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Citations de Eve Langlais (18)


- Ce qu'on fait ? Je dirai que c'est évident. Nous allons rester en vie.
- Non, sans blague. Mais quel est le plan ?
(...)
- Je viens juste de te dire le plan. Ne meurs pas.
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À cet instant, tout devint clair. Il comprit notamment que quelqu'un avait effrayé sa future compagne. On ne l'avait pas seulement effrayée, mais on lui avait aussi fait du mal. Et ça, il ne pouvait pas le tolérer. Dis-moi qui je dois tuer.
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Après avoir subi la douleur et la trahison durant la guerre, tout ce qu'il souhaite, c'est se venger contre ces frères qui l'ont abandonné et laissé derrière. Mais il se retrouve déstabilisé lorsque ceux-ci préfèrent lui accorder leur pardon au lieu de le punir pour ses actes ignobles.
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Quand elle manqua de trébucher sur la dernière marche du perron, Ethan la souleva dans ses bras.

Elle eut soudain très chaud et tenta de se débattre.

— Reposez-moi par terre. Je peux marcher.

— Et moi, je peux vous porter. Vous avez quelque chose à ajouter ?

— Espèce d’homme des cavernes ! grommela-t-elle en grimaçant à cause d’un élancement dans sa boîte crânienne
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Quand la vie te fout une claque...
Relève-toi et rends-lui la pareille
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- Je n'arrive pas à croire que tu sois venu me chercher.
- Je n'arrive pas à croire que tu aies cru que je ne viendrai pas.
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La force d'un renard, c'est sa ruse.
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- Pourquoi est-ce que ta mère ne doit pas savoir que tu cuisines ?
- Parce que sinon elle va pleurer et prétendre que je n'ai plus besoin d'elle, et ensuite je devrais manger deux fois plus le mois prochain pour lui prouver que si et la dernière fois que j'ai fait ça, j'ai pris neuf kilos.
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J'ai découvert l'autrice avec sa série "Jamais deux sans trois" et bien que j'ai en horreur ce genre de romance à trois, j'avais adoré. Oui, oui chose surprenante venant de moi, qui fuis les harems et threesome. Bref. J'ai donc voulu la découvrir de nouveau et pourquoi pas dans une romance para classique ? Et bien je n'ai pas été déçue

Ici nous suivons Tammy, une jeune femme qui, a cause de son boulot dans les assurances, va ce retrouver à Kodiak Point pour enquêté sur la disparition des camions de Reid Carver.

Sauf, que son arrivée n'enchante pas beaucoup de monde, au contraire. Une humaine qui vient fourré son nez dans les affaires des metamorphes... Cest toujours délicat. Malheureusement pour Reid, cette citadine plaît un peu trop à son ours. Même s'il reste pas indifférent à cette femme au forme généreuse. Mais quand on est l'alpha, on ne peu pas s'amouracher d'une humaine, encore moins quand elle vient de la ville et ne sait rien de leur monde.

