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Citations de Françoise Giroud (452)


" Le monde est assis sur un volcan, dit-il, et personne n'a la moindre recette pour empêcher l'éruption qui sera terrible. Alors il ne faut avoir qu'un souci, qu'un projet : être heureux aujourd'hui et si possible encore demain !"
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"C'est ce qu'on appelle vieillir. Voir une porte, deux porte, trois portes se fermer devant vous sur le chemin de la vie."
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il y a des vieux cons qui font des découvertes, objecta Denis le Petit.
- Alors ils inventent des bombes qui tuent, des défoliants qui assassinent la nature, des hormones de croissance qui détruisent les enfants, et ils gagnent énormément d'argent avec ça... Ils se vendent aux laboratoires...
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Difficile de raconter "rien", une émotion seulement créée par l'imagination...
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Les intérêts composent toujours, c'est vrai, mais pas les passions...
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((...) Laissez chacun juger ce qui l'aide à vivre...)
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Que les deux compartiments de sa vie puisse communiquer lui faisait manifestement horreur ; l'idée qu'ils ne soient étanches, que des deux Denis, l'un doive finir par tuer l'autre, le ravageait. Mais auquel allait il donner cette autorisation ?
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On s'en fout que tu sois juif ou iroquois ! D'ailleurs, qu'est - ce que ça veut dire, aujourd'hui ? Ce n'est ni glorieux, ni honteux, ni même dangereux...
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C'est elle qui secrétait sa solitude, parce qu'elle n'avait plus de désirs.
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S'il avait bien vécu ces années d'exil aux États Unis et en Grande Bretagne, c'était clairement, il l'avait compris, parce que là il était normal qu'il soit l'Etranger. Alors que se sentir étranger en France lui était odieux.
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C'est à une certaine idée de l'Homme qu'il faudrait essayer d'être fidèle, et ensuite, selon les situations, appuyer ceux qui travaillent à la faire triompher.
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Et puis, tout en paraissant la rechercher, je fuyais comme toujours l'intégration à un milieu, à un groupe, à la société.
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Je ne suis pas de nature expansive, et plus je suis émue, moins je parle.
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L'avenir, c'est une notion inconnue de ceux qui se battent tous les jours avec le présent pour garder la tête hors de l'eau.
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Être libre, c'est aussi pouvoir se passer des autres.
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Si l'on me demandait aujourd'hui : "Qu'avez-vous fait de votre vie ?", je répondrais : "J'ai compris les autres". Ou, du moins, j'ai essayé...
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C'est une question grave de savoir jusqu'où on peut aller quand on écrit. Je ne suis pas une enragée de la vérité avec majuscule. Je sais, comme Renan, qu'elle est souvent triste et surtout qu'elle a comme les oignons, dix-sept pelures. En tout cas, chaque être humain, du plus humble au plus illustre, a droit à sa part d'ombre.
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Elle marchait dans les rues d'Alger noires de monde ,humant l'air enfievré de la ville où venait d'avoir lieu une manifestation .Elle s'assit un moment à la terrasse d'un café pour observer la foule,commanda un rafraîchissement.
Soudain une déflagration déchira l'air.Il y eut des cris ,des hurlements,du sang .Quand on ramassa Marine Aubier ,elle avait cessė de vivre.Elle avait quarante ans.( page 191).⭐⭐⭐
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--Je n'en ai pas envie, disait Marine.Igor,c'est mon père, ma mère ,mon frère, mon enfant... Je n' ai que lui au monde.J' ai besoin de la sécurité qu'il me donne.J'en ai tellement bavé, Natacha,si tu savais.....
--tu ne racontes jamais rien.
--Un jour ,je te raconterai....
--Qu'est-ce qu'on t'a fait ?On t'a tondue? --
--oui.
--Tu as eu faim?
--A en devenir folle.Le plus dur ,ce sont les crampes.
--On t'a violée?
--Non.Ce n'était pas le genre.On m'a fait défiler nue devant un dentiste qui examinait les mâchoires comme un maquignon pour repérer les couronnes en or qu'il prélèverait quand nous serions mortes....On m'a fait travailler les pieds nus dans la neige....On m'a fait courir jusqu'à ce que je tombe parce que mes jambes étaient enflées....Grâce à une camarade,je me suis relevée..... sinon,je ne serais pas là pour te parler.Les autres qui tombaient étaient embarquées immédiatement vers les chambres de la mort.On m'a battue,on m'a ......Ah! laisse ,Natacha.Je n'ai pas envie de raconter davantage.
Cette nuit -là ,Marine ,fit comme souvent d affreux cauchemars.( page 96) .
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Ne te courbe que pour aimer.
Si tu meurs,tu aimes encore...
René CHAR.

--1--
Le bruit d'une automobile les Alerta. Puis celui des portières claquant dans la nuit.Gestapo?Des Allemands en tout cas.Ils étaient seuls à circuler en voiture.
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