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Critiques de Dominique Lapierre (291)
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Plus grands que l'amour

Un livre d'une grande finesse tout comme sait le faire ce grand auteur plein de talent.

Plusieurs histoires toutes basées sur sur cette célèbre épidémie qui est le SIDA.

Ce livre relate du merveilleux travail qu'ont pu faire chacun à des niveaux différents de savoir faire.

Ce livre est aussi très bouleversant face à cette grande détresse de malades ; cette petite Ananda est très touchante où ces parents la jette et là elle connait les pires horreurs pour au final rejoindre toute la belle et splendide équipe de Mère Thérésa ; l'Inde très pauvre est aussi relatée.

Un livre formidable et plein de générosités.
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La cité de la joie

Calcutta des années 1970, et ses bidonvilles: d'énormes capharnaüm, des cloaques sans hygiène, surpeuplés de pauvres gens, de malades, de lépreux. La pauvreté s'accompagne des combines des cyniques, la misère atteint son paroxysme quand la sècheresse assèche tout, et, juste après, quand les pluies et les cyclones détruisent ce qui reste.

D.Lapierre nous décrit cet épouvantable univers au travers de l'expérience d'un prêtre français, qui a décidé de consacrer sa vie à tenter d'aider ses pauvres gens, en vivant au milieu d'eux, et dont les efforts rencontreront, évidemment, quantités d'obstacles.

Ce livre, qui nous parle d'une époque déjà ancienne (la population du pays a doublé depuis), est passionnant. Le propos n'est pas pessimiste. Si chaque jour apporte là-bas son quota de drames, ces bidonvilles sont aussi les lieux de beaucoup d'initiatives solidaires, de belles histoires du quotidien, et l'on est saisi par la façon dont ces hommes, ces femmes, ces enfants, sont capables de se remettre aussi vite de situations tragiques. Le livre est porteur de ce souffle vital, et c'est sa force.

Depuis ces années, fort heureusement, l'Inde a misé sur l'éducation, et l'on sait qu'elle a connu des succès internationaux. Ce qui ne veut pas dire que les problèmes de ces 1,4 milliards d'habitants sont réglés.

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La cité de la joie

Un des plus beaux livre que j'ai eu la chance de lire dont est tiré le film éponyme avec Patrick Swayze.Cette plongée dns les bidonvilles de Calcutta évite l'écueil du misérabilisme ainsi que celui de trop enjoliver la situation, elle colle au fait sans en rajouter ce qui donne à ce livre sa force de témoignage et rend la lecture passionnante. Un livre temoignage qu'on imagine à peine romancé tant tout sonne juste et vrai.
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Mille soleils

Aucune déception de ce livre écrit par Dominique Lapierre qui une fois de plus a crée un ouvrage d'une réelle beauté.

Ce roman enchaîne plusieurs histoires vraies où se mêlent la joie, la tristesse et autant de sentiments humains.

Le début de ces histoires peuvent sembler long à "démarrer" mais ensuite on enchaîne les histoires les unes après les autres en les dévorant.

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La cité de la joie

Prendre le stylo. Ecrire. Empathie, amour. Au milieu des mots qui se pressent, ces deux-là rayonnent. Ces deux-là sont les plus dignes qu'on trouve quand on se lance dans la tâche de décrire ce livre.

Humanité profonde d'un récit, émouvant tout autant qu'éprouvant où l'on balance entre espoir et désespoir. Ou, plus précisément, gouffre de désespoir dans lequel l'espoir est magnifié tant il est la dernière vibration de vie.

Fruit d'une enquête en immersion de plusieurs mois, cette description de la vie quotidienne des habitants d'un bidonville de Calcutta, représente d'abord, surtout à nos yeux occidentaux, la part sombre du monde, la quintessence du désespoir, la misère, les maladies, les existences exploitées, la mort omniprésente.

Et pourtant. Derrière ce désespoir est le miracle de l'espoir, cette Cité de la joie où « la vie paraissait toujours plus forte que la mort », les leçons de sourire et, face à la misère, l'arme décisive de la « solidarité à ras de terre ».

Les mots de Dominique Lapierre ne rendent pas à tous ces hommes et à toutes ces femmes leur dignité. Non, ces mots sont plutôt leur dignité révélée à nos yeux. On pourrait même dire qu'il tente juste, par ces mots, de leur rendre, même infiniment, tout ce que eux lui ont donné.

