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Critiques de Christophe Vasse (119)
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Celle qui ne pardonnait pas

Globalement j'ai aimé ce livre:

* Tout d'abord, le vocabulaire est choisi : c'est bien écrit! et même, tel une discrète flatulence littéraire qui échappe, je suis tombé sur un imparfait du subjonctif ! J'adoooore !!

* Le personnage de Gabrielle est intéressant : torturé, emporté, humain

* L'action se passe à Toulouse, ville où j'ai travaillé un an, et que j'ai aimée ; ça change du 36 du quai des Orfèvres !

En négatif :

* Les sigles sont vraiment trop nombreux, et en plus ils nous sont resservis en dessert, à la fin.

* Le coup du dédoublement de personnalité, on nous l'a déjà fait, de multiples fois !



Un polar avec du rythme, des personnages attachants, un beau cadre: à lire !



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Celle qui ne pardonnait pas

Nous faisons ici connaissance avec Gabrielle, capitaine de gendarmerie qui vient de perdre son binôme, celui avec qui elle faisait équipe depuis longtemps et qui était comme un membre de sa famille. A l’arrivée de Marc, elle va se montrer hostile mais une affaire de tueur en série va leur tomber dessus et les obliger à travailler ensemble. Comment vont-ils s’en sortir ? Vont-ils arriver à travailler ensemble ? Pourquoi Gabrielle semble-t-elle toujours si froide ?



Gabrielle est une femme qui n’a pas l’habitude de se laisser marcher sur les pieds. On la sent en même temps forte et fragile, tentant de cacher ses faiblesses derrière un fort caractère et une capacité de travail assez incroyable. On la découvre au fil des pages et c’est un personnage qui vaut le détour, tant sa volonté de réussir est impressionnante. Concernant Marc, c’est un père de famille qui semble entretenir une relation compliquée avec son épouse. Il a, au début, un peu de mal à cerner sa supérieure mais il va, grâce à sa capacité d’écoute et son empathie, arriver à percer ses défenses et l’inciter à lui faire confiance. Tous les deux, ils forment une équipe de flics complices, complémentaires et prêts à tout pour résoudre leur enquête.



Pour une découverte, je n’ai pas été déçue. L’auteur arrive à nous immerger totalement dans son histoire et à créer une ambiance intrigante sans qu’elle ne devienne jamais angoissante. Le narrateur externe suit tantôt les enquêteurs, tantôt le tueur, tantôt les victimes et tantôt des personnages mystérieux dont nous comprenons l’identité qu’à la toute fin. Ce procédé nous permet de suivre un grand nombre de protagonistes et d’aiguiser la curiosité du lecteur. Telle une toile d’araignée, cette intrigue complexe mêle enquête de police et drames personnels pour nos deux enquêteurs. L’univers crée est donc riche et permet à l’auteur de s’amuser en tentant de nous perdre à travers de nombreux détails. Pourtant, tel un puzzle, tout s’emboîte quasi-parfaitement à la fin et on referme le livre en se demandant quand on aura la chance de retrouver Gabrielle et Marc ?



Pour conclure, « Celle qui ne pardonnait pas » est un très bon roman policier ayant pour cadre la ville rose. Venez, vous aussi, vous lancer à la poursuite de ce tueur en série et découvrir un duo de flics détonnant et étonnant.
Lien : https://lesmisschocolatinebo..
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Celle qui ne pardonnait pas

Je ne résumerai pas le livre d’autres l’ont très bien fait avant moi. J’ai lu « celle qui ne pleurait jamais » et j’ai adoré de sorte que j’attendais la suite avec impatience. (Mais celui ci peut se lire sans connaître le premier.) Trop impatiente sans doute j’ai eu un peu de mal à « m’investir «  totalement au debut. Ce n’est qu’au fil des pages que j’ai été prise par l’intrigue et par Gabrielle flic, confrontée à une enquête difficile sur plusieurs meurtres, mais aussi par Gabrielle femme que le passé va rattraper. Trouvera t’elle le meurtrier des assassinats et trouvera t’elle son fantôme ? La réponse à la première question est dans le livre quant à la réponse à la deuxième….
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Celle qui ne pardonnait pas

CELLE QUI NE PARDONNAIT PAS est la suite de celle qui ne pleurait jamais, en effet on retrouve le personnage de Gabrielle, fille de Séverin, héros du 1ee tome, quelques années après . La petite fille est devenue capitaine de police , et viens de perdre son partenaire lors d'une arrestation qui a mal tournée . Alors qu'elle tente de se remettre de ce drame mais aussi celui de son enfance , elle va être amener à enquêter sur un mystérieux tueur qui assassine ses victimes tout en respectant un certain rituel , et qui envoie à la police des cartes avec des dessins donnant des indices pour retrouver les corps Elle va être seconder par le nouveau partenaire qui lui a été adjoint , Marc ( un personnage secondaire intéressant , enlisé dans une vie de couple loin d'être satisfaisante, avec une épouse assez détestable ) , avec qui les débuts vont s'avérer délicats mais peu à peu ils vont s'apprivoiser .. ( une belle relation , mais frustrante ) La vie personnelle , familiale et amoureuse, prend un part importante dans ce roman, et ce n'était pas moins inintéressant .

