Daphné Collignon

Adaptation du roman de Jacqueline Kelly, Calpurnia est l'histoire d'une jeune fille de onze ans vivant au Texas avec sa famille à la fin du XIXème siècle et en cet été 1899 cette fine observatrice s'aperçoit que certaines sauterelles sont jaunes et qu'elles sont bien plus nombreuses que leurs homologues vertes. Les questions fusent et c'est tout naturellement qu'elle se rapproche de son grand-père paternel le Capitaine Walter Tate qui vit presque exclusivement dans son laboratoire en fait une cabane au fond du jardin, dans lequel il s'adonne à sa passion pour la science. La réponse à son interrogation, Calpurnia devra la trouver par elle-même ... de là naîtra une véritable vocation: naturaliste.





Seule fille parmi six frères, Calpurnia est censé suivre les préconisations de maman ou plutôt les injonctions à respecter l'étiquette de l'époque. Calpurnia va tout de même à l'école mais point de cours de science, ce sont plutôt cours de couture et de savoir-vivre. Le récit ne s'oriente pas seulement vers cette émancipation si rare à l'époque et de la condition de la femme pas très enviable, le quotidien de cette famille nous est décrit, les amours du grand-frère qui mène à la jalousie de Calpurnia et une scène amusante, les disputes et les colères. Une histoire intéressante et des illustrations douces et lumineuses.

Il ne reste qu'à attendre le second et dernier tome.
Lien : http://stemilou.over-blog.co..

Je n’ai pas lu le roman de Jacqueline Kelly publié en 2013 par l’école des loisirs mais j’ai été ravie par cette adaptation graphique qui m’a permis de découvrir l’univers si particulier de la jeune Calpurnia.



Racontée par la jeune fille elle-même, on plonge dans son quotidien dès les premières pages où elle présente sa famille, son environnement et sa passion pour la nature (grâce à nombre de croquis). On la sent envieuse de ses frères face aux obligations liées à sa condition féminine. Elle est donc ravis quand son grand-père, chercheur scientifique, la prend sous son aile. Du haut de ses onze ans, Calpurnia appréhende le monde qui l’entoure avec un sens aigu de l’observation et une naïve honnêteté.



La bd est découpée en 4 chapitres. Chacun est introduit par quelques phrases de contexte, écrites sur fond noir ; le but étant de rappeler le côté journal du récit. Ils racontent chacun un épisode important de la vie de la jeune fille tel que la découverte de sa vocation de naturaliste.



Le trait de Daphné Collignon m’a complètement charmée. Elle alterne de véritables croquis (comme dans un cahier d’observation naturaliste), des petits dessins (qui pourraient être de la main de la jeune fille) et des cases pleines aux tons surannés, le tout sans jamais perdre le lecteur ou nuire au rythme du livre.



Vraiment une très belle bd dont j’attends la suite avec impatience pour voir où nous mènerons les aventures de la jeune fille.
Lien : http://boumabib.fr/2018/05/0..

1920. Les soirées des Années Folles font courir le tout Paris dans les célèbres cabarets de la capitale où une foule bigarrée et chic s’amuse sans complexe ni tabou au soin des orchestres de jazz.



Tous les excès sont permis afin d’oublier les longues années de guerre. Paris fourmille d’aristocrates russes ayant fui la révolution bolchévique qui a mis à bas le Tsar Nicolas II.



Parmi eux, il y a une peintre qui va bientôt être portée aux nus : Tamara de Lempicka. La jeune femme ouvertement bisexuelle embrasse avec délice les plaisirs de la Bohème parisienne au grand dam de son mari Tadeusz qui lui reproche d’oublier sa famille et notamment leur fille Kizette.



Portraitiste de la jet-set d’alors, Tamara s’impose comme l’image de la femme libre, célébrant via ses tableaux pleins de sensualité affirmée, le désir d’émancipation des Garçonnes.



