite fenêtre qui nous dévoile la jeune héroïne. Ce livre sera donc tout à fait à même de séduire également les plus grands – comme moi ! - par la beauté de ses illustrations et la fraîcheur du texte.

Un grand merci à Babelio et aux éditions Marmaille et compagnie pour la découverte de cet album qui va également faire la joie de mes lutins !

Premièrement, je remercie Babelio et les éditions Marmaille pour La fille du calligraphe.

Ce roman illustré pour enfant est une merveille. Les dessins sont magnifiques. Le style chinois de ceux-ci est d'une exactitude et l'encre du plus bel effet! La présentation, peu commune, est intelligente. Les couvertures sont du carton épais résistant et le papier est idéal pour faire ressortir les illustrations.

Deuxièmement, j'ai trouvé l'histoire originale et facile à comprendre. Il n'y a pas de mot compliqué. Je trouve que la morale de l'histoire est une règle de vie que plus de monde devrait appliquer.

Enfin, Menglu est très intelligente et déjà indépendante pour son âge. Elle est attachante et très mignonne.

Bref, je recommande grandement ce livre qui est une vraie découverte pour moi!

Une histoire originale accompagnée par de superbes illustrations...
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Cet album est une petite merveille, tant par l'histoire, le style que par les magnifiques illustrations.

Un très bel album, dont les illustrations à l'encre de chine sont magnifiques. Une histoire sur la magie des mots qui prennent vie par le biais de l'écriture et de l'attention que l'on y porte.

A ouvrir, rien que pour admirer les illustrations en noir et blanc (un coup de cœur pour le dragon et l'oiseau ayant 3 pattes et une trompe à la place du bec).

Cat Zaza signe un bel album autour de cet art asiatique qu’est la calligraphie. On suit les aventures graphiques de Mengu qui apparaissent presque comme une légende ou un conte. En tout cas, l’histoire paraît intemporelle et entraîne le lecteur dans un monde magique et onirique.



(Suite de la chronique en cliquant sur le lien)
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Un superbe album à la couverture épaisse. Menglu est la fille d'un calligraphe très renommé, logiquement elle devrait prendre sa suite. C’est ce qu'espère Junhao son père. Mais Menglu n'est pas douée du tout, pas assez appliquée au grand désespoir de celui-ci. Un jour une très vieille dame, marchande ambulante lui vend pour un prix dérisoire un magnifique pinceau qu'elle prétend magique. La petite fille ne la croit pas mais l' achète, il est si beau . Brusquement elle a envie d'écrire. Son premier signe sera le mot bambou, chacun des mots qu'elle écrira donnera naissance à des un univers magique. Des bambous en encre noire s'élèvent du sol, un dragon apparaît. Il lui apprend qu' "il ne faut pas avoir peur des lettres elles sont bienveillantes". Une histoire qui pointe le pouvoir des mots. Des vers sont écrits et c'est un superbe paon qui se matérialise, mais lorsque ce sont des mots mal écrits ou méchants ce sont des créatures étranges qui prennent formes explique ce dernier avant de ramener la petite fille devant son bureau.



Le calligraphe sera bien surpris par les idéogrammes si réussis de sa fillette. Et il prendra le pinceau magique lui aussi....



Cet album est vraiment très bel objet, les dessins sont à l'encre de chine. Menglu a un joli minois, c'est la Chine, le rêve et l'importance de l'écrit qui sont à l'honneur dans ce livre. Les enfants y seront-ils sensibles?

Menglu est fille de calligraphe mais ne sait pas écrire... Son père désespère devant sa maladresse, pensant que son enfant ne pourra jamais reprendre son travail après lui. Seulement, un jour, alors qu'il s'est absenté, Menglu va se voir attribuer un pinceau magique. Chaque mot qu'elle écrit va devenir réel.



C'est une belle histoire sur le pouvoir des mots, qui comporte de superbes illustrations à l'aquarelle et à l'encre de Chine. J'aime beaucoup les contes et albums asiatiques, parce qu'ils sont généralement accompagnés de belles illustrations. La fille du calligraphe, de Caterina Zandonella fait parti de ces albums-là.
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Rishima est la fille des deux éléphants gris préférés du maharadja, Balbir et Arkita. En conséquence, sa naissance a été fort attendue et de grands espoirs sont placés en elle. D'autant que Rishima est née blanche, une chose très rare en Inde. Son nom est d'ailleurs très symbolique puisqu'il signifie "rayon de lune".



Mais sa couleur n'est pas sa seule différence. Rishima ne grandit pas assez et elle est d'une étourderie affligeante pour une éléphante destinée à servir de glorieuse monture au maharadja. Elle n'arrive même pas à porter la princesse Kanti correctement. Les moqueries de ses congénères ne tardent pas à arriver. Que va-ton pouvoir faire d'elle ?

Pourtant, Rishima a une passion secrète : la danse. Seuls ses amis les singes à longue queue savent que la petite pachyderme est dotée d'une grâce unique qui se révèle dès qu'un son mélodieux se fait entendre. Mais qui voudrait d'une éléphante pour danseuse ? Rishima sent bien qu'elle déçoit non seulement le maharadja et sa fille, mais aussi ses parents.

