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3.83/5 (sur 188 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Biographie :

Garrett Leigh est écrivaine et maquettiste britannique primée.

Elle travaille actuellement pour Dreamspinner Press, Loose Id, Riptide Publishing, et Fox Love Press.

Son premier roman "Descente" (Slide, 2013), le premier tome de la série "Sur la route" (Roads), a remporté le prix de la Meilleure histoire dans la catégorie "Bisexuel" en 2014 lors des Rainbow Book Awards, et son roman polyamoureux, "Misfits" (2015) a été finaliste dans les LAMBDA Awards en 2016.

Garrett a également remporté des prix en tant qu'illustratrice de couvertures, raflant la médaille d'argent aux Benjamin Franklin Awards en 2016.

Elle conçoit des couvertures de livres pour diverses maisons d'édition et des auteurs indépendants à blackjazzdesign.com, et est copropriétaire du site spécialisé en stocks d'images moonstockphotography.com avec le photographe Dan Burgess.

son site : http://www.garrettleigh.com/
Twitter : https://twitter.com/garrett_leigh
Facebook : https://www.facebook.com/garrettleighauthor
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Source : http://juno-publishing.com/
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Citations et extraits (37) Voir plus Ajouter une citation
« La vie était trop courte pour ignorer un moment aussi parfait que celui-ci. »
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Le froid se mua en une chaleur suffocante. Ses pensées erratiques ralentirent. Deux jours de stress et de travail acharné maîtrisèrent la bête anxieuse et l'apprivoisèrent. Luis dériva dans cet endroit sacré, entre conscience et sommeil, et profita de la balade.
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— Combien d’amis cette guerre t’a-t-elle coûté  ?

Nat ne répondit pas tout de suite. Il se retourna et fixa le ciel, comme s’il comptait les étoiles.

— Avant, je me souvenais de tous les hommes que j’avais vus mourir… même ceux qui étaient de l’autre côté. Je revoyais leurs visages chaque fois que je fermais les yeux, mais la vie, ha, oui, la vie continue, et cette guerre  ? Putain, depuis que cette guerre a commencé, je n’en vois qu’un, ce qui est sacrément ironique, parce que je n’étais pas là quand il est mort.

— Où étais-tu  ?

— Je me faisais tirer dessus ailleurs.
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Varian les rassembla près de lui.

— Emma était notre guérisseuse et notre sœur. L’empreinte qu’elle a laissée sur nos vies ne s’effacera jamais, mais nous devons continuer. Nous avons peu de temps pour porter le deuil. La guerre est sur nous, et elle le restera jusqu’à ce que nous trouvions la paix avec les meutes du sud.

Son regard se dirigea vers le ciel, faisant savoir à Zio et à Bomber qu’il sentait leur présence.

— La paix était quelque chose qu’Emma désirait ardemment. Elle y a consacré sa vie. À partir de ce jour, notre quête de paix aura plus de signification que jamais.

Les mots passèrent au-dessus de Zio alors que la pluie s’abattait sur lui, le trempant à travers ses vêtements, coulant sur son visage à la place de larmes qu’il n’avait jamais versées. La paix. Il serra les poings plus fort, laissant ses griffes ressortir et s’enfoncer dans sa chair, se raccrochant à l’odeur de son propre sang, combattant l’envie de faire plier la terre au rythme de sa rage. La paix était une plaisanterie. Trop de vies avaient été perdues. Il ne restait plus que la vengeance, et Zio avait bien l’intention de l’obtenir.

Il l’obtiendrait, que la guerre se poursuive ou non. Fatigué de la vie et assoiffé d’envies meurtrières, il était la machine à tuer ultime, le soldat parfait pour l’équipe de combat de Varian.

Et jusqu’à ce que les tueurs d’Emma soient réduits en poussière, c’était tout ce qu’il serait.
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Celui qui accompagnait Gale sortit de l’ombre. Ses cheveux blond platine captaient la lumière du réverbère et, même de loin, le regard aiguisé de loup de Zio repéra ses yeux bleu océan, si typiques du Clan de l’Ombre ; du moins, c’était ce qu’on lui avait dit. Que leurs yeux se transformaient eux aussi au cours du changement. Il n’en avait jamais vu un d’assez près pour tester la véracité des rumeurs. Il n’avait fait qu’entendre quelques histoires sur leurs célèbres alphas, le guérisseur suprême et son compagnon vampire devenu métamorphe.

Mais… ses yeux. Dépassé, Zio sentit ses genoux se ramollir. Il n’avait pas vu le visage du guérisseur dans le club. Ni relevé sa petite corpulence et ses splendides pommettes. Il était plus petit qu’il ne l’avait imaginé, mais magnifique à tous égards… sauf ses foutus gènes. Si ça avait été un loup…

Mais ce n’était pas un loup. C’était le Clan de l’Ombre, et il était là pour prendre la place d’Emma. Pour dormir dans son lit et effacer son odeur de la maison de Zio une fois pour toutes.
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On est un groupe pirate de Derby.
Corina, sa manager et instigatrice de l’évolution de Smuggler’s Beat de groupe de pub à un requin en tournée – du moins, dans le monde de la musique folk – haussa un sourcil impatient.
— En travaillant dur. Toi et moi. Ce n’est pas une raison pour te prendre pour un petit génie.
Un petit génie. Shay n’apprécia pas l’expression. À vingt-trois ans, il s’était défait de l’étiquette d’enfant prodige qui l’avait suivi pendant toute sa scolarité, mais les mots étaient tout de même douloureux. Il posa ses pieds sur le siège.
— J’ai besoin de nouvelles bottes.
Corina ne répondit pas.
Un peu plus tard, ils arrivèrent à Dublin, le premier arrêt de la tournée.
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— Nous avons besoin que tu te rendes en Angleterre, déclara Luca. Que tu rejoignes la meute de loups du Nord.