Christophe VASSE a écrit un thriller addictif, qui m' hypée du début à la fin , qui nous liasse à la fin sur certaines interrogations qui me donnent très envie de lire la suite des aventures de Gabrielle , un très beau et très bon personnage féminin, au fort caractère, très déterminée mais aussi avec des fragilités qui la rendent vraiment attachante .

L'écriture maîtrisée ,La présence de suspense, de chapitres courts l'absence de temps morts font partie des clés de la réussite de ce thriller réussi . Juste un petit bémol pour moi : la personnalité du meurtrier , qui m'a laissée perplexe , voire un peu incrédule . avec un sentiment de déjà vu . Mais rien de grave .

J'ai donc hâte de retrouver Gabrielle . Et Marc . Une suite qui devrait plus refléter le titre .
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Celle qui ne pardonnait pas

" Celle qui ne pardonnait pas "



Ici, j'ai retrouvé Gabrielle Berthelot, la fille de Séverin Berthelot, elle a bien grandi depuis ma lecture du premier tome " Celle qui ne pleurait jamais ", elle est devenue une femme exigeante, une femme qui ne se laisse pas faire, et une véritable grande gueule, qui n'a pas peur de dire ce qu'elle pense, elle est devenue capitaine de gendarmerie.



Elle se remet tout juste de la mort de son coéquipier Alex lors d'une descente, qu'on lui en impose un autre de coéquipier Marc, au premier abord elle est méfiante et réticente, puis elle se rend vite compte qu'elle n'aura pas le choix de coopéré.



Une jeune fille est assassinée, et d'autre meurtres sont commis dans le milieu étudiant de Toulouse, selon le même rituel, avec une mise en scène assez particulière, le tueur envoie après chaque meurtre une carte composée d'indice sur les filles qu'il a assassinées.





Ils n'ont pas le choix, un véritable compte à rebours et lancé, il faut qu'il trouve l'assassin avant qu'un autre ne mette la main sur lui et décide de faire justice lui-même.



Pour ce deuxième livre de l'auteur, j'ai trouvé que l'histoire était assez addictive et prenante, car le suspense et au rendez-vous et il ne nous ménage pas en effet de surprise à chaque pas de l'enquête, un élément s'ajoute et fait éclater à chaque fois le cours de l'enquête, le duo se retrouve dépourvu et non pas le choix de réagir très vite, sous peine de perdre pied.



Le personnage de Gabrielle, et stresse et nerveuse dans ce roman, beaucoup de situations vont la mettre sur les nerfs et plus particulièrement une qui va l'angoisse dans un sens, mais elle est en même temps prête pour y faire face.



Marc lui a d'autres soucis à gérer en parallèle, sa femme, qui n'est pas facile avec lui, il essaye de manie tout ceci, mais il ne sait même plus comment s'y prendre avec elle, car le dialogue semble rompu, peu à peu, il s'efface dans son couple.



Tout ai faux semblant, il y a beaucoup de non-dits dans ce roman, les personnages n'arrive pas à communiquer vraiment et à dire leurs émotions, leurs ressentis ce qu'ils ont sur le coeur, sans avoir peur de blesser.



Beaucoup de folie gangrène ce roman. D'autant plus avec ce tueur qui ne les ménage absolument pas, véritable jeu attrapez moi si vous pouvez.



La construction du roman est astucieuse et jusqu'au bout l'effet de surprise et là, l'auteur comme dans son tome 1, nous laisse toujours avec une fin fracassante.



Pour le prochain roman, j'envisage dans ma tête, un sacré duel placés sous le signe de la vérité, et de la vengeance.



J'ai beaucoup aimé ma lecture, j'attends le prochain avec impatience.

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Celle qui ne pardonnait pas

Ce roman policier met en scène Séverin, un flic bipolaire qui se morfond dans sonn métier. Heureusement que la passion de l'écriture le tenaille. Sa fille Gabrielle, ado gothique et caractérielle, lui donne bien des soucis. Un meurtre a lieu. Puis un second. Puis Sarah, l'ex-femme de Séverin disparaît. Tout semble l'accuser mais Séverin ne croit pas à la culpabilité de Sarah. Il va mener une enquête aux très lourdes conséquences.

Très bien rédigé, dans un style classique, ce polar démarre assez doucement mais la tension atteint son apogée à la fin du roman.
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Celle qui ne pardonnait pas

Christophe Vasse nous plonge dans une sombre affaire de meurtres en milieu étudiant . La capitaine de gendarmerie Gabrielle Berthelot et son adjoint Marc Darbanville ( qui vient juste de remplacer un collègue tué en service ) sont chargés de l’enquête par leur hiérarchie . Le tueur - en fait un véritable psychopathe - va vite se transformer en dangereux serial killer - car vous vous doutez que ce crime n’est pas le dernier . Il semble suivre un même modus operandi doté d’un même rituel : il s’en prend à de jeunes étudiantes dont il laisse les corps enveloppés dans leurs propres draps de lit en forme de toge après leur avoir fait des tresses et leur avoir glissé une fleur blanche entre les mains . L’assassin ne se contente pas de tuer il nargue la police en leur envoyant des cartes avec des messages à codes devant permettre de sauver ses prochaines cibles . Un jeu diabolique qui va rajouter un supplément de pression à Gabrielle et à son équipe alors que les véritables pistes se font rares . Mais Gabrielle est une battante qui a bien l’intention de mener à bout cette enquête quitte à y laisser un peu de sa santé physique et psychologique .





