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Critiques de Christos Markogiannakis (220)
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Au 5e étage de la faculté de droit

Au 5eme étage de la faculté de droit avait tout pour me plaire au regard du résumé :: un huis clos dans une faculté , histoire de me remémorer mes quelques années d'étudiante ( que j'ai bien appréciées mais qui sont lointaines) ,même si j'étais en fac d'histoire et surtout dans une fac française et pas grecque .

Ca faisait un bon moment qu'il était dans ma whishlist, et j'ai profité du salon iris noir pour sauter le pas .

L'auteur est très sympa Mais je suis malheureusement passé complétement à côté de son roman . Dommage .

deux meurtres commis dans une faculté de droit ( sans surprise) , une prof que tout le monde ou presque déteste , et un doctorant plus sympathique . Qui était vraiment visé ? beaucoup de suspects , un jeune capitaine qui fait fortement penser à un enquêteur belge ( et d'ailleurs la construction finale fait très agatha-christien ) mène une enquête peu palpitante, trop classique pour moi, avec un dénouement final trop banal et facile . le rythme est lent, et il y a un retournement de situation convenu .

je n'ai eu aucune attache pour le personnage principal, d'une grande platitude .

Il manque de relief dans le fond . Heureusement il fut court , même si j'ai passé un certain temps à le lire ..Même le cadre original de la Grèce m'a laissé indifférente .

Je suis déçue d'être si déçue . Un roman qui n'est pas fait pour moi , mais il sera peut être pour vous.







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Qui a tué Lucy Davis ?

Déjà cela se passe sur une île grecque (il en faut peu pour me séduire, j'adore la Grèce), ensuite les chapitres sont extrêmement courts ce qui donne un allant très dynamique, l'auteur a une écriture vive et j'ai beaucoup apprécié ses descriptions que ce soit celles des personnages ou des paysages. L'intrigue est là, même si c'est pas l'intrigue du siècle, et l'enquête bien menée, bref un bon petit roman policier.
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Omero, le fils caché

Chronique réalisée lors du live de Christos Markogiannakis



"OMERO le fils caché"



Être le fils "DE"...

Être le fils de personne...

Être le fils d'un père et d'une mère que l'on croit être ses parents...



Oméro, né le 30 mars 1960, va vivre coupé du reste du monde pendant des années, auprès d'une mère qui le protège comme une louve, d'un père présent mais distant, de personnel à son service et d'un parrain qu'il ne connaitra que par l'intermediaire de cadeaux qu'il recevra de sa part et de lettres dont il n'aura aucunes reponses quasiment...



Pourquoi faire vivre une telle vie à un enfant à qui l'on fait croire les pires mensonges sur le monde ?



Ce n'est que quelques mois après la mort de sa mère, qu'Omero va apprendre la vérité...

Une vérité qui fait mal et qui va chambouler sa vie à tout jamais...



Comment se construire une vie d'adulte, quand on apprend que l'on a été déclaré mort à la naissance, que les personnes qui nous ont élevé ne sont pas nos géniteurs et surtout que nos vrais parents entre guillemets sont des personnes connus qui s'aimaient en secret...



Enfant illégitime, enfant caché, enfant manipulé, voilà qui est Omero...



Dès le début de ce roman, l'auteur nous avertit qu'il n'est que la main qui a tenu la plume de cette histoire bouleversante et qui à aucun moment ne dévoile le moindre nom...

Un héritage, une lettre, un journal, voici par quoi a commencé l'histoire d'Oméro.



Un roman étonnant, qui nous fait voyager émotionnellement à travers les yeux d'un enfant pas comme les autres.

On le suit pas à pas, on vit avec lui les tromperies, les manipulations qu'on lui fait subir, mais on vit également avec lui ses rêves, rêves de voyages, de découvertes de vérité.



Réalité ou fiction ?

Mélange des deux, qui nous fait perdre la notion du temps, la notion de la vérité, la notion de la vie tout simplement en tournant les pages de ce livre.



Un livre que je vous invite à découvrir sans attendre si vous souhaitez connaître Oméro...



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Qui a tué Lucy Davis ?