Retracer une partie de la vie de Tamara de Lempicka sous le biais d’un roman graphique, voici ce que nous proposent la scénariste Virginie Greiner et la dessinatrice Daphné Collignon dans Tamara de Lempicka Une femme moderne.



Personnage troublant, sulfureux et fascinant, Tamara de Lempicka nous plonge au cœur d’une époque qui vit à cent à l’heure, tombant dans tous les excès : les années folles ! Figure incontournable de la période Art Déco, amie d’André Gide, Jean Cocteau, Gabriele D’Annunzio et Nathalie Barney, elle fréquente les salons et les lieux qui comptent, réalisant les portraits des personnalités du moment.



Le scénario de Virginie Greiner nous conte avec talent l’ascension de Tamara de Lempicka et notamment sa rencontre avec Rafaëla, muse de son tableau le plus célèbre : La belle Rafaëla qu’elle peint en 1927.



Si elle était une portraitiste reconnue, elle excellait également dans les nus féminins. Son style néo-cubiste est reconnaissable entre tous et si sa production fut limitée, 150 tableaux de 1925 à 1935, elle occupe une place à part dans l’art du XXe siècle.



Les dessins signés Daphné Collignon sont une vraie valeur ajoutée à cette biographie graphique, ils servent à merveille l’histoire proposée par Virginie Greiner. Ils recréent l’ambiance de ces années 20 avec des teintes à dominantes de blanc, gris, jaune et sépia.



Une bande dessinée très réussie autant sur le fond que sur la forme qui a le mérite de mettre en lumière une femme méconnue du grand public que j’ai eu beaucoup de plaisir à découvrir. Car si je connaissais son nom et son tableau Jeune fille aux gants, je ne savais absolument rien de sa vie.



Cerise sur le gâteau : le dossier en fin d’ouvrage de Dimitri Joannidès qui apporte des précisions et des éclairages sur cette femme hors du commun.



Tamara de Lempicka Une femme moderne est une bonne entrée en matière pour se familiariser avec la personnalité et l’œuvre de cette peintre de l’Art déco emblématique des années folles, je vous la recommande si vous vous intéressez à cette période !
Lien : https://deslivresdeslivres.w..

Cette BD présente une partie de la vie de Tamara de Lempicka, une artiste peintre dont j'ignorais totalement l'existence jusqu'à ce que le club Comic Whales l'intègre à ses propositions pour le mois de mars. Le dessin est très beau, on découvre une artiste éprise de liberté, grâce à qui sa famille a pu s'en sortir dans une période trouble puisqu'elle a réussit à les faire vivre de son art. Le portfolio explicatif à la fin permet de mieux appréhender cette artiste, et j'ai désormais envie de partir à la chasse de ses oeuvres dans les musées !

Quelle jolie découverte, cette BD aux magnifiques dessins et aux couleurs si belles a été pour moi un puit de culture. Tamara de Lempicka était une peintre polonaise des années folles, figure emblématique de l'art-déco.

Ses voyages de St Petersbourg à Paris où sa carrière a décollé, puis new-york, le mexique ont fait d'elle cette femme moderne, libre, désinvolte et bourrée de talent. A Paris, elle cotoyait les personnalités telles que Cocteau, André Gide et était adepte des soirées libertaires.

J'ai vraiment beaucoup aimé cette BD et l'histoire plus le documentaire de fin m'ont beaucoup intéressés au point de faire des recherches sur ses oeuvres sur internet.



Vraiment heureuse alors merci Margot, ma bibliothécaire préférée !

En choisissant le noir et blanc, Daphné Collignon réussit le tour de force de donner matière à ces forêts et à ces temples, sans oublier qu’elle mène les personnages avec un art du portrait très expressif.
Lien : http://bdzoom.com/87968/bd-v..

(FV31) Librement inspiré des mémoires de Clara Malraux par Virginie Greiner, cette BD est un beau portrait de femme libre dans les années 20 amoureuse d'un homme (Malraux) arrogant et misogyne. Le graphisme "délicat" de Daphné Collignon est superbe. Pour le Lycée.

