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Critiques de Fernando Aramburu (122)
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Oiseaux de passage

Dans Oiseaux de passage, son quatrième livre traduit, il explore avec le même regard affûté l’intimité d’un homme en parfait décalage avec son époque.
Lien : https://www.lemonde.fr/criti..
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Oiseaux de passage

Dès la lecture du premier des 12 chapitres que compte le nouveau roman de Fernando Aramburu ( connu pour "Patria" en 2018), l'impression de lire le grand livre d'un grand écrivain est immédiate et cette impression ne nous quitte jamais durant plus de 600 pages ( oui, c'est gros, c'est lourd car un grand format de chez Actes-Sud, c'est dense mais, c'est tellement prenant que l'on oublie tout de suite ce qui peut apparaître comme un frein à lecture).

Là où l'on reconnaît le talent d'un grand écrivain, c'est comment avec un sujet peu vendeur ( les derniers mois d'un cinquantenaire madrilène, divorcé et vivant seul avec son chien), en quelques lignes, il attrape son lecteur pour ne jamais le lâcher. Toni, le personnage principal et narrateur, a beau être misogyne, pas réellement sympathique, râleur, un peu vieux con, sexuellement insatisfait, perdu dans un monde moderne qui le dépasse, jamais on n'a envie de l'abandonner, ni même de lui tordre le cou. La plume d'Aramburu sait le rendre profondément humain et lui donner un vrai regard, une intensité réelle, un savant mélange d'humour grinçant, de cynisme, de désarroi. Nous sommes, pour situer l'esprit du roman, avec une sorte de personnage à la Houellebecq ( mais de ses débuts, du temps où il était encore fréquentable) qui va nous faire observer avec encore beaucoup plus d'aisance et d'intelligence décapante que l'auteur français, une réalité contemporaine à la multiplicité désarçonnante. Sans beaucoup de péripéties, mais avec un sens du détail, de la construction dramatique formidable et l'ajout de quelques personnages secondaires particulièrement bien vus ( une ex-femme détestée, un ami tout aussi perdu que lui, un fils pas tout à fait fini, une ancienne fiancée collante et une poupée en silicone), "Oiseaux de passage" passionne, divertit, surprend comme peu de romans actuels arrivent à le faire et surtout jamais vouloir être moralisateur ou donneur de leçon. Comme tous les très bons livres, on en ressort heureux parce que l'on a été bousculé, dérangé, ému, étonné, amusé mais aussi et surtout, on a une vision du monde un poil enrichie. Un grand roman vous dis-je !
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Oiseaux de passage

Une vraie belle surprise. Je ne connaissais pas du tout la littérature espagnole mais ce livre me donne vraiment envie d’en découvrir plus. Toni est tour à tour drôle, touchant, agaçant et au final très humain. On découvre aussi l’histoire moderne de l’histoire, la cicatrice profonde laissée par le francisme ou encore l’impact des événements recents en Catalogne.
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Oiseaux de passage

Enfin terminé après 617 longues pages ! Je suis passée complètement à côté de ce roman et Toni, qui peut être parfois touchant, m’a dans l’ensemble beaucoup agacée avec son cynisme auquel personne n’échappe. À plusieurs reprises, je me suis dit que j’aurais bien aimé que l’histoire soit aussi racontée par d’autres membres de son entourage, notamment Amalia ou Agueda. Les pauvres, elles ne sont pas épargnées ! Finalement, c’est Tina, sa poupée en latex, qui se voit la plus protégée : ce personnage donne par ailleurs lieu à une scène comique mémorable.

Quant à la fin où dominent enfin les grands et beaux sentiments, je la trouve un peu facile.
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Oiseaux de passage

Un quinquagénaire qui a programmé sa mort se confie. Acide et cocasse.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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Oiseaux de passage

Six ans après le succès de Patria, l’écrivain basque Fernando Aramburu signe un roman-fleuve sur le désenchantement au monde d’un antihéros.
Lien : https://www.la-croix.com/Cul..
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Oiseaux de passage

Je viens de passer une semaine auprès de Nino, Pattarsouille, Agueda ou encore la chienne Pepa pour mon plus grand plaisir !

Ce roman est une belle réussite, dense et assez long certes, mais toujours prenant et très intelligent.



Nino, le personnage principal, est un homme d'une cinquantaine d'années qui prévoit et programme sa fin. Il ne souhaite pas s'attarder sur terre plus que nécessaire et préfère partir dignement, tant qu'il en est encore temps.

Pas très drôle me direz vous, et pourtant le roman est foisonnant et jamais ennuyeux.



Le roman est découpé en 12 parties représentant chacune un mois d'une année (on commence en aout pour finir en juillet), ces 12 parties sont elles-mêmes composées de plusieurs sous chapitres numérotés.

