Arthur n'est pas un lycéen comme les autres : c'est aussi un jeune auteur à succès de romans policiers. Lorsqu'un soir, à la fenêtre de son grenier, il assiste à un meurtre dans la maison d'en face, personne ne le croit car il n'y a aucune trace de cadavre. Il se lance alors dans une enquête pour découvrir le coupable parmi ses voisins...
Vraiment très sympa, ce petit roman policier ! Le jeune Arthur est obstiné et, face aux adultes auxquels il est confronté, il ne cède pas à la pression : il sait qu'il a raison et fera tout pour faire éclater la vérité.
Son enquête est menée sans temps morts, c'est bien ficelé et la lecture est aisée pour que les lecteurs puissent découvrir ce genre littéraire à partir de 11/12 ans.
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Juju est une petite princesse fort capricieuse, aux idées plus farfelues les unes que les autres. Personne n'ose s'oppose à elle, mais un jour, perdue en forêt, elle est recueillie par une famille de bucherons. Céderont-ils eux aussi à tous ses caprices ?
Un roman premières lectures qui met en avant des valeurs positives telles que la politesse et l'entraide : c'est ce que va apprendre Juju à ses dépends.
Une petite leçon de vie pour une petite princesse têtue et peu aimable...
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Offert par l'école à mon enfant pour Noël, ce dernier n'est pas enchanté. Forcément, ce n'est pas une BD ! Et à la maison, c'est maman la fan d'Hercule Poirot en livre et papa en série TV. Donc il connait déjà de nom et là, il voit bien que ce n'est pas le même.
Pourtant, c'est une bonne surprise. Un jeune garçon est embarqué un peu malgré lui par le lapin échappé du conte « Alice aux pays des merveilles » mais qui porte le nom d'Hercule Poireau dont il est fan…de poireaux.
Ils doivent remettre en ordre les contes que nous connaissons car en sortant de son conte, le lapin a fait des dégâts.
Ils vont se balader dans trois contes différents.
« le petit chaperon rouge », « le petit poucet » et « Cendrillon ».
Le loup est gentil, le petit poucet est grand et Cendrillon ne veut pas se retrouver mariée et esclave de son nouvel époux tout prince qu'il est.
C'est rapide à lire. Les chapitres sont courts, chaque histoire en compte six ou sept plus l'épilogue.
On peut donc s'arrêter souvent que ça soit pour faire une pause ou pour la lire en plusieurs fois le soir.
C'est assez drôle et les personnages sont sympathiques.
La fin du roman appelle une suite et mon enfant ne serait pas contre un tome 2 !
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Arthur, jeune écrivain ayant publié un polar salué par la critique à 15 ans, a beaucoup de mal à être crédible face aux gendarmes : il a vu une femme se faire étrangler par la fenêtre de la maison voisine !!! La maison est inhabitée et quand la police arrive aucun corps, aucun signe de lutte : c'est forcèment un de ses voisins qui est coupable... Il va se mettre à la poursuite de l'assassin...
Un roman policier pour la jeunesse bien écrit qui nous tient en haleine jusqu'au bout...
La collection "heure noire" des éditions Rageot est de qualité ( j'avais adoré "le fantôme de Sarah Fisher" d'Agnès Laroche) et permet aux jeunes lecteurs d'aborder agréablement le domaine du roman policier.
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Dans la collection Petit Roman de Rageot, on retrouve plusieurs aventures de Mélina la pirate, toujours accompagnée de son frère un peu peureux RIco, et de leur complice à plumes, Grobec.
Dans cette histoire, c'est un pendentif mystérieux, caché dans un ours en peluche qui va les mettre sur la piste du Cap'tain Croquemoutard.
