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Critiques de Christophe Tison (135)
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Journal de L. (1947-1952)

Le projet était ambitieux, car forcément "Journal de L" serait comparé à l'oeuvre originelle de Nabokov.

Et personnellement, je n'ai pas pu éviter cet écueil.



Mon avis n'a cessé de se modifier au fil des pages, et une fois la dernière tournée, il reste surtout la satisfaction d'avoir retrouvée ce personnage si particulier.

Il faut saluer l'audace de l'auteur, et j'avoue être sensible à l'hommage rendu à Dolores. Et je dis bien Dolores, l'enfant, cachéderrière la créature intrigante et mythique qu'Humbert fabrique pour son désir, et qu'il nomme Lolita.



Cela étant dit, j'ai mis beaucoup de temps à rentrer complètement dans ce livre (une bonne moitié au moins), plusieurs éléments étant venus parasiter ma lecture.



En effet, j'ai énormément senti le fantôme de l'auteur, avec cette impression de lire ses mots plutôt que ceux de Dolores.

Je me demandais d'ailleurs comment ce dernier allait se débrouiller pour rendre le discours d'une enfant littérairement intéressant et viable (car n'oublions pas que ce journal débute alors qu'elle n'a que 12 ans)...et il semblerait que la difficulté ait été contournée: le ton et le vocabulaire employés me paraissant assez incohérents avec l'âge de la propriétaire du journal.

Il y a également des libertés prises avec l'histoire première qui m'ont dérangées, notamment cette fuite de Dolores chez une ancienne amie de sa mère.



Mais ce qui a été le plus dur à dépasser, et qui est complètement hors de contrôle de l'auteur, c'est que j'ai dû m'habituer à une voix, une image de Dolores qui n'était pas la mienne.

Le génie de Nabokov, c'est de nous faire comprendre que la présentation qu'Humbert nous fait de Lolita, est une description biaisée par ses pulsions, et destinée à apaiser les dames et messieurs du jury à son égard. Dès lors, libre à nous lecteurs, de lui rendre sa vérité, du moins celle que l'on s'imagine.



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Journal de L. (1947-1952)

À lire après " Lolita". Très intéressant de se mettre à la place de la jeune fille violée. On ressent le fait qu'elle se sente piégée, qu'elle n'ose rien dire, que l'homme est un très fort manipulateur. L'écrivain à su très bien transcrire les émotions.
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Le choix de Suzanne

Je l'ai dévoré ! on veut vraiment savoir ce qui va se passer, le choix, la suite...les conséquences de nos actes et notre destin....

Il se lit merveilleusement bien. On rentre tout de suite dans le vif du sujet.

Les émotions, les tumultes du coeur, les choix dans les sentiments....

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Le choix de Suzanne





C'est l'histoire de Suzanne, elle a une vie rangée et calme.

Avec son mari depuis plusieurs années, ils n'ont pas eu d'enfants et ne s'en portent pas plus mal.

Un jour, elle rencontre Neil...



Le choix de Suzanne est un livre qui interpelle et qui questionne .

Avec simplicité et efficacité, Christophe Tison nous raconte Suzanne, femme indépendante et heureuse jusqu'à cette rencontre qui fera voler en éclat son univers.

Je me suis beaucoup retrouvée dans Suzanne, dans son envie de vivre et dans sa folie douce qui lui va si bien. L'auteur questionne ici la notion de couple, de quotidien et du temps qui passe.

C'est joliment écrit et sacrément prenant. Quand l'amour devient folie et nous offre un nouveau visage, un nouveau souffle et une force dont on se croyait incapable.

La fin est assez surprenante et m'a prise de court.

J'ai aimé ce voyage avec Suzanne, transfigurée par l'amour et ne peut que vous recommander de plonger avec elle dans les fureurs de la vie.
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Il m'aimait

Didier aime les enfants et le dit. On lui répond qu'il n'a qu'à s'en occuper, ce qu'il fait à sa manière. Aucun adulte ne voit rien. Le jeune adolescent ne comprend rien à cette situation. Il est comblé de cadeaux par Didier et tabassé et insulté à l'école. Il croit que la faute est de son côté.

Ce livre est paru en 2014, bien avant "Le consentement" de Vanessa Springora (2020). C'est un témoignage poignant où le prédateur ne pense pas à l'enfant qu'il détruit, mais à son plaisir.
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Journal de L. (1947-1952)

Ce livre nous expose le point de vue de Lolita, oui celle à laquelle vous pensez, celle de Nabokov par le biais de la découverte de son journal intime. Elle narre sa version de la virée sur les routes américaines en compagnie de son beau père. Récit poignant d’une enfant-adolescente aux prises avec un monde d’adultes malsains.





