Damián Campanario Hernandez

Genpets s’annonce comme une série d’action SF pour jeunes ados. Une aventure entre intrigue de grands et rêves de gosses.


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Gen Pet est une aventure d'anticipation exploitant le filon des manipulations génétiques pour nous présenter la forme future de nos animaux de compagnies, ces créatures sont issu de l'ADN de leurs propriétaires et peuvent être modifiées à volonté...
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Genpet se passe dans un futur proche où la modification génétique des animaux est monnaie courante. Mais la demande de Genpet dont il est ici question dépassé l'ordinaire. En effet, les parents de Nat exigent une fonction "garde du corps" pour le futur animal de compagnie de leur fils unique ! Cette demande peu habituelle va engendrer des problèmes de croissance chez Nico, le Genpet créé pour Nate ...



Une lecture synonyme d'aventures, de rebondissements, de secrets et de suspense qui plaira sans doute aux plus jeunes (8-12 ans).

Damián Campanario et Alex Fuentes nous propulsent en 2036 dans un monde et une aventure où la génétique permettent de créer des animaux de compagnie selon son goût.
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Le deuxième tome est à la hauteur du premier mais cette fois-ci plus de courses-poursuites à travers la ville mais une course contre la montre pour sauver Niko.

Le duo d'enfants est sympathique et fonctionne bien.

j'ai eu beaucoup de plaisir à lire ce titre et la fin où les méchants sont punis et où les gentils gagnent est plutôt sympathique elle aussi, même si on se demande tout de même ce que les enfants font faire de leur Genpet.

L'histoire est finalement courte et simple, avec quelques trucs qu'on voit venir "gros comme une maison" et quelques transitions un peu vite-faites.
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En entamant la lecture des Enfants de la colère je ne pensais pas lire un album jeunesse... C'est pourtant le cas et cela ne m'a absolument pas gêné tant la mise en case est dynamique, utilisant les techniques du manga pour illustrer la rapidité d'action. J'ai notamment beaucoup aimé l'utilisation très poussée des onomatopées qui sont ici un vrai personnage graphique, prenant une place importante dans l'image, suivant des courbes et des formes qui apportent à l'impression souhaitée au-delà de la sonorité même du texte. Ce n'est pas absolument nouveau mais assez rare et j'aime beaucoup ce genre d'innovation dans le genre BD qui est assez formaté.



L'intrigue est une trame simplifiée d'un récit guerrier avec méchants soldats hyper-équipés et gentils résistants avec un groupe d'enfants abîmés qui se vengent en utilisant des robots. Car c'est là le gros atout de la BD et l'envie des auteurs: proposer aux enfants une histoire de Mechas. Leur design est très réussi, permettant aux lecteurs d'identifier le caractère de chaque robot à l'enfant qui le pilote. Je pense d'ailleurs que Talia et Jean-Pédrovitch ont surtout accroché à cet élément. Les dialogues sont plutôt sympa, les personnages très archétypaux mais variés et la bande de jeunes est une mécanique habituelle aidant les jeunes lecteurs à s'immerger dans l'intrigue. Graphiquement Nico Naranjo se rattache plutôt à l'école Miyazaki avec des contours ronds et des hachures qui textures les formes. Il hésite un peu entre deux styles, ce qui a pu perturber les enfants, avec en effet une histoire assez dure et des dessins jeunesse. le découpage en revanche est très dynamique et renforce l'action, assez omniprésente dans ce premier volume.



Comme pour Garbage Night qui proposait un post-apo aux jeunes, l'album des espagnols Damian et Nico Naranjo a le mérite d'initier les enfants à de la SF militaire (pas toujours drôle!) et aux combats de robots.



A partir de 9 ans.
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Le scénario a malgré tout son lot de bonnes surprises et de retournements de situation. On a hâte de lire la suite pour savoir comment tout cela va se terminer !
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Sur une planète de la galaxie, les puissants s'emparent de territoires économiquement viables grâce à une armée de robots, sans tenir compte des morts qu'ils laissent derrière eux. Mais ils ont sous-estimé la soif de vengeance des survivants... Les enfants aussi peuvent utiliser leur colère pour rendre les coups mais est-ce moral d'utiliser cette colère pour les faire partir en guerre ?



Le tome 1 des "Enfants de la colère" est un très bon début de série. Ça pêche un tout petit peu au niveau du développement, qui est un peu rapide, mais l'action et les messages forts sont là. La guerre, l'exploitation des ressources, l'aspect moral de l’appât du gain à tout prix, l'entraide, et bien d'autres thèmes sont soulevés avec justesse et dynamisme.

Un album BD qui devrait séduire les adolescents déjà accros aux séries de mangas dynamiques tels que One pièce ou One punch Man. Le dessin illustre les mouvements et l'action de cette guerre, complété par des onomatopées à foison. Mitigée cependant sur l'histoire : même si l'univers est intéressant, la violence constate de cet album m'a un peu dérangée... On aurait aimé voir une petite note d'espoir, qu'on ne trouve même pas dans les personnages qui sont utilisés à leur insu et qui son rongés par la colère et l'esprit de vengeance.
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le début est déroutant: on est au coeur de l'action, on ne comprend pas trop qui est qui, on est comme les enfants, perdus dans le chaos d'une guerre qu'ils subissent et puis très vite Asic commence à recruter des orphelins. Il se forge son armée, il envoie les enfants combattre à bord de méchas de fortune et la ligne directrice de l'oeuvre devient plus claire et j'ai pu me prendre au récit et l'apprécier.

Il faut passer les premières pages un peu fouillis pour apprécier le récit que nous propose les auteurs.