Anne Nivat, journaliste honorée par le prix Albert Londres, appartient à la catégorie "grand reporter". Après avoir été pendant dix ans la correspondante à Moscou pour divers organes de presse, elle a couvert la guerre en Tchétchénie, en Algérie et en Afghanistan. A l’heure de l’information paillette et des pseudo-stars du 20 heures, elle se concentre sur ce qui est la base de son métier : le témoignage. Un journaliste se doit de raconter les faits avec la plus grande objectivité et le moins de jugement possible. Une approche difficile, qui demande un énorme investissement personnel parfois lourd à porter.



Daphné Collignon (Le rêve de pierre, Cœlacanthes) entreprend de dresser le portrait d’Anne Nivat. Le personnage est complexe. Passer des zones les plus dangereuses de la planète à un quotidien « normal » ne se fait pas sans quelques dommages. Comment faire pour expliquer ce petit bout de femme à l’éthique exemplaire ? Daphné Collignon a choisi l’esquisse, les petites touches en variant les genres et les styles. Cahier de croquis et notes manuscrites, entretiens dessinés, extraits de livres et photographies plus ou moins retravaillées se succèdent pour décrypter ce personnage. La juxtaposition de tous ces genres déroute quelque peu, l’auteure ne semble pas avoir voulu se résoudre à choisir une direction pour traiter son sujet. L’ouvrage s’ouvre sur des carnets de terrain - très bien composés - mêlant des croquis rapides au trait léger et des notes « personnelles » manuscrites qui soulignent les interrogations de la dessinatrice sur la voie à suivre pour ce projet. Tout au long de l’album cette situation semblent perdurer. Les sections et les informations se suivent dans une volonté apliquée de ne rien oublier sans qu'aucun fil conducteur narratif soit clairement établi.



Correspondante de Guerre, album publié en association avec Reporters sans frontières (une partie du revenu des ventes est versée à l’association), est malgré ces réserves, une bande-dessinée intéressante. Il met en avant une femme passionnée et passionnante, auteure de plusieurs livres remarqués (Chienne de guerre, Algérienne, Bagdad zone rouge) qui méritent d'être découverts.

Sirène est une oeuvre intimiste, peut-être trop. Il y a de longues pauses graphiques, qui ne sont d'ailleurs pas sans me déplaire, mais qui ont eu tendance à me perdre dans la narration. Certains passages sont explicites et émouvants tandis que d'autres sont davantage poétiques. En refermant la BD de Daphné Collignon, j'ai eu le sentiment d'être passée à côté d'énormément de symboles, je ne suis pas parvenue à entrer dans la tête de Madga. En revanche, je suis bien entrée dans l'univers graphique de l'auteure dont la BD est un vrai bonheur pour les mirettes.

Correspondante de guerre parle de l’expérience d’Anne Nivat en tant que journaliste lorsqu’elle s’est rendue en Tchétchénie entre 1994 et 2004. Alors qu’elle travaillait pour une Agence de presse russe, elle est allée à la rencontre des populations tchétchènes pour témoigner de leur vécu.



Loin de la recherche du scoop sensationnel, elle nous fait découvrir la vie d’hommes et de femmes victimes de la guerre.
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..

Comment un imposteur, voire escroc et misogyne a pu se retrouver ministre de la culture ?

Quelles que soient les époques, la mémoire est courte en politique. Pas sûr que ce personnage aurait eu accès aujourd’hui à une carrière politique.

Virginie Greiner a choisi une période peu reluisante dans le parcours de Malraux, et cet épisode éclaire toute l‘ambiguïté du personnage.

Les dessins de Daphné Collignon présente avec justesse ce roman tout en noir et blanc.

Un regret pour le traitement des visages, avec la taille exagérée des yeux. Ils me font penser aux portraits niais de Francisque Poulbot ou au maniérisme en usage dans les mangas.

Avant l'heure du tigre aurait pu se dispenser de cet effet, mais heureusement le roman graphique a bien d’autres qualités.