Les loups. Devan lutta pour ne pas laisser apparaître le choc sur son visage.

— Tu veux dire, la seule meute nordique restante. Pourquoi ?

— Leur médecin a été tué au combat il y a quelques semaines, expliqua Dash. Il n’y a plus de guérisseurs de loups sur le territoire du nord maintenant, et avec les guerres de meutes qui font toujours rage, leur besoin est plus grand que le nôtre.

— En quoi cela nous préoccupe-t-il ?

— Nous nous en préoccupons toujours, reprit Dash, mais cette meute est… spéciale. Je pense que le monde serait plus sombre sans eux.
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Chapitre 2 :
Harry
«… Déconcerté, je garai ma voiture pour la deuxième fois et sortis, avant de me tourner face à l’homme proprement sublime, qui avait daigné se lever. Seigneur. On n’en faisait plus des comme lui.Je tendis une main tremblante.
— Joe ?
Une main fraîche et calleuse prit la mienne et la serra brièvement.
— C’est moi. Vous êtes le type qui loue la chambre ?
— Oui. Je suis Harry.
— Harry Holistique ?
Je clignai des yeux.
— Si vous voulez m’appeler par mon nom de profil Instagram.
Joe m’adressa un regard meurtrier, ce qui était perturbant, alors que j’étudiais la débauche de teintes bleues maussades qui colorait ses yeux. À la fois éclatantes et éteintes. Était-ce seulement possible ?
— Hum, repris-je en voyant que Joe ne répondait rien. Je suis là pour louer la chambre ? J’avais prévu de rencontrer Emma au bungalow derrière les champs, mais Sal m’a envoyée ici.
— Sal est ma mère.
— Elle est sympa.
— Je sais.
Le fait qu’il aime suffisamment sa mère pour acquiescer à cela me donna envie de faire courir mes doigts le long de ses avant-bras forts et bronzés, qu’il avait croisés sur son torse. J’adorais ma propre mère, et elle me manquait terriblement, depuis qu’elle avait pris sa retraite en Espagne. Seule ma conviction qu’elle méritait de finir ses joues dans un lieu ensoleillé et paisible parvenait à apaiser la douleur dans mon cœur.
— Vous allez entrer, ou quoi ?
Je clignai à nouveau des yeux et découvris que Joe s’était écarté de la porte de la maison et l’avait ouverte. Il me regardait d’un air impatient alors que je me contentais de… eh bien, le regarder.
Idiot. Je me ressaisis et suivis Joe dans la maison tout en m’efforçant de rompre l’obsession instantanée que j’avais développée pour sa nuque très bronzée.
...»
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— C’est un risque, Kate, disait Reg.
Charlie pouvait presque le voir passer ses mains dans sa masse de cheveux blancs.
— Prendre un enfant traumatisé est un défi en soi, mais deux ? Je ne sais pas. Nous avons la place au moins ?
— Bien sûr que nous avons la place.
Charlie entendit Kate se lever et faire les cent pas, comme elle le faisait toujours quand elle était agacée.
— Le garçon peut prendre le bureau. Nous n’aurons qu’à déplacer l’ordinateur au rez-de-chaussée.
— Ce n’est pas idéal.
— Idéal ? Pour l’amour de Dieu, Reg. Rien ne l’est jamais. Si c’était le cas, ces enfants n’auraient pas besoin de nous en premier lieu.
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Chapitre 2 :
Joe
«… je ne voulais pas que des étrangers sortis d’on ne savait où viennent foutre le bordel chez moi.
— C’est hors de question, Emma. Je me fiche de ce que tu as fait. Annule tout et laisse tomber.
Emma ouvrit un placard du buffet bancal et récupéra une poignée d’assiettes. Elle les claqua sur la table de la cuisine sans me regarder.
— Je n’annulerai rien du tout. Et on ne parle pas d’un groupe de randonneurs, juste un type seul, qui veut la chambre pour tout l’été.
Cela m’arrêta en plein élan.
— Pour tout l’été ?
— Oui. Dix semaines. Payées d’avance. Tout ce qu’on a à faire, c’est lui donner un placard dans la cuisine et un espace dans le frigo. On n’est même pas obligés de le nourrir.
— Combien le fait-on payer ?
— Cinquante balles la nuit.
— Quoi ?
— Tu as bien entendu.
Emma prit le plat couvert de sandwichs des mains de notre mère et le posa sur la table.
— Cinquante balles la nuit pendant dix semaines, Joe. Ça fait trois mille cinq cents dollars. Assez pour réparer le tracteur, le camion à chevaux, et payer certains de ces gorilles.
Elle fit un geste pour englober toute la table. Personne ne leva la tête de son déjeuner. Tous étaient apparemment indifférents à la conversation maintenant que l’orage était passé, et peut-être satisfaits de savoir que peu importe à quel point les finances de la ferme devenaient catastrophiques, ils seraient toujours payés.
...»
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