Ma première lecture de l’auteur - sans doute pas la dernière- qui nous embarque dans une enquête au long cours , une traque sans merci à la poursuite d’un dangereux criminel , un monstre à l’esprit malade , aux multiples visages , qui ne laisse aucune chance à ses futures victimes . Si l’enquête de gendarmerie est le fil rouge de ce roman , l’auteur s’attarde sur les personnages notamment ceux de Gabrielle dont on découvre peu à peu son passé difficile ou Marc en plein doute existentiel et dont le couple bat sérieusement de l’aile . Deux êtres qui se cherchent sans être sûrs de leurs sentiments réciproques . Le scénario est parfaitement rythmé même si selon moi quelques longueurs auraient pu être évitées et auraient apporté au récit un sursaut d’intensité dramatique . Je me suis par contre laissé convaincre par son indéniable talent d’écrivain, son art du suspens totalement maitrisé et de surprenants rebondissements qui apportent un zeste de piment supplémentaire à ce polar flamboyant .
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Celle qui ne pardonnait pas

Ce roman est une bombe, soyez prévenus, vous allez avoir du mal à le lâcher ! Une suite à Celle qui ne pleurait jamais ? Oui et non, car les deux romans peuvent se lire séparément sans problème..



Le roman démarre par un prologue intrigant sans datation précise. On y découvre des adolescents qui, au cours d’un après-midi, discutent dans une cabane au fond du jardin de la maison familiale de l’un d’entre eux. Pourquoi ce prologue ? Quelle est l’importance de ces protagonistes ? Dès les premières pages le lecteur est « ferré » et entre de plain pied dans l’histoire.. Je vous mets alors au défi de parvenir à ne pas tourner les pages frénétiquement jusqu’au dénouement !



Toulouse, de nos jours. Une intervention musclée des gendarmes au domicile d’un délinquant qui tourne mal et Gabrielle, notre héroïne y perd Axel son plus proche collaborateur. On sent Gabrielle hantée par son passé et cet épisode traumatique va la mener encore plus sur le fil du rasoir. Mais elle n’a pas vraiment le temps de s’apitoyer sur son sort car la ville rose est endeuillée par le meurtre d’une jeune fille. Elle doit déjà se remettre en selle pour résoudre l’enquête, et ce, avec l’aide de Marc, le « remplaçant » d’Axel tout juste débarqué. La scène de crime a été dressée de façon méticuleuse, poussée à l’extrême dans ses moindres détails. Mais l’auteur ne cède pas à l’escalade dans le morbide ou le glauque, et il n’en a pas besoin. Tout est très visuel, conceptualisé, on imagine sans peine la scène tournée dans un film ; Malheureusement le coupable s’est montré extrêmement prudent, ne laissant aucun indice susceptible d’aiguiller les gendarmes qui comprennent que leur tâche pour l’attraper va être ardue. Il prend toutefois un malin plaisir à se jouer d’eux en leur adressant des cartes représentant des peintures dans lesquelles il a inséré des indices concernant ses crimes. Dès lors, comment faire pour coincer le tueur aux cartes, sachant qu’il a toujours plus d’une longueur d’avance sur eux ?



L’auteur a insufflé beaucoup de rythme à son roman grâce à des chapitres courts et à la présentation, à certains moments d’actions simultanées entre la vie de la Brigade dans le cadre de l’enquête et la vie du meurtrier. La vision est scénographique, et cela rajoute une tension supplémentaire qui tient le lecteur en haleine. D’autant que les meurtres se poursuivent et que tout semble se télescoper dans la vie de Gabrielle : entre l’enquête en cours qui lui donne du fil à retordre, l’assassin de son ancien coéquipier dont elle tente de retrouver la trace, sa vie personnelle.. Elle est au bord de la rupture mais continue pourtant d’avancer, persuadée que le meurtrier fera à un moment donné un faux pas et qu’elle pourra le coincer. L’auteur qui a mis en place des rouages complexes pour l’intrigue jubile à semer le trouble dans notre esprit de lecteur par le biais de savants rebondissements. La tension monte, l’enquête se complexifie, les pages se tournent à un rythme endiablé.





Un autre gros point fort du roman est le très grand soin apporté aux personnages du roman. Il y a le responsable des meurtres que l’on tente de découvrir, dont on peine à cerner les motivations et qui nous intrigue. Gabrielle, en gendarme battante, toujours prête à monter au front est extrêmement attachante. On éprouve sans réserve et d’emblée une immense sympathie et empathie pour elle. Mais très vite on décèle des fêlures dans sa cuirasse. Elle évolue dans un monde masculin et doit se blinder entourée par certains collègues lourdauds ou machos. Dès lors qu’elle parvient de moins en moins à camoufler ses fêlures, nous tremblons pour elle, nous attendant à la voir exploser en plein vol avant la fin du roman. En personnage féminin, Magali, la femme de Marc se pose en épouse jalouse compulsive qui rend fou Marc, son mari, le coéquipier de Gabrielle. Son personnage campe la réalité de la vie de famille de la femme d’un gendarme, subissant les horaires, les gardes de son époux. Tout est très réaliste, finement observé et accentue la tension ambiante. Sa jalousie est-elle justifiée ? Une histoire serait-elle possible entre les deux coéquipiers ? Marc quant à lui cherche ses marques, sachant qu’il est considéré comme le « remplaçant de.. ». Enquêteur très efficace, nous décelons toutefois des zones d’ombre en lui. A eux deux ils se lancent dans une course contre la montre frénétique.



