Chuck Hogan

⚠️ALERTE COUP DE CŒUR ⚠️



On le tient, le premier coup de cœur de 2021, et aussi le premier livre qui à sut totalement m’embarquer. Croyez-moi, depuis début janvier il en fallait pour qu’une historie m’embarque. N’ayant qu’une connaissance très relative de Guillermo Del Toro (uniquement « Le Labyrinthe de Pan », « Pacific Rim » et « HellBOy ») autant dire que ce n’était pas gagné d’avance.



Pourtant dès le prologue et les premiers chapitres je me suis retrouvé happé par cette histoire, par cette ambiance si spéciale et si propre au fantastique. Très lourde, très oppressante, très sombre aussi. Et les auteurs ne font pas dans la demi-mesure, dès les premiers chapitres on nous parle de sciences occulte. C’est vous dire…

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Cette histoire reste tout de même un thriller, et maintenant c’est un fait de notoriété publique, les thrillers c’est mon truc ! Maintenant je tiens tout de même à souligner, que bien que la mise en place de l’univers soit lente, l’intrigue principale du roman n’en est pas pour autant affectée, loin de là, de ce côté on avance même plutôt bien. C’est d’ailleurs une enquête bien menée, ce n’est pas ce côté thriller que je garde après lecture ceci dit.



En résumé, c’était un très, très bon moment, que j’ai aimé passer avec ces personnages dans cet univers occulte et fantastique, mais j’en veux, encore !!! Des descriptions et dialogue très cinématographique sont vraiment plaisante et aide à bien retrouver un univers sombre (un peu comme « Le Labyrinthe de Pan »).
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Si j’adore les films de Guillermo Del Toro, j’avais été moins emballée par La Lignée/The Strain, dont je n’avais d’ailleurs pas terminé la trilogie. Malheureusement, j’ai eu le même sentiment au terme de cette lecture : sympa, sans plus. J’aime bien la mythologie qui est esquissée aussi, l’aspect enquête surnaturelle avec des scènes plutôt réussies, mais je trouve qu’on a la réponse aux différents mystères trop vite (donc on n’a pas peur une seconde, et on n’a pas le temps non plus d’échafauder des théories), et on sent un peu trop les fils du scénario, avec en prime un chemin un peu trop balisé pour les personnages.

Bon je suis déjà fan des 2 zozios (Chuck Hogan et Guillermo Del Toro)!!!



Qui est ce mystérieux Blackwood ? Qui sont les avides ?

Si vous voulez plonger dans un monde ténébreux c'est dans ce livre qu'il faut aller !

Une enquête qui vous tient en haleine et qui fait frissonner.



Un petit bijou ce livre, j'ai été transporté dans cette enquête surnaturelle dès le départ !

Hâte de dévorer le tome 2

Encore une fois, Les Avides est un premier tome classique mais bien exécuté alors si l’envie est là, pourquoi bouder son plaisir ?
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Les Avides, c’est un premier tome qui pose les bases d’un univers absolument passionnant, aussi sombre, que fascinant, il nous ouvre les portes d’un monde extrêmement riche, qui est très loin de nous avoir révélé toutes ses facettes et qui nous fera vivre une aventure intense à tout point de vue !
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Un polar dans lequel j’ai eu du mal à rentrer bien que le sujet soit intéressant.

Le héros rentre d’Irak, une rencontre fortuite le fera intégrer une milice chargée d’exterminer le trafic de drogue, un job à sa mesure dont il ne tardera pas à devenir le meilleur.

Les personnages sont travaillés, en fond une bonne analyse des vétérans de guerre et leur difficulté de réinsertion dans la vie civile.

Une touche de sensualité en la personne de Danielle, compagne du grand manitou Brad Royce.

L’action va à 100 à l’heure, peut être au détriment du suspense. En effet l’alchimie n’a pas fonctionnée sur moi, pas de surprise sur le dénouement final d’où ma légère déception. Mais il vous plaira peut être…
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Thriller classique qui se lit facilement mais rien d’extraordinaire.

La guerre contre le terrorisme est actuellement dans le polar le plus gros fournisseur de personnages au lourd passé militaire. Criminalité et réinsertion sont toujours liées, et le réinsertion dans la vie civile d’individus formés pour la guerre pose de nombreux problèmes et de nombreuses questions. Comme disait Boris Vian : « Le propre du militaire est le sale du civil ». Ou quelque chose dans ce goût là.

Et Neal Maven entre dans ce cadre : soldat d’élite de l’armée américaine en Irak, tueur d’élite, il se retrouve tout juste qualifié comme gardien de parking (clin d’œil au film Rambo de Ted Kotcheff ?). Devant tant de reconnaissance à son égard par le pays dont il a défendu les valeurs, il s’engage dans une nouvelle croisade avec d’autres vétérans, contre les trafiquants drogue : à nous leur fric, la dope aux chiottes ! Mais voilà, les choses ne seront pas aussi manichéennes que le voudraient ces nouveaux héros. L’auteur nous livre un roman efficace, sans grandes surprises (ah, les femmes fatales et le polar…) mais bien mené. On se laisse prendre dans le baroud d’honneur de ses tueurs en exil.

