AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Gaël Brunet (25)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


La battue

Olivier n'a plus de contact avec son père depuis de nombreuses années et quand ils se revoient enfin le passé les empêchent de se parler.



L'ambiance entre le père et le fils est vraiment pesante, la maman est triste et petit à petit on découvre le pourquoi de cette situation.



Une histoire sensible et touchante dans une belle région.

J'ai aimé le discours plein de bon sens et la fraîcheur d'Anouk l'amie d'Olivier.



L'écriture de cet auteur est pleine de sensibilité, les sentiments à fleur de peau sont très bien retranscris.



Du même auteur j'avais adoré Tous les trois.
Lien : http://www.pagesdelecturedes..
Commenter  J’apprécie          40
La battue

Quel texte !! Je n'ai pas envie d'en faire un résumé puisque pour moi toutes les pages, toutes les phrases ... Tout est excellent. Sensibilité amour passion fluidité : à lire , à relire et surtout à faire découvrir !
Commenter  J’apprécie          30
La battue

Effectuer une battue : Chasse où les rabatteurs effraient le gibier pour les orienter vers les tireurs. Action d'explorer systématiquement un terrain en groupe afin de retrouver une personne ou des objets.



Olivier vient à contrecœur voir ses parents dans les Alpes. Là où il va vécu, là où il est parti pour Paris. Cinq années se sont écoulées depuis la dernière fois où il a mis les pieds au chalet en se jurant de ne plus revenir. Mais sa mère l’a convaincue par une lettre, sa mère à qui il ne peut faire aucun reproche sauf celui de vouloir éviter les disputes, les éclats de voie. "Depuis longtemps, ma mère s’est barricadée dans le présent, redoutant de revenir sur notre vie d’avant, d’avoir à se remémorer certains souvenirs qui forment autant de mâchoires intérieures ". Sa compagne Anouk a envie de connaître ses parents sur lesquels il n’a jamais été trop bavard : "En dire le moins possible. Pour ne pas ouvrir une brèche dans le mur que je me suis efforcé de construire, pierre après pierre", mais il a fini par céder. Un père taiseux qui par son silence vous oppresse, vous mets mal à l’aise et en deux mots vous envoie valdinguer. Un père qui refuse de répondre aux questions, d’entamer la conversation. Un coup de main dans le vide pour les chasser, un regard noir en tout et pour tout.

Olivier a vécu dans l’ombre de Marc son frère aîné. Skieur émérite et et voué à une grande carrière, la fierté de son père. Pour lui l'avenir était imposé sans avoir le choix avec la reprise de la petite exploitation familiale. Marc est mort lors d’un accident où son frère était présent. Olivier a passé son enfance puis son adolescence à faire semblant avec le sentiment de n’avoir pas place dans la famille. Depuis la mort de son frère, son père l’a relégué dans un no man’s land. Même son frère mort est bien plus présent dans la vie de son père que lui. Une battue est prévue au village, Olivier veut y participer pour enfin crever les abcès. Je n'en dirai pas plus sauf que ce livre a réveillé en moi des souvenirs, l’image d’une personne semblable au père d’Olivier. Les silences, les non-dits qui vous étouffent, je connais.



Alors, oui, j’ai lu ce livre avec des larmes qui coulaient sur les joues et la gorge serrée. Gaël Brunet sait mettre des mots sur ce qui est presque indicible, décrire une ambiance avec force et sensibilité. Pas de pathos, juste une famille avec ses béquilles et un fils qui veut enfin les balancer pour se libérer et vivre.

Un roman qui vous le comprendrez est plus qu’un coup de cœur ! Maintenant, l'éponge que je suis n'a plus qu'à déverser son trop plein d'émotions...
Lien : http://fibromaman.blogspot.f..
Commenter  J’apprécie          30
La battue

Olivier, trentenaire, vit à Paris depuis qu'il a quitté ses Alpes natales. Une lettre de sa mère, qui lui rappelle, l'air de rien, que le temps passe et qu'elle n'est plus toute jeune, ainsi que l'insistance d'Anouk, sa compagne, qui voit là une occasion de faire enfin connaissance avec ses "beaux-parents", finit par le décider à s'y rendre pour quelques jours.