En préambule, je pense qu’il faut lire Lolita car on retrouve ici massivement les personnages et le déroulé de ce livre. Cela étant dit, il fallait oser soixante ans plus tard répondre à cet ouvrage tout d’abord à cause du contexte ambiant (metoo, puritanisme…) et surtout parce qu’il est mondialement connu. Christophe Tison a donc décidé de faire parler Dolorès Haze, la jeune fille sulfureuse de Humbert Humbert se transforme ici en victime. Une approche que l’auteur réussit à mener grâce à sa malheureuse expérience personnelle (se référer à Il m’aimait), abusé lui-même dans sa jeunesse.





Lolita n’est ni mieux ni pire que les filles de son âge, plus mûre au contact d’adultes et des expériences qu’elle vit. Peut-être aussi un peu plus en manque de repères et surtout d’amour : délaissée par une mère qui cherche à plaire et meurt trop tôt, abusée par un beau-père, trompée par un pygmalion. Elle se réfugie parfois dans l’enfance auprès d’une poupée confidente. Tantôt fleur bleue auprès de conquêtes qu’elle pense durable, car comme toute adolescente, elle a besoin de plaire pour s’affirmer et conquérir son statut de femme. Tantôt femme fatale mais ce statut est souvent imposé par d’autres.





Le fait d’utiliser un journal pour le récit permet d’entrer directement dans la tête de cette gosse, pas de filtres, c’est d’ailleurs parfois assez cru mais malheureusement les situations le sont aussi. On y découvre une fille en fleur, parfois en pleurs au regard de sa vie subie de patachon. Une femme/enfant qui s’échappe d’elle-même dans les moments les plus difficiles, elle déconnecte son esprit de son corps pour ne pas sombrer, garder son âme malgré tout. Elle se sert aussi d’artifices tels que Hum, le surnom du beau-papa, cette interjection synonyme de doute et surtout de réticence.

Dolorès oscille entre emprise et complicité car elle a plusieurs fois l’occasion de dénoncer son tortionnaire mais ne franchit pas le pas de peur de ne pas être crue. Peut-être aussi une forme de manipulation de l’être abjecte qui la trimballe sur les routes américaines. Le reflet d’une époque, l’après guerre, où même si on sait, on fait sembler de croire aux versions données sans se préoccuper du désastre engendré sur cette jeunesse.





Un livre choc par son thème, par ses mots, par la profondeur et la fragilité du personnage présenté. Un pari réussi pour l’auteur… et un merci à une amie

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Le choix de Suzanne

Histoire d'une idylle qui tourne mal, « Le Choix de Suzanne » de Christophe Tison repose avec acuité la question de l'adultère. Au programme, quelques interrogations contemporaines sur fond de cancel culture et de développement personnel et une série de drames en haute montagne.
Lien : https://www.lesechos.fr/week..
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Même pas morte

Sibylle Claudel raconte en mots et phrases sans fioritures son enfance et son adolescence... C'est terrifiant, glauque, pitoyable.

Comment un père et une mère peuvent-ils laisser à l'abandon leur enfant?

Je ne peux pas admettre que la vie, fut-elle difficile, mène des parents à l'abandon pur et simple de leur fille, alors même que celle-ci appelle au secours!

Bravo à vous, Sibylle, d'avoir réussi à sortir de ce marasme, à vous faire votre place au soleil, à vous offrir un avenir professionnel, alors que tant de jeunes bien accompagnés ne cherchent même pas à s'en sortir!



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Le choix de Suzanne

Lors d'une rando en montagne qui tourne mal, Suzanne doit faire face à un choix cornélien : couper la corde qui retient son mari suspendu au-dessus du vide, ou couper celle de son amant secret. L’un des deux mourra, elle et l’autre seront sauvés. Un dilemme inhumain qui interroge, un texte fiévreux qui m'a fait penser au film "Le choix de Sophie", où cette dernière devait choisir entre ses deux enfants pour en sauver un seul des deux des griffes des Nazis. A lire!
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Le choix de Suzanne

Une femme entraînée vers un destin éprouvant par une passion dévorante.
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..
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Le choix de Suzanne

C’est l’histoire d’une rencontre, d’une relation secrète entre Neil et Suzanne. Un homme au charme magnétique et une séduisante femme mariée pour qui tout allait pour le mieux dans son couple. Elle qui avait monté avec son mari, Fred, une entreprise prospère consacrée au développement personnel, une appli nommée CalmX créée pour le bien-être, la tranquillité et la relaxation. Tout baignait entre Fred et Suzanne, et puis un jour Neil est arrivé… et ce fût le coup de foudre, celui qui ne prévient pas, qui vous cueille, vous fait perdre peu à peu pied avec la réalité. Heureusement, Fred ne soupçonne rien de rien de cet amour torride, de cette idylle entre cet homme employé dans la société et cette femme de quarante ans aux lignes encore parfaites. On les voit souvent ensemble, ils partent en voyage pour le travail ensemble jusqu’au jour où des collaborateurs commencent à avoir des soupçons qui finissent par remonter aux oreilles du mari trompé. Et finalement ce qui n’était au départ qu’une banale relation adultère va se transformer en une incroyable affaire criminelle.