Livre du dépouillement. Livre dont l'émotion nous vide tout en nous remplissant. Devant ces êtres démunis mais jamais désunis.

Des personnages d'une humilité immense et d'une grandeur époustouflante avec ce cadeau merveilleux, dans leur immensité, de nous rester proches.

On sait trop bien qu'on n'aura jamais le 10ème du courage d'Hasari, le tireur de rickshaw décharné et la dévotion absolue aux autres de Paul Lambert, le prêtre qui a décidé de consacrer sa vie aux plus démunis.

Pourtant, au sortir de la lecture, devant une affirmation si forte, si essentielle, si évidente, du lien de la fraternité humaine, on ose quand même se reconnaître leur frère. On n'est pas si loin de se croire capable, ne serait-ce qu'un instant, même infiniment, d'un peu plus d'attention à l'autre et de sentir ainsi la vie couler en nous.

Tout ça c'est une longue chaîne depuis la nuit des temps. Des êtres de chair et de sang. Des frères et des soeurs que l'on rejoint en ce récit, qui sont là, dans toute la force de leur existence souffrante. Aussi terrible et misérable que cette existence puisse apparaître au 1er regard, Dominique Lapierre nous dit sa force infinie, sa beauté. Pour, incidemment, peut-être, nous ramener à la nôtre.

Ce soir, mon coeur est un peu plus grand. Ce soir, je veux écouter et goûter chacun des bruits de mes filles qui s'apprêtent à s'endormir. Hasari a marié sa fille Amarita, il a souri, gonflé de fierté, devant sa beauté, il a souri devant cette apothéose de sa propre vie, revanche sans prix sur les années de misère. Puis il est mort en quelques heures. Le coeur et le corps ont lâché. Laissant mon coeur à moi un peu plus grand, donc. Pas aussi grand que le coeur de « Grand frère Paul », bien sûr. Mais un peu plus grand qu'avant quand même.

J'ai fermé le livre. Il restera à côté de moi cette nuit. Je ne veux pas en ouvrir un autre tout de suite.

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Ô Jérusalem

J'ai beaucoup aime personnellement ce livre qui nous conte la creation de Jérusalem et de l'etat d'Israel: on est dans un vrai roman historique car les faits y sont relatés de facon precise et conforme sans fioriture ni mots inutiles.Un superbe livre que je vous conseille de decouvrir d'urgence !
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La cité de la joie

Havre d'amour, havre de paix

Enfants de lumière

Brillez pour notre terre

O Calcutta, cité de la joie

Notre pauvre monde ne peut vivre sans toi...

Comment peut-on sortir de ce livre indemne ? Ce n'est pas possible.

Je l'ai lu au moins trois fois, et trois fois je me suis effondrée à la dernière page.

Merci Bandona, Padmini, Asari, Mère Teresa, vous tous qui faites de notre monde un lieu vivable grâce à vos prières. Ces gens n'ont rien, ils ont faim, mais pourtant, ô miracle, ils sourient, ils aiment.

A lire, lire et relire.

Excusez la mauvaise orthographe des noms : j'ai lu ce livre en audio.
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La cité de la joie

Quelle claque ! Ce récit, qu'on peut lire comme un roman, est magnifique ! On se retrouve au milieu des années 80 dans un bidonville de Calcutta, appelé la Cité de la joie.

On y côtoie des habitants, un prêtre, un jeune médecin américain venu aider quelques temps, mafieux et lépreux !

Tout le monde semble cohabiter d'une façon étonnamment harmonieuse et souvent "joyeuse", alors que pour moi, occidentale vivant dans le confort, beaucoup de moments vécus par les habitants m'ont paru presque impossibles à imaginer !

Pour autant, j'ai adoré accompagner chacun des personnages tout au long de sa vie dans la cité de la joie. Et je sais bien que je penserai à eux très longtemps !

L'écriture, limpide, m'a beaucoup plu. Je découvre l'auteur. Amusant de penser que ce livre était chez mes parents depuis 35 ans !
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Ô Jérusalem

O Jérusalem,ville sainte et ville berceau des religions.

