Le style écrit du roman est bizarre, beaucoup de passages semblent vouloir devenir de la poésie est je me suis souvent senti perdu. Le début est un peu dérangeant et je me suis dépêché de passer à la seconde partie. Alexandre a-t-elle vécu ce qui est écrit comme un journal intime ? Ou est-ce que les fantasmes sont emberlificotés avec la réalité ? Les auteurs des livres sur Alexandre ne sont pas Gérard de Villiers. Ce livre a été écrit par une femme si je ne fais pas erreur. Babelio pourrait la créditer. Livre érotique sympa pour sa seconde partie.
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Habitué aux SAS, je suis un peu resté sur ma faim. L'histoire en elle-même est intéressante mais en revanche très compliquée à suivre notamment à cause de toutes ses organisations terroristes. On s'y perd un peu au fil des pages. Comme à son habitude, Gérard de Villiers nous fait une description du pays où l'histoire se déroule à savoir ici le Mali.
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Un Malko Linge de moyenne facture, où notre agent secret lutte sans trop de conviction contre le racisme ambiant qui régnait à l'époque en Rhodésie. Sinon tous les ingrédients y sont : magouilles politiques, agents vient lents, femmes fatales, action et son lot de morts. Bref, du SAS ordinaire. Gérard de Villiers a fait mieux.
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C’est du de Villiers bien huilé, de l’essence pure de Son Altesse Sérénissime, du pétrole brut. Evidement c’est le thème de cet opus : l’embargo de 73/74 orchestré par l’OPEP qui fut l’origine de premier choc pétrolier. Suite à la guerre du Kippour, octobre 1973, il y a pile 50 ans, l’organisation coupe les robinets de pétrole. Mais si l’on gratte un peu on peut retrouver l’Amérique qui souhaitait une augmentation des prix du pétrole pour rentabiliser sa propre production. En France il en découlera une crise économique, l’heure d’été et la fameuse phrase :
"Vous le voyez, en France, on n'a pas de pétrole mais on a des idées !"
Pour ce qui concerne le roman ça coule de source comme d’habitude et la lecture est si bien lubrifiée que ça se lit comme un nectar.
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Un groupe de terroristes Somalien s’associe avec des pirates, ce qui alerte la CIA qui apprend qu’un projet d’attentat est en cours. Malko est chargé d’enquêter et de déjouer ce projet. Bien documenté sur la situation en Somalie et le piratage qui sévit dans sa région, une histoire qui tient la route, deux trois scènes de cul assez classiques et des clichés racistes et sexistes habituels. Un SAS quoi.
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Malheureusement, de Villiers s'enfonce dans le très médiocre avec un 27ème tome que j'ai eu beaucoup de mal à terminer. des scènes sans intérêts, et des coïncidences tellement grosses que cela rend le récit non crédible. Le thème des nazis se cachant en Amérique du sud est traité avec négligence. Non sur ce thème je conseille à tous "la disparition de Joseph MENGELE" d'Olivier Guez.
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D'habitude pas trop fan de roman d'espionnage, celui-ci m'a semblé plus digeste que ceux précédemment lus. Ici pas d'agent double voir triple dans lesquels je me perds d'habitude. Malko ne m'est toujours pas sympathique avec son habitude de "baiser" toutes les femmes qu'il rencontre. Mais ce genre de lecture passe une fois dans l'année et me permet de continuer à vider ma PAL gigantesque et de l'épurer de tous ces livres récupérés dont je ne sais où e que je ne souhaite pas garder.
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Je ne sais pas à quoi c'est dû. C'est mon 5e SAS, je crois, et j'ai l'impression que c'est de loin le plus mauvais. Tome 43, je crois (encore) que c'est le plus ancien que j'ai lu, sans doute moins abouti et plus caricatural ? [Après vérification, pas du tout j'ai lu un tome 18 et un tome 21, il ne s'agit donc pas d'un "inaboutissement".]
Ou d'avoir lu la critique de Pixie-Flore, qui a bien raison.
SAS c'est un peu comme les statues de Léopold II (je suis Belge), pour moi il ne faut pas les détruire, mais les annoter, les expliquer à l'aune de ce qu'on sait, de ce qu'on a réalisé et de ce qu'on ne veut plus. Je ne veux plus d'un Léopold II, et je pense dispensable d'écrire aujourd'hui des SAS. Autres temps...
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Un bon SAS, qui nous plonge dans l’Iran du Shah. Dans ces premiers tomes de la longue série, le sexe est discret, la violence contenue, et l’intrigue tient bien la route, le suspense est efficace jusqu’à la fin.