Un policier classique à l'ancienne, la recherche du coupable dans un huis clos, sur une île grecque fictionnelle... C'est plaisant, ça se lit très facilement, l'identité du meurtrier est surprenante. Un moment agréable de lecture entre deux romans plus violents. Il m'a manqué un tout petit quelque chose pour pouvoir éprouver un sentiment d'attachement aux personnages, mais cela ne m'empêchera nullement de lire d'autres œuvres de l'auteur.
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Auteur de crimes

Livre auquel j'ai eu énormément de mal à m'attacher qu'il m'a bien fallu six jours pour le finir .. Ce n'est pas de la très grande plume, l'histoire est toute somme banale, les personnages peu attachants.. Un simple roman policier comme il en existe des centaines..
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Qui a tué Lucy Davis ?

Bonjour à tous,



J’ai beaucoup aimé ce livre – Une intrigue très originale, une atmosphère à la Agatha Christie où tous les convives de la soirée lors de laquelle Lucy Davis est retrouvée morte sont suspects, une tempête qui isole tout ce petit monde sur cette ile de Nissos qui renforce cette atmosphère de huit clos. On retrouve avec grand plaisir notre policier le Capitaine Christophoros Markou, un policier intègre, intelligent, persévérant et très intuitif aussi.



L’écriture de Christos est fluide, facile à lire, addictive et on ne peut pas lâcher le livre jusqu’à la dernière page tellement on a envie de savoir comment ca va se terminer



Un vrai bon moment de lecture !!



J’avais beaucoup aimé les 2 précédents livres de Christos que j’avais lus “Au 5ème Etage de la Faculté de Droit” et “Mourir sur Scène”, j’ai vraiment aimé celui-ci et je vais bientôt lire le suivant “Auteurs de Crimes” qui sera, j’en suis sûre, un autre excellent livre
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Omero, le fils caché

Familière des enquêtes du capitaine Markou, j'en ai retrouvé, avec Omero le fils caché, l'auteur dans un registre différent. Quoique...



En effet, il n'est pas simple de classer ce livre dans un genre précis: Christos Markogiannakis s'amusant à conjuguer, avec bonheur et suspense, fiction et histoire, relevant le tout d'un zeste d'intrigue policière.



Au centre du récit, Omero, un jeune garçon grandissant entre ses parents, à l'écart de la société. Veillant de loin, à travers des cadeaux et des injonctions, son parrain. En grandissant, l'enfant découvre que sa vie ne reflète en rien la réalité et décide de découvrir qui il est. Une quête commence alors; à travers le monde et le temps.



Emaillé de figures bien connues et de repères d'actualité, un récit moderne aux allures de tragédie grecque: un texte tout à la fois sensible et passionnant !
Lien : https://nahe-lit.blogspot.co..
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Auteur de crimes

J'ai aimé lire cette enquête du capitaine Markou que je découvre avec ce titre.

J'ai aimé le suivre dans les rues de la capitale et les appartements des victimes.

J'ai aimé les crimes tous différents, même si l'auteur révèle des indices dès le début du roman.

J'ai aimé la fin et l'attitude dépitée de l'un des coupable.

Et j'ai été triste que les personnes âgées soient si invisibles.

Pourtant, il ne me restera pas grand chose de cette lecture sympathique.
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Mourir en scène

J’ai beaucoup aimé ce tome 2 qui se lit très bien grâce à une écriture fluide et une enquête prenante ! Le personnage de Markou me plaît toujours autant.



Il s’agit d’une enquête classique comme je les aime mais en Grèce avec une chanteuse qui m’a un peu fait penser à la Castafiore. Ce livre est presqu’un mélange entre Agatha Christie et Tintin !



Le dénouement est très complet et prend une place importante dans le livre. J’apprécie que tout soit très bien expliqué et j’ai été surprise par cette fin 👌



Une série que je continue d’apprécier. Hâte de lire le tome suivant que j’ai dans ma PAL 😍🥰
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Qui a tué Lucy Davis ?

Quel plaisir de retrouver le capitaine Markou dans ce 3e tome !



J’aime ce côté roman policier classique et encore une fois, quel bel hommage à la Reine du Crime, Agatha Christie. De nombreux romans sont cités mais sans les spoiler.



