Gérard Moncomble

Petite découverte au rayon « premières lectures » de notre librairie, la collection Moi, Thérèse Miaou de Géard Moncomble et Frédéric Pillot. Petite découverte mais énorme succès. Thérèse est une petite chatte désopilante qui vit des aventures loufoques avec sa famille.



Dans ce volume, Suzanne, la petite maîtresse de Thérèse, délaisse sa minette pour un petit hérisson trouvé dans le jardin enneigé. Mais Thérèse n’entend pas perdre sa place pour cette boule piquante qui d’ailleurs ne semble pas bien à l’aise dans la maison.



Un texte drôle et tout en rîmes, de magnifiques illustrations et un petit message sur la place des animaux sauvages dans la nature font de Tiens, un flocon qui pique! un livre à mettre entre toutes les petites mains. C’est drôle et il faut reconnaître que Thérèse est absolument adorable!

Raoul part en mission sous-marine à la recherche d'une épave romaine perdue...



Une grande aventure pleine de rebondissements et d'humour pour une première lecture énergique.

Je suis toujours un peu réservée quand je lis une première lecture. Celle-ci est dynamique et m'a fait sourire à plusieurs reprises.

Les illustrations accompagnent bien le texte et apportent elles aussi des petites touches d'humour.

La chute est un peu attendue mais amusante.


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Pendant ces vacances de printemps, un petit cobaye est arrivé à la maison ; vous savez, ces « Chicoufs », ces chers petits-enfants que l’on adore recevoir, mais content de rendre à leurs parents !!!



Tous les soirs, sa sœur, plus grande, lui racontait une histoire. J’aimais les regarder sans qu’ils me voient. Un moment de communication et de tendresse entre eux qui se chamaillent si souvent. 2 plaisirs ; celui de la lectrice, et celui du spectateur attentif. Ils ont aimé ; Emilie, car ce n’était pas un livre abêtissant et Aurélien parce que c’était nouveau.



Le prologue nous met dans le ton et le rythme. Chacun des 7 membres de cette famille Pluche va raconter qui une histoire, qui une comptine, qui un souvenir, qui un conte revisité….

Chaque histoire à son dessinateur. J’ai ainsi, eu le plaisir de retrouver le style de Fabienne Pierron qui illustre l’histoire de Nina. Leïla Brient donne dans le Rétro pour l’histoire d’Oma. Hervé Le Goff souligne les mots de la comptine de Jules. Stéphane Girel a des dessins épurés pour souligner le conte chinois de Mamielle …. Tous ont eu l’intelligence de créer des dessins collant parfaitement au texte.

A travers ces histoires, l’auteur parle, du respect, de l’entraide, du courage, des légendes…. De façon intelligente, simple. Gérard Moncomble sait séduire et intéresser.



Le sommaire, en début de livre, donne le temps de lecture par histoire et un bref résumé. Pas besoin de suivre l’ordre. Picorez selon votre humeur et celle de l’enfant.



Comble de chance, les cloches avaient apporté à Aurélien le petit tome bleu



Accueillez la famille Pluche chez vous, vous verrez, ce sont des hôtes charmants qui feront passer de bons moments « d’avant-dormir » à vos petites têtes blondes, brunes, rousses….



J’ai découvert ce livre grâce à l’opération Masse Critique de Babelio que je remercie. Je n’oublie pas les Editions Hatier Jeunesse qui proposent des albums de qualité.


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L'ancien canapé a du souffert !

Ce livre est tros mimi !

Un chat qui ne trouve plus ses croquettes et qui réveille toute la famille, c’est un véritable tyran domestique! L’idée est intéressante et les illustrations originales sont très expressives ! Il vaut la peine de regarder attentivement ces dessins qui fourmillent de détails humoristiques. Ce livre fait partie d’une série « Moi, Thérèse Miaou » destinée aux jeunes lecteurs. Cette collection réalisées par Hatier poche propose également des fiches pédagogiques que l’on peut retrouver sur Internet. G.

Gaspard le Léopard est amoureux. Aujourd’hui, il a décidé d’inviter Léa pour une petite balade. Mais que voit-il en s’approchant de la belle gazelle ? L’affreux lion Léon est déjà en train de lui faire la cour. D’abord abattu, Gaspard se ressaisit et va voir ses amis pour trouver une solution. Mais chacun a un point de vue différent sur ce que les filles adooooorent chez les garçons : pour Marcel le Rhino, il faut être un sportif accompli ; pour Bob l’éléphant, il faut manger comme quatre car les filles adorent les gros nounours ; pour Théo le zèbre, c’est le look qui prime ; pour Ferdinand le singe, rien ne vaut l’humour alors que pour Jack le vautour, il faut surtout leur en mettre plein la vue. Dépité, Gaspard est sur le point d’abandonner. Mais il n’est pas dit qu’un Léopard va se laisser marcher sur les pieds par un lion…

Illustration pleine page, planche de BD, découpage « cartoonesque », mélange de récitatifs et de bulles…. La mise en page de ce petit livre est tout sauf répétitive et donne au récit un coté survitaminé des plus agréables. Les dialogues sont drôles et percutants et les dessins jouent énormément sur les mouvements et les expressions des visages.