Un plaisir de lecture un peu désuet, mais qui ne manque pas de charme.
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Que dire d'un SAS ? que ca se lit toujours avec plaisir , que ça coule tout seul comme une mousse au chocolat , Un enlèvement , des menaces sur un gouvernement et Malko Linge part au combat. Ca n'est pas de la grande littérature mais un bon moment d'évasion .
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Lecture estivale, comme souvent avec les SAS un peu plus complexe que la caricature qu'on aime à faire de cette série. La première partie du scénario est vraiment intéressante, nous plongeant dans le décor curieux de la fin de la guerre d'indépendance angolaise, alors que le tout jeune gouvernement démocratique portugais essaie de négocier une indépendance "propre" pour l'Angola avec plusieurs mouvements nationalistes parfois soutenus en sous-main par l'URSS. La CIA ne l'entend pas ainsi, d'où la présence du prince Malko. Hélas celui-ci se répand en jugements consternants, et l'aventure rythmée du début devient la description de la lente agonie des espoirs des riches colons.
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Les SAS sont des romans de gare qui se eeroulent dans differents pays où le hetos Marko Linge doit combattre un ennemi different.Le format reste le meme,250 pages,et ce prototype de roman de gare atteint son but,donner deux heures de detente au lecteur.Pour le reste,c'est un roman tres classique qui vous attend ici.
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Un bon SAS ! Je rappelle le contexte :
Portugal 1974 révolution des œillets. La chienlit complète : sur fond de décolonisation Portugaise (Angola, Mozambique, Cap-Vert, Sao-Tomé-et-Principe et Guinée-Bissau), de dictature salazariste , coup d’état militaire, l’URSS s’en mêle ; on frise la catastrophe. Les œillets ont bon dos ; ils fleurissent les canons de fusils mais en dessous il y a aussi les fusils et un nombre exceptionnel d’exactions. Heureusement l’Europe s’en sort bien ; on a failli avoir une dictature soviétique à deux pas de chez nous. Le Portugal rejoint l’UE en 1986 ; comme l’Espagne. Ouf ! Une bonne intrigue et un suspense qui ne faiblit pas.
Bravo Gérard quel que soit ta résidence actuelle!
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Ca se lit sans déplaisir, sans passion non plus.
Assez érotique dès le démarrage.
Pour l'histoire, il s'agit d'un attentat manqué (spoiler) sur Anouar El Sadate. (Précédant la réalité des faits historiques.)
Si j'en trouve d'autres, je pense que je poursuivrai ces zouaventures de Son Altesse Sérénissime.
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Une horreur !
Je l'ai lu sur un pari et je n'ai pas été déçue du voyage : male gaze, sexe sans consentement, femmes réduites à l’état d‘objet...
Et dire que cette série compte un nombre non négligeable de tomes qui ont tous eu un succès fou.
A vomir.
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C’est un SAS très original. Cette fois Malko n’est plus l’agent secret sûr de lui et amateur de jolies femmes mais un héros inquiet qui devra déjouer une machination ourdie contre lui et trouver un moyen de rétablir la vérité concernant son identité. Bien sûr, comme souvent,le KGB est à ses trousses ainsi que les services secrets israéliens mais l’atmosphère de ce roman n’est plus la même car la CIA commence à avoir de sérieux doutes sur sa fidélité.
Nous suivons Malko de l’Europe à la Jamaïque et y découvrons les belles plages de sable blanc de Montego Bay et les eaux turquoise du village de Négril, repaire de personnages bien peu amènes. Cette course poursuite se termine à New- York que l’auteur nous invite à parcourir en long et en large.
C’est un récit haletant, un vrai polar, à la couleur locale très précise car Gérard de Villiers ne lésine pas sur la documentation.
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Cela faisait quelques temps que dans mes lectures, on faisait allusion à SAS. Tout d'abord, j'ai cru qu'on parlait de San-Antonio, des San-Antonio-s. Mais ça semblait pas trop coller. (Oui, je n'ai quasi aucune culture de série noire, polar, espionnage, etc. Je rattrape mon retard depuis quelques temps.) Ensuite, j'ai compris qu'il s'agissait d'un autre héros aux trèèèès nombreuses aventures. Et je m'attendais à un truc d'une grande nullité, pauvrement écrit et cliché au possible.
Tout ça pour dire que c'est mon 1er SAS. Et que, bah, ça passe.
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Je vais être franc avec vous. J'ai lu le livre en diagonale. Un paragraphe par page pour lui laisser une chance que j'aime ça. Mais navré, j'ai pas aimé du tout. J'ignore si tout ces livres sont pareils a ça, si oui, il n'est pas auteur de prédilection.
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