Comme l'annonce la couverture, ce sont des romans faciles à lire, adaptés pour les enfants qui viennent d'apprendre à lire: ils y trouveront des héros de leur âge, des aventures et du suspense, des méchants trop bêtes pour gagner... Ce n'est pas un coup de coeur pour moi, vieille adulte que je suis, même si j'ai bien aimé que l'héroïne Mélina soit la plus courageuse et la plus audacieuse, ça change un peu! En revanche, c'est un coup de coeur de ma fille, 7 ans tout juste, qui a dévoré les aventures de Mélina et Rico et qui reprenait à tue-tête sa phrase fétiche "je suis Mélina la Terrible, fille de Barberousse, petite-fille de Barbenoire et arrière-petite-fille de Barberouge"!
Petite anecdote: comme elle les a lus toute seule au début, et dans sa tête, Rico est devenu "Ricor", Grobec est devenu "Corbec"... Du coup quand je lui lis, il faut que je me trompe exprès! Mais je suis sûre que ça vous est déjà arrivé à vous aussi! Moi, par exemple, j'ai longtemps lu "Par Bellisima" au lieu de Belisama dans tous les Astérix!!! On serait pas un peu dyslexique dans la famille??!!
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Arthur est un jeune auteur de romans policier qui commence à faire parler de lui, d'autant plus qu'il est encore lycéen. C’est un peu la star de sa petite ville de campagne ! Un soir, alors qu'il écrit dans son grenier, il assiste au meurtre d'une jeune femme dans la maison d'en face. Mais lorsque la police et tout le voisinage débarque dans cette maison inoccupée, pas de trace d'un corps ni même d'une dispute. Arthur passe un peu pour un mythomane qui cherche à faire parler de lui. Mais il reste persuadé qu'il n'a pas rêvé et il décide de mener lui-même l'enquête...
Pas de grande originalité dans ce polar jeunesse, si ce n'est le statut du héros, jeune auteur publié alors qu'il n'a même pas 18 ans. Le personnage en lui-même est plutôt sympathique bien qu'assez peu crédible (on le sait, il y a des jeunes qui sont publiés mais les quelques extraits de roman qu'on trouve dans cette histoire ne sont vraiment pas terribles, on dirait qu'il écrit une rédaction et du coup, l'on peine à imaginer qu'il ait pû être publié...) et l'intrigue, assez classique, pas vraiment haletante. Ça se lit très bien mais je reste sur ma faim. Un personnage à développer, peut-être ?
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La princesse Juju est vraiment odieuse, elle oblige ses sujets à obéir à tous ses désirs, elle change sans arrêt d'avis et personne ne la contrarie jamais... Même Dame Petsec, sa gouvernante n'arrive pas à lui apprendre les bonnes manières, elle n'en fait qu'à sa tête. Mais un jour, elle se perd dans la forêt et est recceuillie par un couple de modestes bucherons. Coincée là par le brouillard elle sera obligée de faire les choses du quotidien elle même et découvrira que ce n'est pas si pénible....
La métamorphose d'une peste et l'utilité de la politesse....
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Pas facile d'être une fille pirate. Quand Mélina et son frère son capturé par une autre équipe de pirates, leur destin se présente mal. Seul espoir : la fuite !
Mais alors que la liberté semble à portée de main, la jeune fille aperçoit la silhouette d'une femme qui semble prisonnière...
Un livre d'aventure pour les plus jeunes. Seuls bémols, des situations invraisemblables et surtout une présentation de la condition féminine en demi-teinte...
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C'est l'histoire d'un jeune écrivain : Arthur de 16 ans qui enquête sur un crime juste en face de chez lui...
L'auteur utilise un ton réaliste et bouleversant, ménageant le suspense de ses lecteurs.
Ce livre m'a plu parce que j'adore les romans policier, les enquêtes... Il m'a plu aussi car il y a a de l'aventure et du suspense.
Je trouve que ce livre est très facile a lire et a comprendre. Il nous fait réfléchir sur l'enquête du meurtre...
Je recommande ce livre pour ceux qui aiment les enquêtes et qui aime avoir peur.
Lou ❣
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Maxence est un jeune collégien qui a la faculté de voir des fantômes. Transmis par sa mère qui en a fait son métier, ce pouvoir s’est manifesté pour la première fois, un jour où il pratiquait l’escrime à son club. D’un coup de fleuret, sa lame est passée à travers l’apparition d’une jeune fille qui venait lui demander son aide.