Le contenu de ces sous chapitres numérotés, ce sont des tranches de vie de notre héro (ou plutôt anti-héro) qui vont de son enfance à l'heure actuelle, et qui ne suivent absolument pas l'ordre chronologique.



Cela peut sembler risqué, on pourrait se perdre mais pas du tout. Toutes ces scènes, ces épisodes distincts finissent pas former un tout cohérent, une vue d'ensemble de la vie de Nino parfaitement claire.



L'écriture est impeccable, les remarques sur la vie incisives et si j'avais voulu publier toutes les citations qui m'ont interpellée, j'aurais passé mon temps à recopier une partie du livre.



Un sujet à priori pas facile mais traité avec beaucoup de délicatesse et d'humour. Un livre plein de tendresse dont j'ai particulièrement apprécié la fin.



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Oiseaux de passage

Oiseaux de passage est un roman cru et dur, publié 5 ans après l’énorme succès de Patria.



C’est un roman ancré dans un pessimisme existentiel viscéral, les personnages sont des anti héros, ils sont antipathiques. Le roman déborde d’humour très noir.



J’ai bien aimé cette lecture avec l’écriture si limpide d’Aramburu, sans aucun pédantisme et avec un regard au scalpel envers le quotidien et le contemporain. Il y a foule de situations décrites avec un tel réalisme, qu’il est impossible de ne pas s’associer à quelques unes. Aussi, il y a des réflexions sur des sujets divers comme la philosophie, la famille, le mariage, les enfants, l’éducation, l’amitié, la violence, les temps durs, la maladie, etc.



Un sacré bouquin avec un seul détail qui m’a gêné : les sauts temporels permanents qui font perdre la concentration. J’ai trouvé que c’est un ouvrage à lire avec parcimonie.



Le livre a le format d’un journal avec 12 chapitres et 365 sous chapitres qui correspondent à 1 an de la vie de Toni, le protagoniste de 54 ans, entre août 2018 et le 31 juillet 2019. Toni écrit ce journal pour lui même.

Car Toni, comme les oiseaux de passage du titre, voudrait tellement pouvoir voler afin de ne pas se mélanger à ses contemporains. C’est un être complètement négatif, misogyne, solitaire, malheureux; ses pensées sont un désenchantement permanent fait de mesquinerie, de haine, de sarcasme et de cruauté.

Il a un seul ami, c’est Patachula, lequel a perdu un pied lors de l’attentat de Madrid.

Toni croit uniquement en Patachula, dans les oiseaux de passage, dans sa chienne Pepa et dans sa poupée sexuelle Tina.

Patachula est un personnage omniprésent : grande gueule ayant un avis sur tout, avec des hauts et des bas dans sa vie difficile, mais c’est quelqu’un de vital dans la vie de Toni.



L’histoire est racontée à la première personne et se passe à Madrid. C’est le journal de bord pendant un an d’un candidat au suicide. Dans le journal il étale ses souvenirs et le détail de sa vie quotidienne. Mais sur le fond, le roman est très riche en thèmes (cf plus haut).
Lien : https://pasiondelalectura.wo..
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Oiseaux de passage

Après la lecture du formidable Patria, consacré aux séquelles de la lutte armée au pays basque espagnol, voici les 600 pages d’Oiseaux de passage, la biographie d’un cinquantenaire décidé à consigner jour après jour les détails de sa vie jusqu’au moment où il se suicidera, puisqu’il s’accorde le délai d’un an pour mettre en ordre les morceaux épars de son existence.

Toni est habité par le sentiment de ses échecs et ravagé par un quotidien qui ne lui accorde plus grand plaisir, mais frustrations et humiliations. Son mariage avec la talentueuse Amalia, présentatrice à la radio, s’est achevé quand elle a décidé de vivre au grand jour son homosexualité et divorcé. Leur fils Nikita a été confié à la garde de sa mère, mais son éducation – ou absence d’éducation – en a fait un adolescent, puis un jeune adulte sans repères. Quant à son métier de professeur de philosophie, Toni le vit comme une contrainte essentiellement alimentaire. Pourquoi tenir à la vie quand elle vous envoie sans cesse dans des impasses ? Seuls réconforts sur ce chemin de solitude, l’affectueuse Pepa, sa chienne, et Pattarsouille, le copain d’enfance estropié par les attentats de la gare d’Atocha, à Madrid, en 2004.