Ce n'est pas un mauvais livre, ni une mauvaise histoire mais je n'ai pas été embarquée plus ça. Maven, le personnage principale, est naif et manque cruellement de charisme, seul Lash, un personnage secondaire, éveille la curiosité. Il faut arriver pratiquement à la fin du livre pour avoir une action un peu intéressante. Pour résumer, on a l'impression d'une version écrite d'un film d'action de série B.

"Neal Maven est un ancien soldat américain fraichement revenu d'Irak.

A Boston, il tente difficilement de se réinsérer dans une société civile qu'il apprend à redécouvrir. Vivotant de petits boulots et taraudé par un passé violent il porte un regard plutôt amer sur cette Amérique qu'il est parti défendre à l'étranger et qui a si peu de considération pour lui à son retour.

Gardien de nuit sur un parking, il finit par craquer et tue presque un homme venu l'agresser.

Sa route croise alors un certain Brad Royce qui l'a repéré en action et qui lui fait une offre de travail alléchante. A partir de ce moment sa vie bascule entre luxe, love story... et violence..."



Ce "thriller" est un Hard Boiled efficace. L'action se met progressivement en place et la tension monte pour atteindre son paroxysme quelques pages avant la fin avec une conclusion bien amenée.



Neal Maven en "héros-looser-tueur" cabossé par la vie fait un peu penser au Joe Kurtz de Dan Simmons. On est vraiment dans le même registre surtout sur la seconde partie du roman où l'action s'emballe et où Maven abandonne toute la retenue qui l'a caractérisée précédemment et lâche la bride au tueur qui sommeillait en lui depuis son retour d'Irak.



Au thème de la vengeance, s'ajoutent au moins deux autres thèmes qui apparaissent en filigrane tout au long de l'histoire : la condition des anciens combattants évidemment mais aussi les méfaits de la dépendance aux drogues.



A partir de tous ces ingrédients, l'auteur nous raconte une histoire agréable à lire, avec une galerie de personnages assez archétypaux mais plutôt plaisant à suivre dans leurs interactions les uns avec les autres.

Un thriller de première classe de Chuck Hogan qui ne laisse aucun répit au lecteur!
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En rentrant d'Irak, Neal Maven se retrouve sans aucune aide et devient gardien de parking. Un jour, il y rencontre Danielle Vetti, une ancienne reine de beauté dont il était amoureux, et son amant, Brad Royce, un ancien combattant. Celui-ci fait partie d'un groupe qui élimine les trafiquants de drogue et empoche leur argent. Neal les rejoint et devient rapidement le meilleur tueur.



Du polar solide et sans grandes nuances, qui utilise bien les faits d'actualité, comme savent en faire les Américains. Il a su m’intéresser mais pas au point de la retenir dans mes meilleures lectures de l’année. Mais promis je retenterai l’aventure avec l’auteur et son héros s’il revient sur le devant de la scène.


Lien : https://collectifpolar.com/

En premier lieu, ce qui m’a attiré dans ce roman, c’est le titre « Tueurs en exil » mais si, certes il y a des tueurs, le mot « exil » n’y a pas sa place. Le titre anglais « Devils in exiles » se rapproche plus de la vérité même si le diable n’a rien à voir dans l’histoire.

Donc, ici, nous retrouvons l’ancien combattant de retour d’Irak à Boston qui n’a trouvé d’autre travail que comme magasinier dans une petite superette de nuit et comme gardien de parking. C’est dans ce parking que sa vie future va se jouer. En effet, un drogué va tenter de le voler, il se défendra et au moment où il va l’achever un homme intervient. Celui-ci, Royce va lui proposer, avec d’autres anciens combattants comme lui, de nettoyer la racaille des rues de Boston, en allant eux-mêmes dévaliser les gros bonnets de la drogue.

S’en suis des courses poursuites, des attaques et des meurtres dans les 2 camps.

Seule question que Neal Maven doit se poser ; ce qu’il fait est-il bien ? Jusqu’ou peut-il aller ? Jusqu’où doit-il aller ?



Entre faux semblants et traitrises, le héros devra survivre … et il ne pourra compter que sur lui-même. Il devra devenir, redevenir ce pourquoi il a quitté l’armée ; un tueur, un assassin.



Quelques rares longueurs dans le texte. Un rythme qui se suit bien.

Ici, dans ce roman de 430 pages, on suit le héros dans ses réflexions tant humaines que teintées de psychologie. De manichéen, soit ce qu’il fait est bien, soit mal, il devra composer avec le gris de la vie, avec le « C’est pas bien ce qu’on fait, mais … ».



Un bon roman qui se lit d’une traite.