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Citations de Chrys Galia (219)


-) Vous allez adorer Noël.

-) Noël n'arrive jamais seul. Sa magie se vit à deux.

-) Votre étoile, vous la connaissez déjà... Laissez-vous happer par sa lumière, elle éclairera votre chemin.

-) N'ayez pas peur de l'avenir, ne laisser pas filer votre étoile.

-) N'ayez pas peur de l'avenir, il est en vous et il est source d'un bonheur infini...
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Est-ce que je t’ai évité volontairement ? Oui. Est-ce que je le regrette ? Non. Pourquoi ? Parce que le manque de toi, ce terrible vide m’a fait comprendre que je voulais plus. Parce que quelle que soit la durée de l’histoire qu’on va vivre, je veux la vivre au grand jour. Parce que je ne veux pas me cacher. Je ne veux pas te cacher. Tu mérites mieux que ça.
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Le passé ne nous définit pas, il nous oriente très certainement, nous affaiblit ou au contraire nous rend plus fort. Sans l'oublier, on doit avancer, se battre affronter la suite, croire en l'avenir sans jamais abandonner. Il faut puiser dans nos douleurs l'expérience, et s'en servir, puiser dans les souvenirs heureux l'énergie pour survivre aux prochaines épreuves.
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Le passé nous définit pas. On peut se construire malgré lui.
Les secrets ne disparaissent pas toujours avec les morts, les silences ne sont pas forcément salvateurs et chaque blessure occasionne une cicatrice.
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Il n'y a jamais qu'une seule face à une médaille, mais c'est toujours le mauvais côté que l'on voit en premier.
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C'est comme ça avec les gens blessés, ils se renferment , se protègent, se barricadent et finissent par devenir si dur en apparence qu'on les pense insensibles, indifférent à tout. En vérité, on a juste peur que l'armure se fende, s'effondre et qu'il ne reste plus rien pour tenir debout, se défendre, survivre. On retient les mots, les gestes, on bride l'affection et la tendresse, mais on continue à ressentir à vibrer, à souffrir aussi. Seul le temps peut apaiser les maux, panser certaines plaies et redonner à un oisillon devenu aigle l'envie de se laisser apprivoiser.
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Elle gémit contre mes lèvres avec une sensualité innocente et si stimulante. Si elle savait qu'elle vient de mettre un pied en Enfer, si elle se doutait à quel point c'est dangereux, si elle avait entendu mes avertissements, elle fuirait aussi loin que ses jambes pourraient la porter.
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La solitude, l'insatisfaction permanente, l'envie d'aller toujours plus loin, de plonger plus profond dans vos ténèbres pour nourrir votre besoin dévorant de sortir de vos tripes ce qui vous inspire. Vous risquez de vous perdre dans le labyrinthe de vos propres émotions. Mais c'est aussi ce qui vous fera avancer, vivre, qui vous exaltera. C'est une ambivalence permanente, un très fragile équilibre à trouver. Il faut tenir droit sans trop tanguer sur un fil quasi invisible, au dessus d'un précipice.
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Il considère chaque épreuve comme un test. Rien ne l'arrête, rien ne l'effraie. Alors, il fonce et ça fonctionne. Le fréquenter m'aide à relativiser, à canaliser mes idées noires qui parfois reviennent encombrer mon esprit.
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Parce qu'il est bien là, le problème, la passion, c'est envahissant, destructeur, addictif. On se fait prendre par surprise, on finit par tout perdre de vue, même l'essentiel. C'est aussi douloureux que bon, aussi bon que douloureux. On souffre, on jouit de cette souffrance parce que pour ressentir l'intensité de la vie, il faut avoir appréhendé la douleur, la vraie.
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Je sens bien que la flamme est là, quelque part, au fond de nos yeux, elle se ravive petit à petit, à mon corps défendant. Jamais elle ne s'est réellement éteinte. Elle s'est étiolée, des années, espérant l'oxygène qui enfin la révèlerait à nouveau. La braise qui la couvait continuait de rougir, Soan et moi l'avons entretenue sans le savoir, nous ne sommes plus qu'à un souffle de la transformer en incendie.
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Nous étions liés, il y a si longtemps, je connaissais le jeune homme pas l'adulte confiant, si sûr de lui, si accompli. Il dégage une aura qui torture mes nerfs. Je ne sais plus si je l'admire, le déteste, le désire. Je veux le repousser et le serrer dans mes bras, qu'il reste à mes côtés, me console, continue de me demander pardon, mais j'ai aussi envie qu'il s'éloigne, me laisse tranquille, me laisse refaire ma vie. Je suis comme une boussole qui perd son Nord, l'aiguille s'affole, dans un mouvement désordonné, ne parvient plus à se positionner.
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Sur la dernière note, d'un coup, il me lâche, recule, se retourne, m'abandonne. La bulle a éclaté, mon cœur avec.
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Contrairement à la plupart des gens, je n'ai pas besoin de fonder une famille pour avoir la sensation d'exister. Me reproduire ne m'avancerait pas à grand chose.
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« Arrêtez les pendules »

Arrêtez les pendules, coupez le téléphone,
Empêchez le chien d’aboyer pour l’os que je lui donne,
Faites taire les pianos et les roulements de tambour
Sortez le cercueil avant la fin du jour.

