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Citations de Christian Perrissin (90)


Les choses sont comme le sable fin qu'on s'efforce de serrer sans sa main, comme l'eau qu'on veut saisir entre les doigts ... tout coule, tout passe, tout fuit.
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Jusqu'à ce jour-là, mon père avait été mon soleil et moi le sien. Tout s'effondra en l'espace de quelques secondes parce qu'il n'avait pas pris le temps de me serrer une dernière fois contre lui.
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La beauté n'est pas tout, elle n'est pas éternelle.
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- Sait-il que je le cherche?
- Il l'a senti... chez les badjos, on dit que chacun à un jumeau qui vit dans les profondeurs de l'océan et quand ce jumeau s'agite, il dérange son frère terrestre.
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S’il acceptait l’argent, il perdait le mérite d’avoir servi un lama de Lhassa. Il a préféré conserver le mérite.

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Le silence de la nature !

C'est quelque chose de meilleur que la plus belle des musiques !
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Mon père avait toujours tenu à ce que j'aille à l'école. Sa devise "sans instruction, point de salut."
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Ce n’est qu’une fois sa tristesse assouvie, bien des années après, que lui sont revenues sans bruit les teintes réelles de ce soir-là.
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Un bouillon, voilà ce qu'il lui fallait.
Nous avions conservé les vieux morceaux de cuir de mes bottes. L'étanchéité des semelles était assurée avec de la graisse animale frottée. J'espérais, en les faisant bouillir, obtenir un breuvage calorifique.
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Quand j'ai débuté dans le métier, un bâtiment de la taille du Pouchkine embarquait quarante hommes. Tous qualifiés. Du simple graisseur au cuistot. Aujourd'hui nous sommes vingt. Cinq n'avait jamais vue la mer avant de monter sur le Pouchkine. Des types qui n'auraient jamais eu l'idée de s'y aventurer si on leur avait laissé la possibilité de gratter un bout de terre. Et nous, avec tout ça, on nous demande de faire le même métier qu'il y a trente ans.
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Bruxelles, Rome, Barcelone…la vie de nomade qui continue. L’argent et la gloire en plus. Trop d’argent, trop de gloire. Jakob vit dans l’excès. Comme quelqu’un qui cherche à se venger de sa misère passée. Quand il n’est pas ivre sur scène, il oublie carrément de venir jouer. Il tarde trop à enregistrer un deuxième album. Un bide. Adieu producteurs, adieu groupies, amis de toujours…Chute libre.
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Personne ne l'embaucha, les hommes jeunes et en bonne santé étaient si nombreux qu'il ne restait rien d'autre que la mendicité pour un vieil infirme.
-Jamais un samouraï ne s'abaissera à tendre la main pour manger.
-Tandis que lever le coude pour boire...
-Silence femme!
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La pensée occidentale allait à l'encontre de la vie
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De cette longue marche, je garde le souvenir d'un chemin bordé de kaki no ki [arbre à kaki] qui semblait se dérouler à travers la montagne comme une longue ceinture ocre d'or posée sur un furisode [kimono de cérémonie].
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Toute la journée, le conducteur de bœufs marche à côté de son attelage faisant claquer son fouet pour maintenir la colonne dans la bonne direction et l'injuriant pour garder la cadence. On dit que Marthy devint très vite à l'aise dans ce dernier domaine. Comme si sa langue, après des années d'abstinence auprès des mormons, se déliait d'un trop-plein d'injures retenues.
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Toujours tu dois respecter l’animal chassé. Tous ceux de son espèce, les vivants comme les morts, t’observent. S’ils voient que tu maltraites un des leurs, alors aucun ne voudra plus être pris. Ni dans ce monde ni dans l’autre…
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Et voilà, en quelques minutes, je passais du statut d’expatriée à celui de rapatriée.
On ne craque pas à la croix-rouge…
… on serre les dents.
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C'est d'hommes comme vous dont ce pays à besoin. Les imbéciles y sont trop nombreux. Mais il semblerait que ces cancrelats soient de meilleure constitution que nous autres. Leur bêtise les protège... Capables de commettre l'inimaginable sans la moindre repentance. Là est toute la différence.
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Beaucoup ne voyaient pas clair dans l’esprit du colon, qui ne réfléchit pas comme celui de l’indien.
L’indien n’est pas tortueux comme le blanc peut l’être.
Il ne triche pas, il croit en la parole donnée.
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Ma situation s'améliorait et j'aurai du être une geisha heureuse. Mais au fond de moi, je n'étais à nouveau qu'une petite fille qui devait ravaler ses larmes. Pourquoi ne pouvait-on vivre sans se passer des hommes?
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