Et quelle déception pour moi avec ce livre dont chacun connaît la qualité d’écriture des auteurs mondialement reconnus . Et pourtant ce livre documentaire , quoique bien écrit, est teinté d’une religiosité malsaine. Le peuple juif est ici présenté en quelque sorte comme la victime des méfaits que tout les autres peuples lui infligent. Je ne cherche pas à prendre position dans ce débat, mais je trouve dommage que des auteurs avec autant de talents verse dans une apologie sémite aussi grossière.

J’aurais préféré plus de mesure .

La lecture fut longue et souvent pénible pour arriver au bout de l’ouvrage. Je préfère ce binôme dans les romans de fiction
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Le cinquième cavalier

Un roman etrangement visionnaire avec des personnages reels qui nous offrent ici un suspense tiré aux petits oignons et un rythme qui ne faiblit jamais: un superbe livre tres bien construit, le plaisir de lecture ne vous quittera pas car il vous fera faire le tour du monde des grands dirigeants des années soixante dix pour un voyage vers l'enfer : Le denouement vous laissera pantois !
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Un arc-en-ciel dans la nuit

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Cette nuit la liberté

1947 le monde attendait la naissance de l'Inde indépendante (et très accessoirement la mienne) :c'est cette histoire que racontent Lapierre et Collins , dans un récit très vivant et appuyé sur une documentation très sérieuse . Leur talent est de rendre vivants les évènements , les protagonistes sans déformer la réalité des faits autant que faire se peut. Ce n'est pas de l'histoire universitaire mais c'est sérieux et plaisant.
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Cette nuit la liberté

Dominique Lapierre et son collègue américain nous offrent un livre dense représentant des années d’informations et de voyages en Asie de l’Est. Dominique Lapierre est philanthrope, l’Inde lui doit beaucoup.



Churchill avait désigné Mountbatten pour le commandement suprême des armées de mer en Asie en 1943. Mountbatten avait alors 43 ans.



Sous un gouvernement suivant avec changement de premier ministre, la courte déclaration que Clément Attlee s’apprêtait à lire avait, en grande partie, été rédigée par le jeune amiral Mountbatten qu’il envoyait aux Indes et dont il allait aujourd’hui révéler le nom. Avec son audace habituelle, Louis Mountbatten avait réussi à subtiliser le long discours d’Attlee à son propre discours définissant en terme net la mission du vice-roi. « Le gouvernement de Sa Majesté souhaite prendre toutes les dispositions pour procéder au transfert de la souveraineté des Indes entre les mains d’une autorité indienne responsable à une date ne dépassant pas juin 1948. » Vint le tour de Churchill à prononcer un dernier plaidoyer en faveur de l’empire. « En assignant une échéance si rapprochée à l’abandon des Indes, Attlee se soumettait à l’une des plus démentielles exigence de Gandhi, criant à l’Angleterre de partir et de laisser l’Inde à la grâce de Dieu. C’est avec un chagrin profond que j’assiste au démantèlement de l’Empire britannique. »



Pour exercer sa mission prononcée par le premier ministre Clément Attlee, Lord Mountbatten s’envola avec son épouse pour les Indes.



Au cas où les Musulmans continueraient à revendiquer un Etat séparé, Mountbatten devrait chercher une solution de compromis, la fédération des deux Etats sous une autorité centrale. Mais de toute façon il n’était pas question d’imposer cette solution sous la force. A défaut d’accord d’une Inde unifiée, Mountbatten devrait proposer une autre solution.



Au lendemain de l’investiture du vice-roi des émeutes éclatèrent dans le Panjab entre Sikhs et Musulmans. Peu de temps après des incidents entre Indous et Musulmans firent quatre-vingt-dix-neuf mort dans les rues de Calcutta.



Le 2 avril 1947 dans son premier rapport à Clément Attlee, le vice-roi indiqua : « la vie ici est aussi sombre que possible. Je n’entrevois que peu de chance d’obtenir une solution négociée sur laquelle bâtir l’avenir des Indes.