Que les avions qui hurlent au dehors
Dessinent ces trois mots Il Est Mort,
Nouez des voiles noirs aux colonnes des édifices
Gantez de noir les mains des agents de police

Il était mon Nord, mon Sud, mon Est, mon Ouest,
Ma semaine de travail, mon dimanche de sieste,
Mon midi, mon minuit, ma parole, ma chanson.

Je croyais que l’amour jamais ne finirait : j’avais tort.
Que les étoiles se retirent, qu’on les balaye
Démontez la lune et le soleil
Videz l’océan, arrachez les forêts
Car rien de bon ne peut advenir désormais.
Wystan Hugh Auden (1907-1973)
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Chapitre 2 : Rencontre sous haute tensoin :
Brad :
" Vous me connaissez moins que Stephen, c'est vrai je n'ai pas encore eu l'occasion de me présenter...
Je suis donc Bradley Anderson, j'ai trente-deux ans, je suis avocat, je mesure un mètre quatre-vingt-huit, je suis brun, j'ai les yeux gris... Je me suis réconcilié depuis peu avec Riley et je bataille avec acharnement pour reconquérir celle que j'ai presque volé à mon ami.
Ah oui, petit détail important : bientôt papa. Mais ça, vous le saviez déjà !
Alors voilà, je crois que le dernière fois que vous avez eu de mes nouvelles, je me dirigeais vers la sortie de la villa d'été de Stephen et Liv, lors d'un Noël improbable, pour aller discuter avec Callie... Seulement vous savez très peu de notre histoire n'est-ce pas ?! Laissez-moi reprendre depuis le début."
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Chapitre 1 : L'avocat du diable
Stephen :
"- Comment tu te sens ? lui demandé-je.
- À ton avis... répond tristement Brad.
- Ce serait peut-être plus simple si tu allais la voir, tu ne crois pas ?
- Tu sais bien qu'elle ne le souhaite pas !
- E alors ?! Je t'ai connu bien plus intrépide, Brad ! Bats-toi, bon sang, ne baisse pas les bras comme ça !
- J'ai essayé, Stephen, mais c'est impossible de discuter avec elle. C'est peine perdue ! Je ne vois pas ce que je pourrais bien faire de plus.
- Donc c'est tout ? Tu vas la laisser te planter, comme ça, sans rien faire de plus ?!
..."
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« Arrêtez les pendules »

Arrêtez les pendules, coupez le téléphone,
Empêchez le chien d’aboyer pour l’os que je lui donne,
Faites taire les pianos et les roulements de tambour
Sortez le cercueil avant la fin du jour.

Que les avions qui hurlent au dehors
Dessinent ces trois mots Il Est Mort,
Nouez des voiles noirs aux colonnes des édifices
Gantez de noir les mains des agents de police

Il était mon Nord, mon Sud, mon Est, mon Ouest,
Ma semaine de travail, mon dimanche de sieste,
Mon midi, mon minuit, ma parole, ma chanson.

Je croyais que l’amour jamais ne finirait : j’avais tort.

Que les étoiles se retirent, qu’on les balaye
Démontez la lune et le soleil
Videz l’océan, arrachez les forêts
Car rien de bon ne peut advenir désormais.

Wystan Hugh Auden (1907-1973)
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I. JOURS HEUREUX :
2. UN VOL SOUS HAUTE TENSION : Stephen :
"...Pardonnez-nous ! Nous sommes intenables ! Nous sommes amoureux ! Nous sommes jeunes mariés, tout jeunes mariés, et complètement accros l'un à l'autre !
- Tu la trouves jolie ?
- Pardon ?
- L'hôtesse, insiste-t-elle agacée, est-ce que tu la trouves à ton goût ?
- Sérieux Liv, comment tu peux me demander ça après... ça ?
- Parce que je t'ai bien vu regarder ses jambes !
J'atterris, sans douceur, c'est brusque, c'est inattendu, c'est surtout complètement déplacé ! Le moment est quand même pour le moins mal choisi pour entamer une discussion aussi désagréable !
- Je n'y ai même pas prêté attention Liv, dis-je en faisant glisser sensuellement mes mains de ses genoux à ses hanches tandis qu'elle est encore assise sur moi. Oui quoi... Une petite diversion, parfois... ça aide ! Non ?
- ...
Eh ! Tu ne vas pas me faire une crise de jalousie là ? On est encore à bout de souffle, tu ne crois pas que c'est bien la preuve que...
- C'est peut-être bien elle qui t'a inspiré...
Je cherche la réponse à lui donner dans ses yeux... Putain! Elle doute encore de moi ! Vous le croyez ça ?! Et puis vraiment, nous, les hommes, nous détestons ce genre de réaction... C'est un coup à nous décourager complètement si vous voyez ce que je veux dire. Sérieusement : Il y a un temps pour tout, et après le sexe, tout ce qu'on souhaite nous, c'est du calme, on n'aime ni palabrer, ni disserter, et encore moins subir vos foudres infondées ! Retenez bien ce petit conseil, lorsqu'on vous fait voyager, et qu'on arrive à vous amener assez haut pour en oublier tout le reste, surtout, surtout, laissez nous le temps d'ouvrir le parachute et d'atterrir en douceur ! Le risque ? Le risque c'est qu'on se lasse de vous ! Ni plus ! Ni moins ! C'est mathématique !
- Liv, ne recommence pas tu veux !
- À quoi ?