Vous l’aurez compris, je suis conquise par le roman. J’ai aimé retrouver l’univers de l’auteur dont la plume a, depuis son dernier opus, encore gagné en maturité, puissance et finesse. Son sens du suspense est redoutable et il a concocté une intrigue complexe et fouillée, très intéressante à suivre.
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Celle qui ne pardonnait pas

Je ne connaissais pas la plume de Christophe Vasse. Je remercie donc les copines pour cette découverte. Un thriller comme je les aime, avec des interrogations, des failles, des meurtres…







Deux mois, deux petits mois que Alex, le collègue de Gabrielle, capitaine de gendarmerie, est décédé lors d’une descente qui a mal tourné.



Deux mois et la voilà à devoir accueillir Marc, son binôme. Mais il est temps d’aller de l’avant, car un nouveau meurtrier sévit au sein des étudiantes Toulousaine. Trois meurtres, trois meurtres de trop, et un tueur qui se permet de jouer avec les nerfs de la brigade. Il n’en fait pas plus pour que Gabrielle et Marc se mettent sur sa trace.







Si comme moi, vous êtes fan des experts ou de police judiciaire : celle qui me pardonnait pas est pour vous. Même si vous êtes pas fan d’ailleurs. Tout y est réuni : un tueur plus que respectueux de ses victimes, 😁, des indices envoyés à la brigade, une histoire, des suspects. On débute sur un prologue plus que glaçant, sur un prédateur sexuel. Puis on enchaine avec notre enquêtrice Toulousaine.



L’enquête est bien ficelée, j’ai eu l’impression de faire partie de l’équipe. J'ai participer a leurs joies et leurs peines, leurs embrouilles et leurs rapprochements.



L’écriture de l’auteur est très agréable. Il nous immerge complètement dans son monde, avec ses explications, ses abréviations et ses interactions… Les dialogues sont un plus, on a l’impression d’être dans un Cluedo géant. On se ballade dans la tête de notre tueur mais aussi d'Abel, ami ou autre, de la première victime. J'ai succombé à notre duo de choc, Gabrielle et Marc se complète. Et pourtant d'un abord froid, notre cheffe cache ses fêlures et sa sensibilité. Marc vit une relation difficile avec sa femme, suspicieuse et jalouse



Mais il n’y a pas que ça, l’auteur nous en apprend un peu plus sur Marc, Gabrielle, sur la vie de la brigade et qui est cette ombre, toujours la derrière notre héroïne ?



Pourtant j’ai pensé dès la première ligne une histoire fouillis mais non, l’auteur nous amène là où il veut nous emmener et je l’ai suivi volontiers, maintenant j'aimerai en savoir plus !!!!! Surtout que la fin laisse présagé une suite ?
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Celle qui ne pardonnait pas

Bonsoir chères lectrices et chers lecteurs, ce soir, je vous parle d'un livre envoyé par Lara Gastellier, assistante éditoriale des Editions Prisma : "Celle qui ne pardonnait pas" par Christophe Vasse. Je profite de cela pour remercier Lara Gastellier pour cet envoi.



Résumé :

"Un polar astucieux et prenant sur la piste d'un mystérieux " tueur aux cartes ".

Et si cette enquête était plus personnelle qu'il n'y paraissait ?

Le nouveau roman de Christophe Vasse, Gagnant du Prix du polar Femme Actuelle 2017 avec le Best Seller "Celle qui ne pleurait jamais"".



Quand j'ai commencé ma lecture, je ne connaissais pas du tout l'écriture de Christophe Vasse et je peux dire après avoir refermé ce livre ne pas avoir été déçu mais plutôt enthousiasmé et j'ai très envie de lire d'autres ouvrages de cet auteur.



L'action du livre se déroule dans la ville rose, Toulouse, de nos jours par une intervention musclée des gendarmes au domicile d'un délinquant qui tourne mal et Gabrielle, notre héroïne y perd Axel son plus proche collaborateur. On sent Gabrielle hantée par son passé et cet épisode traumatique va la mener encore plus sur le fil du rasoir. Mais elle n'a pas vraiment le temps de s'apitoyer sur son sort car la ville rose est endeuillée par le meurtre d'une jeune fille. Elle doit déjà se remettre en selle pour résoudre l'enquête, et ce, avec l'aide de Marc, le « remplaçant » d'Axel tout juste débarqué. La scène de crime a été dressée de façon méticuleuse, poussée à l'extrême dans ses moindres détails sans que cela soit morbide ou glauque.

Malheureusement, le coupable se montre extrêmement prudent, ne laissant aucun indice susceptible d'aiguiller les gendarmes qui comprennent que leur tâche pour l'attraper va être ardue. Il prend toutefois un malin plaisir à se jouer d'eux en leur adressant des cartes représentant des peintures dans lesquelles il a inséré des indices concernant ses crimes. Dès lors, comment faire pour coincer le tueur aux cartes, sachant qu'il a toujours plus d'une longueur d'avance sur eux ?



J'ai beaucoup aimer ma lecture car le rythme de l'histoire est soutenue et il n'y a pas de blanc entre les différentes actions, meurtres, enquêtes, etc....