Nous sommes dans un vrai huis clos mais sur une île grecque l’été. C’est un livre parfait pour les vacances d’été ! Je l’ai lu pour ma part en Italie, au bord de la piscine et sur une plage.



Le dénouement est moins long que d’habitude mais reste un de mes moments préférés par la façon dont il est expliqué.



Me voilà prête pour le tome 4 que j’ai hâte de découvrir !


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Omero, le fils caché

Je n'ai pas vraiment aimé ce genre de littérature qui est inclassable, pas un policier, ni un roman , ni un récit historique.

c'est plutôt bien écrit mais c'est un sujet qui ne m'a pas passionné même si l'intrigue qui mêle réalité et fiction est assez originale .
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Omero, le fils caché

Après deux enquêtes passionnantes auprès de l'inspecteur Markou (cf bibliographie plus bas), Christos Markogiannakis change de registre et nous plonge dans un récit mi fiction mi historique des plus captivant.



Je classe ce roman dans mes coups de cœur 💓.



En prenant deux célébrités qui se sont aimés plus que de raison, Maria Callas et Aristote Onassis, l'auteur invente un pan de l'histoire qui flirte avec la tragédie grecque. Difficile de ne pas croire au fruit de cette union, tant les descriptions minutieuses, les anecdotes qui foisonnent, nous rendent ce récit si cruellement réaliste.

Le texte est empreint de nostalgie, d'une douce tristesse et l'on devient très vite admiratif de ce petit garçon devenu adulte qui jamais ne renoncera à devenir ce qu'il aurait toujours du être.



Une très belle fiction où se mêle tant de vérités qu'il est impossible de ne pas y croire et surtout de ne pas l'aimer.


Lien : https://happymandapassions.b..
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Omero, le fils caché

Une introduction indique que l’auteur du livre ne serait que le messager de l’histoire qu’il nous confie. Omero Lengrini lui aurait légué ce texte, avec la liberté d’en disposer comme il le souhaitait.



Omero est né le 30 mars 1960. Il a grandi, auprès de sa mamma et de son papà, dans une maison à côté d’un lac. Isolé et seulement entouré d’adultes, il a été gâté matériellement par son parrain, un homme à qui il devait écrire des lettres, sans jamais l’avoir rencontré. La première fois qu’il est sorti de son environnement (pour des raisons médicales), il avait onze ans.



Toute sa jeunesse, Omero a vécu caché. Il découvrira, tardivement, qu’il est l’enfant de deux célébrités. Leurs noms ne sont jamais cités, mais ils sont précisés dans la quatrième et leurs portraits illustrent la couverture. Il est le fils de Maria Callas et Aristote Onassis. Aucun protagoniste n’est nommé, mais ils sont tous reconnaissables, en raison des éléments véridiques évoqués. Il est facile de comprendre qui est la Veuve, par exemple, grâce aux rappels au sujet de son destin et de celui de sa famille.



Déclaré mort à la naissance, Omero déroule sa vie, imprégnée de sa quête obsessionnelle d’appartenance, d’identité, de vérité, de légitimité et surtout d’existence. Le récit est basé sur des faits réels et la frontière entre la fiction et la réalité est indétectable. J’ai cru cette histoire sans pouvoir affirmer sa véracité. J’ai été émue par ce garçon, sur les traces de ses origines, j’ai partagé ses colères et ses regrets et j’ai été révoltée par les douleurs que les mensonges ont provoquées. Sa vie est construite autour des secrets et du besoin irrépressible de prendre sa place. De déceptions en rendez-vous manqués, son histoire ressemble à une tragédie grecque, mêlée à du suspense. Omero le fils caché est un roman fascinant qui interroge sur la portée des choix et sur celle du destin. C’est un coup de cœur.


Lien : https://valmyvoyoulit.com/20..
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Mourir en scène

Bonjour à tous,



Chronique “Mourir en Scène” – Christos Markogiannakis



Résumé :

Un été torride sur les bords de la Riviera athénienne. Tandis que des hauts parleurs déversent des mélodies pop, une foule électrisée danse pieds nus sur le sable devant une chanteuse propulsée jusqu'à la scène par un monte-charge pneumatique, telle Aphrodite jaillie des eaux. Cinquante mille fans de tous âges assistent aux adieux de leur idole lors d'un concert retransmis en direct par la seule chaîne musicale ayant survécu à la crise grecque. Le capitaine de la police Christophoros Markou, numéro deux du département des homicides de l'Attique, n'est pas là pour s'amuser mais pour assurer le service d'ordre de la star avec ses équipes. Lorsque, tout à coup, la fête tourne au cauchemar : la scène prend feu avant d'exploser. Accident ou attentat ?

