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Citations de Frank Herbert (1195)


L'univers ne menace ni ne promet. Il contient des choses qui échappent à notre influence : la chute d'un météore, l'éruption d'épice, la vieillesse et la mort. Telles sont les réalités de l'univers et il faut les affronter sans se soucier de ce que l'on ressent à leur propos. On ne peut les écarter par des mots. Elles n'auront pas de mots quand elles viendront à vous et alors, alors vous comprendrez ce que l'on entend par "la vie et la mort". Et comprennant cela, vous serez plein de joie.
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C'est une situation commune dans notre univers que celle d'un peuple important maintenu sous la coupe d'une force réduite mais puissante. Et nous connaissons les conditions majeures qui conduisent le peuple à se tourner contres ses maîtres :
La première : lorsque ce peuple de trouve un chef. C'est la menace la plus fréquente contre le pouvoir et celui-ci se doit de contrôler les chefs.
La deuxième : lorsque le peuple prend conscience de l'existence de ses chaînes. Il faut que le peuple demeure aveugle et muet.
La troisième : lorsque le peuple discerne un espoir de pouvoir échapper à ses entraves. Il faut qu'il ne puisse même l'imaginer !
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"Les gouvernements s'érigent et s'effondrent pour des raisons qui semblent insignifiantes, Prince. Des évènements si mineurs ! [...] Ce ne sont pas toujours les soucis majeurs des ministres impériaux qui dessinent le cours de l'histoire, pas plus que ce ne sont les gestes des pontifes qui dirigent les mains de Dieu."
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"Les Bene Gesserit disent qu'il n'existe rien de stable, rien d'équilibré, rien de durable dans l'univers, que rien ne demeure en son état et que chaque jour, et même chaque heure, amène un changement"
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"Le peuple s'attend toujours au pire de la part des riches et des puissants, Sire. On dit qu'il est facile de déceler un aristocrate car il ne révèle que ceux des ses vices qui le rendront populaire"
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"Les Constitutions sont l'aboutissement ultime de toutes les tyrannies, reprit Paul. Elles organisent le pouvoir sur une vaste échelle afin qu'il ne puisse être renversé. La constitution n'a pas de conscience. C'est la mobilisation du pouvoir social. Elle peut briser le plus grand comme le plus petit, balayer toute dignité, toute individualité. Son point d'équilibre est variable et elle ne connaît pas de limitations. [...]"
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Nous savons que ce moment de suprême puissance portait en lui le germe de son anéantissement et nous ne pouvons en déduire qu'une chose : toute divination absolue et précise est mortelle.
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On ne peut comprendre un processus en l'interrompant. La compréhension doit rejoindre le cheminement du processus et cheminer avec lui.
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Ils ont conclu une alliance avec l'avenir.
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Mon père me dit une fois que le respect de la vérité est presque le fondement de toute morale. «Rien ne saurait sortir de rien.» disait-il. Et cela apparaît certes comme une pensée profonde si l'on conçoit à quel point «la vérité» peut-être instable.
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Que méprisez-vous? Par cela, on vous connaît vraiment.
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« Vous n’êtes pas encore mon Duc ! Vous êtes un… un enfant ! »
« Je suis un adulte dans un corps d’enfant ! »
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— Le passé peut t’indiquer la bonne voie si tu vis dans le passé, Stil, mais les circonstances changent.
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« As-tu remarqué, Stil, demanda Leto, que les nouveaux distilles sont de fabrication plutôt négligée ? Nous perdons trop d’eau. »
Stilgar faillit demander : Ne l’ai-je point déjà dit ? Il se contenta de remarquer : « Nos gens dépendent de plus en plus de ces pilules. »
Leto acquiesça. Les pilules réduisaient la perte en eau, équilibraient la température du corps, elles étaient moins coûteuses et plus pratiques que les distilles. Mais ceux qui les adoptaient connaissaient d’autres inconvénients : les réactions se faisaient plus lentes et la vision, parfois, devenait floue.
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— J’ai largement cet âge ! Je suis le plus vieux de tous, ici ! Tu n’es qu’un bébé à côté de moi ! Mes souvenirs remontent à plus de cinquante siècles dans le temps. Oui ! Je me souviens de l’époque où les Fremen vivaient encore sur Thurgrod !
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— Et nous connaissons les conditions majeures qui conduisent le peuple à se tourner contre ses maîtres :
« La première : lorsque ce peuple se trouve un chef. C’est la menace la plus fréquente contre le pouvoir et celui-ci se doit de contrôler les chefs.
« La deuxième : lorsque le peuple prend conscience de l’existence de ses chaînes. Il faut que le peuple demeure aveugle et muet.
« La troisième : lorsque le peuple discerne un espoir de pouvoir échapper à ses entraves. Il faut qu’il ne puisse même l’imaginer ! »
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— Ainsi est-il écrit ! Ceux-là qui appellent la rosée au seuil du désert recueilleront le déluge ! Ils ne sauraient échapper à leur destin par les pouvoirs de la raison ! La raison naît de l’orgueil de l’homme qui peut ignorer qu’il a fait le mal. (La voix du Prêcheur baissa d’un ton.)
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Leto se leva et ajouta : « Il est certaines actions qui ont une fin et pas de commencement, alors que d’autres commencent pour ne pas s’achever. Tout dépend de la position de celui qui observe. »
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Ce non-enfant avait joué d’elle comme d’un instrument bien accordé tout au long de leur dialogue.
"Maintenant, reprit-il, vous savez combien profondément vous avez été conditionnée par vos chères Sœurs".
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« [...] Laissez-nous donc passer notre puberté dans la même demeure, avec vous dans cette demeure, et votre influence ne vaudra guère mieux qu’un chiffon agité sous la gueule d’un ver des sables. »
« Nous crois-tu absolument idiotes ? »
« Certainement. Vos Sœurs ne sont qu’une bande de vieilles folles qui n’ont jamais su voir au-delà de leur cher programme génétique ! Mais Ghani et moi, nous savons de quel levier elles disposent. C’est nous que vous prenez pour deux idiots ! »
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