Citations de Frances Hodgson Burnett (205)
–Oh, Sara, c'est comme un conte de fées!
— Mais c'est un conte, en effet! dit Sara. Tout est un conte.
C'est plus fort que moi, il me faut imaginer des histoires et, si je ne le faisais pas, je crois que je ne pourrais plus vivre.
– Est-ce que je te plais ? demanda-t-elle.
– Oui, répondit-il avec chaleur, et rudement ! tu me plais tout à fait, et au rouge-gorge aussi, je crois.
Elle s'en alla rayonnante, après avoir donné à Mary son déjeuner. Elle allait faire huit kilomètres sur la lande jusqu'à sa chaumière, pour aider sa mère à faire la lessive et le pain pour la semaine : tous les plaisirs à la fois !
toi et moi, nous nous ressemblons assez, dit-il. Nous sommes taillés dans la même étoffe – pas beaux, et pas plus aimables que beaux. nous avons le même fichu caractère, j’en réponds.
Un jour viendra où les gens en auront assez, et ceux qui ont été écrasés par tous ces aristocrates se soulèveront, et les ficheront en l'air, ces comtes et ces marquis, et toute la clique ! Ça va venir, ils peuvent s'y attendre !
Enfant de la rue depuis toujours, mais n'ayant jamais été un mauvais garçon, il rêvait d'une existence plus régulière.
En conséquence, on avait négligé beaucoup de choses auxquelles il aurait fallu remédier, et tout était allé de mal en pis.
Mais soyez seulement bon, mon chéri, soyez courageux, bienveillant et sincère. Ainsi vous ne blesserez jamais personne, ainsi vous pourrez aider bien des gens, et ce monde deviendra peut-être meilleur parce que mon enfant a vu le jour! C'est le plus important de tout, Ceddie: que le monde devienne un peu meilleur - si peu que ce soit - parce qu'un homme y a vécu.
Chérie dit que c'est la vraie façon d'être bon: ne pas penser à soi, mais aux autres.
Oui, c'était un long voyage, dit Cédric, mais Chérie, ma maman, était avec moi, et je ne me sentais pas abandonné. On ne se sent jamais abandonné quand votre maman est avec vous...
N'ayez pas peur de vous appuyer, disait-il en haletant. Tout ira très bien si... si le chemin n'est pas trop long...
Bien sûr, on est toujours content de trouver quelqu'un qui ressemble à son père, mais on aime aussi la figure de son grand-père, mais on aime aussi la figure de son grand-père, même s'il ne ressemble pas à votre père! Vous savez qu'on admire toujours les siens!
Si le château ressemblait à un palais de contes de fées, il faut reconnaître que le petit Lord Fauntleroy avait quelque ressemblance, en plus petit, avec le Prince charmant, bien qu'il n'en eût pas du tout conscience, et fût peut-être un peu trop solidement bâti pour incarner ce personnage de contes.
- Combien y a-t-il depuis la grille d'entrée jusqu'au château?
- Entre trois et quatre milles, répondit l'avoué.
- C'est habiter bien loin de sa porte d'entrée!
On se souvient toujours des gens qui vous ont fait du bien.
Et maintenant qu'il était vieux, toute cette vie de plaisir ne lui avait laissé qu'une mauvaise santé, de l'aigreur, et un dégoût du monde, que le monde lui rendait bien.
Un grand changement s'est produit dans la vie de votre fils, qui désormais détient entre ses mains un pouvoir considérable.
Même dans la première excitation de la victoire, il se rappelait que le perdant pouvait ne pas être aussi joyeux que lui, et se complaire à l'idée que, dans d'autres circonstances, il aurait fort bien pu être le gagnant.
- Je ne vous reverrai peut-être plus de longtemps, et cela me peine d'y penser.
- Les meilleurs amis doivent se quitter un jour!