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Citations de Frédéric Marcou (62)


La rêverie des mots est-elle suffisante
Pour vous apaiser de vos contraintes.
Que faudrait-il enfin pour vous sentir plus calme,

Si ce n'est une envahissante torpeur
Qui puisse à jamais vous guider
Vers ce grand rien qu'est en réalité la conscience.
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Même les mots ne sont pas assez pour exprimer mon admiration.
Elle est comme une apparition.
Un papillon posé sur une branche.
Elle est furtive et magnifique.

Elle est à la fois sensible et intelligente.
Drôle et splendide.
Qui ne rêverait pas,
De la prendre dans ses bras…

Moi, en tout cas, j’en rêve… Et c’est un rêve magnifique…
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J'ai rêvé trop fort
Je suis retombé de haut
Je suis retombé de trop haut
Vers un ailleurs qui n'existe pas
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J'aurai appris

J'aurai appris
Comme la plupart des autres
Que l'école referme plus de portes
Qu'elle n'en ouvre

J'aurai appris
Que les diplômes
Ne flattent que l'ego
J'ai appris cela

J'aurai appris
Que la vie enseigne mieux
Et qu'elle récompense bien plus normalement
Les efforts fournis

J'aurai appris cela
Je sais aussi
Que, pour persévérer
Il faut avoir envie de continuer.
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Frédéric Marcou
À la littérature
J'écris par amour
J'écris mon amour
Des mots
Et des belles tournures.
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Les hommes politiques sont tous dans le domaine de la fermeté, envers une mesure injuste. Ils essaient de nous faire avaler de force la pilule ot cette pilule là ne passera pas, car trop grosse.
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A la littérature,
J’écris par amour.
J’écris mon amour.
Des mots.
Et des belles tournures.
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Les fragrances magiques

Papier administratif

Trouver une personne, j'en conviens
Une personne de confiance : j'ai cherché
Dans mon entourage, même familial...eh bé !
Il n'y avait rien. (p. 53)
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La vie n'est pas toujours ingrate pour qui a réalisé son rêve.
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Damnation
Préambule
L’histoire que je vous présente ici a, normalement, la taille d’un roman, mais a été raccourcie pour parvenir au format « nouvelle ».
Je passe mon temps à pousser un chariot, à le remonter. Toute ma vie je pousse ce chariot, car je suis en enfer. Les heures de mauvais sommeil que l’on me donne, c’est pour que je ne meure pas d’épuisement, sinon je ne pourrais plus le pousser.
Je pousse un chariot pour faire remonter la galaxie, oui c’est ça…
Enfin, je ne le fais pas tout seul, c’est un peu comme si je ne servais à rien.
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Je pousse un chariot toujours, encore et encore, comme une gigantesque toupie, ou plutôt un immense écrou. Je n'en vois jamais la fin. Je le pousse pour l'éternité. Je suis un damné.
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Les arbres sont témoins
Des activités humaines
Si les arbres pouvaient parler
Ils raconteraient les méfaits des petits hommes
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Il a neigé si longtemps sur mon cœur.
Je ne sais pas si une petite flamme peut suffire à le réchauffer.
Mais ce que je sais c'est qu'une petite flamme
C'est mieux que pas de flamme du tout.
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Ce livre reprend les autres livres déjà parus, c’est le meilleur de ce que j’ai fait auquel j’ai rajouté des inédits, plus quelques dessins originaux.
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Une intuition spontanée

Préambule : On devait réaliser une description en atelier d’écriture, c’est ce que j’ai fait, mais j’ai trouvé que pour une nouvelle, cela cassait le rythme. Du coup, j’ai tout réécrit chez moi, extrêmement difficile et beaucoup de travail pour tout remettre en place. En fin de compte, j’ai réussi à l’insérer. À vous de juger.

Le fantôme errait, il ne savait pas vraiment depuis combien de temps il se trouvait là, il avait de la colère en lui, du ressentiment, beaucoup, il demeurait ici pour corriger… mais il ne savait plus très bien quoi (il se souvenait juste de son suicide au bout d’une longue maladie). Il voulait parler aux habitants de cette pièce, leur dire de se méfier de… mais lui-même ne savait plus de quoi il était impératif de se méfier, il restait en colère… il envoya valser le verre sur la commode de rangement, le verre explosa à terre… heureusement, le lieu semblait vide.
Sa colère retomba… le fantôme scruta l’endroit, il savait le danger ici, il était nécessaire qu’il retrouve ce que c’était et qu’il le signale aux habitants.
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Parce que si l’on ne rêve pas un tout petit peu.
D𠆚utres le feront.
Parce que si l’on n𠆚vait pas le cœur.
Il n’y aurait que la terreur.
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J’aime regarder la neige tomber
Elle purifie l’atmosphère de ses flocons
Elle nous nettoie aussi l’âme et l’esprit
Qui le temps d’une bourrasque
Retrouvent leur virginité originelle.
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Aujourd’hui, j’écris.
Mes mots avides.
Prêts à sortir du vide.
Ma fragilité intérieure.
Orchestre mes maux extérieurs.
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Alors quelques mots

Pour une recette de bonheur :

Paix, amour, écoute et compassion.
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J’ignore si la conscience ou l’âme du poète,
sera sauvée ou bien réincarnée.
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