Elizabeth Walker

Au risque de la vie est un roman à la fois d'amour et médical, on y décrit le retour à la vie d'une jeune femme plongée dans un profond comma suite à un accident. Comme de bien entendu, le jeune neurologue ambitieux qui s'occupe d'elle, bien qu'il s'en défend, tombe amoureux d'elle. le tout entremêlé d'une enquête concernant le testament du père de Célia, une enquête sur les circonstances de l'accident et de tentatives de meurtre sur la jeune femme, pour bien évidemment se terminer dans un happy end classique.

Bref, rien de bien intéressant, un livre que je laisserai sur un banc dans le métro. J'aurais mieux fait d'employer mon précieux temps à une lecture plus intéressante, j'entends par là, une lecture qui ne me laisse pas indifférente, qui m'apporte quelque chose. Ce livre ne m'a rien apporté.

J'ai lu des romans d'amour infiniment mieux écrits et plus bouleversants que celui-ci.

Je n'en retiens que trois citations que je vais écrire.

Ce roman m'a un peu moins plu que Les Fruits Sauvages de la Passion que j'avais lu précédemment. Cette fois pas de périple au cœur de l'Afrique sauvage mais une saga familiale qui voit quatre frères et sœurs se débattre pour sauver leur héritage.

une histoire de femme au destin assez exceptionnel, un personnage fort. L'auteur nous amène à Paris et ensuite en Angleterre dans les années 30 et ensuite pendant la seconde guerre mondiale.

Effectivement on ne s'ennuie pas tellement la vie de Lori est mouvementée ( orpheline, pédophilie, maltraitance, prostitution,viol, avortement, guerre, résistance...) mais n'est-ce pas trop pour une seule personne!! Un peu trop de mélodrame à mon goût mais histoire qui se lit très agréablement.

Une lecture fluide, une bonne lecture détente

c'est une amie qui m'a preté ce roman et sur le moment j'ai bien aimé ce roman.

et en fait je suis décue, c'est d'une longueur... ça part dans tous les sens, on s'embrouille avec toutes les histoires de perles et de testament,

bref je l'ai fini car je voulais voir la fin, mais franchement je suis décue... je lirais peut etre un autre roman de cette auteure mais pas celui là...

S'il y a une chose que je déteste, c'est bien que la page couverture n'ait aucun rapport avec l'histoire. Il est totalement impossible de faire un lien entre l'histoire et la couverture du livre en français. Ça m'a agacée tout le long.

Par contre, l'histoire est très bonne. On y entre facilement, même si une succession de tant de malheurs aurait probablement détruit une femme en vérité. C'est vrai: la mort d'une mère à 3 ans, être battue, violée, mal traitée pendant des années, puis être obligée de se prostituer pour avoir un toit sous sa tête, un avortement, des hommes violents, une ferme, une personne âgée qui n'a plus toute sa tête et des enfants à sa charge... Ça en fait, des épreuves. Donc, c'est irréaliste que Laura s'en sorte si bien, mais si on fait abstraction de cela, c'est un excellent roman.
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Une histoire que j'oublierai rapidement.

Dale et Lauren sont voisins et amis depuis quelques années. Dale est un coureur de jupons qui ne veut pas s'établir et Lauren est désespérément et secrètement amoureuse de lui. Jusqu'à une nuit d'ivresse alcoolique et sexuelle où tout bascule.

L'histoire au final est trop brouillonne, il y a trop de méfiance et d'ignorance entre les deux héros pour croire dans leur histoire et leurs sentiments. Les scènes de sexe sont plutôt répétitives et peu inventives, et parfois sous la contrainte, ce qui gâche un peu plus leur relation.

En guise d'introduction absolument subjective, je dirais juste que ce livre m'a fait une impression tout bonnement incroyable et m'a été aussi délicieux que son grand frère (de trente ans tout de même) Autant en emporte le vent. Publié en 1966 par Margaret Walker, il relate la vie romancée de son arrière-grand-mère qui tient le rôle du personnage principal (Vyry). L'action débute avant la Guerre de Sécession, en Géorgie et le roman s'ouvre sur la naissance de Vyry, fille d'une esclave noire et de son maître, John Morris Dutton. Esclave comme sa mère, Vyry est placée sous les ordres de Maître John et de son épouse, Salina. Dans cette famille blanche il y a Liliane, la fille, qui ressemble de manière frappante à Vyry (et pour cause !) et Johnny, le frère, tout aussi buté que son père.