Marie est morte en 1956 et depuis, son esprit hante les maisons en quête d’un endroit accueillant. Son antre de paix de ces dernières années, elle l’a trouvé au près d’une violoniste de renommée internationale avec qui elle cohabite paisiblement ; Marie aime l’entendre jouer et la suivre dans ses récitals. Mais dernièrement, elle a surpris une conversation entre deux hommes qui projettent de lui dérober son Stradivarius, un violon de 1716, estimé à un million d’euros. Seule, elle est dans l’incapacité de déjouer le vol, mais avec l’assistance de Maxence, rien n’est perdu !
Leur duo comptera deux collégiens de plus, les meilleurs amis de Maxence… Andrew l’Écossais et Serena la gothique… et à eux quatre, justice sera faite.
Ce petit roman est une lecture facile, parfaite pour les jeunes lecteurs. Les composants amitié-solidarité-frissons-aventure-surnaturel-humour sont toujours attrayants.
Maxence habite dans une banlieue bétonnée à l’est de Paris. Il est un garçon sage, proche de sa famille, et heureusement, il a le soutien de ses deux amis fidèles, en qui il peut avoir confiance. Mais tous les jours, Maxence vit un cauchemar. Une bande de garçons de son collège le persécutent et le rackettent. Il est difficile d’en parler et de demander de l’aide, alors quand Marie vient à son secours, les choses changent ! Maxence prend de l’assurance… les fantômes font peur !
Une sympathique lecture qui pourrait être le prélude à d’autres histoires…
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Critique de Alice 8 ans :
c'est livre est très sympa, rigolo mais le titre est "mon pire yeti super chouette" et il ne parle du yéti que 11 chapitres sur 20 je suis un peu déçue et aussi parce-que les dessins auraient pu être mieux dessinés.
Anais fait très peu les détectives mais à part ça je vous le conseille.
J'ai également lu ce livre avec ma fille. Le début est vraiment très accrocheur et la petite héroïne attachante. On aurait vraiment aimé que la classe de neige dure tout le livre, plus de suspense et que le mystère du yéti soit résolu moins rapidement. La seconde partie, quand la classe revient est très différente, c'est un peu une seconde histoire dans le livre. Dommage, le style est agréable, le groupe classe sympa, mais les intrigues pas assez fouillées.
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Un court polar efficace et rythmé. Dommage que l'auteur adopte un style "jeune" en donnant la parole à Arthur, lycéen de 15 ans, dans la fonction de narrateur. En essayant d'écrire entièrement du point de vue d'un adolescent, on a l'impression d'une vision réductrice et pas toujours vraisemblable, notamment concernant le rôle de la mère du personnage ou de l'attitude de la police qui suit une enquête autour d'un meurtre, disparition inquiétante, en relation avec des mineurs, sans contacter leurs parents... C'est peut-être un peu prendre les ados pour des cons que de croire qu'ils prennent systématiquement les adultes qui les entourent (et notamment les mères...) pour des andouilles achevées !
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Antoine est dans le salon de Tatouage de son père, une jeune fille rentre et ressort en oubliant son téléphone portable. Antoine prend le téléphone et lui court après pour le lui rendre. Mais Antoine assiste à l’enlèvement de la jeune fille et l’explosion de la boutique de son père.
Il se réveille à l’hôpital ou il reçoit un appel téléphonique lui demandant de fuir sinon ils vont le tuer.
On suit la cavale des deux jeunes héros pour rejoindre la Corse. Le parcours est semé d’embauche, ils changeront d’apparence pour échapper à l’unité.
Antoine est un suiveur mais la jeune Pauline est pleine de ressources inattendues. Arriveront-il à s’échapper et trouver pourquoi la boutique a explosé?
Un roman bien écrit qui devrait passionner les jeunes lecteurs (plus de 12 ans)
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Avec la collection Heure noire de Rageot, il y avait la lecture frisson avec le Mortimer Mort de Peur de Agnès Laroche, mais il y a aussi sous le même chapeau l'instant policier avec l'héroïne de Christophe Miraucourt dans "Enquête avec Léa".