Voilà cinq ans que lui-même n'a pas vu ses parents, et il devient rapidement évident qu'il entretient avec son père des relations fondées sur le mutisme et la rancœur. Nous apprenons, par bribes, que le décès de Marc, son frère aîné, est à l'origine de cette situation.



Son retour dans la maison familiale fait surgir chez Olivier d'amers souvenirs de son enfance, et ravive la douleur que la mort de Marc et l'indifférence de son père ont ancrée en lui. Il est assailli de sensations liées à son passé, la moindre odeur, le moindre son, faisant naître des réminiscences souvent importunes. Car ce dont se remémore surtout le narrateur, c'est d'avoir été le plus petit, le plus faible, l'insignifiant dissimulé dans l'ombre d'un aîné au physique d'athlète, au fort caractère, à qui tout réussissait, jeune garçon promis à une brillante carrière de champion de ski, dont la brutale disparition a fini de creuser le fossé qui séparait Olivier de son père.

Pour lui, le cadet, l'avenir était également tout tracé : il reprendrait l'élevage familial de chèvres. Mais le "petit" en a décidé autrement, en fuyant littéralement vers la capitale dès son baccalauréat en poche...



D'une plume limpide, efficace, Gaël Brunet exprime par des détails significatifs -les regards, les silences- et avec beaucoup de justesse, les émotions de son héros, et le cheminement qui, durant ce court séjour dans ses montagnes natales, l'amène inévitablement à la confrontation avec ce père dont il a toujours désespérément recherché l'affection et la reconnaissance.



Face à cet homme taiseux, hostile, Olivier se retrouve dans un premier temps comme un petit enfant, incapable de contrôler la situation et le flux des sentiments qui le submerge.

Tout comme son mal-être, la tension est palpable, et le lecteur, d'emblée, s'attend à ce qu'elle culmine avec la battue au loup prévue à la fin de son séjour, et à laquelle il a décidé de participer, y décelant l'opportunité de pouvoir enfin régler ses comptes avec son père...



Hormis sa fin, que j'ai trouvée trop convenue, j'ai vraiment apprécié ce roman à l'écriture sensible et élégante.


Lien : https://bookin-ingannmic.blo..
Commenter  J’apprécie          00
La battue

Gaël Brunet a connu un beau succès littéraire en 2011 avec son premier roman, Tous les trois. Il y évoquait le combat d'un père suite à la brutale disparition de sa femme. Dans La battue, la mort et la famille sont aussi présentes.

Marc, le fils aîné, futur champion de ski a disparu en montagne. Olivier revient des années plus tard chez ses parents. Il revient à la demande de sa mère et sous l'influence de sa compagne, Anouk. Mais il craint les retrouvailles avec ce père autoritaire qui ne lui parle que pour l'agresser de sa rancœur.

" un vieil ours écorché vif, meurtri depuis la mort de son fils aîné, qui m'en veut plus que tout pour ça et pour avoir quitté la montagne."

Si Olivier apprécie de retrouver son ami de lycée, ses voisins qui l'ont toujours aimé, les lieux de son enfance, il tremble devant la rencontre avec son père. Les souvenirs qu'il évoque dans le récit montrent que le père a toujours préféré Marc. Chaque fils avait son avenir tracé : Marc serait le champion et Olivier reprendrai la ferme.

En quittant les Alpes pour Paris et en s'enfuyant après la mort de Marc, Olivier a doublement déçu son père. Chacun est resté avec une rancune enfouie au fond du cœur, des non-dits qui pourrissent leur relation.