Moderne. Voila sans doute l’adjectif le plus juste pour qualifier cette série de la collection Quelle rigolade des éditions Milan. Loin, très loin des publications jeunesse anxiogènes ou tristounettes, Gaspard le Léopard est un concentré de bonne humeur pour les lecteurs dès 7 ans.




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Cachou est un chat. Pilepoil est un chien. Tous les matins, lorsque Pilepoil monte dans le bus pour se rendre à l’école réservée aux chiens, Cachou le regarde partir avec envie. Lui aussi aimerait pouvoir s’installer sur les bancs de la classe pour pouvoir apprendre des tas de choses. Mais c’est impossible, on ne mélange pas les matous et les toutous. Déterminé et rusé, Cachou est prêt à bousculer les codes et par la même occasion à abattre quelques préjugés tenaces. Sur le mode de la fable animalière Gérard Moncomble invite intelligemment les plus petits à la réflexion. À base de cartons collés et de papiers découpés, les illustrations de Pawel Pawlak apportent leur lot de fantaisie pour un résultat plaisant.

Pas suffisamment d’étoiles pour ce graphisme à couper le souffle ! Ce qui en fait un superbe Art Book.

Que l’on soit enfant ou adulte, cet album nous emporte tant par le dessin que par l’histoire riche et rebondissante. De l’histoire, de l’aventure, de l’imaginaire, de l’humour...

Ulysse et ses camarades sont de retour à Ithaque après la guerre de Troie. Leur patrie se rapproche mais c'est un chemin semé d'embûches. Une terrible tempête contraint l'équipage à faire escale sur une île. A l'intérieur d'une caverne, ils tombent nez à nez avec un berger qui n'est autre que le cyclope Polyphème.

Furieux de cette intrusion, le colosse sanguinaire dévore deux compagnons de voyage d'Ulysse et emprisonne le reste de l'équipage dans son repère. Comment s'échapper de cette grotte ? (...)



Transmission du patrimoine littéraire.

Belle lecture pour faire découvrir cet épisode de l'Odyssée aux enfants intéressés par la mythologie.

Un livre avec sa version audio à écouter via l'application Nathan Live.
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Balbuzar ! Tremblez, moussaillons et préparez-vous à des abordages mémorables au côté du plus fameux pirate de tous les temps.



Navire ennemi à tribord ! Sur la mer des Sarboucanes, en l'an de grâce 1654, surgit le brigantin de Balbuzar, L'enragé. Point besoin que l'adversaire ouvre les écoutilles des canons de son navire ! Balbuzar et ses hommes ont tôt fait de le terrasser. Depuis cinq ans, il attaque, pille, coule tous les gallions en provenance du Vieux-Continent. C'en est trop pour l'impératrice Pepita XIII qui exige que soit capturé "ce carambouilleur de Balbuzar"! L'impitoyable vice-amiral Cristobal Ruiz y Torres y Villanueva de Somoza, appelé Le Commodore, embarque à bord du bateau-amiral Le Victoria pour mettre un terme au règne de ce dieu vivant de la flibuste ! Dès lors, qui de ces deux fins stratèges d'exception l'emportera, cornebleu ?!



Ouvrir Balbuzar, compères, c'est en prendre plein les yeux et les oreilles !



Si le texte est aussi vivant, c'est parce qu'il nous est contée par un pirate qui nous prend à parti. L'antagonisme des deux adversaires s'exprime jusque dans le nom de leurs navires et leurs apparences : le Commodore très maniéré, vêtu de blanc et de ses six goélands blancs/Balbuzar, géant hirsute en tenue colorée comme les oiseaux nichés sur sa coiffe !



Coup de cœur pour les expressions truculentes de l'auteur et en particulier celles très drôles qu'il met dans la bouche de Balbuzar quand il gronde "Que le malabec te trousse, emparfumé de mes deux!". Le vocabulaire marin est employé de manière ludique, ce qui m'a permis d'apprendre plein de choses sur la navigation et les bateaux mais aussi sur les rapports de force Empire/piraterie.



Esthétiquement c'est magnifique. Le cadrage donne la sensation d'assister aux attaques en tant que spectateurs externes, aux côtés des différents protagonistes. Les couleurs lumineuses, déclinées en plein de nuances, sont incroyables (ce bleu !).Le dessin, beau et détaillé, est aussi incisif et intelligent. Il fait ressortir les traits de caractère des personnages et les émotions des animaux marins.