Seuls quatre interlocuteurs participaient aux entretiens successifs qui devaient mener à définir le futur des Indes. Les négociateurs réclamant l’indépendance avaient passé le plus clair de leur vie à comploter contre l’Angleterre sans pour autant s’entendre entre eux. Pour le vice-roi, les conférences officielles n’avaient conduit qu’à des échecs. Il y renonça donc et choisi de rencontrer individuellement ses adverses dans la solitude de son cabinet. Si rendit en premier Jawaharlal Nehru, 58 ans, personnage d’une stature imposante, ancien avocat au barreau de Londres. Ils ont immédiatement sympathisé, Nehru redécouvrait auprès de Mountbatten et de son épouse l’Angleterre accueillante et libérale de sa jeunesse d’étudiant.



Ensuite pris place dans le bureau du vice-roi, celui que Churchill surnommait « le fakir à demi nu » Entre le vice-roi et Gandhi tout dans la passé des deux hommes laissait à supposer qu’ils ne pourraient pas s’entendre. Alors que Gandhi parlait de L’Inde, Mountbatten l’interrompit : Monsieur Gandhi avant de parler de l’Inde parlez-moi de vous, je voudrais savoir qui vous êtes. C’était une stratégie du vice-roi, il tenait à établir d’abord un contact intime avec ses interlocuteurs plutôt que de se laisser assaillir par leurs exigences et doléances. Sa question enchanta le Mahatma, il adorait parler de lui.



Ensuite Mohamed Ali Jinnah était reçu en aparté. Dès la première minute Mountbatten jugeait l’homme arrogant, glacial et d’un méprisant état d’esprit. Sitôt entré dans le cabinet, il informa le vice-roi qu’il était venu lui exposé sa position et ce qu’il était seulement prêt à accepter. Mountbatten entrepris de faire la conquête du musulman mais l’homme paraissait muré derrière une carapace de glace. L’idée de déballer sa vie, son caractère lui était intolérable. C’était un homme fermé, intransigeant avec lequel toutes tentatives de négociations se révélaient impossible.



Certaines choses sont intéressantes à dire à propos de Mohamed Ali Jinnah : C’était l’homme qui voulait séparer hindous et musulman en créant une nouvelle nation, le Pakistan, ou par transhumance irait s’installer tous musulmans. Comme Gandhi, Jinnah a été avocat à Londres, mais contrairement à Gandhi, il a rejoint son pays en gentlemen britannique. Il portait monocle et costumes superbement taillés. C’était un bon vivant, bien que svelte. Il buvait Champagne, Cognac, aimait les huitres et les grands crus de Bordeaux. Avocat brillant, il se lança en politique, pendant dix ans, avec l’idée de maintenir uni au congrès Hindous et Musulmans. Ensuite, il rompit avec la Congrès et rejoignit les rangs de la ligue musulmane, le parti nationaliste de la cause musulmane. Il n’y avait rien de musulman chez Jinnah hormis son prénom. Allah et le Coran n’avait aucune place dans sa vision du monde. Il buvait de l’alcool, mangeait du porc, ne fréquentait pas la mosquée le vendredi. Sa vie était un modèle d’ordre et de discipline. Les livres de droit et les journaux constituaient ses seules lectures. Il se faisait envoyé des journaux du monde entier. Auprès du vice-roi, Jinnah déclarait, le temps des transactions est passé, il faut faire vite en découpant le pays pour séparer Hindous et Musulmans. Plus tard nous apprendrons que Jinnah était très malade, ce qu’il se gardait de dire et si, et si, et si … un partage n’était pas conclus du vivant de Jinnah les Indes aurait pu connaître un avenir très différent.



Le partage s’articula autour des faits suivants : Une séparation territoriale d’indous et de musulmans. Deux Pakistan, un oriental et un occidental séparé de 1800 Km, un nombre invraisemblable d’heures de trajet entre les deux Pakistan avec un immense risque de ne pas sortir vivant du voyage. Des Sikhs qui ne trouvent pas leur compte dans le partage. Un Panjab très fertile, le grenier des Indes où après découpage de territoire tous espèrent avoir un maximum de canaux d’irrigation. Des rois et dynasties, qui veulent rester en entités indépendantes, qu’ils étaient. Un Pakistan oriental ayant une population majoritairement hindoue dans sa partie ouest ; une partie est majoritairement musulmane et dépourvue de richesse. Un Cachemire composé d’hindous et de de musulmans n’arrivant pas à choisir un camp c’est-à-dire s’allier à l’Inde ou au Pakistan et en guerre régulière avec l’Inde ou le Pakistan cherchant à s’allier la région.



