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Citations de Clifford D. Simak (332)


Si l’Homme devait jamais s’ouvrir à la culture galactique, il ne lui suffirait pas d’apprendre : que de choses lui faudrait-il également désapprendre !
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Les Terriens n’étaient ni bons ni raisonnables en bien des domaines. Peut-être parce qu’il manquaient encore de maturité. Ils avaient l’esprit vif, iles étaient intelligents, il leur arrivait même parfois de faire preuve de compréhension ; cependant, en ce qui concernait une foule d’autres points, ils étaient lamentables.
Mais si on leur donnait une chance – si on pouvait leur laisser entendre à demi-mot ce qui se passait dans l’espace… alors, ils prendraient sur eux. Ils surmonteraient leurs préjugés. Et, après un certain laps de temps, ils seraient admis dans la grande fraternité des étoiles
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Si les gouvernements daignaient se mettre à l’école de nos petites communautés pour apprendre comment se comporter entre voisins, probable que ça irait autrement mieux dans le monde.
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C’était une créature des bois et des collines, une fille des saisons, l’amie des fleurs du printemps et des oiseaux migrateurs de l’automne. Elle communiait avec la nature, la vivait. En un sens, elle était intégrée à la nature. Elle occupait une place que l’Homme avait depuis longtemps désertée. Qu’il n’avait, en fait, jamais tenue.
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Le fait fondamental : l’intelligence existait dans l’univers. L’Homme n’était pas seul. Pour peu qu’il s’engageât sur la bonne route, il ne serait plus jamais seul.
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Au fond de la salle, s'égrena le rire excité d'une femme. Les lumières passèrent d'un bleu sombre d'avril à un gris violacé de délire, et la salle devint un autre monde flottant dans un calme subit qui n'était pas tout à fait le silence. Un parfum vint, porté par une brise qui effleurait la joue d'un froid de glace... un parfum qui évoquait des orchidées noires dans un ailleurs de terreur et de fièvre.
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L'homme était pressé et il allait trop loin, trop vite. Si loin et si vite qu'il laissait échapper beaucoup de choses... des choses qu'il aurait dû se donner le temps d'apprendre tout en suivant son chemin... des choses qu'un jour dans le futur, il prendrait le temps d'apprendre. Un jour, l'homme reviendrait en arrière, et il apprendrait les choses qu'il avait laissé échapper, il se demanderait pourquoi il les avait laissé échapper, et il réfléchirait aux années qui avaient été perdues parce qu'il ne les connaissait pas.
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Entre les voies et la rivière, la gare paraissait dormir. C'était un bâtiment massif qui semblait s'être enfoncé la tête dans les épaules pour se protéger du soleil en été et du froid en hiver, depuis tant d'années qu'il était là tapi et accablé, attendant le prochain mauvais coup du temps ou du sort.
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Car on avait du mal à imaginer un organisme vivant qui fonctionnât à l’ammoniaque et à l’hydrogène et non pas à l’oxygène et à l’eau ; on avait du mal à croire qu’un tel organisme pût connaître la même pulsation vitale que l’être humain. On avait du mal à concevoir qu’il existât une vie quelconque dans le maelstrom bouillonnant qu’était l’atmosphère de Jupiter, puisqu’on ne savait pas, évidemment, que aux yeux des Joviens, elle n’avait rien d’un maelstrom bouillonnant.
Le vent le frôlait comme une caresse et il dut faire effort pour se rappeler que, à l’échelle terrestre, il s’agissait d’un ouragan qui soufflait à plus de trois cents kilomètres à l’heure des masses de gaz empoisonnés.
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Voici les récits que racontent les Chiens quand le feu brûle clair dans l'âtre et que le vent souffle du nord. La famille alors fait cercle autour du feu, les jeunes chiots écoutent sans mot dire et, quand l'histoire est finie, posent maintes questions :
« Qu'est-ce que c'est que l'Homme ? » demandent-ils.
Ou bien : « Qu'est-ce que c'est une cité ? »
Ou encore : « Qu'est-ce que c'est que la guerre ? »
On ne peut donner à ces questions de réponse catégorique. Les hypothèses ne manquent pas, les théories, ni les suppositions les mieux fondées, mais rien de tout cela ne constitue véritablement une réponse.
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Elles sortirent de la nuit martienne, les six pitoyables petites créatures qui en cherchaient une septième.
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