On suit dans le roman non seulement la vie dans la Grande Maison (celle des Blancs) mais aussi celle du quartier des esclaves. Dans la première tout est en ordre et des domestiques attitrés veillent aux repas et au soin de l'intérieur. Dans la seconde chacun travaille (soit dans les plantations, soit dans la maison) tous les jours, sans se poser de question car cet ordre-là se perpétue depuis des générations. Mais Vyry rencontre un jour un nègre libre (entendons-nous, c'est bien un Noir circulant librement), Randall Ware, qui s'éprend d'elle et prononce un mot inimaginable "liberté". Germent à l'esprit de Vyry des lendemains tranquilles, affranchis de toute obligation mais y a-t-il seulement une once de possibilité qu'on la libère?



Commence alors, non seulement, une quête désespérée et quasi inaccessible de la liberté mais il apparait aussi une description sans concession des conditions de vie des esclaves, exploités mais aussi battus, vendus et séparés. Cela m'a tiré des larmes de voir avec quelle abnégation ceux-ci continuaient à servir leurs maîtres mais aussi de lire les descriptions de supplices de ceux qui tentaient d'échapper à leur infortune. C'est dur, c'est âpre mais la voix de Vyry est incontestablement la plus belle, la plus affirmée. Quand arrive la Guerre de Sécession, elle ne cherche pas à décamper sans demander son reste. Elle continue à veiller sur sa deuxième "famille" fidèle à une générosité sans nom.



Ce livre est puissant car il évoque la guerre mais aussi l'esclavage et surtout la vie d'après (qui n'est pas de tout repos). Le fil conducteur c'est évidemment Vyry mais aussi Randall Ware, cet amour si prometteur (il a de l'argent, une ferme, un métier). Mais il n'y a pas qu'eux et c'est tout le romanesque de cette histoire ! De la Géorgie à l'Alabama, de la guerre à la reconstruction, cette famille poursuit des rêves, des projets qui pourraient finalement se réaliser. Blancs et Noirs pourraient-il, après tout, vivre en paix et sur un pied d'égalité? Dans ce livre vous suivrez de grands destins mais aussi de cruelles désillusions car à l'époque l'impitoyable société ne fait pas de cadeau. Le charme des dialogues, les multiples personnages sont autant d'atouts qui devraient avoir raison de votre sensibilité. Et évidemment, si vous avez aimé Scarlett O'Hara, vous aimerez cette poigne de fer qu'est Vyry Brown.

Sarah vit en Angleterre et pour tous les siens , elle a tout pour être heureuse , un mari qui gagne bien sa vie , des employés de maison et deux fillettes parfaites mais que faire d'une vie oisive ? Elle rêve de peindre , de s'investir dans une association alors que pour son mari , c'est hors de question qu'une femme dans sa situation sorte sans lui . Lorsque une révolution éclate au Zimbabwe où vit sa soeur enceinte , elle part la rejoindre malgré les réticences de son époux . Dans ce pays en guerre , elle découvrira la misère , la famine , la précarité et surtout le courage de ce peuple . Sa vie va changer radicalement et elle va se remettre en question .

J'ai beaucoup aimé ce livre qui nous entraîne dans des aventures et des paysages improbables avec de multiples rebondissements ! Mi e de rien, des problématiques sérieuses y sont abordées.

Cette suite nous permet de retrouver les personnages des Fruits sauvages de la passion plusieurs années plus tard... Mêmes si trop de pistes sont ébauchées pour être toutes pleinement développées, j'ai passé un bon moment moment avec ce roman.

J'ai passé un très bon moment avec ce roman rythmé. Malgré quelques clichés et raccourcis, le style est agréable et le récit divertissant.

Voila ; je commence ma lecture ... les premières me promettent une belle histoire ... a voir

Génial très prenant

ca se lit, ça passe le temps !

Une romance Sympathique et qui se lit rapidement mais sans plus . je n'ai pas plus que sa accrocher aux personnages qui m'ont agacé même quelques fois et j'ai trouvé qu'il y avait un peu trop de scènes de sexe répétitives . Un livre qui se lit vite mais qui n'a rien d'exceptionnel .
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Des héros assez touchants dans l’ensemble. Une histoire que j’ai trouver intéressante. Les quelques dernières pages (pour ne pas dire le dernier chapitre) un peu lourdes. Entre Lauren qui hésite sans cesse à lui dire la vérité au point d’en être agaçante, et lui qui a, disons le, carrément de la merde dans les yeux… on avaient envie parfois d’être dans la même pièce qu’eux et de leurs secouer les puces. Mais un bon moment de lecture dans l’ensemble.