Car, comme il est suggéré sur le quatrième de couverture, voilà que le mari, la femme et l’amant se retrouvent à escalader une montagne en plein hiver, encordés les uns aux autres, jusqu’à ce que l’impensable se produise. Une mauvaise chute du mari va entraîner l’amant de l’autre côté de l’arrête sur laquelle marchaient nos trois randonneurs. Entre les deux hommes, au point d’équilibre, Suzanne doit faire un choix pour ne pas mourir sur place, sacrifier l’un au profit de l’autre. Un choix cruel pour une femme qui n’a pas envie de choisir, qui aime ces deux hommes intensément mais pas pour les mêmes raisons. Mais pourtant elle va devoir se résoudre à couper la corde, perdre l’un pour sauver l’autre. Une décision qui va finir par la conduire dans la rubrique des faits divers, dans un effroyable tourbillon médiatico-judiciaire.



Après Les amants ne se rencontrent nulle part (2017) Journal de L. (1947-1952), le journaliste et écrivain Christophe Tison revient ici avec un thriller, un drame aux multiples rebondissements dans lequel l’auteur aborde notamment le thème de la “Cancel culture”, phénomène assez récent évoqué de manière plus explicite encore, l’an passé, par Abel Quentin dans Le voyant d’Étampes.



Constitué de courts chapitres, Le choix de Suzanne est un court récit dans lequel la tension monte crescendo et qui se termine de manière assez surprenante avec un final qui fait écho un incroyable fait divers qui s’est déroulée en 2015… Mais n’en Tison pas plus et laissons le lecteur se plonger dans cette histoire d’amour aussi brusque qu’intense pour suivre le destin de Suzanne, dont rien laissait présager qu’il prendrait une tournure aussi dramatique.








Lien : https://www.benzinemag.net/2..
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Journal de L. (1947-1952)

Il faut oublier la Lolita de Nabokov et appendre à connaitre Dolorès. Le journal de L est le journal intime fictif de la lolita du célèbre roman de Nabokov. On va suivre les réflexions, le cheminement de Dolorès quelque peu perturbant et dérangeant à certain moment.



C'est un roman que je n'oublierai certainement pas tant il est touchant et poignant. J'ai été fasciné par la force de caractère que peux avoir cette jeune fille, par la manipulation qu'elle maitrise envers les hommes et par son déterminisme malgré les choses cruelles qui lui arrivent.



J'ai adoré ce roman. Je vous le conseil vraiment !

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Journal de L. (1947-1952)

Avis compliqué à rédiger car j'ai de la peine pour la jeune Lolita, qui pourrait rester insensible à sa vie ? D'autant plus que j'ai une fille de douze ans... impensable vraiment ! Et pourtant, pourtant, malgré moi, après une bonne moitié du livre, je me suis détachée du personnage et lassée de la répétition des scènes et du défilé de pédophiles.

Avant cela, le début du roman m'avait happée, je me suis revue adolescente (fin d'adolescence quand même, pas 12 ans !), découvrant la Lolita de Nabokov et je me suis questionnée : avais-je manqué toute cette souffrance ? Où avais-je pu imaginer de la séduction et de l'amour ? Est-ce que toutes les jeunes filles ont cette naïveté ? Est-ce que les marques d'attention d'un homme plus âgé sont de nature à les faire basculer, encore de nos jours ? Oui, beaucoup de questionnements plus ou moins existentiels, de craintes car la jeune fille est devenue mère et que cela modifie évidemment l'intégralité de mes perceptions.

J'aurais besoin de relire Lolita pour vérifier tout ça... mais est-ce que j'en ai envie...

Merci
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Même pas morte

Témoignage poignant d’une enfance carencée en amour donc difficile suivie d’une adolescence marquée par la prostitution, l’errance et la délinquance. Un douloureux parcours de vie jalonné d’abandons et de souffrances psychologiques.
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Journal de L. (1947-1952)

Le roman de Christophe Tison donne envie de relire Nabokov. Pour l'avoir lu il y a pas mal d'années, j'en garde le souvenir d'un Humbert pathétique presque attendrissant. Le Journal de L. est en effet le pendant de Lolita. Il nous livre la même histoire du point de vue de Dolorès Haze. Il s'agit de son écriture, de sa voix, pleine d'émotion, de colère, et de révolte rentrée. C'est le côté monstrueux d'Humbert que donne à voir ce récit. L'écriture est sincère, crue, poétique aussi - la description de Morro Bay, Californie, par exemple, évoque la peinture de David Hockney. Christophe Tison exprime avec force la souffrance d'une enfant envahie par les déviances d'un adulte tout puissant. Il relate bien le mécanisme qui permet à la perversité du personnage de Humbert de perdurer sans que son entourage ne le soupçonne. Et pour cause! Christophe Tison sait de quoi il parle puisqu'il a lui-même subit dans son enfance les assauts d'un pédophile. Journal de L. est une fiction qui sonne vrai, authentique, car elle est alimentée de vécu. Si Lolita de Nabokov est un roman dérangeant, Journal de L. est plus bouleversant encore.
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Journal de L. (1947-1952)