Voilà la mosaïque et les répercussions du partage de 1947 dans les décennies qui ont suivi.



C’est un livre au départ duquel on apprend beaucoup et ce n’est pas à négliger puisque l’Inde et le Pakistan réunis représentent 21% de la population mondiale.



Inde et Pakistan sont des pays riches en diversités. Ces deux pays possèdent l’arme nucléaire, souhaitons leurs des dirigeants raisonnables !



L’Inde est un pays qui fascine beaucoup de gens.

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Ô Jérusalem

Livre trouvé dans une boîte à livres. Ayant voyagé à Jérusalem, l'histoire ne pouvait que me convenir! Je n'avais pas prévu de le lire dans l'immédiat mais un défi à la c* d'une amie m'a plongée dedans.



J'ai vite déchanté en voyant que ce livre n'était pas un roman mais là pour retracer une première partie de l'histoire de Jérusalem (donc initialement la Palestine) et le fondement ensuite d'Israël.

Le fond est très détaillé mais très indigeste! La preuve: 5 mois donc 2 en confinement pour en arriver au bout!

J'ai assisté à toute la complexité de ce conflit, même s'il avait été éclairé durant mon passage en Israël il y a 2 ans. D'ailleurs, on s'y perd avec les personnages sur place mais aussi les Nations qui s'y mêlent juste pour leur intérêt personnel et politique. On pourrait qualifier ce conflit comme l'équivalent d'une 3ème guerre mondiale mais sur un seul espace.

Tout au long du livre j'ai senti la violence, les conflits permanents, le stress pour survivre, la famine...! Je m'y serai presque cru et par moments j'ai vécu les batailles à leurs côtés.

L'avantage de ce roman: aucun parti pris pour les juifs ou les arabes. Il n'y a pas de donneurs de leçons, juste un pan d'histoire raconté (j'imagine tout le travail de documentation!!).

Ce que j'ai apprécié et qui m'a rendu ce livre plus parlant est l'espace géographique bien connu par ma visite dans tout Israël.



Belle découverte mais très très indigeste!!!!!!!!!!
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New York brûle-t-il ?

Le gars il se copie lui même !!! A l'école ça fait zéro, ici guère mieux.
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...ou tu porteras mon deuil

Je ne suis pas une adepte de la tauromachie, cependant la lecture de ce livre m'a permis de comprendre ce que celle-ci représente pour les espagnols sur fond de guerre civile espagnole.

Le livre est très bien documenté, passionnant et l'on retrouve avec plaisir le style de Lapierre et Collins.

Cependant, mon sentiment n'a pas changé vis à vis de cette pratique culturelle.
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Paris brûle- t-il ?

incroyable distribution d'acteurs, musique remarquable!je viens de voir le film proposé ce soir sur arte, d'apres le roman du meme nom:paris brule t il ?chut, le titre lui meme a une signification...paris brule t il , on peut entendre cette chanson dans le film :la vie est un long fleuve tranquille, interprétée par mireille matthieu
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Le cinquième cavalier

Une excellent souvenir de ce livre lu il y a très longtemps. Un attentat terroriste en plein New-York .... folle imagination des auteurs à sa sortie ...réalité tragique insensée des années après.
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Le cinquième cavalier



Un thriller passionnant qui nous entraine dans le quotidien d'une mégalopole qui fait face à une terrible menace, la plus dramatique la menace nucléaire.. On est pris du début à la fin par le suspense, on découvre une multitude de personnages que ce soit les terroristes, et les policiers, hommes politiques de New York, et tous les homme et femmes qui font vivre cette ville au quotidien.



Ce livre est très bien documenté, et très réaliste dans son scénario..



On s'attache aux personnages même à ceux qui sont les terroristes car les auteurs nous les décrivent avec beaucoup d'humanité.



Cet ouvrage pose des questions par rapport à la course aux armements nucléaire du monde..
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Ô Jérusalem

Ce livre nous aide à comprendre ce qui se passe encore aujourd'hui dans cette région...

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J'ai commencé ma carrière littéraire très fort, à 18 ans, en payant mes 1000 premiers kilomètres, seulement ...?... nous étions alors en 1949

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