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Citations de Eiji Yoshikawa (178)


"Je dois mettre dans chacun des caractères que je trace l’esprit de l’illumination du Bouddah. Une seule copie me prend trois jours."
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"Et du matin au soir, ils ne parlaient qu’argent, argent. Ou encore travail, travail. Et ils se croient des être humains !"
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Le Sabre est l’âme du Samouraï ; il ne le porte qu’afin de maintenir son intégrité. Pour l’homme qui gouverne d’autres hommes et cherche, ce faisant, à suivre la Voie de la vie, le sabre est une exhortation perpétuelle. Il n’est que naturel que l’artisan qui polit le sabre doive aussi polir l’esprit de celui le manie
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Au lieu de vouloir être comme ci ou comme ça, transforme-toi en un géant silencieux et immuable. Telle est la montagne. Ne perds pas ton temps à essayer d'impressionner les autres. Si tu deviens le genre d'homme que les gens peuvent respecter, ils te respecteront sans que tu aies à lever le petit doigt.
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Les tableaux devraient appartenir à ceux qui les aiment et les apprécient veritablement. Je suis certain que c'est là ce qu'aurait desiré l'artiste.
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Pour l'univers, la mort d'un homme ne pouvait guère avoir plus d'importance que celle d'un papillon mais dans le règne humain, une seule mort pouvait tout affecter, pour le meilleur ou pour le pire.
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Non qu’il eût oublié la leçon que Takuan lui avait enseignée : l’homme véritablement brave est celui qui aime la vie, qui la chérit comme un trésor qu’une fois perdu l’on ne peut jamais retrouver. Musashi savait bien que vivre, c’est plus que se borner à survivre. Le problème, c’était de savoir comment imprégner sa vie de signification, comment assurer que sa vie lancerait jusque dans l’avenir un vif rayon de lumière, même s’il devenait nécessaire de renoncer à cette vie pour une cause. Si Musashi parvenait à réaliser cela, la durée de son existence – vingt ans ou soixante-dix – importait peu. La durée d’une vie n’est qu’un intervalle insignifiant dans le cours infini du temps.

Livre IV Le Vent, chapitre « Rencontre au clair de lune »
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Le pin parasol se dressait là depuis plusieurs siècles. Il avait vu la retraite de Kyoto à Omi des troupes vaincues de Taira lors des guerres du XIIe siècle. A d'innombrables reprises, il avat vu les prêtres-guerriers du mont Hiei descendre sur la capitale pour faire pression sur la cour impériale. Etait-ce la gratitude pour le sang frais qui s'infiltrait jusqu'à ses racines, ou bien agoisse devant le carnage ? Ses branches agitées par le vent brumeux répandaient sur les hommes situés en dessous des gouttes de rosée froide.
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Telle était la nature de Takezô : portée aux extrêmes.
Dés sa plus tendre enfance, il y avait eu dans son sang quelque chose de primitif, quelque chose qui remontait aux féroces guerriers de l'ancien Japon, quelque chose d'aussi sauvage que pur.
Cela ne connaissait ni les lumières de la civilisation ni les adoucissements de la connaissance. Cela ignorait aussi la modération.
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Vous vous apercevrez mon ami, que dans les égouts de ce monde instable une partie des ordures est formée de fleurs déchues.
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Musashi savait bien que vivre, c'est plus que se borner à survivre. Le problème était de savoir comment imprégner sa vie de signification, comment assurer que sa vie lancerait jusque dans l'avenir un vif rayon de lumière, même s'il devenait nécessaire de renoncer à cette vie pour une cause. Si Musashi parvenait à réaliser cela, la durée de son existence - vingt ans ou soixante-dix - importait peu.
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... Shoyu ouvrit la biîte et déplia la réponse. A sa grande consternation, il ne vit qu'un morceau de papier de couleur crème où rien n'était écrit.

[]
- Qu'est ce que cela veut dire, Sumigiku ?

[]
- Je crois qu'il veut que nous le lisions.
- Lire une feuille de papier blanc ?
- Je croirais volontiers que cela peut s'interpréter d'une façon quelconque.
- Vraiment ? Qu'est-ce que cela pourrait bien vouloir dire ?
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- Comment un homme aussi remarquable que Yoshioka Kempo a-t-il pu avoir deux fils pareils ?
- ça montre seulement que le sang n'est pas tout.
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Si je comprends bien, vous ne connaissez pas L’Art de la guerre ?
— J’avoue à ma honte que non.
— Eh bien, vous avez raison d’avoir honte ! Et il ne faut pas vous étonner que je vous traite de benêt. Vous avez beau être un personnage officiel, vous êtes d’une inculture lamentable et d’une totale inefficacité. Mais à quoi bon vous répéter une évidence ?
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Elle avait le visage tranquille et serein de ces poupées qu’ils fabriquent à Kyoto.
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