Citations de Fabien Vehlmann (248)
"_Ça fait des jours que t'arrêtes pas de r'garder tout l'temps derrière nous en poussant des cris flippants !
_HAAN !
_Ben, tu sais quoi ? Ça me stresse ! Voilà, chuis stressé !! Alors, tu fais u effort pour m'expliquer c'qui t'fait peur, ou sinon j'reste par terre pour toujours !!
_POF !"
"_Cette nuit, j'ai rêvé que j'avais retrouvé mon arme.
_Tu parle de quoi ?
_D'un revolver que j'ai eu assez longtemps...avant qu'Achille, un guerrier de Néosalem me la prenne.
_Oh...et cette arme, tu l'as beaucoup utilisée ?
_A peine une ou deux fois en fait ! Mais elle me rassurait."
Ah mais non ! Les zombie c'est pas censé couriiiiiiiir !
...Et c'est hyper dur de garder l'équilibre avec un seul bras !
- Venez visiter le plateau ! Vous allez adorer ! Il s'agit d'un film sur le nazisme, une œuvre très politique, très profonde...
- Ah tiens, comme dans l’album d’Émile Bravo...
- Oui c’est drôle, un de nos auteurs fait de même dans le journal en ce moment !
—Mon pouvoir, c’est d’me faire bouffer par des monstres ? Mais c’est… c’est…
—Complètement con, tu peux le dire !
En même temps, ça me rend un peu triste, j’ai l’impression d’avoir perdu mon âme d’enfant : quand j’avais l’envie sincère d’être une personne entière, qui dit la vérité, qui ne cache aucun sombre secret…
Ce qui me fascine avec l’orgasme féminin, c’est la manière dont il m’échappe. Je n’arrive pas à le saisie, à le définir, à l’encercler si vous voulez.
[…]
Un grand nombre de femmes que j’ai vu jouir devenaient soudain silencieuses, presque immobiles, leur corps n’étant plus qu’une sorte de longue tension, une vague, quelque chose de très diffus. Elles me donnaient l’impression de se tenir dans l’œil du cyclone, ce moment étrangement calme et trompeur qui peut laisser croire que la tempête s’est achevée.
Je ne suis d’ailleurs jamais complètement sûr que cet orgasme ait vraiment eu lieu. Parce qu’il se passe ailleurs, loin des hommes.
QUEL CON, JE FAIS… JE PENSAIS… MÊME PLUS À TOI …
J’AI L’HABITUDE, M. LEGOFF… À FORCE DE FAIRE TOUT CE QU'ON ME DEMANDE, JE FINIS TOUJOURS PAR DEVENIR INVISIBLE.
"NAN, PARCE QUE MOI, AVANT, J'CONNAISSAIS RIEN À TOUT ÇA ! JE VENAIS D'UNE FAMILLE DE PAYSANS QUI N'AVAIENT AUCUNE ÉDUCATION, NI AUCUN SENS POLITIQUE."
POUR TE DIRE, QUAND LA GUERRE A ÉCLATÉ, MON PÈRE A DIT À MON FRÈRE DE REJOINDRE L'ARMÉE FRANÇAISE... ET À MOI D'AIDER LE FLN ! POUR PAS
AVOIR À CHOISIR ! T’IMAGINES ÇA ?!
ALORS FORCÉMENT, À LA LIBÉRATION, MON FRÈRE A PAYÉ À NOTRE PLACE, ET TRÈS CHER… ET ÇA A ÉTÉ MOI LE "CHANCEUX"
Je veux dev… Je veux pas devenir comme lui !… J’veux pas devenir comme lui, putain !
-Elle a dû penser que si Anton avait pu disparaître des Limbes, alors toi aussi tu pouvais subir ta mort dernière ! Et que même si elle échouait cette fois-ci, elle reviendrait encore et encore, jusqu'à parvenir à te tuer définitivement. Et sans doute a-t-elle raison, Saul...car qui peut prétendre échapper pour toujours à sa propre fin ?"
"_Gouverner par la peur est une stratégie dangereuse, Saul.
_Seulement si elle n'est pas accompagnée de justice. Et je serai juste avec mon peuple."
Avant ça, l'événement le plus audacieux de toute ma vie, ça a été mon homélie "les touristes ont-ils une âme?", qui m'a valu d'être presque renvoyé par le diocèse. Tu imagines ?...
Mais des "trous de l'enfer", c'est comme des "brèches de Roland" ou des "cols de l'homme mort" !!! Il y en a mille au kilomètre carré, nom de nom !!!
- Oui enfin, votre énervement prouve que vous êtes déstabilisé par mes arguments.
- Si vous continuez, je vous promets que c'est votre grand nez qui va être déstabilisé par ma grosse main.
Mais ils me détestent tous, ici!
Au village, même les autres roux me jettent des pierres !
Je suis l'âme de la grande demeure... Fantôme insaisissable, j'ai assisté à tout. Mes murs ont été les témoins de tant d'événements étranges, ridicules ou sordides... J'ai vu tant de destins brisés ! Et tout ce sang versé. A y bien regarder, mes parquets doivent en être recouverts.
[...] Vous souhaitez en savoir plus ? Alors il faut pénétrer dans le Club, monsieur. Veuillez me suivre, nous allons entrer dans le grand salon. C'est toujours là où tout commençait.
- t’as déjà vu un 1er ministre qui tient ses promesses, toi ?
- sauf que celui-là, il vient du Front National, ça va peut-être changer les choses, on sais pas.
- ah ça, pour ce qui est de changer… ça peut toujours être pire, c’est sûr.
Des muscles en trop ? C'est le Steven Seagal des cigales !
Boula, ça va pas mieux avec les jeux de mots pourris, Francoise ...
Désolée, 15 ans de piges à Libé et au Canard Enchaîné, ça vous bousillé le cerveau.
Tu réfléchis toujours de manière aussi binaire qu'avant !
-Tu connaissais ce pilote épatant ?
-Mais oui, c'est la poule à Camille !
Tiens, tiens... Mais que viennent de dire ces deux spectateurs dans la foule enthousiaste ? ... Voilà qui donne une nouvelle idée à nos deux amies !