Le lecteur est tenu en haleine par des meurtres qui se poursuivent et tout semble se télescoper dans la vie de Gabrielle : entre l'enquête en cours qui lui donne du fil à retordre, l'assassin de son ancien coéquipier, Alex, dont elle tente de retrouver la trace, sa vie personnelle.... Elle est au bord de la rupture mais continue pourtant d'avancer, persuadée que le meurtrier fera à un moment donné un faux pas et qu'elle pourra le coincer.



J'ai beaucoup aimé le personnage principale, l'héroïne Gabrielle, qui est une gendarme battante, toujours prête à monter au front et qui est extrêmement attachante. On éprouve sans réserve et d'emblée une immense sympathie et empathie pour elle. Mais bien évidemment elle a des défauts comme tout être humain. Elle évolue dans un monde masculin et doit se blinder entourée par certains collègues lourdauds ou machos. Dès lors qu'elle parvient de moins en moins à camoufler ses faiblesses, on tremble pour elle en attendant de la voir exploser en plein vol avant la fin du roman.

Un autre personnage féminin, Magali, la femme de Marc se pose en épouse jalouse compulsive qui rend fou Marc, son mari, le coéquipier de Gabrielle, m'a horripilé . Son personnage campe la réalité de la vie de famille de la femme d'un gendarme, subissant les horaires, les gardes de son époux. Tout est très réaliste, finement observé et accentue la tension ambiante. Sa jalousie est-elle justifiée ? Une histoire est-elle possible entre les deux coéquipiers ? C'est un personnage que je n'ai pas aimé et je ne souhaitais qu'une seule chose que Gabrielle et Marc sortent ensemble.

Quand au troisième personnage, Marc, lui cherche ses marques, sachant qu'il est considéré comme le « remplaçant de.... ». Enquêteur très efficace, nous décelons toutefois des zones d'ombre en lui. Marc et Gabrielle se sont lancés dans une course effrénée.



En fin de compte, je n'ai qu'un conseil à vous donner, après lecture de ma chronique, allez acquérir ce livre et lisez-le car il en vaut la peine. Pour ma part, je vais me lancer dans la recherche des autres livres de Christophe Vasse pour continuer cette belle découverte.



Bonne lecture à toutes et tous. Bises livresques nocturnes. 😘📖🌜

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Celle qui ne pardonnait pas

🔪 Bonjour à tous les booksta 🔪



Tout d’abord, je remercie @christophe_vasse , @g.h.david , les éditions PRISMA de m’avoir sélectionnée pour participer à ce booktour



Avant de vous en dévoiler plus , il faut que je vous parle de cet auteur incroyable que j’ai découvert grâce à son premier roman

d’ailleurs Gagnant du Prix du polar Femme Actuelle 2017 avec le Best Seller « Celle qui ne pleurait jamais ».



J’ai littéralement été happée par la plume de Christophe et ai lu son livre en un temps record .

Un livre qu’on ne repose qu’une fois terminé.



💥Celle qui ne pardonnait pas



▫️L’histoire



Gabrielle Berthelot, capitaine de gendarmerie, se remet tout juste de la mort de son coéquipier Alex lors d'une descente.



C'est alors qu'on lui impose un nouveau partenaire, Marc.



D'abord réticente, elle est bien obligée de coopérer lorsqu'une jeune fille est assassinée.



Bientôt d'autres meurtres sont commis dans le milieu étudiant de Toulouse selon le même rituel : une curieuse mise en scène antique: coiffure vestale, cosmos blanc …



De plus , l’assassin envoie après chaque meurtre une carte composée d'indices sur les filles qu'il a assassinées, d’où son surnom « le tueur aux cartes ».





✨Le suspense est à son apogée tout au long du livre grâce à la plume de l’auteur .



On ressent une souffrance dans le personnage de Gabrielle et cela même si l’on a pas lu « Celle qui ne pleurait pas ».



Comme à chaque fois avec Christophe Vasse on s’attend à une histoire menée avec brio alliant tendresse et désespoir.





Les meurtres se succèdent , on y assiste impuissant et désœuvré.



Bien sûr on a notre propre idée sur le déroulement et ce n’est jamais ce à quoi l’on s’attendait.



L’auteur est une sorte de magicien du polar et le lecteur a la sensation de se faire lui aussi manipulé, d’être induit en erreur , tout comme les enquêteurs Gabrielle et Marc .



Le dénouement est toujours incroyable et on comprend , on espère qu’il y aura une suite …



Merci encore pour cette magnifique lecture



Pour ceux qui ne l’ont pas lu , courrez, volez , faites comme vous voulez mais c’est urgentissime!!!



Il vous faut tous les livres de cet auteur ⚠️
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Celle qui ne pardonnait pas

Après "Celle qui ne pleurait jamais", que j'avais beaucoup aimé, voici enfin la suite. Depuis qu'on l'attendait !

Avec une petite appréhension tout de même, autant pour l'auteur sans doute, que pour le lecteur. Vais-je prendre autant de plaisir à le lire ?



Comme il a été dit dans des différents avis des Babeliottes, l'auteur laisse la possibilité aux lecteurs qui ont commencé par celui-ci de découvrir le premier. Il en dit juste assez pour donner envie de le lire et pas trop pour ne pas casser le rythme de celui-ci.



On retrouve le personnage de Gabrielle. Jeune fille devenue jeune femme. Gendarme, têtue, extrêmement bosseuse.