Gaël Brunet détaille les personnages dans leurs attitudes, leurs détails physiques, leurs habitudes. Des regards tendres de la mère en cachette du père, des silences lourds et pesants, des réactions vives du père, des objets et des photos retrouvés qui évoquent des souvenirs forment une atmosphère très évocatrice. Même si l'atmosphère familiale est lourde, le roman s'allège grâce aux descriptions des lieux, aux souvenirs d'Olivier, à la douceur ferme d'Anouk qui ne comprend pas cette façon de vivre et pousse Olivier à réagir.

Le cœur se serre devant la détresse du fils, la rage monte face à la dureté du père. Les émotions sont à fleur de peau à la lecture de ce récit tout en nuances.

Le style est simple mais avec de très belles descriptions des physiques, des lieux ou des sentiments.

Je vous conseille ce très beau roman qui saura probablement vous toucher.
Lien : http://surlaroutedejostein.o..
Commenter  J’apprécie          10
La battue

Olivier est devenu parisien, il a quitté ses Alpes natales parce que l'air là-bas était devenu irrespirable.

Lors d'un retour avec son amie Anouk,,5 ans plus tard chez ses parents, Olivier se retrouve confronté à tout ce qui l'a fait fuir. Un père taiseux qui ne semblait pas s'intéresser à lui, une mère effacée et l'ombre du frère aîné, promis à un grand avenir,disparu dans un accident.

J'attendais beaucoup de cette histoire suite aux critiques lues. J'ai attendu la battue pendant 200 pages pour découvrir ce que le narrateur nous annonce comme un moment intense et que l'on devine aisément au fil des pages.

En attendant les nombreuses descriptions, même si la montagne est belle c'est un peu long. Une analyse des personnages précises, les détails nombreux font que l'on piaffe un peu.

Alors on s'accroche à cette histoire en espérant un dénouement à la hauteur de l'attente et on a l'impression que la montagne accouche d'une souris.

Je n'ai malgré tout pas lâché ce roman qui montre la détresse de l'enfance face à l'injustice de la préférence dans une famille.

Jolie figure des personnages d'Hanz et de Danièle, des personnages lumineux....
Commenter  J’apprécie          60
La battue

Récit sensible des retrouvailles difficiles entre un père et son fils. Manque affectif, rivalité entre frères, destin tracé, poids du non-dit et des attentes parentales, deuil impossible sont au coeur de ce roman intimiste qui se lit d'une traite.
Commenter  J’apprécie          00
La battue

Pour Olivier, son retour dans les Alpes de son enfance n’est pas anodin. Afin de crever l’abcès d’une profonde inimitié avec son père, le retour aux sources est une nécessité, même s’il doit revivre un passé douloureux.

Son père a toujours préféré Marc. Marc, le frère aîné, le futur champion de ski comme disait son père, tandis que lui, Olivier, ne serait qu’éleveur de chèvres. Marc était le fils dont on était fier.

Mais une randonnée en montagne des deux frères qui tourne mal et c’est le drame. Marc trouve la mort. Olivier n'a pas pu le sauver mais son père se refuse à cette idée.

Autour d’un thème pourtant sans grande nouveauté, l’auteur sait nous accrocher en créant une atmosphère lourde tout au long de cette histoire avec des personnages puissants emprisonnés dans des silences et une tension pesante. Ce roman dégage beaucoup d’émotions et je me suis dit que la sérénité d'une famille tient à peu de choses.

Commenter  J’apprécie          60
Tous les trois

Louise, Jean et leur papa tentent de survivre à la mort de leur mère dans un accident de voiture. Tous les trois, ils essaient de retrouver un équilibre. Petites scènes du quotidien qui aident à retrouver une vie presque normale mais qui parfois ravivent la douleur de l'absence. Moments de bonheur fugaces, parfois interrompus par le souvenir du drame. Un père qui s'accroche de toutes ses forces à ses deux lapins, grenouilles, caramels, soleils, comme il les appelle pour survivre. Un très beau roman sur le thème de l'absence et du chagrin. L'écriture est magnifique et on a du mal à quitter ces trois magnifiques personnages.
Commenter  J’apprécie          70
Tous les trois

Dans ce roman, un jeune père de famille se retrouve veuf et doit survivre à la perte de sa femme et s'occuper de ses deux enfants.