Sordide à bien des niveaux, ce roman n'en est pas moins le pendant indispensable au Lolita de Nabokov. Dans un style tout autre mais tout aussi poétique, Christophe Tison donne la parole à la "nymphette". Les sonorités, le rythme de sa plume envoûtent, enivrent, mais l'enchantement ne dure pas et se transforme bien vite en cauchemar... (avis complet : https://pamolico.wordpress.com/2020/05/28/journal-de-l-christophe-tison/)
Lien : https://pamolico.wordpress.c..
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Journal de L. (1947-1952)

Tres bon livre....

C’est instructif d’avoir le point de vue de Lolita sur ce qui lui est arrivé et son rapport aux hommes qu’elle a cotoyé ...

On s’attache á cette ado rebelle et c’est douloureux de la quitter de façon tragique...

A lire pour ceux qui ont aimé Lolita de Nabokov.

Ce livre clôt le chapitre...
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Journal de L. (1947-1952)

Un profond et courageux travail d’investigation ou Christophe Tison donne suite à une histoire vraie « Lolita » de Nabokov. Suite ,oui , car je ne vois pas un éditeur publier pareil ouvrage aujourd’hui . Livre controversé ,interdit à sa sortie ,prenant , troublant, qui fait mal . Une relation perverse, malsaine condamnable à l’infini montre une immense souffrance Des tristes faits dans une société américaine puritaine, faits noyés dans les tabous qui ressortent au grand jour 70 ans plus tard.
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Journal de L. (1947-1952)

Un livre que j'ai eu grâce à Babelio, qui m'a permis d'assister à la soirée de lancement du roman. Dans ce récit autobiographique fictif, l'auteur invente la version des faits de la Lolita, il prend le risque de dépoussiérer ce classique de Nabokov afin de donner enfin une voix à la victime.

En imaginant la découverte de journaux intimes, nous entendons enfin la voix de Lolita. Nous l'accompagnons à travers l'Amérique des années 50 dans ce road trip infernal avec "Hum". Le récit est cru, incisif, glaçant. Lolita révèle également des détails à peine esquissés dans l'oeuvre originale, nous en découvrons plus sur sa fuite loin d'Humbert et sur sa tentative désespérée d'avoir "une vie normale". Nous sentons rapidement que l'auteur maîtrise son sujet (il s'exprime ouvertement sur le fait qu'il fut également victime d'un pédophile) les réactions de Lolita face à l'homme qui abuse d'elle sont réalistes et criantes de vérité. Après m’être sentie complice du bourreau lors de ma lecture de Lolita, j'ai aimé découvrir le récit de la jeune fille dont l’enfance fut volée. Le texte fonctionne bien, le style est agréable à lire, cependant, nous sommes loin du récit mythique de Lolita. Il n'existe plus que la dure réalité des faits, le récit en deviendrait presque banal. L'auteur a pris un gros risque en revisitant ce classique et j'apprécie finalement la démystification de Lolita, qui, malgré tout les fantasmes des lecteurs, n'est qu'une petite fille violée et abusée, comme tant d'autres.
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Te rendre heureuse

J'ai découvert la plume de Christophe Tison, l'an dernier, avec "Le journal De L.", puis "il m'aimait" et j'ai été totalement conquise par la plume de l'auteur.

Dans celui ci, dont la 4ème couverture m'a immédiatement séduite, ça n'a pas fonctionné. Un potentiel d'idées que j'aurais aimé voir développées, et qui sont suggérées, intéressantes et abandonnées à regret. L'emploi (le travail) du personnage principal occupe une place importante, trop, à mon goût.

Il est perdu, et on l'est avec lui, pas de réponse, à l'amour, l'infidélité, le désir... Mais il n'y en a sans doute pas...

Pourtant j'aurais apprécié un peu plus de clarté dans ses interrogations, un peu plus de temps consacré à sa vie personnelle.

J'ai relevé tant de phrases qui m'ont interpellées, où j'ai retrouvé la patte de cet auteur dont j'adore la plume et l'analyse...

"L'amour ne sauve pas. Il faut d'abord se respecter soi soi-même, ne plus se maltraiter, se morfondre et être obsédé par soi, et alors seulement on peut aimer, être disponible pour voir l'autre et aimer vraiment "... la mince affaire
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