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Citations de David Gemmell (1535)


L'issue de l'affrontement ne dépend pas uniquement de la science du général ; la qualité des soldats y est également pour beaucoup.
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Il y a un demi-million de guerriers nadirs. Un chiffre gigantesque. Suffisamment pour obscurcir le cerveau. Mais les murs ne sont pas extensibles. Les ennemis ne pourront pas tous se présenter en même temps. Nous les tuerons au fur et à mesure, et nous en tuerons des centaines de plus lorsqu’ils escaladeront les remparts. Et jour après jour, nous les épuiserons.
Vous allez perdre des amis, des camarades, des frères. Vous allez perdre le sommeil. Vous allez perdre du sang. Rien, au cours de ces prochains mois, ne sera facile.
Je ne vais pas vous parler de patriotisme, de devoir, d’indépendance, et de la défense de la liberté, car pour un soldat, ça ne vaut pas un clou.
Je veux que vous réfléchissiez à la survie. Et la meilleure manière pour y arriver, c’est, lorsque les Nadirs seront là, de baisser les yeux vers eux et de vous dire : il y a en bas cinquante hommes rien que pour moi. Et par les dieux, je les abattrai tous, un par un.
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- Comment va ton épaule ?
- Presque guérie, répondit Mulgrave. Mais avec ce temps, elle me fait mal.
- Et ça ne changera pas. Quel âge as-tu ?
- Trente-quatre ans... presque trente-cinq.
- Passé quarante ans, tu auras mal tout le temps.
- J'exulte d'avance.
- Cinq centimètres plus bas, cette balle t'aurait guéri à tout jamais de la douleur. Deux centimètres plus à gauche, tu aurais pu perdre l'usage du bras. Sois content d'avoir mal, Mulgrave. Si tu souffres, c'est qu'au moins tu es en vie.
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Tandis que nous prêchons la moralité sexuelle, nous violons le monde, réduisons ses hommes et ses femmes en esclavage et massacrons ses enfants. Nous sommes pires que des barbares, Bane. Nous sommes tellement au-delà du mal que le mot n'a plus de sens pour nous.
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- Tu n'as aucun besoin d'une hache dans ton lit pour dormir.
- Elle me console un peu, répondit Druss en fermant les yeux.
- Où l'as-tu trouvée ?
- Elle appartenait à mon grand-père.
- C'était un grand héros ? demanda Sieben, plein d'espoir.
- Non, c'était un fou, et un tueur sanguinaire.
- Bien, fit Sieben en s'allongeant à son tour. Il est bon de savoir que si les temps sont durs, tu pourras toujours reprendre l'entreprise familiale.
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Il est vrai que c'est un personnage assez méprisable. Mais méfie-toi quand même de lui. Il est suffisamment bête pour te défier.
Non pas assez, fit Druss. Il est peut-être idiot, mais il ne désire pas mourir. Même un chiot sait qu'il doit se cacher quand le loup arrive.
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— Pauvre Druss, dit-elle. Mais vous dites qu’il est toujours aussi fort ?
— Quand il regarde, les vallées tremblent, récita Vintar. Là où il marche, les bêtes se taisent ; quand il parle, les montagnes s’écroulent ; quand il combat, les armées s’effondrent.

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Elle tendit la main et caressa la peau rasée de ses tempes.
— Je préférais quand tu avais les cheveux longs et une natte lui dit-elle.
— On doit suivre le chic, Karis. Cela montre à la populace où se trouve la vraie richesse.
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- C'est un Rédempteur, dit Able Pearce. Ce sont tous des fils de pute. Ils n'ont pas besoin de raisons pour se consacrer au mal. Ils sont comme ça, c'est tout. C'est la même chose pour les chevaliers du Sacrifice. je les hais tous.
- Tu as tort, Able, dit doucement Gaise. Ils ont leurs raisons. Et ils s'imaginent certainement qu'elles sont bonnes. Je n'ai encore jamais rencontré d'homme mauvais qui se considère comme maléfique.
(Le Cavalier de l'Orage)
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- Mais dis-moi, comment sais-tu que j'avais reçu deux pièces d'or en récompense ?
- C'est la femme de Bellin qui me l'a susurré à l'oreille après que... mais tu ne veux pas entendre les détails.
- Sa femme ?
- Oui. Une femme charmante. Très ouverte. Et j'aimerais bien les avoir, elle et sa fille, ensemble, dans un même lit. Allons, n'est-ce pas une jolie vision?
- Non, vraiment pas. Et tu es un homme répugnant.
- J'y travaille beaucoup, fit-il en riant.
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- Misérable fils de porc laid ! brailla quelqu'un.
Etrange insulte se dit Cthosi. Etre traité de fils de porc beau aurait-il été un compliment ?
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Rek était soul. Pas assez pour que ça lui cause des problèmes mais assez pour qu'il ne s'en cause plus.
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Un ami dans le besoin est un ami à éviter.
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La peur est comme un feu dans l'estomac. Maîtrisée, elle te réchauffe et te permet de survivre. Hors de contrôle, elle brûle et te consume.
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Les gens croient à ce qu'ils ont envie de croire. La vérité n'y change rien.
Les gens ont besoin de héros, et s'ils n'en ont pas, ils s'en inventent.
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Une action héroïque ne devrait jamais être jugée sur sa réussite ou son échec, mais sur le cœur, la passion et le courage qui l'ont inspirée.
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- (...) Ce n'est pas de courage dont il s'agit mais de bêtise. Ce que tu as fait était imprudent. Et le fait que tu aies gagné n'y change rien. J'ai connu beaucoup d'hommes courageux, Conn. Et la plupart sont morts aujourd'hui. Le courage ne sert à rien, s'il n'est pas accompagné d'un esprit lucide.
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Chaque jour, une femme se rendait à l’église sans avoir jamais accompli la moindre bonne action. Malgré tout, à sa mort, elle monta au Paradis. Là-bas, un ange la conduisit dans une rue bordée de somptueuses maisons de maître, puis il l’entraîna plus bas dans une rue avec des maisons coquettes, puis vers une série de maisons mitoyennes sans charme. Enfin, l’ange l’amena devant une vieille cahute en bordure d’un terrain vague. « Voici ta maison », annonça-t-il. « Mais elle est horrible ! » s’offusqua la femme. « Je sais », répliqua l’ange. « Mais c’est tout ce qu’on a pu bâtir avec les matériaux que vous nous avez envoyés. »
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— Ne place pas toute ta confiance dans la bonne volonté des souverains, Niro. Un jour, mon père m'a dit — j'ai pu le vérifier depuis — que rien ne durait plus longtemps que la haine d'un monarque, et que rien n'était plus éphémère que sa gratitude.
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C'est la mortalité même qui nous donne le désir d'apprendre, de nous adapter, de forger de nouveaux chemins vers l'avenir.
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