Ce livre est écrit avec des mots simples et justes. Il est très émouvant.

L'écriture est délicate, magnifique. Les phrases sont brèves, percutantes.

On ressent le chagrin du père de et aussi ses bonheurs fugaces avec ses enfants.

J'ai fait une jolie découverte en achetant ce livre à Emmaüs.
Commenter  J’apprécie          10
Tous les trois

Très bon choix ! Petit livre charmant qui se lit très vite : un jeune père, veuf, décrit ses émotions : toujours écartelé entre l’émerveillement pour ses deux jeunes enfants et la souffrance du manque, de la perte de sa femme idéalisée, il s’exprime très justement sur ces ambivalences. L’émotion est au rendez-vous à chaque page…sans pour autant tomber dans le pathos exagéré. Les mots sonnent justes.
Commenter  J’apprécie          00
Tous les trois

Dans le cadre de l'opération Masse critique organisée par Babelio, j'ai reçu le premier roman de Gaël Brunet et c'est une belle surprise !



J'avais un peu d'appréhension avant de commencer ce livre, je n'avais pas envie d'un récit trop difficile avec beaucoup de pathos même si je me doutais qu'un sujet comme celui-ci serait forcément émouvant.

Mais finalement, le récit s'attache surtout au quotidien des personnages : comment ils continuent à vivre, comment ils s'organisent jour après jour pour surmonter ce drame.

Si l'histoire ne tombe pas dans le larmoyant, c'est surtout grâce aux personnages des enfants, Jean 4 ans et Louise 3 ans apportent beaucoup d'émotion et de légèreté au récit. La mise en valeur du quotidien comme repère sécurisant et familier est particulièrement réussi, les balades dans le parc, la visite à la ludothèque, les glaces à la fraise, tous ces petits détails rythment leur vie et sont des étapes de leur reconstruction.

C'est la réappropriation du quotidien par cette famille qui apprend à fonctionner à trois désormais, que j'ai trouvé très touchante.




Lien : http://tribulations-litterai..
Commenter  J’apprécie          80
Tous les trois

C'est avec une curiosité non dépourvue d'appréhension que j'ai abordé ce livre traitant d'un thème aussi délicat.



Une écriture sincère et fluide. Des phrases brèves, percutantes et remplies d'émotion. Des mots simples qui touchent par leur caractère universel et leur force symbolique.

L'auteur traduit bien la fragilité du père brisé qui ne vit plus que pour ses deux "petits loups", découvrant en lui-même des ressources et des réflexes jusqu'alors méconnus, sous-jacents. De ce drame sortira grandie et confirmée la révélation de son statut de père comme une évidence, un besoin et une immense richesse.



On sort de ce livre convaincus que malgré les impairs et les drames auxquels la vie nous soumet, elle est aussi synonyme de joie et de tendresse, de petites victoires quotidiennes, anodines en apparence mais qui sont la preuve inconditionnelle du pouvoir de l'amour et de l'union face aux aléas d'une vie parfois trop arbitraire.
Commenter  J’apprécie          50
Tous les trois

Comment un père et ses deux enfants, Jean et Louise, quatre et trois ans s’en sortent-ils après la mort accidentelle de la mère?

C’est trop triste ? C’est aussi ce que j’ai tout d’abord pensé et puis non ! C’est juste la vie de tous les jours après un grand bouleversement. La vie reprend avec les joies et les chagrins quotidiens, les fêtes, les jeux, tout ce qui fait la vie d’une famille ordinaire. Le père évidemment est un peu plus stressé que les autres, plus inquiet :

C’est une lecture agréable d’autant plus que le style est direct, simple, sans pathos ni fioritures. L’auteur précise avoir fait la chasse aux adjectifs et aux adverbes.