C'est à l'occasion de la fête d'anniversaire de la princesse Kanti, que Rishima va, un peu malgré elle, dévoiler son talent... Lorsque la troupe de danseuses de Bollywood, invitée pour l'événement par le maharadja, entame son spectacle, Rishima, subjuguée, ne se rend pas compte que les singes la maquillent, la parent d'un sublime sari rouge, et la poussent discrètement vers la scène. Rishima fait alors ce qu'elle sait faire de mieux : danser. Elle virevolte avec légèreté s'insérant au milieu des danseuses telle une déesse envoûtante. Et c'est avec étonnement qu'elle voit la foule des invités, le maharadja et ses propres parents se prosterner devant elle.

Rishima choisira-t-elle de devenir une divinité ou de partir à la conquête de Bollywood ? A votre avis ?



Cette histoire sur la différence, est délicieusement écrite par Natalie Zimmermann, tel un conte moderne. Entre railleries et amitiés, déception et admiration, la petite éléphante parviendra à réaliser son rêve et concrétiser sa passion. J'apprécie particulièrement l'allusion subtile au dieu hindou Ganesh faite par l'auteure dans son texte ("La petite éléphante est si vive qu'elle donne l'impression d'avoir quatre bras"), et reprise dans les illustrations par Cat Zaza. Généralement représenté avec 4 bras, ce dieu à tête d'éléphant, qui symbolise, entre autres, le savoir, l'intelligence et l'éducation, a la capacité d'écarter les obstacles. Et cette évocation est tout à fait judicieuse dans ce récit.



Concernant les illustrations de Cat Zaza, elles sont justes parfaitement adaptées à l'esthétique indienne de par leurs couleurs vives et leurs détails clinquants. Maquillage, bijoux et soierie reflètent à merveille l'univers Bollywoodien. Ses dessins au crayon, rehaussés d'aquarelle, plus ou moins travaillés en fonction du positionnement par rapport au texte, sont d'une beauté et d'une pertinence imparable, et l'humour n'est pas en reste ! Autant vous dire que je suis fan ;-)



Et comme toujours chez les Éditions Marmaille & compagnie l'album est d'une grande qualité, avec la touche en plus : une jaquette amovible, au dos de laquelle nous attend un magnifique poster de notre nouvelle star bolliwodienne... Le top !
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Devenir une déesse hindoue ? Non ! C'est tellement plus amusant et exaltant de devenir reine de Bollywood ! Une bien jolie histoire sur les rêves, et leur réalisation, l'amitié, et la différence.
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Page après page, des illustrations douces et raffinées prennent forme et emmènent le lecteur dans un territoire étrange : le pays des mots !
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Une approche intéressante de la démarche de Maria Montessori auprès des enfants mais aussi auprès des peuples asservis. J'ai aimé en particulier l'ouverture sur le monde actuel et le message sur l'importance d'apprendre aux enfants à s'adapter.

Cependant cette BD ne fait qu'effleurer chaque sujet : son combat pour faire des études, la naissance de son fils, sa fuite d'Italie, son engagement en Inde, le parallèle avec son élève Anne Frank... Le lecteur reste sur sa faim sans jamais vraiment explorer ces multiples facettes de Maria Montessori. Très frustrant.

Apprend-moi à faire seul



[Résumé] Avec La Maison des Enfants - Maria Montessori, observer pour apprendre, Halim Mahmoudi et Caterina Zandonella rendent avec cet album un vibrant hommage à deux femmes d’exception.



L’une, Maria Montessori, est une pédagogue reconnue et réputée qui bouleversa la vision de l’enfant et de son éducation. L’autre est la jeune Anne Franck, qui fréquentera l’une de ces Maisons des Enfants qui appliquaient la pédagogie Montessori et s’y épanouira… jusqu’à ce que la folie des hommes ne l’emporte.



Le dessin plein de douceur et de délicatesse de Caterina Zandonella retranscrit leur passion et soif de vivre et porte joliment cette biographie…
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Résumé : C’est l’histoire d’un chercheur en recherchologie et docteur en recherches embrouillées. Ce vieux bonhomme a littéralement passé sa vie à chercher sans savoir quoi. Jusqu’au jour où il le retrouve enfin…



Le mot de la fin : J’ai trouvé l’histoire triste bien que belle. Sur le temps qui passe et la perte de temps à chercher toujours plus alors que l’essentiel est à portée de main. Bien que j’aie beaucoup aimé, je pense qu’il n’est pas aisé de le présenter à des petits mais pour les plus grand.
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Cet album est basé sur un comble : être la fille du grand calligraphe Junhao et être incapable d'écrire un idéogramme correctement. Mais, avec l'aide d'une vieille dame qui lui confie un précieux pinceau, la petite Menglu va apprendre à tracer des lettres pour écrire des mots, et accéder au sens : les mots qu'elle trace prennent vie et l'emporte dans un monde imaginaire. Un monde merveilleux s'ouvre alors à elle. Il m'a rappelé la nouvelle de Marguerite Yourcenar Comment Wang-Fô fut sauvé, où Wang-Fô créé des tableaux prenant vie.



La Fille du Calligraphe est donc un magnifique conte chinois sur le pouvoir des mots, qui permettent de s'évader et de donner vie à un monde rempli de créatures fantastiques. Il nous apprend que les obstacles peuvent être franchis avec de la persévérance. D'ailleurs, le dragon lui dira :



"Il ne faut pas avoir peur des lettres, elles sont bienveillantes."



Les illustrations, tracées à l'encre de Chine et peintes à l'aquarelle, sont superbes. Elles sont colorées pour la réalité, en noir et gris pour le monde magique. Elles nous font découvrir la culture chinoise. La couverture est épaisse et cartonnée et les pages sont douces.



Encore une mention pépite pour ce magnifique album !
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