Elle va se retrouver à la tête d'une enquête pour meurtre sur la personne de la jeune étudiante Erika. Celle-ci est retrouvée étendue dans son appartement, positionnée en vestale. Peu de temps après, elle reçoit une première carte peinte. Vient-elle de l'assassin ? Et si oui ? Que cherche t-il a dire ?

Dans le même temps, il faudra qu'elle se fasse à son nouveau partenaire et celui-ci devra aussi gérer la jalousie maladive de son épouse, Magali.



Christophe Vasse enchaîne les chapitres avec des narrateurs différents, mais on ne s'y perd pas.

On sent que l'auteur a fait de vraies recherches pour coller au plus près à ce que peut vivre un gendarme lors d'une enquête et dans une même temps, il a laissé beaucoup de marge à Gabrielle.







On suit l'enquête, la vie privée des personnages, le fil rouge du premier tome et du troisième car oui, on ne referme pas complètement le livre lorsque l'on sait que tout n'a pas été dit. Mais on espère ne pas avoir a attendre trop longtemps 😜.
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Celle qui ne pardonnait pas

Celle qui ne pardonnait pas...

J'ai été moins prise dans l'histoire que dans "Celle qui ne pleurait jamais",de plus les abréviations m'ont un peu gênée dans ma lecture.

Sinon,ça reste un bon livre où j'ai eu plaisir à retrouver Gabrielle adulte maintenant,et toujours avec ce caractère mordant qui c est même bien affirmé avec le temps et les épreuves.

Il faut dire que pas grand chose ne lui est épargné...

La psychologie des personnages est particulièrement fouillée,de ce fait j'ai l'impression de les connaître.

Marc notamment m'a beaucoup touché.

Le tueur m'a laissé un peu perplexe tout de même...mais la fin ouverte me donne envie de connaître la suite 😍

A lire vraiment et il est certain que je vais continuer à suivre l'auteur duquel j'apprécie la plume.

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Celle qui ne pardonnait pas

Une bonne suite de Celle qui ne pleurait jamais.

C'est avec plaisir que nous retrouvons, vingt ans après, Gabrielle, la fille de Severin Berthelot. Elle est capitaine de gendarmerie à Toulouse et vient de perdre son coéquipier, Alex, pendant une intervention, elle a du mal à s'en remettre. Un nouveau partenaire lui est attribué : Marc qu'elle n'accueille pas les bras ouverts. Elle a conservé son caractère, Gabrielle, elle est aussi entêtée que lorsqu'elle était ado, en plus c'est une fonceuse !

Un meurtre est commis dans une chambre d'étudiante ! la jeune victime a été assassinée suivant un rituel elle est retrouvée cheveux tressés, enroulée dans un drap comme « une toge » avec un cosmos blanc dans la main.

Gabrielle et Marc se rendent sur les lieux du crime et vont commencer une enquête qui ne paraît pas facile. Peu de temps après, ils reçoivent une carte dessinée à la main sur laquelle des indices apparaissent et le mot « prenez soin d'elle ».

D'autres meurtres vont être perpétrés avec la même mise en scène, toujours des filles blondes et jolies. Mais qui peut être cet assassin ? Pourquoi ?

Gabrielle et Marc vont vite devenir complices dans leur enquête qui s'avère très compliquée car ils soupçonnent un certain « Abel » qu'ils interrogent, gardent à vue, qui est relâché mais……. Et puis d'autres noms sont avancés. Pas d'ADN reconnu ! que d'obstacles !

Il n'a pas perdu la main Christophe Vasse, c'est bien écrit, ce n'est pas gore, mais question suspense il est fort, il balade le lecteur avec une aisance peu commune et ce, jusqu'au bout. Que de rebondissements et retournements de situations sans oublier les embrouilles dans la vie personnelle des protagonistes, j'en passe et j'en oublie parce que je m'y perds moi-même !

Une belle chute, inattendue, (elle est forte Gabrielle bel esprit de déduction). Et puis il y a ce petit plus qui revient régulièrement et qui, à la fin, laisse prévoir une suite ! Vite, vite !!!!

Bravo Christophe tu m'as encore bluffée ! Alors chers lecteurs, si comme moi vous aimez être bluffés, lisez-le, vous ne serez pas déçus.

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Celle qui ne pardonnait pas

Celle qui ne pardonnait pas de Christophe Vasse, Le Livre de poche, 2023 (1ère édition : Les nouveaux auteurs, 2021).



J’ai découvert Christophe Vasse en février 2023, un peu par hasard dans les profondeurs de mes PAL, en me promettant de revenir très vite vers cet auteur. Entretemps, j’ai eu le plaisir de le rencontrer et d’échanger avec lui tout en acquérant ses autres romans.



Un tueur en série qui cible un certain type de jeunes femmes et envoie d’étranges cartes à la gendarmerie…

Un duo de gendarmes très impliqués dans leur enquête et perturbés par des soucis personnels…

Des personnages complexes…

Un écheveau compliqué de fils emmêlés et pourtant savamment reliés.



Pas facile de parler d’une enquête sans prendre le risque de trop divulgâcher…

Disons que, malgré des situations récurrentes dans les romans policiers avec des enquêteurs cabossés par la vie, un psychopathe qui joue avec ceux qui le recherchent, etc…, ce roman présente une certaine originalité, évite les écueils de la facilité, sans le moindre « capillotractage »…

C’est vraiment bien ficelé !