Ce gros, gros roman a l’ambition de faire le portrait d’une Espagne au bord de la crise de nerfs, pour paraphraser le film jubilatoire de Pedro Almodóvar. Déliquescence du système éducatif, familles éclatées, dangers du séparatisme, franquisme, misère sexuelle, démence sénile, EHPAD, attentats terroristes, complaisance des médias, féminisme post-♯MeeToo, vous trouverez tout sur l’époque. Hélas, tout finit par devenir trop. Toni tient beaucoup d’un atrabilaire qui ne voit le monde que par le petit côté de la lorgnette. Il ronchonne, critique, rouspète, soupire, déplore sans jamais sortir de sa condition de mâle blessé. Le récit se transforme en une longue plainte qui devient presque dérisoire face à l’apathie du protagoniste principal. Le lecteur est saisi de l’envie irrépressible de saisir notre homme par les revers de sa veste et de le secouer un bon coup.

Là où un Eshkol Nevo réussissait à nous embarquer dans La dernière interview avec humour et dérision de soi, Fernando Aramburu nous tire sans cesse par le paletot et on finit par y aller un peu à reculons. Dommage, le roman aurait gagné à être allégé pour nous emmener avec les oiseaux de passage – les martinets qui veillent sur Toni – dans les cieux enfin dégagés de sa crise existentielle.

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Oiseaux de passage

Désenchanté et lucide face à ses échecs,un prof de philo madrilène décide de quitter le monde.Il consigne durant une année les étapes et souvenirs de son parcours et fixe la date de sa mort volontaire. Dit comme ça,cela incite peu à ouvrir ce pavé de 600 pages.Mais, dès les premières lignes,l'écriture de Fernando Aramburu s'impose avec maestria.Le personnage principal,pas attachant,est quelquefois agaçant dans ses convictions.On déroule pourtant avec lui la pelote de sa vie : son petit monde dans le grand monde,son regard lucide et désabusé sur ses contemporains et son projet funeste.Mince, il en faut du talent pour en parler si justement !

Faussement triste ou désespérément gai,ce livre est un miroir déformant,une boule à facettes,les reflets changeants de la condition humaine qu'il décrit avec un humour noir réjouissant.
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Oiseaux de passage

Ce journal d’un suicidaire, par Fernando Aramburu, est un livre plein de surprises
Lien : https://www.lesoir.be/491339..
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Oiseaux de passage

ET BAM!



La grande surprise de ce début d'année !



D'une écriture fluide, généreuse et percutante, Fernando Aramburu signe avec Oiseaux de passage un roman intime et universel. Avec un humour décapant, l'auteur jette un regard sans filtre sur les désillusions de Toni, un quinquagénaire qui semble avoir un bien funeste projet pour l'année à venir. A moins que...



A moins qu'il ne trouve dans les yeux pétillants de sa chienne Pépa, dans les bons mots cinglants de son ami Pattarsouille, ou encore dans le retour des martinets dans le ciel madrilène, d'innombrables raisons de réenchanter sa vie.



Une authentique réussite, un très grand roman.



Bravo Monsieur Aramburu.
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Oiseaux de passage

Haine de soi et du monde, les 12 mois d’un misanthrope qui a décidé d’en finir avec la vie à la fin de l’année.



Un livre que j’ai trouvé trop négatif, mais peut-être n’étais-je simplement pas d’humeur à apprécier car je n’y ai pas trouvé la comédie annoncée.

J’ai abandonné lorsque le héros, qui se plaint de son ex-femme, vante les mérites d’aller aux putes, puis ceux de la poupée gonflable pour remplacer les femmes dans sa vie.



Peut-être les chapitres suivants auraient-ils amené une réhabilitation, mais je ne me suis pas rendue jusque là. Désolée !

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Oiseaux de passage

Difficile de ne pas sauter des pages ou de lire en diagonale tant tout est pareil même si c'est très bon. L'auteur nous livre des vérités lucides sur l'existence mais pourquoi plus de 600 pages. Il aurait pu continuer ou abréger, ce qui n'aurait sans doute pas été plus mal.
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Oiseaux de passage

À Madrid, de nos jours. le personnage principal de "Oiseaux de passage", professeur de philosophie désabusé, prend la décision de se suicider un an plus tard. Il lui reste 365 jours pour coucher sur le papier, au quotidien, le bilan de son existence.



Son journal intime tresse ainsi, à la première personne, le passé et le présent de notre homme : des parents peu aimants, une ex-femme décrite comme une vipère, un fils peu dégourdi, sa douce chienne Pepa, un frère cadet dont il a toujours été violemment jaloux, son meilleur ami Pattarsouille, ses flirts ou encore Tina, une poupée érotique en latex made in Japan qu'il oublie parfois de planquer dans son armoire quand il a de la visite. Fil rouge de ses aventures : des messages anonymes – tantôt cocasses, tantôt inquiétants – régulièrement déposés dans sa boîte aux lettres 🤨



Tour à tour féroce, poignant et drôle, ce récit-confessionnal très païen d'un fétichiste des pieds féminins nous amène au plus près de la vérité intime d'un quinquagénaire un peu perdu, nihiliste et (très) attendrissant.