Pour ma part, j’aurais aimé quelque chose de plus ample, un souffle plus large, une fantaisie plus débridée, plus de folie mais c’est mon goût et je sors à peine de la lecture du dernier Irving, alors, je suis naturellement trop exigeante et certainement injuste en attendant toujours davantage d’un roman.

Celui-ci est une première tentative et c’est déjà un récit attachant et prometteur, ce qui n’est pas si mal ! Attendons le second !
Lien : http://liratouva2.blogspot.c..
Commenter  J’apprécie          20
Tous les trois

Tous les trois ou comment survivre à la suite de la perte de sa femme . Un récit écrit avec justesse, des mots simples pour une vie qui ne le sera plus. Un père devant faire face au quotidien pour le bien être de ses trois enfants.

Une écriture fine et délicate dans laquelle la douleur est palpable à chaque ligne. Mais s'il est impossible de vivre, la survie est nécessaire malgré la perte de l'être aimé. Une immense leçon de courage, un hymne à la vie après la mort...

Commenter  J’apprécie          80
Tous les trois

N'hésitez pas à aller lire une critique complémentaire sur ce roman touchant !

http://prixvirilo.com/2011/09/14/tous-les-trois-de-gael-brunet/

Bonne lecture à tous!
Lien : http://prixvirilo.com/2011/0..
Commenter  J’apprécie          10
Tous les trois

Avec des mots justes et simples, en racontant par bribes l'histoire de cette famille, Gaël Brunet livre un récit poignant mais loin d'être larmoyant. Il raconte les repas, le bains, toutes ces petites choses du quotidien que chacun doit réapprendre à faire sans elle. Il raconte les rires qui arrivent quand on n'y croit plus, ces brefs instants où l'on oublie l'absence. Et ce moment où elle réapparaît, violente, au détour d'une page de magazine ou à cause d'un chemise oubliée au fond du panier de repassage.



Les très courts chapitres qui s'enchaînent traduisent bien cette idée des petits pas nécessaires pour continuer. Ne pas aller trop vite, mais ne pas rester immobile. Parce qu'il n'a pas le choix, parce qu'il faut continuer pour les enfants. L'anonymat de cet homme rend cette expérience universelle : c'est l'histoire de tous les pères qui se sont retrouvé veuf, devant du jour au lendemain gérer le quotidien avec deux enfants en bas âge tout en faisant le deuil de l'être disparu et aimé.



A sa manière, Tous les trois m'a rappelé Des vents contraires, autre roman qui raconte l'absence d'une mère et le double désarroi d'un père. Avec un littéraire très différent d'Olivier Adam, Gaël Brunet pour son premier roman livre un écrit épuré mais riche en émotions et en délicatesse.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
Commenter  J’apprécie          10
Tous les trois

Un papa, deux enfants et une absente. Il y a des livres dont on lit les premières lignes et on sait qu'on ne les lâchera que la dernière page tournée. Celui-ci en fait partie. On partage la douleur quotidienne de ce papa qui se doit de tenir debout pour l'amour de ses enfants. Poignant.
Commenter  J’apprécie          10
Tous les trois

Très beau récit, émouvant, écrit avec justesse, avec des mots simples pour décrire une vie qui ne le sera plus. L'auteur partage avec nous des moments de bonheur fugaces entre un père et ses 2 enfants, parfois interrompus par le souvenir du drame. Ce père qui s'accroche de toutes ses forces à ses deux petits bouts. Un éloge à la paternité, à la vie, à l'amour, qui m'a beaucoup touchée. Encore un coup de cœur pour moi.
Commenter  J’apprécie          20
Tous les trois

Un beau livre et joliment écrit sue le deuil mais surtout, sur la vie qui continue. Un homme en proie à la douleur de la perte de sa femme, ne peut que continuer à vivre pour leurs deux enfants. Un nom à retenir.
Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Gaël Brunet (69)Voir plus

Quiz Voir plus

Philip Roth ou Paul Auster

La tache ?

Philip Roth
Paul Auster

10 questions
16 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}