La montée en puissance est assez géniale et quand, à l’approche du dénouement, on se demande comment l’auteur va réussir à conclure de façon crédible, on se retrouve bluffé et on en redemande.



La série des « Celle qui… » est vraiment prometteuse. J’ai appris que le troisième opus serait prêt à paraître et je m’en délecte par avance !


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Celle qui ne pardonnait pas

Gabrielle est une enquêtrice de la gendarmerie au passé difficile. Ses parents sont morts il y a maintenant 20 ans dans des conditions atroces (voir « Celle qui ne pleurait jamais » du même auteur) et elle parvient difficilement à surmonter ses peurs. Circonstance aggravante, son partenaire, Axel, a été tué durant une intervention et elle est désormais sur le fil du rasoir émotionnel. Elle est à bout et a du mal à accepter l’arrivée de son nouveau partenaire, Marc. Gabrielle souhaite par-dessus tout retrouver le meurtrier d’Axel, mais c’est alors que le corps étranglé d’une jeune femme est retrouvé. Puis deux autres victimes sont découvertes, accompagnées à chaque fois d’une carte dessinée envoyée anonymement au QG de la gendarmerie. Ces cartes donnent des indices pour retrouver les cadavres que le tueur laisse sur son chemin. Gabrielle et Marc se retrouvent lancés sur la piste de l’insaisissable « tueur aux cartes ».

Qui est cet observateur qui les suit dans leurs faits et gestes ? Quelle est cette silhouette que Gabrielle aperçoit à plusieurs reprises ? Pourquoi le tueur met-il en scène ses meurtres au point de faire ressembler ses victimes à des vestales, prêtresses de la Rome antique symboles de la chasteté ?



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Christophe Vasse nous entraîne dans des quartiers de Toulouse où tout n’est pas rose sur la piste d’un tueur en série atypique. Un homme inquiétant, Abel , ami de la première victime, présente un comportement étrange et le lecteur a tendance à lui attribuer un rôle important dans les meurtres en série. Toutefois, on découvrira que la réalité et que la psychologie éclatée d’Abel est beaucoup plus complexe qu’au premier abord. C’est tout le talent de Christophe de nous amener sur des fausses pistes et il sera impossible de deviner avant la fin l’identité et les motivations du tueur.



Les personnages sont très bien ciselés. Le portrait tout en sensibilité de Gabrielle, la capitaine de Gendarmerie écorchée est excellent et on ne peut que développer une empathie pour celle-ci. Ses relations avec Marc, son partenaire qui se débat dans des problèmes conjugaux, évolue progressivement et Gabrielle finit par apprécier sa présence rassurante à ses cotés.



Personnages fragiles mais déterminés, ils détricotent l’intrigue pour retrouver le meurtrier qui échappe à tous les radars mis en place par les services de recherche de la gendarmerie.



Le style est enlevé et simultané : on passe des gendarmes en pleines investigations à la pensée et aux actions du tueur. On visite le cerveau d’Abel en se demandant s’il s’agit du « tueur aux cartes ».



J’ai lu ce roman en trois jours, mais je pense que si j’avais pu, je ne l’aurais pas laissé sur ma table avant de le finir dans la journée ! Avec tout son talent, Christophe Vasse nous entraine dans la tête des enquêteurs, du tueur et d’Abel (mais n’est-ce pas la même personne ?). La complexité des sentiments et des motivations est très bien rendue et on se demande soi-même ce que l’on ferait si on se trouvait dans la même situation.



Le dénouement est surprenant et il faut tourner les toutes dernières pages pour que tout s’éclaircisse. Mais on comprend que toute menace n’est pas éloignée de Gabrielle. Christophe nous prépare-t-il une suite ? En tout cas on en redemande !



A noter que la lecture du précédent tome n’est pas indispensable pour apprécier « celle qui ne pardonnait jamais ». L’auteur distille suffisamment d’informations pour que l’on comprenne le contexte très particulier qui a engendré l’état psychologique de Gabrielle.



Peut-être que séduit par la lecture du présent roman vous aurez envie de lire « celle qui ne pleurait jamais » (Grand prix du polar Femme Actuelle 2017), ce que je vous recommande chaudement !
Lien : https://leslecturesdugabian...
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Celle qui ne pardonnait pas

Autant vous le dire tout de suite, vous n'allez pas être déçus. 



Que vous ayez lu "Celle qui ne pleurait jamais" ou pas, c'est pas grave. Mais ce qui est sûr, c'est que lorsque vous aurez lu celui-ci, vous irez acheter le précédent pour en savoir plus sur le fameux Séverin, le papa de l'héroïne principale de cet opus-ci. Vous me suivez ? 

Pour ceux qui ont lu le premier tome, nous sommes cette fois une vingtaine d'années plus tard. La fille de Séverin, la gothique Gabrielle a bien changé, elle est devenue gendarme et une redoutable enquêtrice. Tout commence par un prologue... Un prologue étrange de par ses personnages, de par sa forme et ses implications. Et puis, Christophe Vasse nous plonge brutalement dans la réalité violente que vit dorénavant Gabrielle. Elle doit vivre, avec ses traumatismes, ce métier qui s'est imposé à elle comme une évidence et cela dans un milieu très masculin, voire machiste. Ça n'est pas toujours simple...