À travers ce portrait formidablement construit, Fernando Aramburu ne propose rien de moins qu'une fresque de notre société contemporaine et une réflexion sur la condition humaine. Il s'agit aussi, en filigrane, d'un hommage poignant à la littérature et, à mon avis, d'un très beau roman sur l'amitié.



Nous ne sommes qu'en avril mais je sais déjà que "Oiseaux de passage" fait partie de mes plus réjouissantes lectures 2023 !
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Oiseaux de passage

Avec une tragicomédie libre et ventrue, Fernando Aramburu nous livre la chronique d'un suicide annoncé.
Lien : https://www.ledevoir.com/lir..
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Oiseaux de passage

On s’est laissé dire que ce roman était drôle, très drôle. Et comme ce type de livres se fait d’ordinaire plutôt rare, on n’a pas résisté à la tentation de le lire. Si on a rigolé ? Pas vraiment. Souri, oui, mais pas ri. Ou si peu.
Lien : https://www.journaldequebec...
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Patria

"Il n'y a que trois solutions. Tu paies, tu te barres ou tu prends des risques. (P. 54)

...L'ETA, organisation d'inspiration marxiste à ses débuts est devenue progressivement une organisation terroriste, exécutant violemment tous ceux qui refusaient de se plier et de payer l'impôt révolutionnaire...Une guerre entre basques, une guerre dans laquelle familles de victimes et familles de terroristes vivaient côte à côte dans les mêmes rues et villages .

Un matin, parce que tu es chef d'entreprise, que tu as sans doute des moyens financiers, tu reçois une lettre expédiée par "Monsieur OXIA"...une lettre qui demande de l'argent, qui exige cet impôt ....dorénavant on ne t'oubliera plus..tu es inscrit...tu sais ce qui t'attend si tu refuses de t'y plier : la suite t'appartient....

Ainsi côte à côte vivent des familles de tueurs, des familles qui ont payé cet impôt et des familles de victimes.

Patria est ainsi une fresque romanesque mettant en scène des hommes, chefs d'entreprise, des pères, des mères, des frères et sœurs de victimes mais aussi de tueurs vivant dans les même villes et villages, des basques contraints à choisir leur camp et ainsi à en assumer les conséquences au quotidien, et accepter de devenir un tueur ou une possible victime...conséquences d'un choix qui se manifesteront encore une fois que l'ETA aura abandonné sa lutte.

Un titre sans véritable chronologie...un titre qui fut, en ce qui me concerne un vrai coup de coeur....pas toujours facile cependant

Un titre sans prise de position politique de l'auteur, qui retrace ainsi une partie de l'histoire du peuple et du pays basque au travers d'un récit qui ira explorer les conséquences d'une décision qui brisera à jamais les relations et la vie de deux familles amies à l'origine, celle du tueur et celle de la victime

Oui, Patria est un titre qui ne peut laisser indifférent, qui pose tant de questions, une agréable leçon d'Histoire de la société espagnole de l'après franquisme mais aussi et surtout une réflexion sur les conséquences familiales et humaines d'une décision, d'un choix politique.

La construction en chapitres courts, non chronologiques , alternant les époques, les lieux et la vie des deux familles, celle du tueur et celle de la victime, est parfois déroutante mais ce puzzle est agréable, mais doit s'apprécier dans la calme
Lien : https://mesbelleslectures.co..
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Patria

Roman prenant sur le pays basque espagnol pendant les années sanglantes de l'ETA, quand deux familles se divisent et qu'il y a des victimes des deux côtés.

Ce roman s'évertue à donner le point de vue de ces victimes.
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Patria



Dans un petit village du pays basque espagnol où les gens vivent en bonne intelligence , deux familles se trouvent séparées lorsque le fils de l'une devenu militant de l'ETA est mêlé à l'assassinat du père de l'autre . Dés lors l'ancienne amitié , les services rendus dans le passé sont oubliés et remplacés par une haine qui les empêchent de se parler . L'ETA qui naquit en réaction au franquisme perdure bien longtemps après la mort de Franco et la police se trouve toujours du même coté , au service de nouveaux maîtres ( néo franquistes ) qui laissent empirer la situation et ferment les yeux sur les exactions policières et les agissements du GAL .



Les événements de cette histoire nous sont montrés à travers les vicissitudes et ressentis des

habitants du village tous aussi humains les uns que les autres mais assujettis à l'opinion des autres villageois . Des vies brisées par des revendications politiques qui les écrasent et finiront au fil des ans par s'oublier .
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