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Citations de Elizabeth Hoyt (105)


— Je serais rayé de la guilde des pirates si j'étais surpris à boire du thé.
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— Je suis enchanté de vous rencontrer, mademoiselle Saint-John, susurra le vicomte, en lui baisant la main. Votre beauté éblouit mon regard.

— C'est embêtant, répliqua Sarah, quand d'Arque se redressa. J'espère que vous ne serez pas aveuglé au point de vous cogner dans le mobilier.

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Notre véritable intimité n’est pas dans nos étreintes passionnées, mais dans notre aptitude à être nous-mêmes quand nous sommes ensemble.
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La torture est chez les Wyandots un comportement normal envers les prisonniers de guerre. Aussi normal, pour nous, que de pendre un pauvre garçon qui a détroussé un gentleman.
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Les souliers de quelqu'un sont révélateurs de sa personnalité ! L'ivrogne en porte de ruinés et sales, la dame de mauvaise vie, d'exagérément ornementés, et le meurtrier en puissance porte des bizarreries, comme ces mocassins de sauvages.
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Mickey O'Connor possédait une bibliothèque?
L'espace d'un instant, Silence se laissa distraire par une image de cet homme si outrageusement viril penché sur un livre poussiéreux.
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Le baiser n’était plus qu’étourdissante sensualité. Un baiser à faire tout oublier. Un baiser qui incitait à faire l’amour. Un baiser bien plus dangereux que le précédent. Celui-ci parlait de désir, de besoin.
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Il recommença à effleurer ses lèvres, du bout de la langue, aussi délicatement que si elle avait été de cristal. Il ne semblait plus la considérer comme une chatte toutes griffes dehors, mais comme une créature délicate et fragile. Jusqu’à ce qu’elle n’y tînt plus. Elle entrouvrit les lèvres, aussi timidement qu’une vierge. Ce qu’elle était peut-être, d’une certaine façon : aucun homme ne l’avait embrassée ainsi, l’attisant, l’excitant. Il insinua enfin sa langue dans sa bouche et, avidement, elle darda la sienne à sa rencontre. Le contact l’électrisa. Ces saveurs qu’il distillait la chaviraient. Il pesait contre elle de tout le poids de son corps, et elle se prit à rêver qu’il n’y eût pas toutes ces couches d’étoffe entre eux.
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— Chuut, murmura-t-il en lui caressant le visage.
Il y avait des gens dans la pièce d’à côté, Lily le savait et n’en avait cure. Elle se cramponna aux épaules Apollon, rêvant de le sentir nu contre elle, et qu’il redevienne Caliban l’espace de quelques instants.
C’est alors qu’il la souleva et l’assit sur une petite table qui vacilla sous son poids. Il lâcha un juron, puis lui retroussa ses jupes et glissa la main entre ses cuisses. Il alla droit au but, glissa les doigts entre les pétales de son sexe sans autre préambule, comme s’il avait tous les droits.
Lily gémit de nouveau.
— Chut ! l’admonesta-t-il.


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— Pourquoi gardez-vous tous ces trésors dans une même pièce? demanda-t-elle. Vous ne craignez donc pas les voleurs?
Mickey sourit.
— Vous croyez qu'on viendrait me cambrioler chez moi?
Elle rougit.
— Non, bien sûr. Mais vos hommes pourraient être tentés.
— Je les paie bien, répliqua Mickey. Mieux, en tout cas, qu'ils ne pourraient l'espérer partout ailleurs dans Londres. S'ils étaient quand même tentés. Cela vous surprendra peut-être, mais je suis réputé violent.
Silence frissonna.
— Je sais.
Mickey était conscient que sa violence la mettait mal à l'aise. Mais comme il ne pouvait changer sa nature, il préféra penser à autre chose.


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La porte de la chambre s'ouvrit.
— Dehors ! cria Maxime au domestique, quel qu'il soit, qui avait osé le déranger.
Ils entendirent un petit cri étranglé et la porte se referma vivement.
— Tu t'es montré un peu rude, fit Artemis.
Il se renfrogna.
— Tu aurais préféré qu'elle nous regarde baiser ?
— Ne sois pas grossier, répliqua-t-elle.
Elle le repoussa, et il céda à contrecœur, conscient de s'être mal conduit. Elle se leva, offrant le spectacle de sa glorieuse nudité.
— De toute façon, ajouta-t-elle, ils ne tarderont pas à savoir que je suis ta maîtresse.
Il grimaça.
Artemis haussa un sourcil.
— C'est ce que tu veux, n'est-ce pas ? Que je sois ta maîtresse ?
— Je ne peux pas avoir ce que je veux réellement.
— Vraiment ? répliqua-t-elle, désinvolte. Tu es pourtant le duc de Wakefield, l'un des hommes les plus puissants d'Angleterre. Tu sièges au Parlement, tu possèdes des domaines à ne plus savoir qu'en faire et tellement d'argent que tu pourrais prendre des bains de pièces d'or. Je me trompe ? conclut-elle en se penchant pour ramasser sa chemise de nuit.


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Il goûta son thé et se demanda s’il y avait beaucoup d’hommes victimes d’érection en buvant du thé.
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Les hommes sont souvent décevants, j'en ai peur, admit Jeremy. Nous n'avons jamais su y faire avec les sentiments. Mais nous comptons énormément sur la compassion des femmes pour nous en sortir. Sans elles, sous serions perdus.
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Pour combattre les démons, il est utile de se déguiser en démon.
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Je suis un homme très simple, et je vis à la campagne. Tu devras donc te contenter de fleurs des champs. Des violettes et des coquelicots au printemps ; des fleurs d'églantier ou des chardons en été ; des asters en automne. Mais à la fin du printemps, je pourrais te cueillir des campanules, qui poussent sur les collines alentour. Des campanules d'un beau bleu. Le même que tes yeux en fait.
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Le projet de Wheaton est une pure hérésie. S'il fallait verser une pension à tous les imbéciles qui se sont enrôlés dans l'armée, cela coûterait une fortune au gouvernement. Malheureusement, Wheaton a des supports populaires derrière lui.
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Aime-t-on le soleil ? Il est là, et nous sommes heureux qu'il nous prodigue sa chaleur et sa lumière, mais l'aime-t-on vraiment pour autant ?
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Le mariage, chez les personnes de leur rang, était décidément une chose étrange. Un peu comme l'appariement des chevaux. On prenait le meilleur étalon et la meilleure jument, en se basant sur leur lignée, puis on laissait faire la nature, en espérant obtenir des poulains dignes du sang de leurs géniteurs. C'était pareil avec les aristocrates.
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Pendant neuf ans, elle avait soigneusement évité toute fréquentation masculine pour ne pas succomber à ses désirs immoraux. Et voilà qu'elle se retrouvait assise en face d'un homme plus séduisant que tous ceux qu'elle avait connus jusqu'ici! Et qui savait exactement comment réveiller ses démons.
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Aujourd'hui, elle était bien forcée de reconnaître qu'il n'était pas le monstre qu'elle avait haï durant toutes ces années.
Certes il était arrogant, orgueilleux. [...] Il y avait du bon et du mauvais chez lui et, entre le noir et le blanc, toute une palette d'émotions grises.
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