Il y a un tueur, bien sûr, mais connaissant Christophe Vasse il n'est pas banal (du tout, du tout 😉) et si on ne sait pas bien au début qui est qui, qui fait quoi, je peux vous assurer que, quand vous le saurez :

1) vous allez en rester baba, comme on dit

2) vous n'allez pas pouvoir lâcher le livre (ça c'est l'effet Christophe !)... je l'ai lu en deux jours, j'ai tout laissé tomber...

3) vous le refermerez en poussant un wouah ! Et vous hésiterez ensuite entre : "oh non, pas ça !" et "yesssss !".... je vous laisse la surprise de cette double exclamation. 😂

La psychologie des personnages est très fouillée, on est vraiment dans leur tête. Que ce soit celle d'un tueur ou d'un gendarme. Les réactions de leur entourage et leurs propres réactions sont finement analysées et on se dit à chaque fois : est-ce que j'en aurais été capable, est-ce qu'il/elle a raison, c'est dur à vivre ou... non mais quel délire ! 😉

De l'aveu même de Christophe Vasse, son ambition était de faire aussi bien que dans le premier et de savoir s'il retrouverait la plume qu'il avait à ce moment. La réponse est....

C'est mieux qu' aussi bien, c'est tout à fait à la hauteur ! C'est plus profond, plus abouti. C'est une vraie réussite ! Et la fin va vous clouer sur place ! Surtout, surtout ne regardez pas les dernières pages.... 

Faites-moi confiance, vous n'allez pas le regretter. Gabrielle et Marc vont rester dans un coin de votre tête. Je ne peux pas parler des autres personnages sous peine de divulgacher. Mais soyez sûrs qu'après ce livre, vous ne regarderez plus les cosmos et les aquarelles comme avant ! 😉 si, si, vous verrez....
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Celle qui ne pardonnait pas

Comme beaucoup de polars, « celle qui ne pardonnait jamais »

commence par un prologue. Un prologue glaçant où un jeune demande

à un autre des gestes sexuels…



Le roman se poursuit sur la rencontre de Gabrielle, une enquêtrice de la gendarmerie qui voit son partenaire, Axel, mourir dans ses bras. Marc

aura la dure tâche de lui succéder.



Alors que Gabrielle souhaite retrouver le meurtrier d’Axel, le corps d’une jeune étudiante est retrouvé dans des circonstances troublantes.

Deux autres corps sont retrouvés accompagnés à chaque fois d’une carte permettant de retrouver ces victimes. Le tueur en série prend un malin plaisir à jouer avec les enquêteurs mais souhaite aussi par-dessus

tout que l'on « prennent soin » d’elles !



Christophe Vasse nous entraine dans les quartiers de la ville rose alternant les narrateurs et donnant ainsi un rythme tout à la fois haletant

mais aussi angoissant.

On suit ainsi Abel, le meilleur ami de la première victime. Un personnage complexe, avec des tendances schizophrènes. On suit aussi le tueur

(peut-être Abel ?) qui traque ses victimes, une vraie torture pour le

lecteur…

Mais on suit aussi le personnage de Gabrielle, une femme au passé difficile, que l’on découvre forte mais aussi seule et sensible. Elle semble

suivie car une silhouette est aperçue à plusieurs reprises.

Enfin, on suit Marc qui vit une vie de couple compliquée et qui se heurte, au début, au caractère bien trempé de Gabrielle. Pourtant, petit à petit, il va

réussir à l’apprivoiser.

Christophe Vasse sait manier la plume et nous balader d’une piste à

l’autre. La tension est à son comble jusqu'à la fin.



J’ai dévoré le roman et lirai sans doute le tome 1 « celle qui ne pleurait jamais » pour apporter quelques précisions à ma lecture.

En effet, même si la lecture n’est pas obligatoire pour comprendre le roman, j’ai trouvé que la présence de la silhouette (je n’en dirai pas plus)

est assez inattendue si on n’a pas plus de précisions. J’ai trouvé les éléments donnés un peu trop justes.



Un tome 3 semble prévu… J’ai hâte !



Merci Christophe Vasse pour cette découverte et merci aux éditions les nouveaux auteurs.
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Celle qui ne pleurait jamais

Ce qui m'a plus dés le départ, c'est cette histoire en deux temps, on a le narrateur principal Séverin Bertelot et puis cette personne mystèrieuse que l'on découvre peu à peu. Dés le départ, le personne de Séverin m'a été des plus antiphatique bien que ce soit malgrés lui ( on apprend trés vite qu'il est bipolaire). Il fait un flic vraiment pas crédible et détestable au plus au point. Ce que je trouve dommage que c'est beaucoup trop de chose était prévisible. Ce qui fait que je ne suis rentrée dans l'histoire qu'en quatrième et dernière partie. Et je ne parle pas du Twist final qui a fini de me perdre. Je pense que je n'ai pas su passer au dessus de cet aversion pour ce personne qui fait que mon avis ne ressemble pas au avis positif pour ce livre.
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Celle qui ne pleurait jamais

Alors là je dis waouw waouw, vous l'aurez compris j'ai adoré le livre si j'avais pu mettre 10 étoiles je l'aurai fait!!! L'intrigue est juste haletante jusqu'à la dernière ligne au dernier mot. L'histoire est tout simplement géniale, franchement chapeau à l'auteur. Il y a de l'amour , de la haine, de la destruction ,de la reconstruction,... Il faut le lire enfin si vous aimez les romans policiers. Je le conseille. Top
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