Calpurnia raconte comment une jeune fille de 11 ans apprend à observer la nature aux côtés de son grand-père naturaliste et biologiste. Son grand-père est fin observateur et à travers leurs observations scientifiques, il va tenter de lui donner le goût de la nature et apprendre à la jeune fille à s'attacher à elle. Il voit en sa petite fille un énorme potentiel car cette dernière est curieuse, intelligente et cultivée.

J’aime beaucoup l’oeuvre et le style de Tamara de Lempicka. Quand j’ai découvert l’existence de cette bande dessinée, j’ai eu envie d’en savoir un peu plus à son sujet. J’ai beaucoup aimé le style de Daphné Collignon, et notamment cette manière de dessiner la profondeur du regard de l’artiste, qui rappelle les yeux clairs des modèles de Tamara de Lempicka. Quelques unes de ses oeuvres sont représentées dans la BD, mais après la lecture, on a vraiment envie de découvrir plus en détail son travail. J’aurais aimé que l’ouvrage soit un petit peu plus long, car il n’embrasse qu’une petite partie de la vie de l’artiste. C’est néanmoins une très belle bande dessinée biographique !

J'avais beaucoup apprécié le premier tome, et du temps a passé avant que je ne puisse replonger dans cette histoire. Quelle joie de la retrouver !

J'ai été, comme Calpurnia, frustrée de l'éloignement des plantes, des sciences, des petites bêtes, de la nature, et de ne faire qu'entre-apercevoir son grand-père, passionné et passionnant. Le poids de la bienséance, des attendus de la "bonne" société, les devoirs de future épouse, la cuisine, la broderie... sont tellement bien retranscrits.

J'aime les demi-teintes choisies, la couleur comme en retrait pour laisser place aux émotions et aux sujets abordés.

Cette bande-dessinée est une belle réussite.

Le réseau de bibliothèque de ma communauté de communes fait des valises thématiques et en ce moment dans ma bibliothèque il y a la valise "adaptations", j'avais déjà lu la plupart des livres proposés, mais pas cette BD que j'avais pourtant croisée souvent, c'est maintenant chose faite !



Calpurnia est une jeune américaine de la fin du XIXème siècle. Elle vit entourée de ses petits et grands frères, un père peu présent et une mère sévère. Calpurnia aime la tranquillité et les ballades dans la nature. Elle aime par-dessus tout observer ce qui l'entoure, dessiner ce qu'elle voit et essayer de comprendre comment fonctionne cette nature. Grâce aux discussions avec son grand-père naturaliste, Calpurnia va enquêter sur les mystères de la nature en véritable scientifique : observations, hypothèses, conclusions. C'est ainsi qu'elle parviendra seule à comprendre le fonctionnement de nombreuses choses.



La relation entre la jeune fille et son grand-père est au cœur du récit, ainsi que divers questionnements sur la place des femmes dans la société et dans les sciences.



C'est une bande-dessinée que j'ai beaucoup aimée. Le récit est intéressant et les dessins sont vraiment beaux. J'ai aimé les couleurs, un peu dans les tons sépia qui transcrivent parfaitement une époque et une ambiance. Une BD à découvrir !
Lien : http://blogonoisettes.canalb..

Une merveille ! Des dessins sublimes de @collignondaphne, qui à mon goût, frôlent la perfection, tant je les ai trouvé absolument fascinants !

L'histoire (un peu rapide) de Tamara de Lempicka, portraitiste dans les années folles.

Née d'une mère polonaise et d'un père russe, elle épouse le comte Tadeusz Lempicki, s'installe à Paris en 1917, elle a 20 ans.

