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Citations de Didier Quesne (62)


J’ai appris qu’il ne faut jamais rien regretter. Il faut tenir compte de ses erreurs, mais les regrets ne servent à rien, sinon à t’empêcher d’avancer.
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Les usages imposent certaines choses et les lois martiales en imposent d’autres.
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Il ne peut y avoir transgression des lois sans risque.
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Jamais on ne doit manquer de respect à une mère.
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Depuis l'écroulement de la civilisation moderne, le style d'habitation avait complètement changé. Disparues les fermes isolées, les maisons de vacances situées dans des coins de paradis. Elles avaient été pratiquement toutes visitées par les sanglornis et les habitants avaient dû prendre la fuite ou s'étaient purement et simplement fait dévorer.
Tout le monde s'était regroupé dans les petites villes et les hameaux. Les grandes villes ne pouvaient pas être protégées, il y avait trop d'entrées possibles. En revanche, les petites agglomérations avaient pu utiliser les fortifications anciennes, bâtir des remparts, creuser des fossés, tout ce qui pouvait permettre le passage des bêtes. Au-dehors, c'était la zone féroce, barbare, primitive ; le domaine des fauves de toutes sortes et de tous poils.
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Jean Lagarde as-tu, ne
serait-ce qu'un instant, idée de ce que représente la lutte contre un esprit qui niche dans ton entendement, dans ton crane lui-même, qui n'a nul besoin de dormir, nul besoin de faire autre chose que de guetter l'instant où ton esprit va s'assoupir, se lasser de combattre sans un seul instant de repos ? En as-tu idée
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Et au loin, par-delà les brumes vaporeuses, traversant les lacs sombres et endormis, se jouant des ombres malignes semées par la Lune, un chant. Suave. Sombre et mystérieux, trouble et envoûtant, rejoignait le corps inanimé encore, berçait le profond sommeil, créait des rêves de matins clairs et parfumés, allumait de troublantes envies inavouées dans l’éloquent silence de la nuit éclatante.

Elle s’éveilla.
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p.148.
- Reste près de moi, Louusso, mon Humain. Reste près de moi pour que je continue à voir la vie si belle, à comprendre que tous les êtres ne sont pas semblables et que, parmi, eux, il en est qui peuvent partager notre vie. Tu as dit que l’amour entre deux êtres n’avait pas de sexe. Je te dis maintenant, moi, N’nâbel de Brahe, que l’amour entre deux êtres pensants n’a pas de race.
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p.122-3.
- Et toi, tu en penses quoi ?
- Des relations amoureuses avec des gens du même sexe ?
- Oui.
- Rien. Je pense que l’amour n’a pas de sexe. Quand on aime, on aime, et les autres n’ont rien à y redire.
À nouveau, je fus profondément touchée par ce qu’il venait de dire et par ce que cela sous-entendait comme grandeur d’âme.
- Les autres, Arz’hed ou Humains, n’ont rien y redire... Mon Humain, comme tu es grand ! murmurai-je pour moi seule.
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p.121.
- N’nâbel de Brahe, tu n’es qu’une femelle et ton rôle est de procréer, ne l’oublie pas ! un mâle saura te faire entrer ça dans l’esprit et dans la matrice !
Je bouillais. Je refusais de n’être qu’un ventre juste bon à assurer une descendance à un mâle que je n’aurais sans doute pas choisi.
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p.81.
- Merci, grand chef, lui murmurai-je juste avant qu’il ne passe. Tu me donnes ta viande, tu as eu des descendants, ta lignée est sauve. Le Grand Ours te regarde et t’admire.
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p.24.
« Par moments, il faut savoir ne pas prendre l’avis des siens, mais se comporter en chef autoritaire. Certains Arz’hed ne comprennent que ce langage qui les rassure, et toute discussion est perte de temps et de crédibilité... ».
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p.4.
Se douter de quelque chose est bien différent de l’entendre de la bouche même de ceux que l’on est censé diriger. Vexée, j’avais commis l’erreur de tenter d’argumenter. Je m’étais rendu compte que je ne faisais que me justifier.
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La première des victoires est de reconnaître sa défaite.
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Un virus doit être détruit ! Nous sommes un organisme, chacune de nous est une cellule et participe par là même à la vie de l’ensemble. L’unité est notre force, la vie n’est pas le désordre, la vie n’est pas l’individu. La vie est la cohésion, l’ensemble. Une de nos cellules est malade, il nous faut la supprimer, quelle que soit la douleur que nous éprouvons.
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On ne doit pas prononcer un mot ici. On travaille, mais il faut également méditer et se concentrer sur ce que l’on fait, sans laisser nos pensées s’échapper vers de futiles rêveries.
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Classes-tu ainsi toutes les choses et tous les êtres selon leur appartenance à une caste ? ... Ne peut-on être de basse naissance et valoir davantage qu’un noble ?
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Apprends à reconnaître chacune des faces de la vie. Regarde couler l’eau d’une rivière de montagne, vois comme elle change continuellement. Chaque moment qui passe est comme l’eau qui s’écoule autour d’un rocher, créant des tourbillons dont chacun est différent de celui qui le précède et de celui qui le suit. Chaque moment qui passe est unique, impermanent. Il faut le vivre intensément, comme si chaque seconde était une vie entière. Marche dans le courant et sens la température de l’eau, pense à chacun de tes pas, l’un après l’autre. Chaque pas est une vie. Chaque pas est un événement unique. Tu progresseras ainsi vers la sagesse.
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Méfie-toi de ce genre de femmes... Elles changent d’avis comme monte la Saison, elles se font veules et onctueuses dès que l’on prononce le nom qu’il faut, mais montrent des dents si l’on n’est pas recommandé. Lâches devant les puissants, elles martyrisent le petit peuple.
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Ce monde fade. Ce monde artificiel, on y vit par procuration, a travers des journaux, a travers des ecrans, a travers tout. Je ne veux plus vivre comme ca, je ne peux plus. Je veux vivre une vie que je sens, que je touche, une vie odorante, plus aseptisee, une vie qui pue, qui hurle, qui saigne, une vie qui fait mal, mais une vie que tu sens passer dans tes arteres et dans tes tripes.
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