Après Au 5e étage de la faculté de droit, Christos Markogiannakis nous plonge dans les eaux troubles des milieux du show biz grec et des médias...



J’ai beaucoup aimé ce livre – Une intrigue très originale, une atmosphère calme malgré l’enquête menée de manière intense par notre policier le Capitaine Christophoros Markou, un policier intègre, intelligent, persévérant et très intuitif aussi



Nous nous retrouvons dans le milieu d’une ancienne gloire de la chanson grecque qui ne veut pas se retirer après plus de 40 ans de carrière et qui va mourir sur scène de façon explosive et cette enquête va s’avérer bien compliquée pour notre policier car notre coupable est particulièrement retors et multiplie les pistes pour perdre notre policier et sa collègue profileuse dans cette enquête



L’écriture de Christos est fluide, facile à lire, addictive et on ne peut pas lâcher le livre jusqu’à la dernière page tellement on a envie de savoir comment ca va se terminer



Un vrai bon moment de lecture !!



J’avais beaucoup aimé le précédent livre de Christos que j’avais lu “Au 5ème Etage de la Faculté de Droit”, j’ai vraiment aimé celui-ci et je suis déjá en train de lire le suivant “Qui a tué Lucy Davis?” qui s’avère déjà être un excellent livre également et qui sera aussi chroniqué très bientôt



Merci Christos !!
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Omero, le fils caché

Omero le fils caché de Christos Markogiannakis

Plon éditions



Il y a des romans dont on ne sait pas trop ou ils vont nous emporter, vers quelle aventure, quel mystère, vers quelle histoire tout simplement.



Omero le fils caché est de ceux là.

Je l’ai commencé sans trop savoir à quoi m’attendre. Une biographie, un roman policier, une fiction… ?



Et bien en fait c’est un peu tout cela. Et c’est génial !

&#xNaN Un roman incroyablement passionnant, parfaitement construit et étonnamment réel. &#xNaN



Le récit de la vie d’un homme, fils caché de La Callas et d’Onassis !

Et quand il est écrit caché, c’est vraiment bien caché.

Cet enfant grandit en étant protégé de tout et de tous, sans réellement connaître le « véritable » monde ni la vérité sur ses vrais parents.

Apprenant la vérité sur ses origines, il n’aura de cesse toute sa vie durant, de vouloir comprendre.

En quête de vérités, de légitimité, d’amour, il va de par le monde à la rencontre de celles et ceux qui pourraient l’aider à dévoiler toutes ses parts de mystères et surtout à mieux connaître ceux qu’il n’a pas connu.



Je ne savais plus ou se glissait la frontière entre la réalité et la fiction, mais peu importe ! J’étais prise par l’histoire, par les émotions, par le réalisme.

Tout le récit est à la première personne, c’est Omero qui raconte. Du coup, le ressenti des émotions vécues par Omero est plus intense, plus proche, plus direct ! Comme Bob l’éponge je ressentais ses douleurs, ses espoirs...



J’ai eu un vrai coup de ♥ pour ce livre. A peine terminé, j’étais nostalgique !

L’écriture est extrêmement fluide, les émotions sont complètes, et les chapitres courts donnent encore plus de dynamisme. Une réussite !

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Auteur de crimes

Voilà un polar assez classique dans le fond même si dès le 1er chapitre vous êtes projetés dans une intrigue assez originale.

Le rythme d'écriture est soutenu avec des chapitres courts dans lesquels s'insèrent de temps à autre un indice.

Je me suis fait piéger par le capitaine Markou et l'ai suivi un peu aveuglement dans son imaginaire, à tort ou pas ? Croyez pas que j'va voul'dire, non !

Certes, on peut se perdre un peu avec les personnages aux noms bien grecs mais rien d'insurmontable, à mon sens.