Très vite, elle envoûte, elle charme, elle intrigue ! Les hommes comme les femmes en sont totalement dingues. Tamara est d'une beauté, d'une insolence, d'une liberté magnifique ! Pour son art, elle laisse libre court à ses désirs à travers le corps des femmes, elle cherche celle qui sera parfaite, celle qui sera sa muse. En plein mouvement art déco, elle est moderne pour son époque et devient une icône de l'art figuratif du XXeme siècle, portant le NU comme art suprême aux formes neocubistes. Ses nus sont fascinants, donne le frisson. Elle compte parmi ses amis du tout Paris, André Gide et même si elle est dénigrée jusque dans les années 60, le portrait de sa fille Kisette fait son entrée au Musée des Beaux Arts de Nantes.

Cet album est absolument superbe !! Et Tamara à tomber !!

Calpurnia Tate a onze ans. Dans la chaleur de l'été, elle s'interroge sur le comportement des animaux autour d'elle. Elle étudie les sauterelles, les lucioles, les fourmis, les opossums. Aidée de son grand-père, un naturaliste elle note dans son carnet d'observation tout ce qu'elle voit et se pose mille questions. Pourquoi, les chiens ont-ils des sourcils ? Comment se fait-il que les grandes sauterelles soient jaunes, et les petites, vertes ? Nous sommes dans le comté de Caldwell, au Texas, en 1899. Tout en développant son esprit scientifique, Calpurnia partage avec son grand-père les enthousiasmes et les doutes de ses découvertes, elle affirme sa personnalité entre six frères et se confronte aux difficultés d'être une jeune fille à l'aube du XXe siècle. Apprendre la cuisine et les bonnes manières ou se laisser porter par sa curiosité insatiable ? Et si la science pouvait ouvrir un chemin vers la liberté ?

Une bd très belle, intéressante, elle soulève l’importance de la transmission familiale, de l’observation de la Nature qui mène à bien des savoirs, à une ouverture enrichissante vers le monde, la vie et la liberté des êtres. On s’attache très vite à cette jeune fille curieuse et décidée.

Dans ce second tome, Calpurnia s'affirme et veut faire entendre raison à sa famille, surtout à sa mère. Elle est moins insouciante que dans le premier tome et prend plus conscience de ce qu'on attend d'elle en tant que jeune fille. Mais le caractère bien trempé de Calpurnia va faire des remous dans la famille.



L'histoire est toujours aussi plaisante, magnifiquement bien construite et les personnages secondaires tiennent un rôle clé. Les dessins sont doux et certaines planches en pleine page méritent d'être encadrées.

Calpurnia est la seule fille d'une fratrie de sept enfant. Sont père est planteur de coton au Texas. Au 19e siècle l'éducation des filles est domestique et Calpurnia s'interesse à la science auprès de son grand-père... Il s'agit d'une histoire en deux volumes d'après le roman de Jacqueline Kelly.

J'ai suivi avec grand intérêt le quotidien de Calpurnia qui a 11 ans réalise que son avenir sera bien différent de celui de ses frères. Comment concrétiser ses rêves sans être rejetée de sa famille dans une société ou pour être institutrice on ne doit pas se marier... Dans cette seconde partie, cette prise de conscience de Calpurnia est plus forte et pesante. Les informations scientifiques apportées lors des observations et échanges de Calpurnia avec son grand-père sont savamment amenées sans alourdir le récit.

Ce second ouvrage du diptyque est superbement illustré, contrastant les dessins stylisés dans ses pages. Vivement conseillé dès la 6e !

La professeuse documentaliste de cdicollegeguisthau

★★★★☆ Calpurnia [Calpurnia #2] [#RuedeSèvres], Les rêves de Calpurnia



Avec sensibilité, Daphné Collignon poursuit sa remarquable adaptation des romans de Jacqueline Kelly.



Sensible et délicat, son trait plein d’élégance nous esquisse le portrait subtil d’une jeune femme pleine de ressources écartelée entre ses rêves de liberté et le destin étriqué auquel la prépare ses parents, tout en esquissant le portrait de son époque et d’une société conservatrice clivée par les origines sociale, le sexe ou la couleur de peau…



Sensible et émouvant, ce second tome s’inscrit dans la lignée du premier, faisant de Calpurnia une série grand public…






Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..