****

C'était, sans surprise, j'en très bonne lecture. Les personnages sont attachant, l'humour et l'action sont présent, comme le côté "fantastique". L'attirance de nos héros est quasi immédiate, mais c'est justifier sous le côté lien entre âme sœur, donc ça passe sans faire grincer les dents. Non, le seul point noir à noté dans cette lecture, serait la facilité avec lequel Tammy accepte le côté poilu des habitants de Kodiat Point. C'est trop facile, trop immédiat. Je veux bien qu'on s'adapte vite mais la... "t'es un ours ? OK ça me dérange pas". Par contre, gros point positif. Tammy a des formes. Elle est ronde et elle plaît dans l'instant. C'est rare, et ça fait du bien.
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Certaines personnes adorent l'été pour le soleil et la chaleur. D'autres préfèrent l'hiver pour la neige croustillante et le ski. Chris, cependant, choisirait l'automne n'importe quand. Les brises vives qui fouillent dans les feuilles colorées. Le craquement des feuilles quand il plonge dans le tas que ses frères ont fait quand c'était leur tour de les balayer. Baiser dehors sans crainte de piqûres d'insectes sur le cul. La saison de football. Oh, et sa fête préférée – Thanksgiving, avec la dinde juteuse, la farce savoureuse, le moelleux de la purée de sa mère, la délicieuse casserole de sauce et crème fouettée sur la tarte à la citrouille.
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Rolling my eyes, I again had to question why men had to be so stubborn. "Seriously, Auric, you do not want to mess with this thing."
"I've dealt with demons before," he said, pulling out a sword from behind his kitchen counter. I had to admit being impressed–his sword was long, shiny, and hard. Wait, that didn't sound right. Needless to say, he had a big one; and judging by the way he moved it, he also knew how to use it. Damn, I was even hornier than before.
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Imaginant une vie où elle pourrait utiliser son vrai nom plutôt que le nouveau Jill Smith. Une vie où elle pourrait rencontrer, peut-être même embrasser un homme et faire des plans d'avenir. La vraie liberté au lieu de cette existence cachée où personne ne pouvait connaître la vérité.
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Je devais mieux gérer le match dans ma tête. L'esprit devait prendre le dessus, et non pas l'énorme chose dans mon pantalon.
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Je suis censée être une femme mariée. Insatisfaite de sa vie conjugale ou pas, cependant, cela ne l'autorise pas à convoiter un autre.
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Les yeux sombres de la femelle exotique et sa persistante odeur oh-si-délicieuse. Malgré son statut pris, son loup gronda pour y retourner. Nôtre. C'est peu probable. La femme était mariée ce qui signifie hors limites. En dehors des limites. En aucune manière, pas de comment.
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Sa vie conjugale lui convenait parfaitement, d’autant plus que ses hommes avaient fini par apprendre à partager. Même si les occasions de se chamailler ne manquaient pas, elles s’achevaient en général très rapidement dès qu’elle déclarait doucement :
— Si vous continuez, je me masturberai toute seule, ce soir.
Ils modifiaient alors instantanément leur attitude.
Naomi avait tellement raison à propos des ménages à trois. C’est nettement plus commode d’avoir deux hommes plutôt qu’un seul.
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Naomi l’interrompit en lui lançant un regard glacial en complète contradiction avec son entrejambe en fusion. Elle s’efforça de rester en colère, ce qui se révéla nettement plus difficile que prévu face à une montagne de muscles de près de deux mètres dix. Les traits anguleux de son visage taillé à la serpe auraient dû la rebuter tant ils manquaient de délicatesse et de raffinement mais, au contraire, elle fut passablement intriguée par sa mâchoire carrée, son nez de travers, son regard doux encadré par d’épais cils noirs et l’anneau doré dans son oreille que révélait sa coupe en brosse militaire.
Quant à son corps, il se tenait trop près d’elle pour qu’elle puisse le reluquer, mais, grâce au match de crosse, elle l’imaginait parfaitement, avec ses épaules extrêmement larges, sa taille fuselée, ses cuisses puissantes et ses fesses en acier. Je me demande si son engin est à l’avenant. Elle se mordit la lèvre. Je me fous de savoir à quoi il ressemble. Cet homme de Neandertal n’est pas mon âme sœur.
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—Cesse de le chercher. Mitchell, ne fais pas attention

à ce qu'il raconte. Francine ne l'intéresse pas du tout. C'est

juste pour t'emmerder. Il est très doué pour ça.

— Calomnies ! répliqua-t-il d'un air faussement

indigné.

— Que tu dis.

—Oh, je ne parlais pas du fait de vouloir l'emmerder.

Ça, je ne le nie pas. Mais laisse-moi te dire que Francine

m'intéresse au plus haut point. Assez pour que je fasse

quelque chose que je n'ai encore jamais fait, annonça

Alejandro. J'ai rencard avec elle.

Sa remarque fut accueillie par un silence de mort.

Javier chuchota :

— Oh, merde. Il est sérieux. Naomi, il faut que tu

l'en empêches. S'il sort avec Francine, ça signifie qu'il

ne partira plus jamais et que je devrai le supporter (il

déglutit) presque tous les jours.

Naomi, qui était passée à l'ennemi, se mit à frapper

dans ses mains.

—Oh, ce serait génial ! J'ai toujours trouvé qu'Alejandro

était le plus drôle de tes frères.
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