Je tenterai plus tard une autre aventure du 'pitaine Markou, car j'y est pris du plaisir.
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Omero, le fils caché

Le 30 mars 1960, Maria Callas met au monde un enfant prématuré déclaré mort dans les heures qui suivent. Mais le père étant Aristote Onassis, le bébé est-il vraiment mort ?



Le narrateur – qui n’interviendra qu’en début et en fin d’ouvrage – a hérité du cahier d’Omero dans lequel il a raconté son enfance et sa quête à l’âge adulte.



J’ai été surprise qu’Omero soit élevé par un papà et une mamma qui ne sont ni son Père ni sa Mère, dans la région de Milan, avec des cours à domicile jusque tard dans sa scolarité.



J’ai été ahurie par le nombre de présent que lui offre son parrain, finissant par comprendre qu’il était son vrai Père.



J’ai aimé qu’à la fin du récit d’Omero, son Père et sa Mère soient devenu père et mère, perdant de leur éloignement.



J’ai été attristé de lire la fin de vie de Maria Callas, dans un appartement parisien de l’avenue Georges-Mandel, loin de tout et de tous.



J’ai adoré les Troie Furies qui empêchent Omero et sa Mère de voir son père sur son lit de mort à l’hôpital de Neuilly : la soeur du parrain, sa fille et la Veuve.



Aucun nom ni prénom ne sera écrit, mais on devine à travers les sobriquets qui est qui : la Veuve, la Divina….



J’ai découvert un homme pris en charge depuis sa naissance jusqu’à sa mort : une fortune confortable, du personnel qui veille sur ses actes. Ce sera aussi le cas de la petite-fille du Père.



J’ai découvert avec horreur l’enfance de Maria Callas, avec une mère qui lui préfère sa soeur aînée, plus belle ; qui tente à Athènes de la prostituer à des soldats de l’occupation pendant la guerre (p.248)



Un auteur qui tout le long de son récit pose la question du destin : moïra, kismet contre les choix personnels.



J’ai aimé qu’Omero soit éduqué par une jeune femme qui lui fait aimer les mythes antiques grecs. L’adulte y fera sans cesse référence.



Enfin, j’ai apprécié la dernière rencontre d’Omero avec une descendante de son Père, rencontre qui l’ouvre à sa propre vie.



Quelques citations :



Pourquoi ai-je passé ma vie à courir derrière un nom étranger, à vivre par procuration au lieu de revendiquer mon identité propre ? D’un autre côté, nos parents ne sont-ils pas ceux grâce à qui, à cause de qui, en dépit de qui nous devenons ce que nous sommes ? (p.418)



j’espère qu’elle s’est retrouvé elle-même, avec ou sans ses parents. (p.440)



L’image que je retiendrai :



Celle du manoir dans lequel grandit Omero, plein de cadeaux, et surtout, celui du petit bateau baptisé à son nom sur lequel il apprend à naviguer.
Lien : https://alexmotamots.fr/omer..
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Auteur de crimes

J’ai beaucoup aimé cette enquête du capitaine Markou, pour plusieurs raisons

- Cette enquête se déroule à Athènes, ville que je connais bien

- D’autre part, il est rare que l’on ait l’occasion de faire un tour du côté de la littérature grecque.

-L'auteur met en scène un capitaine qui n'est pas tout puissant, mais qui sait se tromper, comme tout un chacun

- L’écriture est limpide : des paragraphes courts, ce qui rend la lecture aisée

- Cette enquête nous permet de faire un tour dans plusieurs histoires connues de diverses littératures



Je vous recommande ce livre, sans hésitation aucune.

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Qui a tué Lucy Davis ?

Un polar huis clos assez classique dans lequel je n’ai pas réussi à me plonger complètement.



L’histoire est sympa, l’intrigue fonctionne mais pour autant je n’ai pas adhéré à la plume et aux personnages. J’ai trouvé le style un peu lent et décousu pour une enquête.

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Auteur de crimes

Christos Markogiannakis revient avec un roman noir fort original : un assassin s’amuse à reproduire les intrigues de célèbres romans policiers dans la capitale grecque.
Lien : https://www.francetvinfo.fr/..
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