D’entrée, on découvre une scène violente de bataille où des civils se font massacrer par ces robots géants, dans une guerre dont on comprendra les tenants et les aboutissants au fil du récit, distillés au compte goutte dans ce premier tome. Le trait est brut, dynamique, la mise en page pleine d’énergie. Les héros sont des enfants, les caractères sont assez caricaturaux, mais un public jeune d’aujourd’hui y trouvera surement ses repères, le casting est excellent, l’action prédomine, la référence aux jeux vidéos est bien présente, ce premier tome est une formidable entrée en matière. Ce n’est pas l’originalité qui ressort, il y a un côté déjà vu, le ciblage du public est évident, mais pourquoi le reprocher quand c’est bien fait. Le rythme, l’ambiance, l’intensité de l’action, et l’attrait des personnages laisse présager une série de grande qualité.

C’est une vision assez manichéenne et simpliste de la guerre, des enfants se retrouvent les guerriers héroïques d’un violent conflit armé. Il sont la résistance, contre des forces vénales, capitalistes et sans scrupules, ça va de soi. Ces enfants guerriers, accroc aux jeux vidéos avant la guerre, vont se lier d’une amitié forte et indéfectible, et c’est par leur union qu’ils vont parvenir à leurs fins. Ce n’est pas pour la finesse du propos que j’ai aimé cette série. J’ai aimé ses personnages touchants malgré les stéréotypes très clichés, j’ai aimé aussi le graphisme dynamique et technologique, j’ai aimé son rythme soutenu, l’action non stop, s’est décoiffant, on se croirait dans un jeu vidéo, c’est un peu le but recherché, le public visé est clairement collégien. Bref, cette lecture donne la pêche, et les clichés se savourent avec un plaisir non feint. C’est un diptyque sympathique, j’espère que leur collaboration n e s’arrêtera pas là.

Le premier tome mettait parfaitement en place le cadre de l'histoire, avec les enjeux et les personnages au caractère bien trempé. Dans cette suite, nous retrouvons donc ce petit monde qui continue son combat contre les forces destructrices de la Confédération. En soit, on reste dans une écriture assez convenue, mais c'est très prenant, avec du rythme et un graphisme très énergique qui vaut franchement le détour !
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Entre le sauvetage de leur ami et la bataille finale, ce deuxième tome mise tout sur l'action.



S'il se veut dynamique et détonnant, j'ai pourtant trouvé ce tome final mou. Je me suis passablement ennuyée et les combats n'en finissent pas. Le message de fond est également assez ambiguë et on se perd un peu dans ce que les auteurs tentent de transmettre.



Ça plaira sûrement au public visé mais, pour ma part, ça manque d'approfondissement et de clarté, autant dans le texte que dans l'illustration.

Je pense que cette bande-dessinée n’est pas vraiment mon style. De manière général, j’ai passé un bon moment et ce n’est pas mauvais. Mais tout d’abord, ce n’est pas mon style de dessins. Et ensuite, je ne sais pas, je n’ai pas vraiment accroché aux personnages. Ils sont sympathiques cela dit, très actifs. Ils essaient de retourner dans leur réalité et ne sont pas au bout de leurs aventures.



Je recommande à ceux qui recherchent une lecture facile et rapide et/ou à ceux qui aiment bien les histoires de voyage spatio-temporel.



3/5

Sur le fond l’histoire au premier abord n’est pas très originale. Une bande de gosses tombe dans une grotte et se retrouvent dans un autre monde. Sauf que les surprises sont bien au rendez-vous de ce Perdus dans le futur particulièrement bien agencé, novateur. Sans oublier une palette de personnages, d’ados qui vont être obligés de se serrer les coudes face à des situations parfois redoutables.
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Lors d’une sortie de classe, un groupe d’enfants, Sara, Arnold, Driss et Meï, “les nunuches de la classe” et Piero, un de leurs harceleurs, vont franchir un passage temporel et se retrouver projetés dans un futur qui ressemble plus à un moyen-âge peuplé de monstres.

Les personnages ont des membres en nouille, le graphisme est dynamique, moderne, avec un aspect de doodle (Gumball), les traits et les formes sont schématiques, mais les détails foisonnent, les couleurs sont intenses, saturées et pourtant très nuancées, les différentes atmosphères sont très élaborées grâce à la gamme colorée bien choisie. Cette ambiance ludique et moderne nous entraîne dans un récit épique, rocambolesque et plein de surprises. J’ai aimé le rapport entre les personnages, le côté potache se mêle à l’angoisse, le naïf au tragique.

Un premier tome qui donne envie de poursuivre nos aventures avec ces héros malgré eux. Vivement la suite.

Une visite de classe dans un château qui tourne mal et voici quatre amis propulsés dans un monde étrange et inconnu. Le pire c'est qu'une brute épaisse et décérébrée les accompagne, Piero, le harceleur officiel de la classe et en particulier de nos quatre têtes d'ampoules. Ils vont se retrouver dans une société de templiers, bien décidé à continuer à vivre en paix et dans l'abondance. Seul problème cela n'est possible qu'à condition de réguler la population, en laissant aux anciens le choix entre la mort ou l'exil... Une bande dessinée qui met en scène des voyages temporels avec un graphisme et des couleurs qui claquent, et des personnages aux caractères bien trempés.

La gestion des couleurs, le design des personnages, le découpage dynamique et vivant participent aussi pleinement à la réussite de ce premier opus. Nous allons suivre du coin de l’oeil avec grand intérêt la suite de cette saga rafraîchissante. Une belle surprise !
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