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Citations de Cédric Sire (620)


Comment aimer après ça ? Comment donner cette partie de soi si essentielle quand on pouvait vous la prendre , sans raison , sans justice , à n'importe quel moment ?
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Cédric Sire
L'odeur de la mort le cherche.Elle le suit , où qu'il aille , il le sait maintenant .
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Nous les avons conquis, ces peuples de l'autre côté du Danube, et jusqu'aux Daces, la plus guerrière des nations qui ait jamais existé, non seulement en raison de leur force physique, mais surtout grâce aux maximes de Zalmoxis qu'ils vénèrent par-dessus tout. Au fond de leur cœur, ne croyant pas qu'ils meurent, mais qu'ils changent seulement d'habitation, les Daces sont les plus heureux du monde devant la mort.
Vauvert reposa le livre.
Les Daces sont les plus heureux devant la mort...
- Foutus barbares, murmura-t-il.
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- Pourquoi pas ? dit Leroy.
- Parce qu'une femme ne se sert pas d'arme blanche ! aboya Deveraux. On n'a jamais vu ça !
- C'est tout le problème, Jean-Luc. Je crois que nous sommes en face d'un tueur d'un genre que nous n'avons jamais rencontré jusqu'ici. Et si les choses se présentent comme elles l'ont fait l'an dernier, alors ce tueur va continuer à frapper, encore et encore, jusqu'à ce qu'on l'arrête.
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- Pourquoi crois-tu qu'on m'a fait quelque chose ?
- Parce que tu n'as pas simplement neutralisé ce fils de pute. Tu lui as vidé ton chargeur dans la tête. Je suis flic depuis quinze ans, tu sais. Des comportements de stress, ou de panique, j'en ai vu défiler. Mais pas dans ton cas. Tu n'as pas perdu ton sang-froid une seule seconde. Ce que tu es venue faire ici, ce n'était pas un boulot. C'était mener une croisade.
- Tu as déjà pensé à devenir profileur, Vauvert ?
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Tu ne faibliras pas.
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C’était un cauchemar.
Un cauchemar atroce dans lequel elle avait sombré et dont elle ne pouvait plus sortir.
Elle n’aurait jamais dû chercher à savoir. Si seulement elle n’avait pas contacté cet homme pour obtenir des réponses. Si seulement elle n’avait pas cru ses belles paroles…
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Si elle devenait bourreau, elle ne serait plus victime. Plus jamais victime. Cela ne valait-il pas une miette de son âme ?
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L'envie toxique, mortifère, continua de monter en elle, qu'elle le veuille ou non, exactement comme l'avait dit Hadès.
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- Ecoute, si tu me trouves en état de choc, tu devrais voir Villeneuve. Ce pauvre homme... Je ne sais même pas comment te décrire ça ! Il reste cloîtré chez lui comme un vieillard à l'agonie. Et je ne te parle pas du dragon qu'il a engagé comme aide à domicile. Elle sort tout droit d'un livre de Stephen King.
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Il fallait qu'il l'accepte : le chaos était arrivé, sans raison, sans prévenir, et personne n'y pouvait rien. Le chaos l'avait avalé.
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– Et si c’était à force de douter d’elle que la magie est morte, Ness? S’il suffisait d’y croire à nouveau pour qu’elle renaisse?
(Sangdragon)
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A la livraison de son nouveau livre, un recueil de nouvelles strictement impubliable, son éditeur le convoqua, l’air gêné, pour lui faire remarquer que sa prose avait subi de nets… changements. Tout ce délire sur la couleur rouge et le monde des rêves, cela n’avait aucun sens.
(Muse)
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Une statue d’encre. Noires ses immenses ailes qui s’étendent au-dessus de lui, de part et d’autre de ce trône, des ailes puissantes et bruissantes, dont les plumes frémissent et gémissent un chant étrange, un murmure de soie et d’oubli miséricordieux. Un chant de mort. Un ange de mort. Assis sur le trône de Solitude.
(Requiem)
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Il ne souhaitait pas provoquer de nouvelle catastrophe. Il savait bien que celle-ci finirait par arriver, pourtant. Ce n’était qu’une question de temps. De circonstances. Le peu qu’il avait appris dans cette courte vie se limitait à cela : rien ne s’arrange jamais, tout ne fait qu’empirer.
(Cauchemars)
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Elle se sentait parfaitement capable d'affronter chacun de ces voyous un par un,mais s'ils se jetaient sur elle tous ensemble,elle n'aurait pas la moindre chance.
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" Des mains invisibles le saisissent. Ce ne sont plus celles du garçon. Elles sont trop nombreuses. Pourvues de griffes qui s'enfoncent dans sa chair.
Jetant un regard à la façade des casiers, il constate alors que ceux-ci sont en train de s'ouvrir, les uns après les autres. Les tiroirs coulissent, en silence, et les ombres des morts qui étaient dedans s'extirpent de ses étroites prisons. Leurs corps iridescents se glissent sur le sol, leurs mâchoires dessinent des sourires pervers, leurs yeux affamés encerclent David. Il sent leur désir. Il sent leur froideur. "
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Les garçons ont tendance à… disons, devenir moins fiables, quand ils se trouvent face à une personne du sexe opposé.
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« Tout ce qui peut être blessé peut être tué. Il tire de nouveau. Cette fois, il entend le cri de douleur que produit le givre, ou quoi que soit cette chose. Et de nouveau, il le voit qui se met à saigner. »
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Tandis qu'il se lève, Jack se tourne vers l'écran de télé silencieux. Le groupe Depeche Mode est à l'image, dans l'un de leurs anciens clips avec les couleurs vives d'un autre temps. C'est idiot mais Malko, le nouveau génie de la musique néoclassique, a toujours nourri une admiration pour les artistes populaires.
- Tu peux mettre le son de la télévision, en partant ?
Jack se tourne vers lui et le regarde d'un air étrange.
- Que veux-tu dire ?
- Le son, répète Malko en indiquant la télé. Tu peux le mettre ? Je vois la télécommande là-bas.
- Et bien, oui, dit Jack. Mais il y a déjà le son, et le volume est déjà très fort. Tu ne l'entends pas ?
Entendre ? Tout d'un coup, le cœur de Malko se serre. Entendre quoi ?
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