Balbuzar : un album captivant sur l'univers de la piraterie qui intéressera petits et grands enfants !



À la fin, on a en bonus huit lettres très instructives du Commodore et de Balbuzar !

J'ai adoré cette histoire. Je l'ai trouvé super mignonne, bien écrite et joliment illustrée. Ce petit garçon de 10 ans au franc parlé et cet homme à la retraite (ou presque) qui se rencontrent et échangent des anecdotes sur "là-bas" parfois crédibles et d'autres fois beaucoup moins mais c'est ce qui fait naître leur belle amitié... et cette fin..... j'ai beaucoup souri en lisant ce livre !

: " Ulûpi princesse chipie" est une sorte de conte sur les caprices.

Ceux de la princesse mèneront à une guerre entre le royaume des hommes et les dieux pour la satisfaire et apaiser sa colère.

Son père ne savait rien lui refuser et ainsi se fut l'escalade.



Avant que sa grosse colère éclate comme un nuage d'orage gorgée de larmes, avant d'arriver devant le mur insurmontable des dieux qui se demanderont ce que cette toute petite fille en colère viendra quérir auprès d'eux, Ulûpi fera tourner son monde en bourrique.

Tout commencera avec son désir d'oiseau, qui se transformera par la suite en passion des cerfs-volants.

C'est pur et plutôt chouette ces désirs d'enfants. Mais attendez la suite.

Ulûpi devra subir "les caprices" des oiseaux qui ne daigneront pas lui obéir, puis du vent qui ne soulèvera pas son cerf-volant en forme d'oiseau, puis du rapt de ce cerf-volant par un dieu céleste.

Rien ne se passera comme elle l'aura voulu et le jeune lecteur devra comprendre que sans raison gardée, Ulûpi déploiera plusieurs armées pour la satisfaire et récupérer son cerf-volant.

Quel désordre et quel disproportion!

Sans doute que les lecteurs en riront, tout en prenant conscience tout de même du décalage, de ce qu'une enfant ne connaissant aucune limite aura risqué sans être modéré par un adulte.

Le conte de Gérard Moncomble est là dessus intéressant et encore plus plaisant grâce aux illustrations humoristiques de Mazan.

Merci à Babelio et aux éditions "Utopique" pour ce livre reçu ce matin.



Un ouvrage pour enfants, très bien illustré.



Une belle histoire d'amitié entre un coiffeur à la retraite et un petit garçon ivoirien, dans une grande ville d'aujourd'hui.



L'histoire est racontée par Max, 10 ans.



Un bel hommage à l'Afrique, terre de fantasmes.



Je vais moi-même l'offrir à un enfant, juste continuité des choses.

Si vous avez été à Quai des Bulles St Malo, vous n'avez pas pu passer à côté de la splendide expo de Frédéric Pillot. L'une des choses qui nous interpelle au premier regard sur ce livre, ce sont les illustrations. Toujours sur des doubles pages, ou sur des pleines pages, elles nous en mettent plein les yeux. Minutie, sens du détail, maîtrise des couleurs et des jeux de lumière, Frédéric Pillot nous montre l'ampleur de son talent de dessinateur. Pour notre plus grand plaisir, l'album est un grand format, ce qui nous permet d'admirer chaque personnage. Ces illustrations sont comme une succession de tableaux. L'ouvrage est aussi porté par un scénario haletant, qui nous fait voguer sur les flots aux côtés de Balbuzar. Un album remarquable, qui ravira les grands, avant de séduire les plus jeunes !

Album 8-11 ans. Chaque vie du chat fait référence à des personnages différents et aun sens. Il faut que l'enfant comprenne la narration et c'est dur pour les plus jeunes. Il y a ce qui est écrit et ce que cela sous entend, un enfant trop jeune pourrait passer à côté.

Un superbe album.

Je remercie l’éditeur et Babelio pour ce livre ! Je suivais déjà certaines parutions de la maison d’édition (les rééditions de la famille Passiflore
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Voici le deuxième tome de la série "Moi, Suzanne", j'en avais chroniqué le tome 1, "Le Bureau des coeurs" Ici

Première page, qui premet de présenter la famille de Suzanne, écrite par l'auteur et narrateur du livre :

" La famille dont on va lire les aventures possède quatre membres, nettement séparés. Papa et maman d'un côté, Suzanne et Thèrèse de l'autre. Suzanne a douze ans et ses principales activités sont : l'école (elle est en 5e 3), la lecture, la papote entre copines, l'origami, la télé et un Carnet secret qui ne la quitte presque jamais. Il y a des majuscules à Carnet Secret car c'est super important pour Suzanne, même si elle n'y écrit pas tous les jours (seulement quand elle peut). Elle s'occupe aussi activement du quatrième membre de la famille, Thérèse. Thérèse est une chatte de neuf ans, qui passe le plus clair de son temps à dormir sur la couette de Suzanne, mais pas que. Elle mange aussi beaucoup, et s'amuse d'un rien (son pimpin en peluche, les chaussettes de papa, les rideaux du salon). Elle déteste les chiens et le cacao. C'est la meilleure copine de Suzanne. Voilà. On a fait brièvement le tour de la famille. Ajoutons qu'ils habitent une petite maison agrémentée d'un jardin, ce qui permet à Thérèse de s'amuser avec les papillons et à maman de cultiver un petit potager. Papa y joue parfois le rôle de l'épouvantail."