- À douter, de moi, de nous...
Elle se dégage de moi, se rhabille, et :
- Excuse moi Stephen, c'est plus fort que moi...
- Il va falloir travailler là-dessus, vraiment Liv, parce que tu vas souffrir, et ce ne sera pas de mon fait. Tu devrais pertinemment savoir que si ce n'était pas avec toi, jamais je ne me serais marié !
- Tu regrettes tu vois !
Je lève les yeux au ciel, pousse un grognement impuissant, réajuste mon pantalon, referme ma chemise en secouant la tête...
- Est-ce que c'est ce que j'ai dit Liv ? NON ! Je n'ai rien avancé de tel ! Je te dis au contraire que tu es la seule que je désire, la seule avec qui je veux passer ma vie, et... et faire des enfants... Il te faut quoi de plus bordel ? QUOI ?
- Un problème madame ? Monsieur ?
Nous répondons simultanément à l'hôtesse un NON sonore et agacé qui la fait regagner ses pénates en moins de deux secondes chrono."
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I : Un Pari à haut risque :
Chapitre 1 : Piquante rencontre :
" Brad, Riley et Tom m'approchent une chaise, et je hèle la serveuse pour passer ma commande. Elle s'approche, je ne lève même pas les yeux, toujours dans le fil de ma discussion et je commande mon traditionnel Bourbon.
- Avec ou sans glaçons ?
Je révèle la tête... Elle est là, une main sur une hanche, l'autre tenant son plateau rempli de verres, elle me regarde un peu agacée... Petite, environ vingt cinq ans, une jolie blonde piquante dont les yeux presque violets lancent des éclairs. Je ne l'ai encore jamais vue ici ! Intéressante ! Renfrognée mais... intéressante !
- Sans ! Naturellement !
- Ah oui ? Et je suis censée le deviner toute seule ?
Et elle fait demi-tour pour filer ver le bar.
- Mais elle se prend pour qui celle-là ?
Brad est hilare !
- Mon vieux, elle t'a bien mouché, avoue que tu n'en as pas l'habitude !
- Non ! C'est clair, mais elle ne perd rien pour attendre crois moi !
...
- Et voilà ! On a trouvé LA femme qui n'est pas sensible à ton charme Stephen ! Il faut la prendre en photo et l'encadrer dans ton bureau, c'est presque un trophée !
- Celle-là, je crois que tu ne la mettras pas dans ton lit de sitôt !
- Oh les gars, ne soyez pas trop sûrs de vous ! répondis-je irrité.
- Très bien, on va faire un pacte alors !
- précise ta pensée Riley !
- Disons qu'on te donne un mois pour l'attraper dans tes filets, un mois et pas un jour de plus... Si tu réussis ton coup, alors le prochain voyage, c'est nous qui te le payons... Si ce n'est pas le cas...
- Oui ? Si ce ne'st pas le cas ?
- Aidez moi les gars, qu'est-ce qu'on lui demande s'il échoue ?
Tom s’esclaffe :
- Je sais !!! Si tu loupes l'affaire, le fameux yacht mon gars, tu ne le revends pas, on le garde pour nous quatre, pour nos prochaines excursions ! Mais évidemment, tu nous le transformes en bateau de croisière de rêve avant ! A tes frais bien entendu !
Ils valident tous en cœur l'idée. je lève les yeux au ciel...
Un défi est un défi !
- Alors les gars, préparez vos chéquiers, dans un mois, je pars pour Tahiti, et c'est vous qui m'offrez le séjour !
- Pari tenu !
On se tape dans les mains pour sceller le pacte, comme quatre adolescents attardés que nous sommes.
C'est petit ? C'est idiot ? Oui ! Vous avez raison, mais qu'est-ce qu'on va s'amuser !"
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