Ces romans courts et très accessibles sont à rapprocher des séries Syros de la collection Souris Noire, avec une note plus appuyée sur le processus d'enquête plus apparent pour le genre policier Heure Noire.
Souris Noire mettra un peu plus l'accent sur une aventure d'enfants, le fond policier servant presque comme d'excuse d'un fond choisi.
Avec cette série, l'auteur nous fait véritablement suivre chaque étape d"une enquête policière, sans violence à l'identique de Syros. Ainsi très simplement, les jeunes lecteurs arriveront à s'y retrouver dans la logique comprenant le crime, le mobile, les preuves, les témoins et les alibis.
Léa est une collégienne qui n'hésite pas à fouiner dans les petites affaires criminelles de son petit patelin de Rebais-Les-Carrières.
Elle est tombé dans la marmite à cause du papa, capitaine de la gendarmerie et aussi de sa belle-mère, Flora, également gendarme.
Bien que dissuadée de se mêler des affaires sérieuses d'adultes, Léa et ses amis, Inès et Maxime, ne peuvent s'empêcher de s'investir dans les petites affaires de la gendarmerie.
Il est heureux pour la fiction et pour les lecteurs que la famille discute des affaires à table, cela met Léa en première ligne pour récolter les informations et inscrire les faits importants dans le carnet dont nous profitons des pages à la fin de quelques chapitres.
Comme un véritable enquêteur, l'auteur nous enjoint à faire le point avec Léa.
Il ajoute aussi d'autres petites expériences, connaissances apprises par les jeunes amis, qui pourraient être intéressantes pour les jeunes lecteurs.
En l'occurrence ici, de temps à autre nous en apprenons sur le métier de pompiers et pompiers volontaires. Ils seront les seconds héros de fond.
Revenons rapidement à l'histoire du tome.
Des incendies criminelles commencent à se déclarer à plusieurs jours d'intervalles à Rebais-Les-Carrières et les pompiers ont bien à faire pour sauver ce qu'il y a à sauver.
Les gendarmes sont aussi un peu en difficulté.
A Rebais-Les-Carrières, tout le monde se connait, qui aurait motif à détruire le bien de son voisin?
Des jerrycans vides sont trouvés près des lieux incendiés et à chaque fois, l'agent immobilier, Monsieur Berthier, également pompier volontaire, se trouvait sur les lieux.
Il est aussi celui qui avertit les pompiers des sinistres.
Nous sommes en effet sur un jeu d'apparences,
les faits n'aidant pas beaucoup.
La proximité des habitants en prendra un coup, divisant les enfants dans la cour de récré.
Il est intéressant de présenter la façon dont les choses se répercutent à tous les étages, l'auteur le présente d'une façon très simple.
Il exempt d'ailleurs tous élans dramatiques pour ne garder à chaque fois que la substance utile.
Le frère de Inès est trouvé près du premier feu déclaré, amusé, il se filme sur la scène et le poste sur les réseaux sociaux. Il n'est pas celui qui a prévenu les autorités.
Nous abordons sans forcer le trait le sujet de la responsabilité.
Inès et Ninon, dont la première ferme incendiée appartenait à ses parents, vont se brouiller, le père de Léa interrogera le jeune frère de Inès et cette dernière aura une réaction spontanée malheureuse avec sa meilleure amie, pensant la culpabilité de son frère déclarée.
Christophe Miraucourt s'en tiendra à l'essentiel encore une fois et par des raccourcis choisis, on le devine à la lecture, réussira à aborder tous ses thèmes et boucler son affaire.
On remarque une invitation à sortir du livre et une discussion entre adultes et ados proposée car le mobile final devrait demander, volontairement, un peu plus d'éclaircissement de la part d'un adulte pour restituer le contexte qui préoccupera le criminel.
Une série très adaptée et bien faite pour des ados de 9-10 ans, pour intéresser sur des sujets de société abordables (l'auteur dédie le roman à son frère pompier), pour faire apprécier le genre policier à cet âge également.
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