Chimaki Kuori

un second tome meilleur que le précédent. L'intrigue est lancée et on commence à entrer dans le coeur de l'action. cette série prend vraiment de l'ampleur, vivement la suite

quand on grandit avec les chevaliers du zodiaque, on a intégré que les filles chevaliers portent un masque et sont des "sous-chevaliers". Si vous n'êtes pas capables de faire abstraction de cela, passer votre chemin.

En revanche si vous aimez les chevaliers du zodiaques mais êtes capable de passer outre ce point de vue, Saintia Shô est pour vous.

J'ai passé un excellent moment, on retrouve tous les éléments qui ont fait le charme des chevaliers avec des protagonistes différents et qu'on adopte très vite.

Ce volume 13 voit les combats se multiplier de toutes parts : les Saintia comme les chevaliers d’or se battent sur tous les fronts.

- Xiao-Ling de la petite ourse

- Milo du scorpion contre Rigel d’Orion

- Mayura du paon en duo avec Shôko

- et enfin Shaka de la vierge

C’est dynamique, jusqu’à la fin du tome, vite le 14 !

J’ai un peu du mal à rentrer dans ce manga qui se déroule juste avant Saint-Seiya. Évidemment, il est difficile de créer une histoire de toute pièce dans un prequel de Saint-Seiya sans perdre en continuité dans la série, voire en cohérence.

Passer ce problème, l’idée de s’appuyer sur des chevaliers féminins est originale mais cela s’arrête à ça. On est toujours dans le héros (héroïne) qui est un peu faible et qui va se révéler puissant et le méchant qui parle plus qu’il n’agit... bref rien de nouveau ; je ne retrouve pas les combats de la série originale et les dialogues sont fades. Je suis donc plutôt déçu pour une série qui se voulait l’héritage de Saint Seiya.

j’arrête là, c’est une série censée axée sur les personnages féminins et dès qu’une bataille est importante et intéressante ce sont les personnages masculins qui prennent le relais.

Saint Seiya Saintia Shô prend de l’envergure, tome après tome.
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À peine réveillé, Arès déploie une puissance écrasante qui pourrait bien détruire la Terre. Les Chevaliers d’Or se dressent face à lui pour protéger le domaine d’Athéna. De son côté, investie de la volonté de toutes les Saintia, Shôko joint ses forces à celles de Saori Athéna dans son combat final contre Éris, la déesse de la Discorde. La nouvelle légende galactique des Guerrières Sacrées en guerre contre le Destin prend fin !!

Dernier tome de la saga, j’avoue qu’au fil des volumes j’ai perdu de l’intérêt pour l’histoire qui reste basique, malgré la beauté des planches. Un goût de répétition, voire de déjà vu avec l’odyssée originelle. J’ai donc mis un peu de temps, mais je voulais boucler cette série.
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Clap de fin de cette série dérivée qui nous a proposé d'explorer un ordre de chevalier caché tout en revisitant certains passages classiques. Une belle série, un peu longue au démarrage, mais qui se termine sur une magnifique explosion de bravoure et de sacrifice, emblématique de la saga.
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On a donc un dernier tome à l'image de la série, prenant et parfois surprenant, rempli de clichés et de fan service mais collant totalement avec l’œuvre de la saga! On aurait aimé davantage de dryades développées, des ennemis un peu plus charismatiques, mais à l'arrivée, Saintia Sho est une belle réussite!
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Force est de constater la grande maîtrise scénaristique et graphique de Chimaki Kuori, notamment en multipliant les duels simultanés. Ceux-ci se déroulent sur différents axes de l’Éden et permettent de tenir le lecteur en haleine grâce à des effets de suspens. L’heure n’est plus aux discours : les quelques échanges verbaux amplifient et démontrent l’envergure des duels qui s’illustrent sans temps mort.
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La série respecte la mythologie, respecte également l'esprit Saint Seiya, on y trouve de nombreuses références, de nombreux clins d’œil, du fan service vraiment appréciable...mais cette série ne respecte pas ses propres personnages originaux qui au final n'auront jamais quitté leur rôle de faire valoir.
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L’autrice emploie toute sa finesse à perpétuer la franchise Saint Seiya, qui de toute évidence a encore de beaux jours devant elle !
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Tout en restant fidèle à l’univers qui a fait le succès de Saint Seiya, c’est donc un autre aspect de la guerre mythique opposant le Bien au Mal que vous pourrez découvrir ici, mis en valeur par le trait talentueux de Chimaki Kuori.
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Tout d'abord, je ne sais pas si on a affaire à une suite de Saint-Seiya, d'après l'auteur oui, mais le récit donne plutôt l'impression d'un reboot de la série.

Difficile de passer après Masami Kurumada, on sent que Chimaki Kuori cherche à se démarquer de l'histoire de "Saint Seiya" en créant un univers et des personnages très différents du manga original. Un album à consonance presque exclusivement féminin que ce soit pour les forces du bien ou celles du mal.

Je n'ai pas été très emballé par ce premier opus un peu brouillon mais c'est normal pour une introduction à une série. La lecture de la suite me permettra de me faire une meilleure idée du potentiel de ce "Santia Shô".

Chimaki Kuori nous livre un scénario entraînant accompagné d'une maîtrise graphique toute en finesse.
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Dans la continuité des albums précédents. Pas beaucoup d'avancement dans cette histoire et pas de combat extraordinaire non plus donc un tome un peu faible.

Jusqu’ici, Saori ne savait pas qui se cachait derrière le Grand Pope et maintenant qu’elle le sait, elle comprend et laisse passer sa chance de mettre directement fin à l’affrontement. Cependant, comme elle le souligne, ce ne sont pas aux dieux de juger les mortels. Mais en faisant cela, Saori prend une grande responsabilité... car les combats ne se feront pas sans victimes.



D’un autre côté, Elda est en route vers l’académie des Santias, une mauvais surprise l’y attendra ainsi qu’une rencontre percutante. Peu à peu, on découvre les camps des Chevaliers d’Or, protecteurs du Sanctuaire mais aussi d’autres personnages. Les caractères ressortent et s’expriment tout comme leurs intentions, les masques tombent un à un.



Nous retrouvons Shôko, Xiao-Ling et Mii qui font face à leurs faiblesses. Puis en fin de volume, ce tome rejoint le premier arc de Saint Seiya. Il est d’ailleurs intéressant de retrouver pour ce résumé de la bataille du Sanctuaire des coups de crayon proches de ceux de Masami Kurumada.



Ce volume est clairement transitoire, il se rattache à la série d’origine pour mettre en place la suite dont on nous donne les prémices. Ce qui est plutôt réussi ici, c’est qu’il n’est pas nécessaire d’avoir lu la série d’origine pour suivre l’intrigue. Mais on peut se demander si le parallélisme va se poursuivre, ces Chevaliers étant rattachées à Saori, ça serait possible mais avec la fin du volume d’autres éventualités s’ouvrent pour nous donner un contenu plus original.



Dans tous les cas, la maîtrise du dessinateur Chimaki Kuori est toujours aussi fine et les pages en couleurs sont vraiment très belles. Et c’est avec plaisir qu’on s’intéressera à la suite pour voir comment cette série va évoluer en suivant les placements préparés tout au long de ce tome.
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Une lecture agréable, qui se rapproche dans le graphisme et dans l’ambiance, du Lost Canvas de Shiori Teshirogi (...) dans un récit frais, regorgeant de vitalité.
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