L'histoire commence par un extrait du Carnet Secret, qui n'est pas si secret que ça puisque nous y avons accès.



Aujourd'hui, le papa de Suzanne a reçu un énorme colis du Japon, c'est un cadeau du frère de sa maman. C'est un su-per-be train électrique ! Mais voilà, il prend de la place ! Son père adore, il en loupe mème les repas, jusqu'à ce qu'il ait installé les rails, les wagons.. le seul problème, c'est qu'il est tellement grand qu'il passe dans le salon, la salle à manger, fait le tour de la cuisine, et encore un peu il passait par la chambre de Suzanne, si elle n' y avait pas mis le holà !!! Il rentre du travail, il se précipite sur son train, refait les circuits, installe la gare, sous les yeux intéressés de Thérèse, le chat de Suzanne, même sa mère est mise à contribution pour siffler le départ des trains ! Ça agace tant Suzanne qu'elle invite ses copines pour qu'elles voient l'étendue du désastre.. Mais Suzanne a aussi à leur raconter qu'un certain Ulysse, en 4e, lui plait bien. Ses copines parties, elle veut noter tout ça dans son Carnet Secret, mais ! Elle ne le retrouve plus ! Après avoir accusé ses parents, son meilleur ami Raoul, elle mêne l'enquête.







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Et là, sa meilleure amie Lola lui avoue, en pleurant, que c'est elle qui l'a pris, pour lire et apprendre comment ça se passait dans le couple Bruno-Janine ( les parents de Suzanne), parce que chez elle, ses parents se crient dessus, se disputent, claquent la porte : pour tout dire elle a peur que ses parents divorcent.



Suzanne, escortée de Thérèse, sa compagne féline inséparable, décide d'accompagner Lola chez elle, deux rues plus loin, pour "tâter le terrain", comme elle dit. Et là, il faut se rendre à l'évidence : il y a un problème. Nadège, la maman de Lola vient de partir "faire un tour pour se calmer" et Louis, le papa, est allongé sur le canapé, devant la télé éteinte. Il est en vacances, dit-il. "En vacances en Juin? ", se demandent Lola et Suzanne.. Il est grognon, et ne bouge pas. Qu'est-ce qu'il se passe ? Comme le papa de Lola et le papa de Suzanne travaillent tous les deux à la mairie, que les mamans des filles se connaissent aussi, le seul plan possible pour Suzanne est de tout raconter à sa maman. Qui téléphone illico à Nadège, et là on comprend le problème : Louis, le papa de Lola a été "mis à pied" une semaine pour avoir dit des gros mots à Maton, le chef des services municipaux. Et même, peut-être va-t'il le licencier pour faute grave !



Quel va être le plan de Suzanne, ou même le plan de sa famille pour rabibocher tout le monde, et faire que Louis réintègre son poste ?



Toujours accompagné d'illustrations mignonnes et marrantes, ce livre à la typographie agréable et amusante, ses pages de carnet, est un régal à lire. Humour, tendresse, enquêtes, le ton est juste, et attrayant. À partir de 10 ans.





SOS, papas en détresse - série "Moi, Suzanne" n°2 - Gérard Moncomble & Frédéric Pillot, ed. Hatier Jeunesse, sortie le 2 octobre 2019
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Une histoire sympathique pour les plus jeunes car ils ne manqueront pas de s'identifier à Léo, jeune adolescent qui n'arrive plus à cohabiter avec sa vie quotidienne. Il se sent en décalage, accepte et refuse tout à la fois la présence de son beau-père, aime sa mère mais se sépare d'elle petit à petit. Somme toute, il grandit.



Il a besoin d'être ailleurs, alors il s'y projette : qui n'a jamais fait de même ? Ce n'est pas un hasard si le héros adore un roman de Jules Verne, Deux ans de vacances. La 4e de couverture nous promet un Robinson : l'île déserte est ici davantage métaphorique qu'autre chose (Léo se sent seul) car son échappée sur l'île prend vite fin... Mais affronter la réalité, c'est aussi grandir.

Une chambre en désordre et on a une heure pour la ranger, c’est banal. Alors on imagine un super héros qu’on a vu à la télé capable de faire des choses incroyables en peu de temps. Pas vraiment convaincant ni pour le texte, ni pour les illustrations ! G